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Promenade en Forêt

Chapitre 4

Zoophilie
J’ai vraiment essayé de voir si je trouvais trace d’annonces évoquant la perte d’un Golden Retriever aux alentours de chez moi, sur les panneaux d’informations des magasins de la région – là où les gens appose leur affichette de vente de véhicule, ou de recherche de travail... J’ai même téléphoné à la SPA locale. Bon, certes, je suis restée vague au téléphone, évoquant simplement un chien peut-être perdu aperçu sur le bord d’une route depuis ma voiture, rien de plus. Je ne sais pas comment j’aurais réagis si j’avais été informée que quelqu’un, quelque part, déplorait la perte de mon Dick. En tout cas, personne ne semblait avoir déclaré la perte de son Labrador. S’agirait-il d’un chien abandonné lâchement dans un bois par un malotru lassé de cette responsabilité ? J’ose l’espérer.
Toujours est-il que Dick est finalement resté avec moi... et je crois que nous en avons bien profité, tous les deux ! Au début, j’ai eu peur que nos rapports sexuels dénaturent la relation chien – maitresse normale. Comment allais-je me faire obéir d’un chien sous les pattes duquel je me m’abandonnais sans retenue à chaque fois que l’occasion se présentait, frémissant, puis gémissant et souvent finissant sanglotant du plaisir dévastateur qu’il me procurait ? Eh bien, en fait, cela ne posait aucun problème ! Un véritable rituel s’était créé entre nous : quand je désirais mon chien, avant le passage à l’acte, je l’excitais toujours de la même façon, avec les mêmes jeux, dans le jardin de derrière, avant de m’enfuir en courant vers la maison, Dick sur les talons. Puis à l’intérieur, nos jeux devenaient très vite torrides. Ce scénario maintes fois répété, le chien l’avait accepté complètement, si bien qu’il se mettait souvent à bander à peine nos jeux préliminaires commencés. Mais en dehors de ces réactions évoquant le réflexe de Pavlov, il restait mon chien et moi sa maitresse. Il m’obéissait quand je le sortais en laisse dans la rue, ou quand nous restions à la maison. Jamais il n’a tenté de me monter en public ni en privé, en dehors de nos rituels réguliers.
Je vivais ainsi une expérience inoubliable. De coït en coït, j’appris à maitriser nos jeux tabous de mieux en mieux. J’acquis la manière de garder le contrôle de son sexe impétueux lors de mes fellations : en plaçant ma main au bon endroit, juste derrière la boule de son knot, et en serrant ou desserrant mon étreinte de manière appropriée, je lui permettais de faire aller et venir son sexe à grands coups de reins, ou le retenais dans ses mouvements, en rythme comme en amplitude, ou même l’arrêtais complètement. Ainsi, je pouvais à loisirs profiter de la sensation divine de ce membre raide et épais, animal, glissant dans ma bouche au rythme que je désirais, s’enfonçant à la profondeur que je choisissais... Et il en allait de même avec les pénétrations vaginales : là, la clef de la maîtrise consistait à redresser le dos plus ou moins, en cambrant les reins, pour le retenir, ou au contraire de bien me pencher en avant, les cuisses bien ouvertes, le cul bien cambré, pour qu’il accélère... Et bien d’autres trucs encore.   
Au bout d’une dizaine de jours de vie commune, j’étais sexuellement comblée... Jamais je n’avais autant jouis de ma vie ! Mais je réalisais que cette relation m’aliénait socialement quelque peu : à part pour les cours à la FAC et l’alimentaire, je ne sortais presque plus, et ne voyais plus guère de monde. Il me fallait sortir de ce cycle d’isolement. C’est alors que je me souvins de Fanny, la jolie caissière du magasin où j’étais allé quand j’avais ramené Dick à la maison, et à qui j’avais raconté l’avoir trouvé dans les bois. Je me remémorais ses réponses ambigües laissant entendre qu’elle aimait beaucoup les bêtes, elle aussi... Je revoyais en mémoire sa jolie figure de rousse, aux délicates taches de rousseur, qui faisaient ressortir ses beaux yeux bleus délavés.... sa peau blanche, que j’imaginais douce à ravir... Cette simple évocation me laissa dans un état d’excitation inattendu : était-ce le manque de rapport humain qui se manifestait malgré le haut degré d’assouvissement de mes envies sexuelles ? En tout cas, je résolu de tenter ma chance avec la jolie Fanny, et comme il faut battre le fer tant qu’il est chaud, je me mis en route de suite vers son magasin : j’avais un plan.
