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prise de conscience

Chapitre 4

Inceste
Quand j’eus récupéré mes esprits, je me suis sentie sale, pitoyable, immorale et perverse.À partir de ce moment-là, j’ai compris que les choses auraient vraiment pu mal tourner.Imaginez-vous, si mon fils, voire Jean-Marie m’aient surprise en train de me caresser, en m’adressant à mon fils ?Je devais cesser mon délire, que penseraient mes deux filles de savoir que leur mère prend son pied quand elle pense à leur petit frère ?Mais j’étais aussi une femme, qui avait des besoins, des besoins de faire l’amour, de se sentir désirée, mon mari ne m’apportait plus tout ça !
Alors, début janvier dernier, je me suis acheté un godemiché, je pensais que cela suffirait à mes besoins, calmerait ainsi ce fantasme qui nous lie, Nicolas et moi.Croyez-le ou pas, mais d’avoir un orgasme avec ce truc, la première fois, n’est pas aussi évident que ça.On se moquera de moi, mais les trois premières utilisations furent décevantes..., je n’ai pas joui. J’ai essayé de penser à mon mari, mais rien n’y a fait.Alors, j’ai pris les grands moyens et je me suis donc achetée un PC portable au lieu de toujours naviguer sur celui du salon.
J’ai cherché des pornos (rires), je pense, au passage, d’avoir pris des virus.J’ai dû le faire voir à un informaticien pour qu’il puisse débloquer un cheval de Troie.Bien-sûr, j’ai été maligne, je lui ai dit que c’était mon mari qui avait bloqué le PC.Réparation faite, il me posait un anti-virus et un firewall, ainsi mon PC était protégé.
Pour la cerise sur le gâteau, il m’a dit que mon mari devrait faire attention sur les sites auxquels il se rendait. Je fis semblant d’être surprise.En même temps, cet homme, d’une trentaine d’années, n’arrêtait pas de lorgner mes cuisses.J’avais mis une jupe tailleur noir.J’ai eu un coup de chaud et en faisant style de ne pas avoir remarqué son regard, je croisai les jambes, après avoir, furtivement, écarté les cuisses, lui laissant tout le loisir d’apercevoir la lisière de mes bas Dim up de couleur gris et ma culotte bleue en dentelle.Je suis ensuite rentrée chez moi, laissant ce pauvre garçon dans des scènes imaginées où je pense faire partie du rôle principal. Oui, bien-sûr, ses regards ne m’avaient pas laissée indifférente.Mais, je me disais que je n’avais rien fais de mal..., je ne pense pas être la seule femme à se sentir bien quand elle plaît à un homme, même si ce n’est qu’un regard au passage.J’arrivai chez moi avec un matériel qui, je l’espérais, puisse calmer mes ardeurs.Je l’ai branché dans ma chambre pour être tranquille et je me suis mise à chercher sur le Net.
Je pense que c’est le hasard qui me mena sur une page où il n’y avait que des vidéos, un peu comme sur canal satellite quand on cherche une chaîne.Au départ, je me suis dirigée vers la page french "française", mais ensuite, ma curiosité m’a poussé d’aller jeter u coup d’œil sur la page mother "mère".De voir ces mères faire l’amour m’excitait au plus haut point et bien-sûr, mes pensées rejoignirent Nicolas.J’ai connu mon premier orgasme avec mon gode... !Je savais que ce n’était pas bien, mais curieusement, à chaque fois que je m’imaginais être prise par un homme autre que mon mari, je devenais folle de joie et d’excitation.
Comme si l’interdit m’attirait vers lui, inexorablement. Mon fils, Julien, les ouvriers de mon mari, l’informaticien et même mon gendre (le mari de Claire) me passaient dessus dans mes rêves qui devenaient de plus en plus pervers.
J’avais beau de me dire, après être apaisée, que je me devais de me calmer et de ne plus recommencer, mais deux jours plus tard, voire plus, je recommençais une nouvelle fois de plus. Le seul bon point, c’est que mon fils n’était plus dans mon collimateur. Quand je sentais l’envie revenir, j’allais me soulager sur le Net.À chaque repas de famille, je sentais remonter mes envies, surtout quand je pense à mon fils ou à mon gendre et que j’imagine ce qu’ils penseraient s’ils voyaient mon porte-jarretelles, mes bas, ma culotte...
C’était pareil pour Brice, mon neveu et sans qu’il le sache, lorsqu’il parlait avec moi, j’avais le cœur qui battait la chamade. Ma culotte devait être toute mouillée, il devenait difficile de suivre une conversation.
Peu de temps après, je me suis à chercher, sur le Net, des histoires ou des témoignages qui ressemblaient à mon problème.
