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Le prix d'un gobelin

Chapitre 1

Erotique
Longues sont les routes à patrouiller dans ces contrées sauvages, et c’était fréquent qu’elles étaient parcourues d’êtres aux mauvaises intentions. Mais c’est ce qui permet à Lénora de pouvoir toucher sa paye. Fière caporale de l’avant poste de la région, c’est sans doute une des meilleures soldates de cette garnison, zélée et expérimentée. Nul ne peut semer la terreur bien longtemps quand elle était dans les parages. Les trois soldats qui l’accompagnent par contre, c’était une autre paire de manche.
“C’est quand qu’on rentre, caporale ?” Sa voix était désagréable, paresseuse et grasse. Ce n’était pas vraiment une surprise, la campagne était l’endroit rêvé des personnes qui ne voulaient pas une vie compliqué. Hélas, ça tapait souvent sur les nerfs de Lénora, qui se contenta de le rappeler à l’ordre. Il y avait un bout de chemin à faire qui passait par les gorges de Nielva. Malgré la lugubrité de l’endroit, c’était normalement calme à part quelques harpies qui passaient parfois pour dévorer les animaux exposés sur la roche nue. C’est accompagné de ses fidèles compagnons qui se plaignaient d’avoir mal aux pieds qu’elle se dirigea vers l’endroit, tout de même en alerte comme à son habitude.
Deux grandes falaises les surplombaient, inaccessibles. L’endroit idéal pour une embuscade d’archers, mais Lénora savait qu’il n’y en avait pas ici. Jamais eu, après plusieurs années à tourner en rond ici. Secrètement, elle aimait le faire : l’étroitesse de l’endroit permettait à quatre soldats de pouvoir affronter le double d’adversaire. Elle s’y sentait plus en sécurité que les routes forestières où chaque buisson pouvait cacher un gobelin. Ces petites créatures verdâtres n’étaient pas la pire menace de la région avec leur petite taille et leur intelligence limitée, mais ils étaient vicieux et imprévisibles. Hélas, cette région abritait plusieurs de ces tribus et les attaques étaient fréquentes. Mais l’expérience de quatre hommes armés arrivait toujours à repousser les assauts des fous qui tentaient de les avoir.
Elle était moins confiante cette fois. Elle avait l’impression d’être tombée sur de vrais boulets, capables de se planter une épée dans le pied avec un coup horizontal. Parce qu’elle était stricte et douée, elle a dû les avoir à sa charge par ordre du sergent. Il espère qu’elle pourra les éduquer, mais la caporale envisageait surtout les assigner à l’entretien des armes pour une durée indéfinie.
De plus, étant une des seules femmes dans cette garnison, attirante en plus, elle recevait parfois des remarques sous entendues ou des regards appuyés de leur part. Sa rigidité représentait de surcroît un défi pour ces mâles en chaleur qui voulaient se retrouver entre ses cuisses pour la besogner. Mais même si parfois un papillon volait dans son ventre, elle se refusait de leur donner le moindre charme par sens du devoir. Elle n’était pas prude, loin de là. Elle aimait le plaisir de la chair et s’était déjà donnée à plusieurs hommes qui ont remué leur membre dans son ventre accueillant, laissant leurs mains caresser le long de son corps athlétique. Mais le respect était durement acquis ici, et elle tenait à le préserver. Seuls quelques chanceux ont pu l’avoir dans son lit.
Un bruit proche mais discret se fit entendre, la sortant de ses rêveries. Levant son poing pour ordonner la halte, ils restèrent immobile à l’affût d’une confirmation de l’origine et la direction de cet étrange son. Cela avait ressemblé à un mouvement, ou un soupir. Imposslble d’en être sûr, il fallait confirmation. Sa main droite était déjà sur son épée, l’autre serrée sur son bouclier. Les lances des soldats étaient baissées et elle sentait bien leur tension monter tout à coup. Elle reniflait leur peur.
Son propre coeur battait, une goutte de sueur perlant sur son front. Peu importe le nombre de batailles où elle s’engageait, c’était toujours la même chose : tout son corps tendu, prête à réagir à l’instinct. Une fois au combat, elle devenait méthodique, mais l’anticipation la transformait en boule de nerf sur un ressort.
