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Premières envies et premiers pas

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Avis aux lecteurs : suite à certaines demandes, je vous présente la suite de la série "Premières envies et premiers pas". Cet épisode sera le dernier sous ce titre dans la mesure où le cocuage de Marc est maintenant effectif. Les premières envies et les premiers tâtonnement se terminent donc ici. Par contre, vous retrouverez Marc et Lucile dans d’autres aventures dont je n’ai pas encore déterminé le titre. Bonne lecture à toutes et tous.
4 - Lucile saute le pas
Le dimanche matin, Marc et Lucile se réveillèrent assez tard et ne reparlèrent pas tout de suite de Philippe. Lucile savait qu’ils ne le verraient sans doute pas avant quelques jours et ne souhaitait pas se rendre de nouveau chez lui. Elle se demandait si cette journée lui apporterait un nouvel amant ou si elle devrait se contenter de ses deux compagnons de latex. Le corps et l’esprit remplis de désirs inavouables, elle restait songeuse devant son bol de thé.
– Quelque chose te tracasse, ma chérie ? Tu ne dis rien.– C’est que je me demande si je pourrais trouver un amant disponible aujourd’hui.– Oh, je vois, Madame ne veut pas se satisfaire de ma petite bite aujourd’hui, elle a besoin de plus consistant, c’est ça ?– C’est exactement ça, maintenant que j’y ai goûté, je n’ai pas l’intention de m’abstenir de te tromper et Ben et Joe ne vont pas me satisfaire non plus aujourd’hui. J’ai besoin de m’enivrer de baise au naturel.– Et t’a des idées de partenaires ou pas ? Tu veux aller voir Philippe ?– Non, je ne veux pas retourner chez Philippe. Je veux quelqu’un d’autre, je lui ai dit qu’il fallait qu’il me prenne comme une putain et qu’il n’aurait pas d’exclusivité. Alors je réfléchis à comment faire…– Si t’as besoin d’une idée, j’en ai peut-être une, mais après c’est toi qui vois.–Vas-y, je t’écoute.– T’as pensé à nos voisins, y en a deux ou trois qui te lorgnent comme des bêtes à chaque fois qu’ils te croisent, à commencer par ce monsieur Duran du troisième qui t’a même offert des fleurs une fois et l’autre grand black, le basketteur du premier, il t’a déjà fait du gringue, je crois.– Y a pas qu’eux, notre voisin de palier m’a déjà branché très ouvertement.– Ah bon ? Comment ça ?– Et bien, la dernière fois, c’était il y a dix jours, il m’a dit que si un jour t’avais une panne, il serait ravi de m’apporter son aide.– Et t’as dit quoi ?– J’ai rigolé et j’ai dit qu’on verrait ça mais que pour l’instant tout allait bien et on en est resté là. C’est tout.– Et alors, y en a un qui te branche plus que les autres ou tu les veux tous les trois ?– Oh, je finirai bien par les mettre tous les trois dans notre lit, tu sais.– Aujourd’hui ? Il suffirait d’en inviter un ce matin, un cet après-midi et un ce soir si tu veux ? Je peux m’en charger pour toi, ça te dit ?– Et tu t’y prendrais comment ?– Et bien j’irai d’abord voir notre voisin de palier, Monsieur Denis, et je lui dirais que j’ai une panne et que nous serions ravi qu’il vienne s’occuper de toi pendant que j’irai faire trois courses au marché et que je nous préparerai le repas. Ensuite, je descendrai au troisième pour inviter Monsieur Duran pour le café à deux heures et, après, au premier pour inviter le grand black à un apéro ce soir afin de faire plus amples connaissances. Qu’en penses-tu ?
– Et tu leur diras pourquoi c’est faire aussi ?– Bien sûr, au moins de manière sous-entendue, il ne faut pas les prendre par surprise. En plus, pour Monsieur Duran, je peux aussi prendre le prétexte d’aller laver la voiture ou n’importe quoi d’autre pour vous laisser le champ libre une paire d’heures si ça doit le mettre plus à l’aise.– T’es un gros cochon, tu veux que je me fasse sauter par la moitié de l’immeuble, tu m’excites, va chercher Monsieur Denis, j’ai besoin d’une bite.Sans attendre, Marc s’habilla rapidement, sortit de son appartement et alla sonner à la porte d’en face.
