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Ma prof d'allemand (1)

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je vais essayer de vous faire un récit des fantasmes que me donnait une de mes profs d’allemand à la fac. Elle dégageait une petite autorité, une personne orgueilleuse, un peu carrée, mais aussi classe, un peu fragile, mûre, mais pas trop. Étant jeune, ce devait être une belle femme. Habillée de façon toujours très classe, souvent portant des bottes, je lui aurais bien mis un fouet dans les mains. Mais je lui répondais parfois. Et il m’est arrivé, en cours, de me perdre dans mes pensées, et de nous plonger dans un décor totalement différent.Nous arrivons chez elle, je la précède, elle est derrière moi. Vêtue de cuir, un chapeau en cuir, style militaire, de belles et longues bottes en cuir, des bas gainent ses jambes jusqu’à l’orée de sa jupe noire, un peu moulante, mais pas trop. Elle n’a pas encore prononcé un mot, que je me sens bizarre, moins en confiance qu’en salle de classe où, devant tout le monde, il est plus facile d’être un peu insolent. Là, je suis seul avec elle, sur son territoire, et j’ai le sentiment que je ne m’avance pas en terrain conquis.— Alors, comme ça, miel gay (je vais utiliser mon pseudo pour des raisons d’anonymat), vous vous permettez de me répondre en cours ? demanda-t-elle— Eh bien, non, Madame, c’est-à-dire que ...— Retourne-toi!Je me tais, et me retourne. Elle me fixe dans les yeux, un regard noir, furieux, je me sens désarmé, j’ouvre la bouche pour bredouiller quelque chose, mais je finis par baisser les yeux.— Eh bien, quoi? Tu fais moins le malin tout à coup, dit-elle en rigolant. Avant de poursuivre :— Maintenant, tu vas avoir droit à un cours particulier, où tu ne parleras que quand je t’en donnerai la possibilité. Est-ce bien clair ?-Oui, Madame, dis-je en bafouillant un peu.— Bien, je vais dans la chambre, je reviens. Pendant ce temps-là, déshabille-toi, et pose tes vêtements ici, dit-elle en pointant une chaise du salon. Quand tu auras fini, mets-toi à genoux devant le canapé, face à la télé. Et attends mon retour. OK ?-Oui, Madame...Elle part et, sans réfléchir du tout, j’obéis prestement, je me déshabille rapidement, je pose mes vêtements, et je m’installe à genoux. J’ai peur de son retour, surtout que, sans comprendre pourquoi, cette situation m’excite, je bande à mort, et j’ai peur que ça lui déplaise. Je l’attends en essayant de penser à autre chose pour débander, mais je ne peux pas, il y a trop de tension, je me demande ce qui va m’arriver, ce qu’elle va faire. Je me sens prisonnier. Et puis, j’entends une porte s’ouvrir, j’entends des bruits de pas... Je n’ose pas lever la tête, je la sens s’approcher, puis s’asseoir sur le canapé. Elle pose des objets sur le canapé... Je suis mort de curiosité, mais je n’ose pas bouger. Puis, elle s’installe derrière moi.— Debout, morveux !J’obéis et me lève aussitôt, en tremblant un peu.— Mets tes mains dans le dos vers moi !Je m’exécute. Elle saisit mon poignet gauche et me menotte, elle m’attache les deux mains. Là, c’est clair, je suis son prisonnier.— Remets-toi à genoux !Une fois à genou, cette fois-ci, c’est mon collier qui a ses faveurs. Elle fait passer un collier qu’elle ferme avec un petit cadenas.— Vois-tu, petit morveux, ceci est le symbole de ton appartenance à moi. Quand tu le porteras, en général en ma présence, mais pas forcément devant ma seule présence. Eh bien, tu ne seras plus rien, tu seras ma chose, tu ne parles que quand je te le demande, tu ne m’appelles plus Madame, mais Maîtresse, ose me tutoyer, et tu verras quel châtiment t’attends ! Tu as voulu jouer à l’insolent et me manquer de respect... Tu vas me vénérer, et te prosterner devant moi, mon petit chien. Est-ce bien clair ? Mais je vais te laisser une chance, et une seule, de repartir maintenant, et de faire comme si rien ne s’était passé. Cela restera comme un avertissement. Ou alors, tu reconnais toi-même que tu as été un vilain garçon, et que tu veux te livrer à moi tout entier. Que décides-tu, CHIEN ?Spontanément, j’ai répondu, en bafouillant un peu :— Je reste, Maîtresse, je ne veux pas m’arrêter là... je ne vous manquerai plus de respect.— Bien. Mes bottes sont un peu sales, à genoux, CHIEN et nettoie avec ta langue, je veux qu’elles brillent.A suivre...
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