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Promenade en bateau

Chapitre 3

Inceste
–Je vais aller réveiller papa, je suis crevé, je vais me coucher.–Tu te préparais quand tu allais dans tes backrooms ?–Evidemment, je me faisais un lavement approfondi.–Et bien, maintenant, fais toi un lavement le matin avant de monter sur le pont, on ne sait jamais.–Tu vas dire à papa ce qui s’est passé ici ce soir ?–Je vais lui en parler, mais rassure toi, il va apprécier, je sais qu’il ne verrait aucun inconvénient à l’idée d’avoir des rapports avec toi.–Tu en es sûr ?–Oui, et l’idée d’avoir un tel engin dans le fion ne te plait pas ?–Oui, ça m’excite même rien que d’y penser.–Et tu n’aimerais pas que ce soit ton père qui te défonce un max la première fois ?–J’adorerais, mais toi tout de suite après.–Comme tu veux mon neveu.–Je suis crevé, il est trois heures, je vais réveiller papa et me coucher, bonne nuit Paul.–Bonne nuit Jules.
Je vais réveiller mon père et retourne à ma cabine. Je ne mets que très peu de temps à m’endormir.
Le lendemain, je me réveille assez tard, il est plus de neuf heures du matin, il fait déjà très chaud. Je vais faire ma toilette, je pense à ce que m’a dit mon oncle et me fais un super lavement. Je suis nickel du cul en montant sur le pont à poil. Le vent est toujours aux abonnés absents, Papa et Paul sont dans la cuisine, ils déjeunent. Eux aussi sont nus, je viens les rejoindre.
–Bien dormi ?–Oui, j’étais crevé.–A bon, pourquoi ?
Je regarde mon père, de toute évidence il est au courant de ce qui s’est passé cette nuit.
–Tu sais, nager pendant plus de deux heures, ça fatigue.
Papa et Paul éclatent de rire.
–C’est vrai que tu as beaucoup nagé hier, c’est crevant.
Je m’installe avec eux et prends mon petit déjeuner. L’ambiance est spéciale, tout le monde sait qu’il va se passer quelque chose de spécial, mais personne ne sait comment commencer. Mais moi, je veux me faire défoncer le fion par mon père et mon oncle le plus vite possible, je me retourne vers Paul.
–J’ai fait ce que tu m’as dit.–Quoi donc ?–Je me suis préparé, je me suis fait un super lavement, j’ai le fondement nickel chrome.
Paul et papa se regardent, papa se tourne vers moi.
–Ok, tu es vraiment partant ?–Oui, papa, je suis partant pour vous deux.–Je ne sais pas si tu es au courant, mais nous ne mettons jamais de préservatifs avec ton oncle, nous sommes tous les deux cleans.–Ne t’en fait pas, je viens de faire un test et moi aussi je suis clean.–Depuis quand tu fais des tests ?–Depuis que je vais dans des backrooms, je prends mes précautions, mais je contrôle quand même.–Viens.
Je les suis dans le salon. Le bateau dérive toujours, mais l’horizon est complètement dégagé, le radar est en mode veille et nous préviendra bien assez tôt s’il détecte un bateau au large. Papa me fait allongé sur le divan sur le ventre en écartant les jambes. Tout à coup, je sens une langue me lécher la rondelle. Je réussi à tourner la tête et vois Paul, debout à côté de moi, c’est donc mon père qui me lèche l’anus. Deux doigts viennent la remplacer.
–Je vois que le passage est déjà bien fait.–Oui, depuis quelques mois.
Des doigts m’enduisent le fion de matière grasse et s’introduisent dans mon fondement pour assouplir au maximum le sphincter. Je me retourne et vois Paul agenouillé devant papa qui lui taille une pipe d’enfer. Quand papa bande assez il se dégage et vient s’allonger sur moi. Je sens son gland se glisser entre mes fesses.
–Tu me préviens dès que ça ne va pas ok ?–Ok
Le gland s’enfonce doucement entre mes fesses en les écartant. C’est la première fois que je sens la peau d’un gland, d’habitude, c’est le latex de la capote que je sens, c’est super excitant. Il arrive sur ma rondelle. Je suis secoué par un frisson de plaisir, enfin, je vais me faire mettre un mandrin d’exception, un engin de cinq centimètres de diamètre sur vingt-trois de long, un pieu. Mon anus résiste un peu, mais la pression du gland l’ouvre comme une fleur et il laisse le passage à la grosse bête. Arrivé au niveau du sphincter, ça se complique. Je ressens une douleur assez vive qui me fait contracté un peu. Mon père le sent et s’arrête.
–Ça va ?–Oui, juste une seconde.
Au bout d’une petite minute, la douleur s’estompe, je donne un petit coup vers l’arrière pour faire comprendre à mon père qu’il peut continuer, ce qu’il fait immédiatement. Son gland reprend sa progression lente, il m’écartèle le cul, j’ai l’impression qu’il va me le faire exploser, mais il continu d’avancer jusqu’à ce que mon sphincter se referme sur sa tige plus mince. Ohlala, je suis pris par mon père, cet énorme objet s’enfonce inexorablement en moi, je tends mes fesses vers lui pour qu’il s’enfonce le plus possible. Je sens cette boule progresser en se frayant un passage dans mes entrailles, elle progresse jusqu’à ce que je sente ses couilles sur mes fesses. Je suis dans un état second. Papa me pistonne doucement, sur toute la longueur de sa bite. Cette énorme bête s’enfonce en moi lentement et ressort pour de nouveau s’enfoncer. Mon cul est complètement ouvert, la bite de papa évolue sans résistance dans mon antre. Son rythme accélère, ses va et vient sont de plus en plus amples jusqu’à ce que son gland sorte pour immédiatement revenir me défoncer la rondelle. J’ai l’impression que mon cul reste ouvert en attendant le retour de cet énorme gland. Je me touche la bite, mais je ne veux pas jouir tout de suite, je veux sentir la bite de mon père palpiter dans mon fondement, je veux le sentir jouir en moi, je veux sentir son jus me remplir, je veux sentir ses jets m’asperger. Le rythme devient infernal, sa bite sort et entre dans mon cul à une cadence folle, je le sens vibrer dans mon cul.