– Monsieur Denis, bonjour, excusez-moi de vous déranger…– Bonjour, cher voisin, vous ne me déranger pas du tout, que puis-je pour vous ?– Et bien, j’ai cru comprendre que vous aviez proposé votre aide à ma femme au cas où j’aurais une panne. Et bien nous avons besoin de votre aide.– Ce… c’est une blague ? Votre femme est charmante, mais…– Ne vous inquiétez pas, Monsieur, elle m’a tout raconté, je ne vous en veux pas et je suis très sérieux. Ma femme a un terrible besoin de faire l’amour avec un homme maintenant et je ne suis pas en mesure de la satisfaire, alors comme vous le lui aviez proposé, j’avais pensé que je pouvais vous le demander. Voulez-vous nous aider, j’irai faire des courses pendant ce temps, je vous laisserai tranquille. J’en aurai au moins pour une heure ou une heure et demie et si vous y êtes encore quand je reviendrai, je ne vous dérangerai pas, je ferai la cuisine.– Et ben ça alors… Je suis à vous tout de suite, enfin à elle je veux dire. Elle est cochonne ?– Très !
Marc guida son voisin jusqu’à Lucile et s’éclipsa de son appartement pour suivre la suite de son programme. En revenant, une heure plus tard, il entendit des gémissements et le lit qui grinçait. De toute évidence, ils n’avaient pas fini et les cris de jouissance de sa femme l’excitèrent. Elle devait s’en prendre plein la chatte, il aurait aimer voir, mais savait qu’il devait se montrer discret. Pour se changer les idées, il fit ce qu’il avait promis et s’attela à la préparation du déjeuner. Un quart d’heure plus tard, il entendit la douche couler quelques minutes et son voisin apparut rhabillé dans la cuisine.
– Marc, vous permettez que je vous appelle Marc ? Moi c’est Xavier.– Bien sûr Xavier, vous pouvez m’appeler Marc. Ça s’est bien passé apparemment.– Merveilleusement. Votre femme a un sacré tempérament et je dois vous avouer qu’il y a longtemps que je ne m’étais pas vidé les couilles comme ça. Elle est superbe. Elle m’a donné des précisions sur votre fonctionnement et m’a demandé de vous appeler pour venir la nettoyer. Vous m’excuserez, je ne peux pas rester pour assister à sa toilette, mais vous aurez l’occasion de me revoir chez vous, soyez en sûr.– Mais j’y compte bien, si Lucile le souhaite, c’est elle qui décide.– Je sais, elle me l’a dit. Allez, je vous souhaite un bon dimanche à vous deux et merci encore pour votre hospitalité.
Une fois Xavier parti, Marc se précipita dans la chambre. Lucile était allongée et l’attendait.
– Alors ?– Super, à la hauteur de ses prétentions. Il m’a baisée trois fois comme un dieu.– Il t’a pris le cul ?– Oui, la deuxième fois, autrement il m’a sautée une fois en levrette en m’enfonçant un doigt dans la rondelle et une autre fois en missionnaire.– Il a une grosse bite ?– Par rapport à toi, ce n’est pas difficile, mon amour. Non, elle est dans la moyenne supérieure, mais il a des couilles énormes et qu’est-ce qu’il éjacule, je déborde. Allonge-toi là que je puisse expulser son foutre dans ta petite bouche de cocu.– Tout de suite ma chérie.
Sans même se déshabiller, Marc s’allongea sur le lit et Lucile chevaucha son visage. Tandis qu’elle poussait pour expulser le foutre de Xavier de sa chatte et de son cul, il la léchait avec avidité, l’exhortant à pousser encore. Il avait ouvert sa braguette et branlait sa petite bite, la secouait de plus en plus vite.
– Oh mon salaud, t’aimes ça le sperme on dirait. Mmmm, t’aime lécher du sperme cochon. Tu me fais jouir. Oooh oui, vas-y. Aaaah– Mmmm, oh oui, salope, donne-moi tout son foutre ! Mmmm.
