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Promenade en Forêt

Chapitre 2

Zoophilie
J’étais si étonnée de la situation que j’osais à peine y croire. Je refoulais au fond de mon esprit les pensées coupables qui d’emblée m’assaillirent ; mais non, ce cheval n’allait pas se prêter à mes envies, il allait sûrement prendre peur et s’en aller. Que ferai-je une fois qu’il galoperait hors de mon bosquet ? Si j’étais très gentille avec lui, tout juste pouvais-je espérer continuer à le caresser, et rester près de lui.
Mon compagnon baissa la tête et je le grattais autour des oreilles, sur le front, lui flattais le museau. « Oh, que tu es beau, tu le sais hein que tu es beau ? » Je lui parlais d’une voix calme, basse et posée. Je ne voulais surtout pas le stresser. Il appuya sa tête contre ma poitrine, pas au point de me faire reculer, mais d’une manière appuyée. « Là, tu vois, je suis ton amie. » Je continuais de lui caresser le haut de la tête et lui restait là, sans bouger. Je ressentais comme un creux à l‘estomac, une sensation bizarre mêlée d’appréhension et de doute. Mes pensées se bousculaient dans ma tête à un rythme effréné, et j’avais bien du mal à garder le contrôle.
Une pensée soudain s’imposa plus fortement que les autres : est-ce que ce cheval n’était pas intrigué – intéressé, peut-être - par mon odeur de femelle ? Quelques minutes auparavant j’étais dans un bel état d’excitation, et si elle était retombée sous le coup de la frayeur elle avait sans doute laissé des traces olfactives qu’un équidé pouvait sentir ? Mais un équidé était-il sensible à une odeur d’humaine ? La curiosité suffit à emporter ma retenue, je décidais d’en avoir le cœur net. J’écartais l’élastique de mon jogging, pour qu’il hume plus librement les odeurs de ma culotte imprégnée… « Alors, mon beau, tu aimes bien ? » Mais rien ne permit de savoir si cela lui faisait quelque chose ou pas. Il continuait néanmoins de conserver sa tête en contact avec mon sternum, ce qui devait au moins vouloir dire que mon odeur ne le dérangeait pas.
Ressentant quand même une pointe de déception par ce manque de réaction, je m’enhardie au point de baisser carrément mon jogging jusqu’à mi-cuisse. D’un rapide mouvement ma culotte suivi le même chemin, et je me tins comme ça quelques instants, les fesses et la chatte à l’air, les jambes légèrement écartées pour retenir le jogging, en continuant de caresser la tête de l’animal, prête à passer les mains dessous au cas où il viendrait une idée saugrenue… « Regarde ce que tu me fais faire, toi, tu te rends compte ? » fis-je d’une voix un peu rauque. A ma grande satisfaction, le cheval fit deux ou trois mouvements de tête de faible amplitude, de bas en haut, et changea de position au niveau de ses pattes, pour se rapprocher encore un peu plus de moi. Ah tout de même, une réaction ! Je ne savais pas de quelle nature, mais c’était toujours mieux que l’indifférence.
Je remontai alors culotte et jogging, et passa sur son côté, en continuant de lui caresser les flancs, le dos, le flattant toujours doucement. Je savais très bien au fond de moi ce que je voulais faire, mais je réussissais bizarrement feindre de ne pas y penser. Il se tenait tranquille, appréciant visiblement les caresses prodiguées, et tourna la tête pour me suivre du regard. Je continuais de passer mes mains sur sa fourrure blanche et grise, douce à souhait. « As-tu seulement une idée de l’effet que tu me fais, bel animal ? » Je n’éprouvais aucune gêne à lui parler ainsi, librement, cela m’excitait même, plutôt. » Sais-tu quelles pensées perverses agitent mon esprit en me tenant à tes cotés ? En caressant tes flancs pour me rapprocher insidieusement de l’endroit de ma convoitise ? ». Continuant ce jeu de caresses de plus en plus dirigées vers le bas de son flanc, vers ses puissantes pattes arrière, pour glisser progressivement sous son flanc. « Là, voilà, voilà mon beau… » Le mâle demeurait tranquille, me regardant paisiblement. « C’est ta virilité, l’objet de mon désir ! Ta grosse queue d’étalon que tu gardes encore sagement dans son fourreau »… A nouveau mon cœur se mettait à cogner dur dans ma poitrine, et ma respiration s’accéléra. « Oh, s’il te plaît, accorde moi ce plaisir, laisse-moi te faire bander, accorde moi ce privilège…. » Dis-je en un souffle. Et je me laissai alors aller, comme j’avais vu le faire dans des films, à saisir sa bite au repos dans ma main et à la branler doucement.
Le cheval fut parcouru d’un frisson, et frappa du pied une fois au sol d’une de ses pattes arrière, en hennissant doucement, mais à ma surprise, je sentis son membre s’allonger immédiatement sous mes doigts. Je m’agenouillai alors dans la couche de feuilles mortes qui jonchaient le sol, et continua à stimuler son sexe par des mouvements de va et vient de ma main. Je vis son sexe s’allongé comme s’il se déroulait lentement, se dépliait pour atteindre une longueur de plus en plus impressionnante. Il restait assez mou dans ma main, et dirigé vers le sol, mais j’étais déjà toute émoustillée d’avoir réussi à lui faire ressentir quelque chose aussi facilement. J’ignorais totalement si mes odeurs sexuelles y étaient pour quelque chose. J’étais moi-même dans un état d’excitation très intense… J’étais carrément essoufflée tellement je respirais fort, et mon cœur cognait. Ma tête était à bonne hauteur et toute sa tige s’offrait à ma vue, de son extrémité jusqu’à ses énormes testicules loin sous son ventre. Je ne pus résister à l’envie d’allonger mon bras, pour venir lui caresser le sexe en remontant jusqu’à ces couilles bestiales, terriblement érotiques, et de les tâter, d’en apprécier la fermeté et le volume : ma main suffisait à peine à en envelopper une seule. Je revins néanmoins très vite sur la première partie de sa longue tige, et le caressa en insistant à cet endroit, qui s’achevait sur un bulbe encore peu prononcé, ou se trouvait son orifice, de belle taille. Mon cheval souffla un peu plus fort, et je sentis son sexe grossir en volume, gagner nettement en fermeté, et se redresser. Il bandait. Je le faisais bander, et cette sensation était pour moi totalement enivrante.
