Je me réveilla lorsque le contact de la voiture se coupa. On était arrivé, et nous étions en pleine campagne. Je n’avais vraiment aucune idée de l’endroit où je me trouvais. Je sortis de la voiture, j’avais un peu mal aux fesses... Mon inconnu s’éloignait déjà, je le suivis donc. On se dirigeait vers une petite maison, où l’on pouvait voir de la lumière à une des fenêtres. On entre dans la maison, et j’ai alors la surprise de voir un autre homme, à quatre pattes sur le sol de l’entrée, son cul tendu vers nous. "Bonsoir Maître." L’autre lui répond "Salut ma pupute, je t’ai ramené de la compagnie ce soir." Je me sens subitement gêné, je suis nu devant ces deux hommes, et ne sait pas trop quoi dire. Comme si il avait lu dans mes pensées, mon baiseur me dit "Aller, ramène toi". Je le suis dans ce qu’il semblait être le salon, il se jette dans un fauteuil, ouvre son pantalon, sort sa bite de son caleçon, puis prend son portable et écrit un texto. Je ne sais pas trop quoi faire, je reste debout, comme un idiot. Il me regarde et me lance "Et bien t’attends quoi connasse ? Tu t’actives et plus vite que ça !" Je me met alors entre ces jambes et entreprend de le prendre en bouche. J’aime avoir sa grosse bite, avec ses veines, son gros gland rouge et suintant en bouche. Je joue avec ma langue autour, et je suis tout appliqué à le satisfaire. Puis d’un coup, je sens deux mains écarter mes fesses, puis une langue me lécher l’anus. Comme si il avait prévu le coup, l’homme choisi ce moment pour saisir ma tête entre ces deux mains et m’enfoncer sa queue au fond de la bouche m’empêchant de me relever. Rapidement, une main vient me branler, tandis qu’une langue s’occupe toujours de travail mon cul, et je ne reste pas longtemps insensible à ce traitement. Je bande dur, et de son coté, l’autre homme a décidé de passer la vitesse supérieure. Il fait des va et viens dans ma bouche, me baisant littéralement. Je bave, et tente de retenir mes hauts le cœur. Puis, d’un coup il s’arrête "Ne crois pas que je vais me contenter de ta bouche..." Les caresses cessent. L’homme me demande de me mettre à 4 pattes, puis je sens son gland se poser sur ma rondelle. Elle est encore bien ouvert de toute à l’heure, et la pénétration est beaucoup moins douloureuse que précédemment. Il s’exclame "Aaaah, tu restes bien serré quand même, mais ne t’inquiètes pas, on va y remédier". Je ne l’écoute plus, je ferme les yeux, je me concentre sur le plaisir que me procure sa bite. Quand je les ouvre, l’autre homme se trouve en face de moi. Il me passe alors en dessous, et prend ma queue en bouche. La sienne se trouve à la hauteur de mon visage, et je sens une main appuie sur mon crane. Une de plus ou de moins, je commence à le sucer. Sa bite est plus courte que l’autre, mais assez épaisse. Je sens des couilles battre contre mon cul, la sensation est géniale. Il va de plus en vite, pendant que l’autre aspire de plus en plus fort sur mon gland. Je sens que la jouissance arrive, je deviens fou, je cris et me libère, crachant ma purée dans la bouche de l’autre. Le va et vient a cessé dans mon cul, l’homme qui me suçait se dégage, et se met face à moi. Il se met alors à me rouler une pelle, me donnant mon propre sperme en bouche. Je sens sa bite se frotter contre mon ventre, je suis complètement inerte, K.O. après avoir autant jouit, et j’avale ma semence. L’homme qui me baisait prend alors la parole "Bien, tu as fais la connaissance de pierre, ma première lopette. Dorénavant, tu m’appellera Maître, et tu m’obéiras. Étant le dernier arrivé, tu obéira aussi à Pierre lorsque je ne serais pas là." Je ne me rend compte de rien et acquiesce. "Parfait, maintenant, met toi sur le dos au sol." Je m’exécute, Pierre se place alors au dessus de moi à quatre pattes, écarte ses fesses, et notre Maître commence à le pénétrer. Je suis juste en dessous, et je vois la bite rentrer et sortir de son fondement. Puis au bout de quelques minutes, il s’arrête, et me donne sa queue à lécher. Il a dessus des résidus de merde, mais il me la colle dans la bouche. Je goûte à un cul différent du mien, et j’aime ça. Je le lèche consciencieusement, puis