Voici le premier chapitre (enfin je l’espère) des pérégrinations et aventures coquines et sexuelles d’un trentenaire à la vie simple et assez classique.Certaines, de ces histoires seront réelles, d’autres un peu romancées, certaines encore complètement sortie de mon imagination et le reflet de mes fantasmes ou encore un peu des trois. A vous de deviner et de démêler, le vrai du faux !!Bonne lecture !!
Premiers plaisirs entre hommes !
Je savais que je n’étais pas gay, car j’étais toujours autant attiré par les femmes mais je regardais maintenant certains hommes différemment. Il fallait que je sache. Je décidais donc de retourner sur le net espérant trouver comme pour ma transsexuelle la bonne personne.
Malheureusement, je ne trouvais pas ce que je cherchais, je ne tombais que sur des mythos ou des bourrins qui ne comprenaient ma recherche. C’était pourtant simple, je voulais tester, voir si vraiment j’étais fait pour ça et si finalement au moment fatidique, je ne pouvais pas, je voulais pouvoir faire marche arrière et tout arrêté. Lorsque j’expliquais ça, les réactions étaient souvent hostiles et je coupais toute conversation.
Je commençais à désespérer et ma consommation de sexe entre hommes virtuelle devenait de plus en plus importante. Je passais mon temps à lire des histoires érotiques voire même porno d’hommes entre eux ou à visionner des vidéos porno, je devais de plus en plus frustrer. C’est alors qu’un soir en rentrant du boulot alors que je devais déposé un document à la loge de la gardienne, un de mes voisins était en train de discuter avec elle. Je m’approche tout en gardant mes distances pour ne pas interférer dans leur discutions mais celle-ci m’interpelle en me disant qu’ils étaient justement en train de parler des travaux qui devaient avoir lieu prochainement dans la résidence, sujet que nous avions abordé la veille.
Lors de cette discussion, j’essayais, n’ayant pas la mémoire des noms et des visages, de me rappeler qui était ce voisin mais cela me revins assez vite. J’avais entendu parler de lui par la « petite vieille » de mon immeuble. Je savais qu’il avait un chat, que malheureusement pour lui il était au chômage et qu’il était…..homo. A ce souvenir, mon sang, ne fit qu’un tour, il fallait que je lui parle, je ne savais pas comment mais il fallait que je parle. Je ne suivais absolument plus la conversation, j’étais fixé sur lui, je ne lâchais pas du regard et il fallait que je lui parle.Je fus tiré de ma réflexion par la sonnerie d’un téléphone, c’était celui de la gardienne. La conversation s’arrêta donc là. La gardienne retourna dans sa loge pour répondre et nous nous sommes retrouvés tous les deux seuls face à face. Mon voisin me regarda d’un drôle d’air, comme si il savait que j’avais un truc à lui dire mais que je n’osais pas.
Il coupa le silence en me disant :« Bon bah, vivement que ces travaux commencent »« Euuh oui effectivement depuis le temps que l’on attend » répondis-je presque instinctivementCelui-ci se retourna vers notre immeuble et il commença à marcher tout en me parlant, je le suivis alors sans réfléchir.