Je me suis rappelée qu’il y a 3 mois, j’étais membre .J’ai essayé d’être la plus précise possible, bien-sûr, certains ne croiront pas à tout ce que je viens d’écrire, mais pourtant...Ces choses que l’on croit qui n’arrivent que dans les films ou chez les autres, peuvent, aussi, arriver chez vous.Sachez que lorsque ça arrive vraiment, vous ne savez pas trop comment traiter le sujet.Pour ma part, je ne sais pas comment je vais pouvoir résoudre mon problème, peut-être irai-je voir un psychologue..., mais quel psy peut arranger de telles choses ?
Je reçois beaucoup de courrier suite à ma confession, certains commentaires me mettent en garde contre les risques qu’entraînerait un écart de conduite, d’autres sont plus directs, à la limite de l’obscénité et curieusement, j’en suis excitée, me délectant, par avance, des frivolités que j’entreprendrai ! Toutefois, une mise en garde pleine de discernement m’interpelle :
– Agnès, que dire de plus, hé oui, les risque de divorce existent, mais avec un mari qui te délaisse, que peux-tu attendre d’autre ?– C’est malheureux de le dire, mais il n’y a pas beaucoup d’autres alternatives. Toute liaison extérieure comprend un risque de cassure dans ton couple dont la seule issue sera la séparation !– Il reste, bien-sûr, la possibilité de continuer à ne rien faire, à être une potiche qui profite des avantages actuels, est-ce que cela te suffira, à la longue ?– Ou alors, chercher, dans ton univers familial, ce qu’il te manque, sans que de grosses vagues se fassent ! Ton gendre ? Pourquoi pas, mais il y a un grand risque que ta fille en soit informée et là, la cassure sera encore plus grave. Pour éviter ce genre de désagrément, il faudrait que tu impliques ta fille dans cet échange, ce qui est aussi une possibilité !– Ton neveu ? À mon avis, ce ne serait le choisir que pour remplacer ton fils et ce ne serait que reculer pour mieux sauter, car l’image de ton fils te hantera encore !– Alors, il reste ton fils, qui lui, saura garder sa langue vis-à-vis de son père et ne te créera pas de problème ! Par contre, s’il est déjà timide, tu risques d’en faire un être timoré et le rendre un peu trop dépendant de toi ! La seule solution serait, à ce moment, de le préparer à une vie future, à fonder, à son tour, une famille ! Car à long terme, une mère ne peut pas espérer avoir une liaison durable avec son fils ! Par contre, il peut rester son amant de cœur, sa vie entière, tout en fondant une famille à côté !– Mais, de toute évidence, en donnant ton amour à ton fils, tu lui fais le plus beau des cadeaux !Tout ceci, je le savais déjà, mais je me refusais de regarder la réalité en face. Dorénavant, j’essaie d’être plus objective et de faire abstraction de notre morale judéo-chrétienne. Et surtout, je fais en sorte de profiter du moment présent.
Je reçois un autre commentaire relatif à mes petites culottes et à l’emploi dont mon fils s’en accommode :– Tu dis que tu as pris ton pied en voyant ton fils se masturber sur ta culotte, il faut prendre ça comme un compliment, la plupart des jeunes hommes qui vivent encore avec maman le font, surtout s’ils n’ont pas de copine ou fiancée.– Je te rassure, ton fils n’est pas un cas isolé.– Si ses masturbations te plaisent, tu peux l’aider en mettant des jupes plus courtes ou des décolletés sans soutien, par exemple.– Cela fera mieux travailler son imagination.Quoique pour son imagination, je ne me fais pas trop de soucis, Nicolas semble en avoir à revendre !Par contre, la mienne s’emballe et j’imagine déjà prendre la culotte souillée, l’enfiler et sentir son humidité me coller sur mes parties intimes, puis, avec ostentation, m’exhiber devant mon fils, subjugué par mon audace. Je dois dire que cette idée m’a été soufflée par une correspondante qui avait usé de ce subterfuge pour arriver à ses fins. Plus j’y réfléchis et plus je pense que je vais m’y résoudre. Un peu honteusement, je vous avoue que j’ai déjà accompli la première partie de ce plan et cela me procure, à chaque fois, un orgasme fabuleux..., j’aime sentir ma culotte pleine de viscosités de mon fils adoré !