Mon compagnon ne bougeait plus, sa tête en position haute, ses flancs parcouru de frissons de temps en temps. Il frappa du sabot sur le sol mou de la forêt encore une fois, pendant que je continuais à lui astiquer sa formidable queue gris souris à la base et virant au noir vers l’extrémité, bien raide maintenant, totalement déployée. Soudain, cette bite vient se coller à son ventre, saisi d’un spasme qui l’arracha de mes mains. Mais je la saisi de nouveau et poursuivi mes va-et-vient concentrés sur le premier quart de sa longueur… n’y tenant plus, je m’approchai et appuya ma bouche sur ce membre géant. Je la glissais tout le long, en m’aidant de la langue. Son odeur chevaline emplit mes narines, et cela me surexcita encore plus. Je remontai vers son gros gland, et y frottait mes lèvres, le léchait… Trop gros pour entrer dans ma bouche, je faisais tout ce que je pouvais, en l’ouvrant toute grande, pour y faire entrer le plus que je pouvais, tout en continuant à la branler. Il frappa de nouveau le sol, et je l’entendis hennir tout doucement et brièvement, et recommencer régulièrement… Je n’étais plus qu’une bouche et des mains, concentrée sur ce sexe, cherchant à faire les gestes qui semblaient lui procurer le plus de sensation. Ses doux hennissements devinrent plus rapprochés, et son bulbe grossit encore, pour devenir comme une grosse tête de champignon. Je m’appliquai des lèvres et de ma langue sur la partie entourant son orifice. Perdant toue retenue, je me mis à gémir d’impatience et de plaisir, et fourrant une de mes mains dans mon jogging, je me mis à me masturber, à genoux, jambes écartées, tout en ne lui laissant aucun répit. Ses petits hennissements se firent plus forts, il frappa une dernière fois le sol d’un puissant coup de sabot, et soudain il jouit. Dans ma main qui le tenait fermement, son sexe fut parcouru d’une palpitation rapide et je sentis une grande giclée d’un sperme épais et acre jaillir et inonder ma bouche grande ouverte. Je bloquais ma gorge et le trop plein commençait à s’écouler de ma bouche quand une deuxième rasade succéda à la première, toute aussi abondante, et toute aussi énergiquement propulsée. Tout ce sperme m’emplissait la bouche et s’écoulait de mes lèvres en longs filets jusqu’au sol, pendant que je continuais à la branler doucement. Deux autres giclées moins grandes suivirent. J’éloignais ma tête de sa queue, et me concentrant, me força à avaler ce qui restait dans ma bouche de ce liquide animal. Je n’aime pas particulièrement avaler de sperme, mais cela me semblait une conclusion logique à ma folie sexuelle : je l’avais bien cherché, et bien voilà, j’avais gagné. Je regardais mon compagnon, toujours calme et docile, et vis son sexe débander lentement. « Merci, mon ami, merci infiniment », lui dis-je. J’étais dans un bel état, à moitié ivre d’excitation, à moitié éperdue de reconnaissance, et totalement désireuse de jouir là tout de suite. Je baissai pantalon et culotte – trempée - jusqu’aux chevilles, m’assis dans les feuilles mortes et me fourra deux doigts dans la chatte en les secouant vigoureusement, tout en me frottant le clito très vite avec l’autre main… Je ne mis pas longtemps à sentir un violent orgasme monter en moi, et je jouis à mon tour, en regardant le sexe du cheval pendant sous son ventre, le corps secoué de spasmes de plaisir, en ne pouvant pas me retenir de pousser un cri étouffé.
Je ne me souviens pas très bien du chemin du retour, à travers la forêt. Je cheminais un peu hagarde, je devais être toute ébouriffée, avec des traces de terre sur mes vêtements, et une odeur de cheval sur moi. Heureusement que je ne rencontrai personne jusqu’à ma voiture, garée le long de la route. J’ouvris la portière et entendis un bruit derrière moi. Je regardai en arrière et vit un chien assis par terre, un genre golden, tout malheureux, qui me regardait en émettant de petites plaintes, la langue traînant. Le pauvre était visiblement exténué, et semblait perdu. Mon côté protectrice me permit de dépasser mon état et je m’approchais de lui, en lui parlant doucement, lui demandant ce qu’il faisait là. Je le caressai et vis qu’il portait un collier, et dans son oreille je notai un tatouage. Ce chien a probablement été perdu par quelqu’un qui doit le rechercher activement, me dis-je. J’ouvris la porte arrière de la voiture, et il ne se fit pas prier : il monta tout droit dedans et s’allongea sur le siège, toujours haletant. « Ne t’inquiète pas », lui dis-je en m’installant au volant, « j’ai ce qu’il faut à la maison pour te remettre d’aplomb, et après, on cherchera tes maîtres pour te ramener à eux ». Je démarrai la voiture et la lança sur la chaussée. Bien sûr, je mentirais si je prétendais qu’à cet instant aucune pensée coupable ne me traversait l’esprit…
La suite bientôt.
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