« Vous avez l’air soucieux ? » reprit-il « Oui, enfin non, c’est-à-dire que…. » je bafouillais « j’ai…enfin…je ne sais pas comment dire ça… »« Lancez-vous ! »« Voilà, j’ai entendu parler de vous par Mme Bernard »« Oui ! » répond-il calmement« Voilà, ne vous méprenez pas sur mes propos, mais voilà, récemment je me suis posé pas mal de questions sur moi, sur qui je suis, j’ai éprouvé des choses que je ne pensais pas éprouver pour, comment dire,.. »« Les hommes !» me coupa-t-il« Oui c’est ça…» répondis-je tout penaud« Et ? » reprit il« Et ! Et ! Quand je vous ai vu ce soir, en discutant avec la gardienne, il m’est venu une idée complètement folle et même franchement déplacé de vous en parler et de voir avec vous si vous pourriez accepter….c’est complètement dingue… ; dis-je en secouant la tête ; si vous accepteriez de… »« De vous initier ? » me coupa-t-il de nouveau avec un grand sourire« Oui » finis je par lâcher en baissant la tête« Ça pourrait m’intéresser, mais ça dépend ce que tu cherches ! Moi j’aime les petites soumises ! Et puis tu es marié si j’ai bien compris, ta femme ne te suffit pas ou plus ? »« Ce n’est pas ça, si je suis satisfait avec elle et je ne me vois absolument pas sans elle, mais… »« Mais tu es une petite cochonne d’hétéro qui veux gouter à un mec ; me coupa-t-il une troisième fois ; donc tu dois être discret ? Tu penses qu’accoster un voisin comme moi est très discret ? »« Non, enfin oui, je sais pas.. »« Bon, on ne va pas en parler pendant des heures, je veux bien te faire découvrir le plaisir entre homme, parce que c’est bien de cela dont on parle, juste du plaisir, juste du sexe pour le sexe pas de sentiments ni ce genre de conneries, tu cherches un plan cul, rien de plus ? »« Oui c’est ça ! »« Régulier ? »« Si j’aime ça et si vous être d’accord pourquoi pas »« Oh tu vas aimer ça je te promets et ne t’inquiète pas pour ta femme, elle n’en saura rien »« Merci d’accepter »« Quand es-tu dispo ? »« Je travaille à 5 minutes d’ici, je me disais que le midi par exemple entre 12h et 14h ça pourrait être pas mal. »« Tu as bien préparé ton coup dis-moi, tu sais que je ne bosse pas donc que je suis dispo à ce moment-là, tu ne travailles pas loin donc tu peux facilement venir et personne ne sera surpris te voir ici le midi. Ta femme ne sera pas là non plus car elle bosse aussi et loin j’imagine pour que tu proposes ça »« J’avoue »« C’est bien, bon tu es dispo demain ? »« Oui »« Parfait ! Donc demain, tu viens chez moi pour 12h pile, j’ai horreur des retardataires, soit à l’heure sinon terminé. Ne te prépare pas pour demain, je veux dire ne fait rien de particulier, je te veux au naturel, compris ? »« Oui »« Voilà comment on va faire, demain midi je vais surveiller ta voiture, quand je la verrais j’ouvrirais la porte de mon appart, tu rentreras directement. Une fois dans l’entrée, bien sûr tu fermeras la porte, depuis le salon je te poserai une question, pour savoir si tu es toujours prêt et ok, tu pourras répondre non, dans ce cas-là je te laisserai repartir et on oubliera tout ça, si tu réponds oui, pour cette fois tu ne pourras pas revenir en arrière. Tu devras alors retirer tous tes vêtements, je dis bien tous. Tu iras ensuite dans la salle de bain pour prendre une douche rapide. Une fois lavé et séché tu iras dans la chambre, tu t’allongeras sur le ventre sur le lit et tu m’attendras. J’arriverai ensuite. Tu as compris ? »« Oui »« Ne t’inquiète pas pour les fournitures, j’ai tout ce qu’il faut »« Bien merci. »« A demain alors ! » me dit-il« A demain ! »« Au faite, moi c’est Fabrice et toi ? »« Gilles ! »« Ok Gilles, à demain, bonne soirée ! » dit-il en se dirigeant vers son immeuble« Bonne soirée »répondis-je comme assommé par ce qu’il venait de se passer mais à la fois heureux, j’allais enfin savoir.
La nuit et la matinée du lendemain me semblèrent interminable mais enfin l’heure arriva, il était pile midi, lorsque j’arrivais sur son palier et effectivement la porte était entrouverte. Je pris une profonde respiration et je rentrais.Il avait fermé tous les volets et les lumières étaient éteints à part celle de la salle de bain. Je refermais derrière moi et j’entendis :« Toujours prêt et décidé ? »« Oui ! » répondis-je« Tu sais ce que tu as à faire alors. »Je me suis rapidement entièrement déshabillé, il avait préparé une chaise pour que je puisse déposer mes affaires. Une fois entièrement nu, je m’aperçus alors que j’étais déjà en érection et que je mon sexe était terriblement sensible.
Je me suis alors dirigé comme convenus vers la salle de bain dans laquelle il avait également tous prévu et pris alors une bonne douche afin d’être bien propre pour ma première fois.Après quelques minutes et m’être bien séché, toujours comme il me l’avait ordonné, je me suis dirigé vers la chambre dans laquelle pendant que j’étais dans la salle de bain, il avait allumé une petite lampe de chevet.Je pus voir que les draps étaient ouverts et qu’il y avait sur la table de nuit plusieurs préservatifs, voilà ce qu’il voulait dire par « les fournitures ».Je me suis allongé comme prévu sur le ventre, j’ai fermé les yeux et fébrilement attendu l’arrivé de celui qui allait être mon amant.
