Je suis blonde aux yeux bleus, 1m 68, 70kg ; j ai des hanches bien dessinées et des mamelles biens lourdes : du 95D. Cet après-midi, j’ai envie de me faire téter mes grosses mamelles... Je décide de m’habiller en salope (jupe courte, culotte blanche, débardeur décolleté et soutif, chaussures à talons), puis vais dans un petit cinéma de quartier... En faisant la queue pour prendre un ticket, je remarque deux hommes derrière moi qui me reluquent... Bingo ! Je leur souris et vais m installer dans la salle, au fond. Les deux hommes viennent s’installer de chaque côté de moi. Le film commence ; la salle est plongée dans le noir... Je commence à me caresser la poitrine, faisant pointer mes deux gros tétons. Je sens les hommes plus intéressés par moi que par le film ; un des deux commence à me caresser un sein par-dessus mon débardeur. Je respire fort ; mes seins montent et descendent au rythme de ma respiration... Je sors une mamelle de mon débardeur et susurre à mon peloteur : « Vas-y ; suce mon téton. Aspire-le bien... » L’homme ne se fait pas prier : il prend en bouche mon sein et l’aspire au maximum. Humm, c’est délicieux ! Il suce et lèche comme un fou. Mon autre voisin, très excité par la scène, se caresse d’une main et commence à caresser mon autre mamelle ; je la sors de mon débardeur et lui dis : « Vas-y : fais-toi plaisir ; tète-moi bien, lèche-moi, aspire... » Pendant que je me fais téter par les deux inconnus, ils ont sorti leur queue et je les branle ; ils sont très durs : leurs queues commencent à être baveuses. Me faire téter ainsi par deux hommes, c’est vraiment divin ! Après m’être faite téter pendant quarante-cinq minutes, je décide d’en rester là ; mon idée est d’aller aux toilettes, puis de quitter le cinéma sans leur dire au-revoir. Je prétexte donc une envie d’uriner (qui est réelle) pour les abandonner sur leur siège. Je me rends aux WC, entre dans une cabine et commence à uriner lorsqu’on force ma porte ; les deux hommes rentrent dans ma cabine, et referment derrière eux. « Alors, salope, on veut se faire peloter sans rendre la monnaie de sa pièce… Tu crois qu’on va t’attendre tranquillement ? Maintenant que tes mamelles sont bien excitées, tu vas t’occuper de nos queues ! » Ils me forcent à m’asseoir sur la cuvette des toilettes ; ils sortent mes mamelles de mon débardeur, relèvent ma jupe jusqu’à la taille et sortent leurs queues bien bandées. Ils me giflent avec, puis, me prenant par les cheveux, ils m’obligent à lécher leur glands, leurs couilles, et me font sucer leur queue à tour de rôle tout en maltraitant mes mamelles en me donnant des coups de bite et en me pinçant les tétons... Je leur dis que je dois faire pipi. Ils rigolent : « Bah, vas-y, espèce de trou à bites : pisse-toi dessus comme une chienne ! » N’en pouvant plus, je pisse dans ma culotte, devant eux qui ricanent ; je suis humiliée… Ils frottent leurs queues baveuses sur moi pendant que je pisse ; soudain, un des hommes commence à me pisser dessus : sur les seins, pendant que l’autre me maîtrise tout en m’enfonçant sa queue dans la bouche. Puis ils me prennent, me retournent, et enlèvent ma culotte pleine de pisse pour me la mettre dans la bouche ! Ma tête est juste au-dessus de la cuvette pendant qu’ils me prennent par derrière à tour de rôle ; ils finissent par m’éjaculer dessus, et m’abandonnent, souillée, dans les WC, tout heureux de leur séance de ciné…