Une fois arrivé, après avoir vérifié subrepticement que fanny était présente à sa caisse, j’entrai et fis d’abord deux ou trois courses dans le magasin, sans oublier quelques articles canins : sac de croquettes, shampoing pour chien, deux jouets... Il était important qu’elle n’ait aucun doute sur le fait que j’étais toujours en possession du chien, pour que la conversation glisse sur ce sujet à coup sûr. Après une hésitation, je glissais aussi dans le panier au rayon cométique une bouteille de gel intime – elle ferait sans doute le rapprochement, et pris ma place dans la queue de la caisse. Il y avait peu de monde et mon tour arriva vite.
« Bonjour Julie ! » me lança-t-elle en me souriant. Puis en me voyant déballer mes courses elle poursuivit : « alors, tu as toujours ton golden on dirait ? » « Gagné », me dis-je. « Eh oui, tu vois. Je n’ai trouvé personne qui le cherchait » répondis-je en haussant les épaules. « J’imagine que cela va être mon chien maintenant ! »
En passant mes articles devant son laser Fanny pesta : « je trouve ça vraiment dégueulasse d’abandonner un chien comme ça, en pleine forêt ! Les gens qui font ça devraient être sévèrement punis ! » Elle ajouta peu après : « il est gentil, au moins ? »
« Oh oui, c’est vraiment un super chien, très attentionné. » Je ne quittais pas ses yeux du regard, et perçu son trouble quand elle passa le gel devant le lasser. « Tu sais, il fait vraiment tout ce que je lui demande, c’est un véritable amour ! »
Julie s’arrêta de saisir mes articles. J’étais seule à sa caisse à ce moment. Elle me rendit mon regard en me fixant de ses yeux bleus. Je vis un rose léger teinter ses joues. Elle se racla la gorge. « Rhmm. Heu... Et... Vous... Vous vous amusez bien tous les deux ? »
Je répondis lentement : « Franchement, je n’aurais jamais pensé qu’avoir un bon chien comme lui à la maison serait la source d’autant de joie, Fanny. »
« Houlà, à ce point ? »
« Oh oui, à ce point, je te le promets. Que de plaisir, et de sensations ! »
« Eh bien, c’est heureux que ce soit toi qui l’ai ramassé ce chien, tu dois le câliner à souhait, j’imagine ! Moi en tout cas, c’est ce que je ferais... mais je n’ai pas de chien, mon appartement est trop petit...»

On y était. Je décidai de couper court à ce jeu d’allusions voilées. « Oui, il n’a pas se plaindre de sa maîtresse, je pense. Tu veux le voir, peut-être ? » Je sortis mon téléphone et ouvris le dossier photos, que j’avais préparé avant pour l’occasion. J’affichai la première photo de la pellicule : une photo de Dick tout ce qu’il y a de moralement correct, prise dans le jardin, et lui montrai. Mais sur la pellicule en bas de l’écran, on voyait aussi les 2 photos suivantes, affichées en petit et beaucoup moins sages... Sur une, Dick était assis sur son train arrière, avec son sexe en érection bien visible, et l’autre était un gros plan de son sexe, tenu par ma main. Fanny vit ses images, je le compris tout de suite, à voir sa réaction. Elle se mordit la lèvre inférieure et baissa les yeux sur le tapis de sa caisse « Ah oui, en effet, je comprends ce que tu veux dire »  dit-elle faiblement, en rougissant.