Après quelques minutes qui me semblèrent des heures, je sentis une main se poser sur mes fesses nues et alors que je voulu me retourner, celui-ci me plaqua sur le lit en me disant :« Non ! Tu ne bouges pas ! Tu es à moi maintenant ! Tu ne bougeras que lorsque je te l’aurais autorisé ! Tu es venu me voir pour que je te baise, tu vas te faire bien baiser je te promets mais c’est moi qui dirige, compris ! » me susurra à l’oreille Fabrice d’une voix à la fois douce et autoritaire.« Bien, j’ai compris » répondis-je« Je vais bien te préparer pour bien te faire jouir et je peux te dire qu’après ça tu ne pourras plus te passer de moi »Je restais donc allongé sur le ventre, les yeux fermés.Il repose de nouveau ses mains sur mes fesses mais je sentie cette fois quelles étaient couvertes d’une espèce d’huile ou de crème. Je le sentie me chevaucher et s’installer sur mes jambes. Je pouvais sentir sa peau contre la mienne et cela me fit frissonner. Il entreprit alors un massage très doux. Il massa d’abord mon dos, remontant lentement le long de ma colonne vertébrale et massa mes épaules. Il descendit ensuite sur mes bras jusque sur mes mains. Il était doux, ses mains appuyaient juste comme il fallait entre la caresse et la pression que nécessite un massage. Il est ensuite remonté sur mes épaules pour redescendre à son point de départ sur mes fesses.
Il fit quelques cercles avec ses pouces dessus pour ensuite descendre sur mes jambes qu’il écarta délicatement. Mon sexe était en feu, je soulevais un peu le bassin avec l’espoir qu’il y glisse sa main pour me le saisir mais il n’en fit rien. Il se contenta de descendre le long de mes cuisses en appuyant un peu plus son massage, puis il arriva sur mes mollets et finalement mes pieds.
Ce massage m’avait mis en transe, la moindre de ces caresses me donnait des frissons, j’étais en feu, mon sexe dure comme jamais me faisais presque mal, je le frottais discrètement contre le lit pour me soulager mais je ne devais pas être assez discret car Fabrice me dit d’arrêter immédiatement.Il s’allongea alors sur moi et je pus enfin sentir son sexe bien bandé dans la raie de me fesses quand il me dit à l’oreille :« A toi de travailler un peu maintenant ; il s’assit alors à côté de moi en écartant les jambes et me dit ; montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche »Je me redressais, m’installais à genou entre ses jambes, pris son sexe de la main droite et telle une goulu je gobais son sexe. Celui-ci était presque entièrement dans ma bouche et je commençais alors faire tourner la langue autour de ton gland chaud et dure. Je retrouvais ce même plaisir qu’avec ma transsexuelle, quel bonheur de sentir ce morceau de chair à la fois chaud, doux et dure qui réagis au quart de tour. Je m’appliquais à bien le sucer, le lécher et apparemment cela plu à mon partenaire car je l’entendis alors grogner et sa respiration s’accélérer.
Il plaça alors ses mains sur ma tête pour s’enfoncer plus profondément et entama un mouvement de bassin de plus en plus rapide et fort, il me baisait littéralement la bouche et j’aimais ça, je bandais de plus en plus fort. Pour lui faciliter la tâche, je me suis laissé aller sur le côté comme la position de la cuillère sauf qu’il me baisait la bouche. Il avait sa main gauche derrière ma tête alors que sa main droite était passé sur mon menton afin de bien bloqué ma mâchoire et m’empêcher de me retirer.De mon côté j’étais entièrement passif et essayais de respirer par le nez pour ne pas étouffer et j’essayais de produire un maximum de salive pour faciliter le mouvement de mon amant.Mon dieu que j’aimais ça !Après quelques minutes de ce traitement, j’eu l’impression que son sexe doublait de volume, il se raidit et au même moment, un flot de sperme jailli, inondant ma bouche de sa semence, puis un deuxième et encore un troisième. J’avais le sentiment d’avoir la bouche remplis de son foutre.