–A toi mon fils.
D’un seul coup, je sens un jet me remplir le fion, mon père se colle contre moi et, sans bouger, se vide en plusieurs jets. Je suis complètement submergé par l’émotion, mon père se vide dans mes tripes, me remplit de son sperme, mais je ne jouis pas, je veux la deuxième bite disponible dans le cul. Mon père se retire, je sens un autre corps s’allonger sur moi, un autre gland se glisse entre mes fesses, mais cette fois-ci, s’enfonce d’un seul coup jusqu’à la garde. C’est Paul qui a pris la place de papa et qui me défonce le cul à grand coups de reins sur toute la longueur de sa bite. Son amplitude augmente et, comme avec papa, sa bite sort et entre sans que mon cul n’ai eu le temps de se refermer. Je suis au bord de la jouissance, ma bite me fait mal tellement je bande fort. Paul me pistonne à un rythme endiablé, mon sphincter reste constamment ouvert et sa bite glisse en me caressant la rondelle. Je relève les fesses pour donner plus d’amplitude à la bite de Paul quand je sens des mains me faire monter encore un peu plus. Une tête se glisse sous mon ventre et une bouche s’empare de ma bite. Je suis complètement dans les vaps et me laisse aller. Je me vide dans cette bouche accueillante en de longs jets de sperme. Je suis anéanti de plaisir, je me suis fait enculer d’abord par mon père puis mon oncle tout en me vidant dans la bouche de mon père. Au bout de quelques secondes, papa se retire et je peux m’allonger sur le divan. Mon cul est parcouru d’une sensation de bien-être que je n’ai encore jamais ressenti. Je me laisse aller à ce plaisir sans bouger la bite de mon oncle ramollissant lentement dans mon cul. Paul fini par se retirer et va rejoindre mon père à la barre. Le vent commence à redonner signe de vie.
–Repose toi, nous allons hisser la grande voile, on n’a pas besoin de toi.
Je reste allongé à savourer ce bien être sublime. Papa et Paul sortent hisser la voile, le bateau reprend vie doucement. Au bout de quelques minutes, je sors de ma torpeur pour aller sur le pont. Paul règle le génois et le bateau prend petit à petit de la vitesse. C’est un bateau de luxe, mais il est très rapide et répond instantanément aux sollicitations de l’équipage. Je commence à prendre plaisir à naviguer avec mon père et mon oncle. Le vent se lève de plus en plus jusqu’à atteindre force 5. Là, le bateau commence à faire voir son réel potentiel et nous prenons un immense plaisir à naviguer avec lui. La journée se passe à tirer des bords juste pour le plaisir de remonter au vent et de voir ce qu’il a dans le ventre. Se faisant, nous nous apercevons que nous sommes remontés un peu trop, nous ne sommes pas très loin de la côte et décidons de repartir cap sur Barcelone.
Nous sommes toujours nus, le temps le permet et je vois que Paul bande assis à la barre, une main négligemment posée sur sa bite. Je m’approche de lui, écarte sa main et lui prends la bite à pleine main. Il me regarde en souriant. Je le masturbe lentement, mais je vois qu’il est très excité, je décide de le finir avec ma bouche. Je me penche en avant et le gobe entièrement. Je lui pratique une super fellation quand je sens deux mains se saisir de mes hanches et un énorme gland enduit de gel se glisser entre mes fesses. J’écarte au maximum les jambes pour le laisser entrer. Le gland se glisse entre mes fesses, entre en contact avec ma rondelle qu’il ouvre lentement mais surement. Il passe le sphincter et toute la bite de mon père s’enfonce doucement jusqu’à la garde. Je me concentre sur le bite de Paul, mais j’ai du mal à faire abstraction de celle qui me laboure le cul. Une main se pose sur ma propre bite et entame des va et vient. J’ai de nouveau une de ces énormes bites dans le fion, mon corps s’abandonne au double plaisir de faire une fellation tout en se faisant enculer. Je ne résiste pas longtemps, je sens que je vais jouir quand un jet de sperme vient remplir ma bouche. J’explose dans une vague de plaisir en me vidant sur le sol tout en recevant le sperme de Paul dans la bouche et celui de mon père dans le cul. Mes jambes m’abandonnent, il faut que mon père me soutienne pour ne pas m’écrouler sur le sol. Nous reprenons tous nos esprits, papa va s’assoir sur le divan pendant que j’essuis le sperme que j’ai envoyé par terre et que Paul surveille le bon fonctionnement du bateau.
Les jours suivants n’ont été qu’une succession de plaisir. Paul et papa m’ont sodomisé au moins trois fois chacun par jours, j’avais l’impression d’avoir constamment une bite entre les fesses et j’en demandais encore, mais l’homme a ses limites.
Le samedi suivant nous étions de retour à Port Leucate accueillis par toute la famille. Maman m’a demandé si cette petite croisière m’avait plu.
–Encore plus que je n’aurais pu l’imaginer.
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