Je décidai de pousser l’avantage de la surprise. « Alors, Fanny, à quelle heure finis-tu ton travail ? Si tu veux je peux t’emmener chez moi... Pour mieux faire connaissance tous les deux... Et te présenter Dick, bien sûr. » Fanny était décontenancée. Elle bafouilla. « Dick ? Ah c’est son nom... heu... Oui, c’est bien comme nom. C’est un beau chien... » Elle se tordait les mains de nervosité. Elle fixait l’écran de mon portable et je lui montrais ostensiblement, pour qu’elle n’ait aucun doute sur le fait que je savais que ces images étaient visibles... Soudain, elle me fixa de nouveau et dit dans un souffle « là. Je finis là, dans dix minutes. »
« Ok » répondis-je. « Je t’attends sur le parking juste devant l’entrée. C3 blanche. » Pour toute réponse elle hocha la tête : un client venait d’arriver derrière moi. Je payai mes courses et quitta sa caisse en lui souriant malicieusement. J’attendis un bon quart d‘heure dans ma voiture avant de la voir sortir du magasin et se diriger vers moi. Elle monta et je démarrai aussitôt. Nous sortîmes rapidement de la ville en échangeant sur des sujets neutres. Où j’habitais, ainsi qu’elle. Son travail, qui lui pesait dans sa monotonie... Nous roulions alors sur une route de campagne, où la circulation était rare. Fanny me regarda et changea de sujet de conversation soudain :
« C’est toi qui a pris les photos ? »
« Oui, oui. Tu aimes ? ». Elle semblait encore gênée, mais moins qu’à la caisse.
« Tu as l’air de bien profiter de ce chien, on dirait... »
« Ah oui, ça c’est sûr ! Mais tu sais, il est très consentant, et il en profite aussi ! »  Dis-je en riant. « Ça n’a pas l’air de te choquer, dis-moi ? » Il y eu un silence que je rompis après quelques secondes, d’une voix douce : « Ça te dirait de le voir en action ? Ou même d’en profiter toi aussi ? » Silence, encore... Puis, timidement, elle lança d’une petite voix « Ouais, ouais, je pense que ça me dirait... » « Cool ! » Dis-je d’une voix tranquille. Je lui tendis mon téléphone. « Regarde déjà ces quelques photos, si tu veux. »
Fanny pris le téléphone et commença à faire lentement défiler les images.  J’avais préparé l’album avant de venir, et j’avais classé ces photos, prises par moi-même à main levée ou en utilisant le retardateur, selon une progression de la plus anodine à la plus pornographique. Il y avait aussi quelques vidéos, qui apparaissaient sur l’album après les photos. Je m’amusai à la regarder du coin de l’œil pendant qu’elle découvrait une à une les images de nos parties de plaisirs à Dick et à moi. C’était aussi très excitant, pour moi comme visiblement pour Fanny, qui se troublait de plus en plus au fur et à mesure du visionnage... Surtout quand on voyait une partie intime de mon anatomie sur l’image...
« Tu aimes bien mater, toi, hein ? » Dis-je en continuant à conduire. Elle acquiesça d’un hochement de tête, en ajoutant « mais j’aime bien participer aussi... » Sur la photo d’après j’étais nue, vue légèrement du dessus, allongée sur le clic-clac. Une de mes jambes était relevée, repliée, l’autre bien étendue, les cuisses légèrement écartée. Dick avait posé sur le canapé du côté de la jambe allongée ses pattes antérieures, la tête penchée sur mon entre-jambes, et on devinait qu’il me léchait la chatte. Fanny soupira d’excitation.
« T’es vachement belle, quand même ! »     
« Merci. Je suis ravie de te plaire «  répondis-je en posant ma main droite sur sa jambe gauche, sur la partie exposée à l’air libre par sa petite robe légère. Fanny se tourna vers moi, et me sourit. Je levai le pied de l’accélérateur et la voiture ralenti puis s’arrêta sur la route, où nous étions seuls. Je me penchai et l’embrassa délicatement, dans un baiser qui, sous son impulsion, pris de la vigueur et de la passion et finit en longue étreinte torride, nos langues se mêlant, nos mains caressant nos corps... Un bruit de camion se fit entendre loin devant nous. Nous nous séparâmes à regret et je redémarrai la voiture. Le camion fit jouer son klaxon bruyamment au moment de nous croiser. Il nous avait vus. «Va chier, gros con de mec ! » Lança Fanny. Nous rîmes.
« C’est encore loin, chez toi ? » Demanda-t-elle en reprenant son visionnage.
« Non, on arrive dans cinq minutes » répondis-je. Et j’en étais très heureuse. J’étais en feu.
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