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Le prof et son élève

Chapitre 1

Hétéro
Je vais vous raconter, comment j’ai découvert mon corps avec mon professeur d’histoire-géographie.À l’école, j’avais toujours été une moyenne. Je n’étais pas bête, mais plutôt feignante. Quand j’y mettais du mien, je pouvais réussir, c’est ce qui arriva en troisième. Ce jour-là, on devait avoir notre premier cours avec un professeur dont le nom m’était inconnu : Monsieur Biélot.Il était impressionnant et avait l’air autoritaire, mais après deux heures, j’étais tombé sous le charme de ses cours... et de lui. Jamais je ne m’étais sentie autant intéressée par un cours, et il félicitait toutes mes interventions. Au fur et à mesure des cours et de l’année, je devenais la meilleure, la « locomotive » de notre classe comme il l’affirmait, encouragent même mes camarades à s’appuyer sur mes devoirs et à me demander conseil. Mais en parallèle de cette réussite scolaire qui se propageait à l’ensemble des matières, une relation particulière se créait entre Jérôme et moi. Il n’était jamais inconvenant avec moi, je vous rassure, nous parlions de littérature, de musique, de politiques et de tant d’autre chose, pendant de longues minutes à l’issue de nos cours. Il n’était pas dupe et connaissait mon attirance pour lui, il était flatté et me considérait pour mon esprit. On rigolait ensemble,je trouvais ça cool et valorisant. Je me souviens avoir été sa première élève dans ses amis Facebook, à l’époque, je me sentais comme la Reine du pétrole. Finalement, l’année scolaire a suivi son cours, j’ai fini par avoir mon brevet avec mention et ma dérogation pour le lycée dont je rêvais fut acceptée.À la rentrée, j’imaginais que le contact allait se rompre, après tout nous avions chacun nos occupations. Mais bien au contraire, régulièrement il prenait de mes nouvelles, me proposant de venir le voir ou bien de m’aider dans mes cours. Le tutoiement est peu à peu devenu de rigueur et nos conversations moins centrées sur ma scolarité. Lorsqu’on se rencontrait dans la rue ou bien que j’allais lui rendre visite au collège, je voyais que son regard avait changé, ses yeux étant moins concentrés sur les miens.Quand je le voyais, je souhaitais qu’il agisse différemment, mais rien ne changeait. On se voyait toujours uniquement au collège et il préservait le mètre de distance entre nous. Tout à changer alors que j’étais en première Littéraire. Pour le lycée, j’avais un devoir à faire sur le métier que je souhaitais faire, je m’étais automatiquement tourné vers lui pour lui poser certaines questions. De lui-même, il me proposa de venir observer ses différentes classes pendant une journée.Cette journée se révélait être très enrichissante, en effet, le rôle d’observateur, me permettait d’apprendre énormément sur le rôle d’un professeur et sur le fonctionnement d’une classe. Mais cela me permettait surtout d’avoir de nombreux regards et sourires de mon professeur adoré. Après cela, nous restâmes dans sa classe afin de parler de mon expérience. J’étais assise sur le bureau d’un élève, pendant que, lui, face à moi, était contre celui de devant. Je portais alors un pull basique, sous lequel se cachait un tee-shirt très décolleté, après quelques minutes de conversation, je fis mine d’avoir chaud et en profita pour enlever ce vêtement trop encombrant. Il perdit très vite sa concentration, prenant mon courage à deux mains, je décidai de profiter des circonstances pour obtenir ce que je souhaitais depuis mes quatorze ans.
« - Tu pourrais me regarder dans les yeux quand je te parle ! Lui dis-je lors d’un élan de courage inédit, faisant mine de prendre cela à la légère.  - Je... Je... »
Le professeur d’histoire-géographie était alors atteint d’un trouble sans précédant.
