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Prisonniers des émeutiers

Chapitre 2

Trash
Mon épouse et moi nous étions donc complètement à la merci de ces émeutiers, et je ne voyais pas ce qui pourrait nous sauver. Je fus reconduit et ma cage et laissé à croupir là-bas pendant un temps infini. Je n’avais aucune nouvelles de l’extérieur, de temps en temps, quelqu’un pensait à moi et venait m’arroser avec un tutyau d’arrosage et parfois me donner un peu de bouillie de manioc ou des os à ronger comme un chien. Plusieurs fois, on m’avait emmené dans la salle de baise. Il était évident qu’on ne me gardait en vie que pour m’humilier devant les soudards et devant ma femme. La seconde fois où on me ramena en présence de ma femme, elle se trouvait sur la table, et le chef finissait de la baiser, il la tira en bas de la table, et elle tomba à genoux, le chef fit un signe et deux soldats s’emparèrent d’elles. Ainsi, il l’offrait également à ses hommes ! Elle fut mise à quatre pattes également un d’entre eux la pris en levrette, tandis que l’autre lui fourrait son sexe dans la bouche. Je me rendis compte qu’elle semblait droguée. Elle ne pleurait plus, ni ne se débattait. Mais s’activait à docilement à sucer le sexe de son violeur, tout en remuant les hanches pour aller au devant de celui qui la pilonnait. Le chef me cria « see ! wife become good bitch » ! Un des soldats ajouta dans un éclat de rire en me montrant du doigt “ and him good dog ! ». Tous rirent aux éclats. Il était vrai qu’à force de rester dans cette cage, je ne savais plus me mettre debout, que je buvais et mangeais à quatre pattes dans une gamelle de chien, et que ma petite queue était visible de tous et ne manquait jamais de les amuser quand elle se redressait à la vue de ma femme se faisant sauter. La troisième fois que je fus convié au spectacle, Laurence était dans sa tenue la plus sexy, avec porte-jarretelles et hauts-talons, bas et gants noirs, maquillée comme une pute à marins. Elle avait l’air complètement défoncée. Elle rit en me voyant arriver à quatre pattes. Elle se dirigea vers le chef et lui susurra d’un air langoureux, « Biko, saute-moi ». Il sourit d’un air mauvais et lui fit un signe de la tête, elle se mit à genoux et plus sexy que jamais, lui fit une fellation de première. « You, dog », me fit le chef dans un rictus. Il se retourna ensuite et tendis ses fesse à Laurence. A ma plus grande stupeur, il écarta les fesses et se pencha en avant. Ma femme se mit à lécher son anus. Mon épouse, une des femmes les plus chics de la colonie européenne, était en train de lécher le trou du cul d’un nègre. Il la repoussa et vint vers moi, se retourna et me tendit également son postérieur. « you do, dog ». Le refusai bien sûr, mais il m’envoya une gifle de dieu le père. Je refusai malgré tout et cherchai à me relever, mais deux malabars me plaquèrent par terre. Ma femme fut amenée au chef et courbée sur la table. Il la reprit par-derrière. Les deux sbires me trainèrent derrière lui et me brulèrent avec leur cigarette. Je poussai un cri de douleur. Ma tête était poussée contre les fesses noires du chef. Vaincu, je sortis la langue et lui léchai les fesses, mais il grogna, mécontent, et dit « inside the hole ». Cela ne lui suffisait donc pas, et je dus pointer le bout de ma langue jusque sur sa rondelle, et pousser encore afin de la faire entrer un peu dans son anus. L’odeur était âcre. J’étouffais à moitié car il besognait ma femme et ses fesse bougeaient violemment, je tachai de me maintenir en équilibre et mes mais saisirent les mollets de ma femme. Je sentais la douceur du nylon de ses bas, et je perçus qu’elle était maintenant en train de jouir tandis que la grosse queue de notre maître la pistonnait. Elle poussait maintenant des cris comme elle ne l’avait jamais fait avec moi. Je ne pouvais que constater que j’étais terriblement excité au toucher des jambes gainées de nylon, à la proximité du gros sexe du noir, j’en arrivais à souhaiter qu’il la fasse exploser de jouissance et me sentais complètement soumis, c’est pourquoi je n’opposai aucune résistance lorsqu’il se retourna et m’enfourna son sexe dans la bouche. Celui-ci dégoulinait de la cyprine de mon épouse. Il me pénétrait le gosier jusqu’à la gorge, et je n’essayais pas de résister comme un homme. Au contraire, le fait de penser que cette grosse queue venait de faire jouir ma femme me rendait fou, et c’est servilement que ma bouche et ma langue s’activaient pour pouser mon maître à la jouissance. Celle-ci ne tarda point et je sentis un jet chaud se répandre dans ma bouche. J’ai honte à l’avouer, mais je gardai son sperme en bouche et le savourai de la langue avant de l’avaler par petites gorgées. Plus personne ne riait. Je crois que mes geôliers eux-mêmes étaient consternés de voir avec quelle bassesse je m’étais laissé dominer. Ma femme, apparemment excitée par ce qu’elle avait vu, s’était jetée au cou de son amant et l’embrassait goulument tout en caressant son énorme pénis, qui ne donnait même pas des signes de faiblesse. Vaincu et humilié, je fus attaché avec la laisse et le collier du chien et traîné dans ma cage, toujours à quatre pattes.

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