il retourne dans le cul tendu. Il répète le manège plusieurs fois. Des cris de jouissance venant des deux partenaires, puis la délivrance. Pierre éjacule, je me prend tout en pleine tête, une bonne faciale, pendant que le maître jouit dans son cul. "Tu sais ce qu’il te reste à faire Pierre" Celui ci place alors son cul au dessus de ma tête, les jambes écartées, et pousse. Le sperme sort alors de son anus et me tombe dessus. J’en ai plein partout, l’autre s’enlève, et je peux alors me redresser. Au même moment, quelqu’un sonne à la porte, et mon Maître va ouvrir. Un homme rentre, il est assez gros et semble sale. Il me voit et dit "Voici donc pourquoi tu m’as appelé, une nouvelle salope à éduquer à ce que je vois, ça me plaît." Je ne dis rien, conscient de ma position, à terre, la gueule pleine de sperme. Il poursuit "Aller, on va commencer, suit moi dans la salle de bain, et ne touche pas à ton visage." Mon Maître m’ordonne alors "Tu fais tout ce qu’il te dit de faire, sinon il t’en coûtera." Je le suis donc, et arrive dans une salle de bain assez propre, avec baignoire et toilette. "Place toi dans la baignoire". J’obéis, et m’y allonge. Il sort alors sa bite, au repos, encore plus impressionnante que celle du Maître. Se met alors à jaillir un jet de pisse, qui atterrie directement sur ma tête, et lui se met à crier "Va y bois, bois salooope !". J’ouvre la bouche, et y rentre alors un mélange de pisse et de sperme. C’est dégueulasse, et pourtant, je sens comme un début d’érection arrivé. "Mais c’est qu’elle aime ça la pute ! T’inquiètes, tu va adorer ce qui va arriver". Il me prend par les cheveux et me ramène dans le salon, où Pierre a recommencer à sucer notre Maître. Le gros bande maintenant, et s’allonge par terre "Empale toi ma petite pute". Sa queue est énorme, je ne vois pas comment elle pourrait rentrer dans mon cul. Je me met au dessus de sa queue, une jambe de chaque coté, sa tête en face de moi. Je prend sa queue en main, et descend jusqu’à avoir sa bite en contact avec ma rondelle. Je commence alors ma descente. C’est douloureux, il est vraiment très gros, j’ai du mal à m’empaler. Il saisit alors mes hanches et me force à m’asseoir. Je hurle tellement la douleur est grande. Pas pour longtemps puisqu’une bite se plante dans ma bouche. L’autre dans mon cul s’active, il m’écarte au maximum les lobes fessiers et fait des va et vient rapides et puissants. Encore une fois, le plaisir est au rendez vous, j’aime vraiment avoir une bite dans le cul. Je suis pris des deux cotés, et j’adore ça. Je sens le rythme s’affaiblir dans mon cul, jusqu’à s’arrêter. Je me retourne, et aperçois alors mon Maître s’agenouiller derrière moi, et me rend compte que celui que je suce depuis tout à l’heure n’est personne d’autre que Pierre. Je n’ai pas le temps de réagir que déjà, sa queue se présente devant mon cul déjà occupé et il force l’entrée. Je commence à pleurer tellement la douleur est forte, mais je ne peux pas crier comme ma bouche est déjà occupée. Rien n’arrête sa progression jusqu’à ce qu’il soit arrivé au fond. Une fois fait, ils commencent tous deux à bouger, à se synchroniser dans leur mouvement. Je suis remplis comme jamais, et petit à petit, le plaisir arrive avec la douleur. Ma queue durcie, et je remue mes hanches pour les accompagnés. Ils s’en donnent à coeur joie pour me démolir, pendant que je suis toujours entrain de sucer l’autre. Mon queue doit être béant. La plaisir monte, monte, monte... Jusqu’à l’explosion, l’apothéose. Sans me toucher, je jouie, je lâche tout le sperme qui me reste dans les bourses. C’est ce moment qu’ils décident pour se lâcher eux aussi, et je sens leur sperme brûlant me remplir les intestins, pendant que je reçois directement au fond de la gorge celui de Pierre. Ils restent quelques instants dans mes trous puis me libère. Je sens que mon cul est grand ouvert, et du sperme s’écoule. Mon Maître me met alors une claque au cul et me dit "Va donc nous chercher une bière au frigo, il va nous falloir des forces pour continuer." Je me lève et boite vers la cuisine, en me demandant quelles surprises me réservent ils encore.