Marc fit jouir Lucile avec sa langue et se retrouva avec son foutre plein les mains et sur sa chemise. Il se lécha les doigts et retourna à la cuisine. Lucile passa sous la douche et s’habilla pour aller déjeuner. Alors qu’ils mangeaient, elle s’inquiéta de savoir si son cocu d’amour avait vu les autres voisins.
– Bien sûr, d’abord, je me suis arrêté chez Monsieur Duran qui revenait, comme moi, du marché. Il m’a reçu chez lui très aimablement et j’ai tout de suite abordé la cour discrète qu’il te faisait. Il s’est senti un peu gêné, mais je l’ai rassuré.– Qu’est-ce que tu lui as dit ?– Oh, simplement que tu étais très touchée par ses sentiments et que tu souhaitais le lui faire savoir au travers d’une relation privilégiée. J’ai ajouté que nous serions heureux de le recevoir pour le café à 14 heures et que devant m’absenter une bonne partie de l’après-midi, tu serais heureuse d’avoir sa compagnie pour égailler ta solitude. Enfin, je lui ai dit qu’il serait plus à l’aise pour te faire une cour plus active et qu’il aurait tout le loisir de profiter de tes attraits.– Et alors ?– Et alors, il va être temps que je fasse le café car il ne va pas tarder.– Et le black du premier ?– Alors, il s’appelle Willy, il est guadeloupéen et il te trouve super canon. En plus, il veut bien que je regarde en branlant ma petite bite de cocu.– Alors je vais me faire baiser tout l’après-midi et toute la soirée si je comprends bien, comme une vraie putain.– C’n’est pas ce que tu voulais ?– C’est exactement ce dont j’avais besoin et envie, mon chéri. Je suis une salope, une putain et toi t’es un cocu qui se branle en bouffant le sperme de mes amants. Mais tu sais quoi, je l’aime mon petit cocu.
Lucien Duran arriva à l’heure, il s’était fait beau et apportait un petit bouquet de roses rouges. Il fit un baisemain à Lucie qui le fit s’asseoir près d’elle et Marc servit les cafés. Ils bavardèrent un peu tous les trois et Marc prit congé. Même si elle n’était pas sale, il alla laver la voiture dans une zone commerciale. Il prit son temps et, deux heures plus tard, il reprit la route de son domicile. Il était convenu qu’il ne revienne pas avant que Lucile ne l’appelle, alors il se rendit à pied dans un square voisin où il admira les parterres de fleurs et les carpes des bassins. Il trouvait le temps long et décida de se rapprocher de chez lui. Lucile lui téléphona à 17h30, il était au bas de son immeuble et s’impatientait. Il se précipita alors chez lui pour trouver sa femme encore allongée. Il se jeta sur elle, sur sa chatte et son cul puis retira ses habits très vite pour la pénétrer. Il lui fit l’amour rapidement et au moment de jouir, il se retira pour éjaculer sur son ventre. Il ne lui avait pas procuré d’orgasme, mais elle ne lui en voulait pas, elle avait déjà eu son saoul et, sans qu’elle lui demande, il se mit en devoir de lécher le sperme qu’il avait répandu sur elle. Ils se rendirent tous les deux dans la salle de bain, Marc était fou d’amour pour sa femme infidèle. En moins de quarante-huit heures, elle avait eu trois amants et s’apprêtait à en recevoir un quatrième. Il lui couvrait le corps de baiser alors que l’eau tiède de la douche ruisselait sur eux et il s’était agenouillé pour lui lécher la chatte une nouvelle fois.
– Arrête, Marc, j’ai envie de pisser, lève-toi.– Non, pisse, pisse-moi dans la bouche.– Non, c’est sale, je peux pas faire ça.– S’il te plait, j’ai envie. Utilise-moi comme chiotte, pisse dans ma bouche. J’ai envie de boire ta pisse, de m’enivrer de toi. S’il te plait. Répondit-il, implorant.– … Je sais pas si je vais y arriver, c’est pas très facile, faut que je me concentre.
Lucile, après un long effort de concentration, finit par y arriver. Marc déglutissait au fur et à mesure que sa bouche se remplissait et elle pouvait lire le plaisir dans ses yeux.