Sa méfiance payait. Conscient de l’échec de l’embuscade, des ombres sont sortis des coins les cachant. Un cri de guerre à gorge déployée, aïgu et désagréable, se fit entendre. Aucun doute, ce sont des gobelins. Hauts de 1m30 en moyenne, le corps musclé mais fin, habillés de peaux, courbés comme des sauvages et armés de massues sommaires, c’était des petites saloperies qui ne sont bonnes qu’à décorer des piques. Six se présentaient devant les soldats, s’affrontant du regard dans l’ombre de la gorge. C’était une bataille gagnée d’avance malgré la différence de nombre, l’équipement et la coordination en leur faveur.
Mais Lénora avait oublié une variable. Les soldats qui se trouvaient derrière elle étaient des bleus, des inexpérimentés qui ont intégré l’armée pour toucher une paye stable en ayant rien à faire. Ils n’avaient pas l’âme assez solide pour confronter une situation qui leur paraissait désespérée. Ils faisaient bien le brave devant un gobelin esseulé et désarmé, mais face à une supériorité numérique d’êtres assoiffés de sang, toute cette bravoure disparaissait. “Retraite !” criait un soldat alors qu’il se mettait à courir dans le sens inverse, bientôt suivi des deux autres, laissant la caporale seule et furieuse contre eux, ordonnant vainement de revenir.
Mais ce ne fut qu’une perte de temps, alors qu’elle restait immobile et en garde contre les gobelins. L’avantage fut réduit à néant et la fuite impossible quand l’ennemi s’est mis à charger sur elle. Même des idiots comme eux savaient que c’était l’occasion où jamais. “Capturez-là !” criait l’un d’eux. Le sort qui lui était réservé, esclave, n’était pas très enviable s’ils y arrivaient. Alors que le premier était à portée, un rapide coup circulaire d’épée trancha son crâne presque en deux. Mais lorsqu’il chuta, mort, l’épée de Lénora encore enfoncée dans la chair lui échappa des mains. Sans réfléchir, elle porta un coup de bouclier au second arrivé, lui faisant sauter une dent cariée, mais c’est tout ce qu’elle put parvenir à faire avant que les quatre derniers se jetaient sur elle. Submergée, elle tomba immédiatement à la renverse, essayant de se débattre.
La bataille au sol fut féroce, elle sentait les mains gobelines essayer de la maîtriser, se glissant tout le long de son corps tenter de prendre prise. Leurs doigts creusaient sa peau à chaque prise tentée, la faisant frissonner. Sa cuirasse de fer fût arrachée rapidement, protégée maintenant que par des vêtements qui se prenaient dans leurs griffes, se déchirant petits à petits. Posant ses pattes sur sa poitrine, l’un de ses agresseurs la poussa au sol en l’obligeant d’y rester Deux autres sautèrent sur ses cuisses tandis que celui sur son ventre lui retenait les bras, tirant sa langue de manière provocatrice vers son visage, glissant ses hanches sur ses seins. Plaquée ainsi, ses membres immobilisé, elle se remuait jusqu’à l’épuisement en essayant de s’enfuir, hurlant de tous ses poumons. Mais c’était inutile. Le gobelin avec la dent en moins se releva avec difficulté, encore sonné, constata le cadavre de son camarade, puis Lénora immobilisée au sol.
“Toi devoir payer ! Nous amener !” Sur ses mots, celui qui n’était pas occupé à la maintenir en place sortit une corde de sa ceinture et commença à ligoter ses poignets avec l’aide des autres. Cette corde fut passée de ceinture en ceinture, empêchant toute fuite sans devoir traîner toute la clique derrière soi. Lénora ne se sentait pas capable de cette prouesse, elle préférait donc se laisser faire, attendant l’opportunité qui viendrait d’ici peu. Habillée que de lambeaux, sentant le vent sur sa peau, elle marcha avec les gobelins qui étaient de joyeuse humeur. Elle sentait leurs mains caresser la peau de ses cuisses et leurs regards affamés la déshabiller mais elle essaya au mieux de les ignorer, essayant de ne pas leur donner de mauvaises idées.
Ses espoirs s’amenuisaient lorsqu’ils arrivaient à l’entrée d’une ruine de petit village, les torches allumées et d’autres gobelins faisant la vigile. La tribu semblait petite, une quinzaine de têtes tout au plus. Le prix qu’ils pouvaient tirer d’elle allait sans doute bien faire fleurir leur puissance. Elle fut traînée dans une maison qui semblait avoir été retapée sommairement. A l’intérieur se trouvait un gobelin assis sur une chaise qui semblait lui servir de trône. Plus grand que les autres avec une taille de 1m40 environ, il était aussi légèrement plus trapu. Pour un humain, ça restait quelqu’un de petit, frêle et moche. Mise à genoux devant lui, elle le fixait furieusement du regard tandis qu’un de ses chasseurs s’approcha de lui et lui murmura des phrases à voix basse. Après quelques hochements de tête plus tard, il leva la main, congédiant tout le monde. Il ne restait bientôt plus que lui et Lénore.