Suite à un commentaire quelque peu moralisateur, me mettant en garde contre une liaison jugée contre-nature et sur les risques encourus, j’ai le grand plaisir de lire la réplique, qui, évidemment, reflète le fond de ma pensée :– Comme d’autres ne vont jamais sous la pluie, car elle mouille et pourrait avoir, sur leurs jolis ensembles, des effets désastreux, ils ne font rien !– Plaisanterie mise à part, bien-sûr les dommages collatéraux sont considérables, ils existent aussi dans une union entre chrétiens et musulmans, entre deux personnes d’ethnie différente, de couleur différente ou même de même sexe ! Est-ce que cela les empêche d’essayer et d’arriver à vivre ensemble ?– C’est pour cette raison que je conseille toujours, avant de transgresser cet interdit, de bien réfléchir et de parler ensemble pour savoir si le but recherché est partagé par les deux parties et si chacun en est pleinement conscient !
Tout ceci me conforte dans mon idée de ne rien précipiter et de laisser faire le temps.
Certaines confessions, sur ce site, m’émoustillent, car certaines femmes semblent y prendre beaucoup de plaisir. Je vis l’inceste, un peu, par procuration, sans doute, parce que je n’ai pas le courage de franchir le cap...
Mes avances envers lui ne vont pas plus loin que de lui offrir ce qu’il aime voir, c’est à dire, mon entrejambe, mes culottes, mes bas et, quelques fois, mes seins qu’il peut apercevoir, par transparence, dans ma chemise de nuit.Il y a trop d’enjeu si je joue un jeu plus dangereux..., trois enfants, une petite-fille, un mari reconnu dans la région, des parents et beaux parents qui nous aiment.
Je pense que j’aime tout simplement plaire, à tel point que la barrière morale ne m’interdit pas de séduire (seulement séduire) les personnes de ma famille.Je ne peux pas le nier, leurs regards sur mes cuisses me mettent dans des états indescriptibles..., encore plus quand je pense que je suis une femme mariée.Lors de mes besoins solitaires, je me vois souvent tromper mon mari, mes pensées se fondent essentiellement sur le fait que je le trompe.Ma morale de femme veut que je sois un modèle d’épouse qui repousse de tels gestes, mais c’est cet interdit qui m’excite tant.
Ah oui, j’oublie une anecdote, dimanche dernier, nous sommes partis manger, mon mari et moi, chez un des ses amis qui travaille depuis plus de 15 ans avec lui.Nous avons été fort bien accueillis. Comme par habitude, j’avais mis une jupe tailleurs gris, avec des fines rayures noires, une chemise en soie rouge, des escarpins à talons ciré rouge, des bas gris. Pierre, l’ami de mon mari, nous a présenté leurs deux enfants, Thomas, 16 ans et Charline, 8 ans.
J’ai tout de suite remarqué les regards insistants de leurs fils sur mes jambes. Nous nous sommes assis au salon pour l’apéritif, Charline est partie jouer, Thomas s’est assis au côtés de ses parents, en fait, en face de moi....Pendant que mon mari et son père discutaient du travail, moi je serrais les cuisses, de peur que le jeune garçon puisse voir quelque chose à son avantage.Il se mordait les lèvres, je peux être parano, mais je suis sûre de l’avoir vu. Catherine, sa mère, me parlait souvent et j’étais obligée de la regarder.Quel stress..., de pas pouvoir savoir où regardait ce jeune homme sans toupet.L’apéritif allait bon train, Catherine me parlait de sa fille, mon époux et Pierre parlaient boulot, encore et toujours, de boulot.
Ils se sont absentés un moment, Pierre voulait lui montrer une vielle moto qu’il avait achetée, dernièrement.Catherine dut s’absenter pour faire réchauffer le dîner. Je me retrouvée donc, seule face à Thomas, celui-ci, pas gêné, me regardait des pieds au visage, tout en souriant.
« Vous avez un fils qui est majeur ? »
Je n’ai pas répondu sur le coup, sa question m’avait surprise.
« Oui, il s’appelle Nicolas ! »
Je me suis dit qu’il était peut être timide, mais la suite de la conversation allait me prouver le contraire. Thomas m’a tout simplement dit :
« Il a de la chance d’avoir une maman aussi jolie et séduisante que vous ! »
J’ai été très surprise sur le coup, je l’ai remercié en lui disant que c’était très gentil. Sa mère qui a entendu ses dernières paroles et revenu dans le salon avec le plat d’entrée.
« Tom allons... ! »
Avec un sourire, je lui ai répondu que ce n’était rien du tout. Thomas a toujours ce sourire, vous savez, ce genre de sourire qui vous déstabilise.Catherine est repartie dans la cuisine. Il s’est levé pour aller chercher sa sœur, sous ordre de sa mère.Je suis restée pantoise, la bouche bée, lorsque j’ai aperçu la bosse qui déformait son pantalon fin.Mon entrejambe me demandait des caresses. Je me suis forcée de me calmer et me suis donc mise a table. Thomas est revenu à table avec sa sœur..., oui, mon regard s’est automatiquement posé, discrètement, au niveau de son pubis.Mais, la nature de mon désir avait disparu.Catherine mit Charline à côté d’elle et demanda à Thomas de se placer à ma gauche. Les hommes sont revenus et me voilà entre Charline et Thomas, face à mon mari et Pierre.Le dîner est bon, Catherine est un cordon bleu, nous échangeâmes nos façons de faire.