– Ooh mais t’as l’air d’aimer ça, salaud. Oh mon dieu, mais tu bois tout, je rêve. Oooh oui, ooooh, oh c’est bon ! cria-t-elle en finissant sa miction. T’as aimé, mon chéri ?– Oh oui, mon amour, j’ai adoré, tu peux le refaire quand tu veux, à chaque fois que t’auras envie de faire pipi.– Mouai, peut-être que je le referai mais bon, je ne te promets rien…– T’as pas aimé ?– C’est pas ça, je peux pas dire que j’ai aimé ou pas. Je l’ai fait pour te faire plaisir, parce que j’ai vu que t’en avais très envie et j’avais super envie de pisser mais je sais pas si je le referai.– De temps en temps ?– Peut-être, peut-être pas, je ne sais pas. Tu me surprends. Tu voulais être cocu, maintenant tu l’es, tu prends ton pied à lécher du sperme, tant le tien que celui des autres, tu veux que je sois enceinte d’un autre mec que toi et maintenant tu voudrais boire ma pisse…– Je sais, ce n’est pas naturel, mais tout ça m’excite et savoir que je vais pouvoir te voir en pleine action toute à l’heure, ça m’excite encore plus. Mais ne dis pas que ça n’t’excites pas de me faire cocu ou de me voir lécher ton cul plein de foutre… Quant au bébé, t’as pas dit non.– T’es un gros cochon, Marc.– Et toi t’es la plus tendre et la plus jolie des salopes.
Lucile mit un string ouvert, le soutien-gorge demi sein assorti, une paire de bas autofixants, une minijupe fendue sur le côté, un chemisier blanc transparent et des escarpins à talons aiguilles. Marc lui fit remarquer que ça faisait carrément pute mais elle savait que c’était ce qu’il souhaitait. Ils préparèrent ensemble un apéro dînatoire un peu copieux et attendirent leur troisième invité de la journée. Willy arriva un peu avant 19 heures, il avait une tenue décontractée composée d’un bas de jogging et d’un sweat-shirt et apportait une bouteille de rhum vieux de chez lui. Il salua Marc d’une franche poignée de main et embrassa directement Lucile sur la bouche. Elle se laissa faire et rendit immédiatement la politesse. Le ton était donné, il était clair qu’il venait pour se la faire et qu’elle n’attendait que ça. Lucile le conduisit au salon et le fit s’assoire à côté d’elle sur le canapé, tandis que Marc partit s’affairer en cuisine.
– Il m’a fait rire ton mec ce matin quand il m’a demandé si je voulais bien venir te niquer ce soir. Dit Willy en posant une main sur le genou droit de Lucile– Pourquoi ? Tu l’as trouvé ridicule ?– Non, pas du tout. Il a été direct et franc, mais on voit bien que c’est un malin. Moi je respecte vos choix, y a pas de problème.– Tant mieux, car j’aimerais pas que tu le sous-estimes, c’est mon mari et je l’aime. Si tu te fous de sa gueule, tu ne m’auras pas.– Oui, il me l’a dit, mais du coup, il était emmerdé parce qu’il voulait que justement, je l’humilie un peu et donc il paraît que je dois t’en parler avant. Du moins c’est ce qu’il a dit.– Il t’a demandé ça ? T’es sérieux ?– Absolument, il m’a dit qu’il attendrait dans la cuisine pour que tu décides si t’es d’accord pour ça.– Et tu comptes faire quoi ?– Oh, rien de bien méchant, juste le charrier un peu, le traiter de cocu ou de petite bite. Je peux aussi lui demander de se foutre à poil pour nous servir l’apéro, de mettre, le moment venu, ma bite dans ta chatte ou encore de la sucer pour me faire rebander, enfin des trucs comme ça. Si ça te plait pas, y pas de souci, je le ferai pas, comme je lui ai dit, faut que ça reste un jeu.– Punaise, c’est donc ça…– C’est donc ça quoi ? Demanda le black– Rien, je viens de comprendre un truc. Si c’est ce qu’il veut, t’as carte blanche tant que t’oublie pas de me baiser convenablement.– Ah ah ! Ça, ça ne risque pas et d’ailleurs, tu devrais enlever tout de suite ta jupe et ton chemisier que je puisse me faire un apéro tactile.– Alors enlève tes doigts de ma fente et appelle le cocu qu’on boive un coup.