“Laissez-moi partir”. Sa voix était impérieuse, autoritaire. Mais il y avait peu de chance de faire plier ce chef gobelin. Se levant, ce dernier se dirigeait vers elle avec sa démarche de sauvage, ricanant désagréablement. “Je demande à savoir ce que vous voulez faire de moi” disait-elle furieusement. Sans mot, le grand gobelin baissa sa main et enleva sa ceinture de tissu, faisant tomber son pagne. Lénora essaya de détourner les yeux, mais ne pût s’empêcher de jeter un regard à cette épaisse queue verte qui pendant à même pas 30cm de son visage. Elle était parcourue de grosses veines, assez large, avec de grosses testicules tombant en dessous, remplies.
Elle avait entendu parler des histoires de monstres bien membrés, mais elle avait toujours imaginé que c’était des histoires à faire fantasmer les femmes. Maintenant qu’elle voyait la taille de ce mâle gobelin, elle sentait son coeur battre dans sa poitrine. La main du chef s’enrobait autour de cette lance de chair, commençant à se masturber lentement devant ses yeux captivés. Le remarquant, il grogna dans un langage primaire “Toi aimer ?”
“Non”, Lénora mentait. Elle sentait son corps réagir à cette vue malgré elle. Son entrejambe s’humidifiait, laissant sa curiosité malsaine s’emparer d’elle. Son esprit imaginait malgré elle ce que ça donnerait s’il prenait avec ça, la besognant bien sauvagement. “Toi aimer”. C’était une affirmation cette fois. La caporale déstabilisée secoua la tête silencieusement, tandis qu’il continuait à se masturber devant elle. Son gland pointait droit vers elle, menaçant et étrangement excitant. “Laisse moi partir…” soupira t-elle, luttant contre elle-même.
“Laisser toi partir”. Elle releva sa tête vers son visage alors, choquée par ce qu’elle vient d’entendre. “Alors fais-le !” ordonna t-elle, le défiant. Ils échangèrent un moment un regard avant qu’il ne donne sa réponse d’un ton plein de reproche : “Toi avoir tué gobelin”. Lénore renifla, et alors ? Elle allait peut être se laisser tuer sans rien faire ? Elle attendait la suite de son jugement, la chaleur du membre vert se faisant sentir sous son menton.
“Toi faire gobelin, puis libre”. Un moment de silence où la femme le regardait sans comprendre. Puis un frisson glacé lui parcourait l’échine alors que la réalisation la frappait. Le chef se baissa alors, la saisissant par les épaules pour l’allonger au sol, puis tenta de lui écarter les cuisses. Les yeux de Lénora étaient fixés sur le membre dressé, sa main la tenant toujours fière. Se glissant entre elle, il arracha ce qui restait de haillons, la dénudant. Le corps vert s’allongea sur elle jusqu’à sa poitrine, elle sentait l’extrémité du gourdin de chair commencer à se caresser contre ses lèvres intimes, humides et ouvertes. La femme essaya faiblement de resserrer ses cuisses, luttant contre le plaisir et le désir qui montaient en elle. “Arrêtez…” supplia t-elle sans vraiment de conviction, essayant d’empêcher qu’il l’ensemence, qu’il l’engrosse.
Les mains encore ligotés, elle subissait les caresses sexuelles du chef qui prenait son temps. Elle sentait ses petites mains caresser ses flancs et ses cuisses, sa langue lui lécher le creux du ventre. Il dansait contre elle, frottant sa virilité contre sa féminité, le gland se frayant un chemin dans les replis de ses lèvres, sans chercher à entrer. Elle se retrouvait à mouiller de plus en plus malgré sa raison qui luttait, de plus en plus difficilement. Une part en elle lui disait de se laisser faire, de se faire prendre bien sauvagement et d’embrasser l’union contre nature avec la bête.
Sentir le sexe bien veineux appuyer contre son clitoris, glissant dessus, ne l’aida pas à voir clair. Elle sentait le stupre monter en elle. Mordant sa langue, elle résistait à l’envie de lui demander de la prendre sauvagement. Sa dignité lui interdisait de sombrer jusque là, de se livrer, fertile, à ce gobelin qui voulait faire d’elle la mère de ses ennemis. Elle se refusait de céder à la débauche qui était offert à elle, mais c’était si dur de garder son intégrité alors que tout son corps réclamait d’être comblé. Les bourses de la créature se frottaient contre ses fesses, rappelant sans cesse à Lénore le sperme fertile s’y trouvant.