Mais depuis le début du plat principal, j’étais mal à l’aise..., très mal à l’aise. En effet, je sentais la main droite de Thomas me toucher, de temps en temps, ma cuisse gauche. Nous étions, alors, au fromage et j’ai demandé d’aller aux toilettes.Catherine demanda à Thomas de bien vouloir me montrer le chemin. Arrivés devant les escaliers qui mènent au deuxième étage, Thomas me proposa de passer la première, par bonne éducation, en disant : « après vous ! ».Mais, je ne fus pas dupe, en montant les escaliers, je savais que de là où il était placé, il pouvait voir sous ma jupe grise qui m’arrivait a mi-cuisse. Marche après marche, je m’imaginais à sa place et de la vision qu’il devait avoir sous ma jupe.
La lisière grise de mes bas sans dentelle, mes attaches noires de mon porte-jarretelles et, sans doute, ma culotte blanche en dentelle devant et en tulle derrière, c’est à dire, transparente.Mes jambes tremblaient, je languissais d’arriver aux toilettes. Une fois seule, j’ai remonté ma jupe, mis un pied sur le bord de la cuvette et j’ai plongé ma main dans ma culotte, l’autre sur ma bouche, m’obligeant à me taire.Mon bassin donnait des coups en avant, allant à l’encontre de mes doigts. J’étais même surprise de me voir aussi trempée à l’entrejambe. J’ai joui rapidement.Lorsque je suis sortie, je fus très surprise de la présence de Thomas dans le couloir, il m’attendait, sans rien dire, en souriant encore.
« Sale gosse... ! », je me suis dit, sur le coup.
M’avait-il entendu ? Cette question me fit rougir. Nous sommes descendus, tous les deux, pour regagner notre place. Puis, durant le dessert, l’horreur, Thomas posa sa main sur ma cuisse, comme ça, sans rien dire. Pierre me parlait en même temps. J’essayai de bouger ma jambe pour lui faire comprendre d’enlever sa main, mais ce mal-élevé insistait et la laissait, là où elle était.C’est sa sœur, en faisant tomber quelque chose et sa mère qui se levait, qu’il stoppa son geste et se retira. Nous avons fini de manger.
Thomas nous souhaita bonne soirée en serrant la main de mon mari et est venu me faire la bise en rapprochant ses lèvres au plus près des miennes.J’étais scotchée par l’audace de ce jeune homme et secrètement, séduite. J’avais beau me dire que je pouvais être sa mère, rien n’y faisait, mon entrejambe me réclamait des caresses de la fin du repas jusqu’à la maison.
Tout en soliloquant sur les désirs que Thomas avait fait naître en moi, apparut, en filigrane, l’image de Nicolas qui semblait me narguer. Je réalisai que j’étais bel et bien amoureuse de mon fils, certes j’avais envie de plaire, mais surtout, j’avais envie de plaire à Nicolas et tous les hommes qui me troublaient, n’étaient que des figures de substitution, c’était de mon fils que j’avais envie ! Qu’étais-je devenue ?
Je reste prostrée des journées entières, hébétée, ne sachant plus que faire, partagée entre la honte et un désir de luxure. Même mon mari et mon fils commencent à se poser des questions, ils s’inquiètent de mon état et essaient, par tous les moyens de me changer les idées ! Évidemment, je n’ai pas avoué à mon mari, la raison exacte qui me rend taciturne !
Dernièrement, je reçois un message qui me fait prendre conscience d’une réalité que je n’ai plus envie d’esquiver :– Je comprends tout à fait ton point de vue, tu as, d’un côté, envie de plaire, de tromper ton mari, de braver des interdits ou de transgresser un tabou et de l’autre côté, tu penses être une femme morale, exemplaire, tout à fait la parfaite épouse. Tu es comme la plupart des femmes, confrontée à cette dualité de désirs !– Pourquoi certaines franchissent le cap et d’autres, non ? Peut-être à cause de l’occasion ou simplement, à cause de l’Amour ? Toi seule, peux t’apporter la réponse, si tu veux en parler plus intimement, je suis à ton écoute par MP !
Cette fois, je suis décidée, je vais accepter ce que Nicolas me demandera et s’il le faut, je ferai en sorte qu’il ait envie de me le demander, quitte à discuter en privé avec mon dernier correspondant !

bientôt la suite :
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