Willy retira la main qu’il avait glissée sous la jupe de Lucile et appela Marc à qui il demanda de se foutre à poil et de faire le service. Sans hésiter, il retira ses habits, qu’il plia et posa sur l’accoudoir du fauteuil, le jeu avait commencé. Lucile était en train de se faire branler la chatte et peloter les nibards, sa jupe et son chemisier traînaient sur le sol et leur invité semblait, lui-même, assez excité au vue de l’énorme bosse qui déformait son pantalon de Jogging.
– Putain, c’est vrai qu’elle est petite ! Dit Willy en voyant le sexe encore au repos de Marc. Tu ne dois pas la faire jouir souvent…– Oh, il y arrive quand même, quand je suis super excitée, pas vrai mon cocu d’amour ?– Euh, oui, ma chérie, c’est vrai que quand t’es bien excitée et que t’as bien baisé avant, j’arrive à te faire jouir en te pénétrant. Autrement, Willy a raison, mes 13 cm en érection ne sont pas très efficaces.– 13 cm ? Mais t’es mytho, toi ! Elle ne doit même pas faire ça, Tu l’as déjà mesurée ? Va chercher un mètre ruban et une règle qu’on vérifie.
Marc s’exécuta, pendant ce temps, Willy et Lucile reprirent un long baiser accompagné de caresses sur tout leur corps. Les dessous de Lucile laissaient libre accès à sa divine poitrine et à sa chatte humide de désir, mais elle aussi voulait tâter la marchandise. Elle lui retira donc son sweat-shirt et son pantalon. Willy ne portait pas de sous-vêtement et elle découvrit avec plaisir sa musculature de sportif, caressa d’abord ses pectoraux et ses abdominaux saillants avant de se diriger vers son sexe tendu, énorme qui pointait fièrement vers le haut. Quand Marc revint avec ce que Willy lui avait demandé, il découvrit sa femme, à quatre pattes sur le canapé, occupée à pomper copieusement son nouveau partenaire et son sexe se dressa.
– Y a pas à dire, elle suce divinement bien ta nana. Mmm, oui, c’est bien salope, avale ma barre de chocolat, gourmande ! Ça t’excite de la voir comme ça, cocu. T’en bandes !– Oh, oui, ça m’excite, depuis le temps que j’en rêve…– Alors approche-toi qu’on mesure ton haricot beurre. Comme tu bandes faut en profiter. Tu vois pour la longueur, on met la règle au-dessus, comme ça. Tu lis combien ?– Heu,… 12 cm environ.– Ouai, t’es un grand optimiste à ce que je vois, moi je lis 11,5 à tout casser. Passe-moi ton mètre de couturière qu’on voit ta grosseur. Tu vois on prend au plus large, au milieu de la bite et là on lit combien ?– Presque 9 cm, enfin 8,8 ou 8,9.– Allez, soyons positifs, je t’accorde le 8,9, t’es vraiment pas gâté. Allez, mesure la mienne maintenant que ta femme m’a mis à bloc. Tu vas voir la différence. Arrête de me sucer, toi, que ta petite lopette puisse faire ses travaux pratiques.– Alors mon chéri, elle fait combien sa belle bite ?– Moi je lis un peu plus de 21 cm.– Fais voir si t’as pas triché… Moui, c’est plutôt 21,3 cm, et sa grosseur ? Fais voir…– Ben, elle fait 15,7.– Ça te fait quoi de toucher la bite qui va me bourrer la chatte dans peu de temps ? Ça t’excite ? Elle te plait ?– …– Regarde ton petit pédé de mari, il n’ose même pas l’avouer, mais il en bave d’envie ! Allez, p’tite bite, suce-moi pendant que je bouffe la chatte de ta femme.