Comme il me maintenait la tête avec ses mains et son sexe encore dure bien en place dans la bouche, je compris que si je voulais respirer, j’allais devoir avaler ce que je fis avec délectation.Il se retira finalement et me dit :« Au tout de ton petit cul maintenant ma salope, tu vas voir, ça va être encore meilleur. Allez met toi à quatre pattes ».Je me plaçais comme il me l’avait demandé, pendant que lui se levait et se dirigeait vers la salle de bain.Il revient quelques secondes plus tard, il rebandait déjà bien dure et j’eu alors envie de le reprendre en bouche. Il prit un des préservatifs sur la table et l’enfila rapidement.Il se plaça derrière moi et je sentie alors son sexe bandé buté sur la porte d’entrée de mo anus.« Comme c’est la première fois, je vais être gentil, on va lubrifier un peu tout ça. »C’est alors que je sentie, un liquide froid coulé entre mes fesses puis ses doigts. Il rentra d’abord un doigt et commença à me limer, celui-ci était rentré sans problème et mon cul s’ouvris délicatement pour accueillir cette douce caresse. Il m’en glissa un deuxième et accéléra son mouvement d’aller-retour, tout en les faisant tourner, puis ce fut le tour d’un troisième. Il accompagna ce doigtage en me saisissant le sexe qu’il masturba délicatement. C’était la première fois qu’il me touchait là et j’ai cru éjaculer à ce contact et d’ailleurs il dut le sentir car il cessa immédiatement et serra mes testicules si forts que je gémis à la fois de douleur mais aussi de plaisir car il enfonça au même moment ses doigts bien profonds dans mon cul.Il retira alors ses doigts et me lança :« Prêt ? Je vais te laisser le choix, tu veux que j’y aille doucement ou pas ? »« Doucement au début et après…. »« Après hein !! Ok j’ai compris »Je sentis alors son gland contre ma rosette pousser lentement pour se frayer un chemin en moi. Il poussa avec douceur et lentement, je sentis ma rosette s’ouvrir. Il accompagnait sa pénétration de douces caresses sur mes fesses qui me faisait oublier la douleur de la pénétration. Il était déjà à moitié en moi quand il s’arrêta :« Ça va ? » s’enquit-il de mon état« Oui !! Oui, c’est bon, continue » répondis-je dans un souffleIl reprit alors son avancé dans mon fondement jusqu’à ce que je sente ses cuisses contre les miennes. Il s’arrêta de nouveau afin de laisser mon cul accepter ce corps étranger en lui puis il plaça ses mains sur mes hanches et entama un début de va et viens.
A peine avait-il commencé que je jouissais déjà et me mit à gémir de plaisir. Quel bonheur, quel pied !! J’essayais de resserrer au maximum mon cul pour encore mieux sentir mon amant qui prenait son temps pour me pénétrer mais je voulais plus et dit :« Plus fort ! Plus fort ! »« Plus fort ? Tu veux que je te baise comme la dernière des putes » me lança-t-il « Oui !! Baise-moi ! Défonce-moi ! Ne te retiens pas ! Fais-moi jouir »A peine, avais-je fini ma phrase, qu’il me mit un énorme coup de rein qui me projeta en avant et me fit perdre l’équilibre. Je me retrouvais alors en appuie sur les avant-bras, la tête dans l’oreiller et le cul en l’air en position du chien de fusil.« Tu vas prendre alors, crois-moi » Je le sentis se redresser derrière moi, me pénétra de nouveau mais cette fois sans douceur et démarra le rodéo. Il me défonça alors le cul avec violence mais chaque coups de reins était pour moi un nouvel orgasme, je connaissais comme les femmes l’orgasme multiples, j’étais en nage, en transe et je ne gémissais plus je criais presque mon plaisir. Je voulus tourner la tête pour le voir mais il me là bloqua et m’appuyais de tous son poids sur la tête tout en continuant de me limer. Il était violent, sans scrupule pour moi et mon cul mais c’était bon, j’aimais ça.Après plusieurs minutes de ce traitement, il s’arrêta brusquement.« Met toi sur le dos et relève les jambes, salope » dit il me mettant une grande claque sur les fesses
Ayant compris ce qu’il voulait et voulant le sentir encore en moi le plus vite possible, je me retournais et m’allongeait prestement sur le dos. Je remontais mes jambes sur mon torse et plaisait mes mains derrière mes genoux pour maintenir facilement la position. Il arriva devant moi et me pénétra de nouveau d’un seul coup et sans ménagement ce qui me provoqua un nouvel orgasme.