« - Je suis vraiment désolée, Endoria. Oui donc pour le temps de correction, ça dépend vraiment du devoir donné, mais aussi de la classe.   - Es-tu heureux au collège, ou souhaiterais-tu changé de degré d’enseignement ? »
L’entretien continua ainsi pendant plusieurs minutes, mais mon trouble était de plus en plus grand, alors que je n’avais jamais eu d’expérience sexuelle, mon esprit ne pouvait s’empêcher d’imaginer des instants torrides, mon bassin demandait la présence de son sexe qui semblait d’une importance sans égale, grâce à ce que je pouvais entrevoir à travers son jean depuis le collège. Je fus retiré à mes rêveries, quand Jérôme s’approcha de moi.
« - Tu sais, au collège tu étais une élève, très attachante, intelligente et qui réclamait beaucoup d’attention. Mais aujourd’hui – il posa alors une main sur ma cuisse – je ne peux m’empêcher d’être attiré par toi, par ta sensibilité, ta curiosité, ta maturité, mais également par ton corps, je dois l’admettre. Tu me troubles comme jamais personne ne me l’avait fait – sa main montait alors sur mon ventre – et je ne peux m’empêcher d’imaginer te faire de nombreuses choses que la morale m’a empêcher de réaliser depuis que tu es entrée au lycée.   - Je ne sais pas quoi vous dire... J’étais alors tellement choquée que le vouvoiement avait resurgi de lui même.  - Alors laisse moi faire ! » 
Sans me laisser le temps de réagir, il sauta sur ma bouche, sur mon cou. Il me déshabilla avec lenteur, en profitant pour embrasser et caresser les parties de mon corps qui se dénudaient au fur et à mesure. Alors que j’étais en sous-vêtements devant mon fantasme de toujours, ce dernier ôta sa chemise et m’attrapant il m’emmena jusqu’à son large bureau où il me posa. Il alla verrouiller la porte de la salle de classe avant de revenir à son bureau. Doucement il fit descendra mon boxer de dentelle et après m’avoir embrassé, ses lèvres se détournèrent de ma bouche pour trouver mon sexe.Jamais auparavant je n’avais connu ça, mon corps découvrait une sensation qui dépassait celle que je ressentais que je me masturbais seule au fond de mon lit. Des gémissements sortaient de ma bouche, alors que je tentais pourtant dans les contenir pour ne pas ameuter tout le personnel encore présent dans le bâtiment.
« -  Ça te plait ? Me demanda-t-il  - Oui. Lui répondis-je à travers mes gémissements »
Il continua un long moment, mon corps était littéralement en trans, puis il remonta vers mon visage et me demanda si j’avais envie qu’il aille encore plus loin. Mon corps, en ébullition, enclencha un mouvement de tête positif. L’historien enleva alors ce qui lui restait de vêtement avant de se coller contre moi. Je sentais alors son sexe du contre mon bas-ventre, tandis que de sa bouche et de ses mains il me caressait. Doucement, il écarta mes jambes et plaça son sexe contre le mien. Alors qu’il m’embrassait, tout en tenant ma main, il commençait à s’enfoncer dans mon sexe à la fois humide et serré. Il prit son temps pour arriver au bout et après être resté figé, il commençait les va et viens, alors que je pensais souffrir, le plaisir commençait à m’envahir. Il se redressa alors me prenant à genoux pendant qu’il caressa mon clitoris. Il pouvait alors m’observer gigoter, gémir les yeux fermés, me mordillant les lèvres les yeux fermés : il était alors plus rapide.Après une dizaine de minutes, il sorti pour se positionner à ma droite, allongé sur le flanc, il en profita pour caresser ma poitrine, avant de lever ma jambe pour s’enfoncer à nouveau dans mon sexe qu’il avait désormais défloré. Il replia sa jambe sur mon ventre et prit ma main, le plaisir était à son paroxysme, je ne pensais pas pouvoir ressentir un telle sensation. Le temps semblait s’être figé. Alors que je gémissais, lui éclatait à l’intérieur de mon intimité. A bout de souffle, je sentais le liquide coulé et le sexe de mon amant perdre de sa vigueur. Il ne venait pas de me baiser, comme nous le ferions de nombreuses fois par la suite, il m’avait fait l’amour. Il m’avait initié à un plaisir sans précédent, délicieux, auquel j’étais déjà accro.
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