Sans protester, Marc qui était déjà à genou entre les cuisses de Willy se pencha et pris cet énorme morceau dans la bouche. Willy l’encouragea un peu et se pencha entre les cuisses de Lucile qui avait changée de position. Elle savourait le plaisir de voir son mari sucer son amant. La langue qui fouillait sa chatte et son cul était d’une agilité remarquable et elle eut un premier orgasme très rapide qui ne fit qu’accroître le besoin de se faire sauter. Willy ne la fit pas attendre trop longtemps, lui aussi avait envie d’enfiler cette superbe femme, de la prendre par tous les trous. Marc, à sa demande, introduisit le mandrin à l’entrée du vagin de sa femme, se recula et prit place dans son fauteuil pour admirer la scène. Willy était très endurant et il lui besogna la chatte pendant de longues minutes en la traitant de « grosse pute » et de « salope », avant de la retourner pour lui prendre son cul. Il n’avait pas encore éjaculé alors que sa partenaire avait déjà joui plusieurs fois et que Marc se léchait déjà ses doigts englués par sa propre semence. Conscient de la grosseur de son sexe, il prit ses précautions, mais, de toute façon, l’anus de Lucile, grâce à ses deux godes, Ben et Joe, était déjà habitué à prendre large. Une fois dans la place, il lui laboura le cul vigoureusement et demanda à Marc de venir lécher le clitoris de sa femme en même temps. Obéissant, il rampa sous sa femme et s’occupa de sa minette. Il était aux premières loges et les couilles de Willy venaient lui claquer sur le nez. Lucile sentait monter en elle un nouvel orgasme, elle hurlait de plaisir et quand elle sentit Willy se vider dans ses boyaux, elle éjacula sa jouissance au visage de son cocu de mari sur qui elle s’effondra terrassée. Ils restèrent tous les trois enchevêtrés sur le canapé quelques minutes avant de reprendre leurs esprits. Quand Willy sortit sa bite crasseuse du cul de Lucile, il demanda à Marc de la nettoyer avec sa bouche. Le cocu satisfait n’osa pas avouer ses réticences à sucer ce sexe sans doute pas très propre et, en petit mari obéissant, il se dégagea de dessous sa femme et retourna entre les cuisses du grand black pour lui lécher la bite.
– Mmm, oui, c’est ça, applique-toi bien, lopette. T’es comme ta femme, en fait, t’aime la bite.– C’est vrai qu’il a l’air d’y prendre plaisir, je n’aurai jamais cru ça de lui. Remarqua Lucile amusée. Enfin, cela dit, je savais déjà qu’il adore le sperme et il a toujours pris du plaisir à sucer mes godes. Il fait ça bien ?– Très bien, mais c’est parce qu’il aime ça, il s’applique. Avec un peu d’expérience, il va devenir une suceuse de première classe. Y a longtemps que vous faites ce genre de parties fines ?– Non, ça fait seulement deux jours que j’ai décidé de le faire vraiment cocu. On en parlait depuis longtemps mais on a concrétisé ça hier seulement, avec un copain à nous.– Un pote à vous hier et moi maintenant, la classe, je suis le deuxième à profiter de votre nouvelle vie, la chance !– Non, t’es le quatrième, j’ai baisé avec notre voisin, Monsieur Denis, ce matin, tu vois, le gars assez grand qui porte toujours un costard style patron d’agence immobilière.– Tu m’étonnes que je vois, c’est mon proprio. Et l’autre ?– Est l’autre, c’est le retraité du troisième, il me faisait une drague un peu vieux jeu, assez timide, alors j’ai eu envie de lui faire plaisir. Il me fait craquer.– T’es une vrai salope, tu ne recules devant rien. Et il peut encore arquer, à son âge ?– À mon avis, quand il était jeune ça devait être un sacré chaud lapin. Il m’a quand même baisée deux fois et assez longuement d’ailleurs. C’était vraiment très plaisant.– Ah ouai, il a la santé le papi, c’est cool. Donc si je comprends bien, depuis hier tu t’es tapée quatre mecs avec la bénédiction de ta lopette de mari.– Pourquoi tu dis que c’est une lopette, lui aussi me baise et me fait jouir.– T’as vu comme il me suce, il est en train de me refaire bander, le salaud.– Tant mieux, comme ça tu pourras me bourrer la chatte à nouveau et me la remplir de ton foutre brûlant, j’en meurs d’envie.– Maintenant ?– Je suis insatiable.
Willy resta jusqu’à 23 heures et fit l’amour encore trois fois à Lucile et Marc nettoya sa bite à chaque fois. Quand il partit, ils étaient épuisés et ils s’endormirent vite. Le lendemain, il fallait se lever tôt pour aller bosser, mais ils savaient que Willy deviendrait sans doute un amant régulier de Lucile.
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