« Comme ça, je vais pouvoir te regarder jouir pendant que je te baise ma salope »Puis il m’embrassa goulument, en enfonçant sa langue au fond de ma gorge.Ensuite, il s’allongea presque sur moi m’obligeant à remonter encore plus mon bassin pour pouvoir entrer encore plus profond en moi. Il plaça ses mains de chaque côté de ma tête et planta son regard dans le mien. Il ne souriait plus, il était là pour me baiser, pour prendre son plaisir et ça se voyait. Il accéléra son mouvement et je sentais maintenant ses couilles battre la mesure contre mon fessier. Nous étions en sueur tous les deux, une odeur de sexe mâle envahissait la pièce, nous étions comme deux bêtes assoiffées de sexe et de stupre. Il était de plus en plus brutal et me prit les épaules pour accentuer son mouvement de bassin et me pénétrer encore plus profondément.
Après plusieurs minutes de ce traitement, je le sentis ce raidir, il se retira alors et avec une rapidité étonnante il m’enjamba se plaçant à genou par-dessus moi, retira son préservatif et plaça son sexe juste devant mon visage. Il se masturba alors à peine 2 ou 3 mois et m’éjacula sur le visage dans un râle profond. Le premier jet m’arriva pile sur le nez et s’étala sur mon visage, un deuxième m’arriva au niveau des yeux et un troisième sur les lèvres. Il fit un énième coup de bassin pour m’enfoncer son sexe encore bien dur dans la bouche et me dis : »« Tiens nettoie salope ! »Ce que je fis avec un plaisir non dissimulé. Ayant enfin réalisé mon fantasme, me sentant heureux et apaisé, je lâchais alors un profond soupire. Mais mon amant me lança alors :« Attend, ce n’est pas fini… »Il glissa alors le long de mon torse et écarta de nouveau mes jambes. Il saisit alors mon sexe à pleine main et entama une douce masturbation. Complétement amorphe je me laissais aller à cette douce caresse mais il ne me fallut pas longtemps pour sentir mon monter l’éjaculation qu’il sentit venir. Il plongea alors sa tête vers mon entrejambe et goba mon sexe dans son entièreté ce qui me fit immédiatement jouir. Il n’en perdit pas une goutte et je ne pus retenir un bruyant râle pour exprimer ma jouissance.Il se releva alors en me disant :« Tu peux prendre un douche si tu veux mais tu as 15 minutes pour dégager de chez moi. Je te ferais signe si j’ai envie de recommencer mais vu comment ça s’est passé aujourd’hui, je pense que ton petit cul va vite me manquer. »
Sur ce il se retourna et sortie de la chambre. De mon côté, je me levais comme je pus encore un peu vaseux de ce sublime orgasme et me dirigea vers la salle de bain dans laquelle je retrouvais mes vêtements. Je pris une douche rapide, me rhabilla et à peine 15 minutes plus tard, j’étais de nouveau sur le palier, je ne l’ai même pas croisé, il s’était comme évaporé.Je me retournais pour regarder la porte de l’appartement derrière moi pour me persuader que je n’avais pas rêvé et que ce qu’il venait de se passer était bien réel.Je finis par descendre les escaliers et me diriger vers le parking pour reprendre ma voiture quand j’entendis un bruit au-dessus de moi.Je levais les yeux et je le vis il s’était rhabillé et il buvait un café. Il me regarda, leva sa tasse et me sourit en faisant un clin d’œil. Je lui rendis alors son clin d’œil et continua à marcher jusqu’à ma voiture.J’étais bien, détendu et heureux…..Je le fus encore plus quand quelques jours plus tard, un matin, en prenant en partant travailler, je trouvais sur mon pare-brise un petit papier disant :« Dispo ? »« Oh que oui je suis dispo » dis-je pour moi-même en me retournant vers l’immeuble et il était là, à sa fenêtre. Quand il me vit, il me fit signe et je pus lire sur ses lèvres :« Demain ! Même heure ! »…………………………………