C’est alors qu’elle le sentit, son sexe entra en elle très lentement. Son gland glissa d’abord, le prochain coup de hanche langoureux l’amena encore plus loin ensuite. Les doutes de Lénore s’effacèrent au profit du désir qui habitait désormais son corps de femme en chaleur. L’entièreté de son vagin était humide de mouille pour l’aider à la réclamer et la posséder. Il ne suffit que de quelques coups pour qu’elle le sente au fond, s’ajustant aux sensations de plaisir qu’elle ressentait. Ses coups lents gagnèrent en intensité, en rapidité. Le gobelin se mettait à laisser l’instinct l’habiter. Après avoir tenté sa femelle, il était temps de la conquérir. Ses testicules commençaient à claquer contre ses fesses, dans un bruit humide.
Le corps de la femme pétillait de plaisir, sentant le membre glisser fougueusement en elle. Elle ne remarqua pas le couteau tiré du fourreau que gardait le chef. Il le glissa derrière elle et coupa la corde, la libérant alors de ses entraves. Elle tenta vivement de le repousser, posant ses mains sur son torse, mais ses coups continus de hanche, battant contre ses cuisses rendaient sa tentative vaine. Sans réfléchir, elle glissa alors ses doigts sur les fesses du gobelin, les agrippant et les tirant à elle. Avec son encouragement, le gros membre plongea encore plus profondément en elle, remplissant le fond de son ventre, électrisant tout son être.
Elle resta allongé là, le laissant la baiser comme personne ne l’a jamais fait, l’encourageant avec des petits cris et des gémissements. Avec un coup bien brusque, elle le sentait contre l’entrée de son utérus. La peur qui habitait son esprit se remplaçait par l’anticipation, celui de le sentir jouir en elle, la remplir et la souiller, peu importe les conséquences. Elle n’avait jamais pensé que ce gobelin était bien meilleur amant que tout homme qu’elle avait croisé.
“Toi aimer ?” elle l’entendit dire, entre deux souffles rauques. “Oui”, répondit-elle sans réfléchir. Elle lui accorda la victoire sur elle, sa domination sur son corps, et son droit de la posséder. Et elle aimait se sentir ainsi, à la merci de ce chef gobelin qui voulait la mettre enceinte pour le bien de son peuple. C’était son rôle de femelle. Elle sentait sa langue continuer d’embrasser les parcelles de sa peau sensible alors qu’elle sentait un premier orgasme la prendre.
Elle leva sa tête pour regarder le sexe qui la pilonnait, sortir et rentrer en elle sans fin. C’était hypnotisant de la voir glisser ainsi, son vagin ouvert à lui. Elle était consciente qu’il allait bientôt jouir, qu’il était encore temps pour tout arrêter. Mais elle ne le fit pas. Lénore se reposa sur le dos, ferma ses yeux sous l’emprise total du plaisir et laissa la bête parvenir à ses fins, embrassant avec envie son sort.
Elle sentit le membre gonfler, palpiter, signalant son orgasme, plongeant tout au fond d’elle, signifiant le point de non retour. Et Lénore appuya de toutes ses forces sur ses fesses pour le faire rentrer au plus profond. Son corps tremblait de plaisir alors qu’un second orgasme la saisissait, le contenu de ses testicules se vidant en elle. Elle sentait les jets de sperme noyer son ventre, son vagin aspirant jusqu’à la dernière goutte. Il y en avait beaucoup, une certaine quantité coulant hors d’elle, mais elle s’en fichait, elle ne voulait qu’être remplie de sperme. Qu’elle soit marquée.
Quand il se détacha ensuite de Lénora, il la souleva et récupéra la corde. Encore engourdie par l’orgasme, la femme remplie ne réalisa pas tout de suite ce qu’il se passait. Le chef gobelin l’attacha ensuite au mur, poignets enlacés de nouveau.
“Qu’est ce que tu fais ? Tu devais me laisser partir !” demanda t-elle agressivement, Il répondit avec un sourire provocateur, pointant du doigt le bas de mon ventre où un épais filet de sperme coulait onctueusement. “Toi faire gobelin d’abord, moi retenter jusqu’à certain”.
Lénore sentait l’excitation la gagner de nouveau, alors qu’elle devrait ressentir peur et colère. Elle avait déjà hâte de recommencer.
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