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promenons nous dans les bois

Chapitre 1

Hétéro
Monsieur LUC sortait de chez son médecin, il était en colère, celui-ci venait de lui annoncer qu’il devait partir 3 semaines en cure dans les Pyrénées afin de perdre au moins 20 kg, ce qui lui permettrai ensuite de se sentir mieux et d’avoir moins de soucis de santé. Monsieur LUC, qui aime la bonne chère est bien vexé, mais le doc ne lui a pas laissé le choix, 120 kg pour ses 65 ans c’est trop, bien trop, là-bas il apprendrait à mieux manger et à avoir une activité physique. Une activité physique à son âge, pff, il est dingue ce doc.
8 jours plus tard, il arrive au centre d’amincissement, on lui donne une chambre, et on lui fait visiter les lieux. Rien ne lui va, rien ne lui convient, il va se faire chier pendant 3 semaines. En plus ici hormis, le personnel il n’y a que des grosses.Le soir arrive, Monsieur LUC se rend à la salle de restauration, et là il est au comble de l’apoplexie, on ne lui donne qu’un bouillon de légume, mais il va perdre plus de 20 kg ; il va crever tout simplement à ce régime-là.
Le lendemain, 6 heures debout, ce qui le met déjà de bien mauvaise humeur, on lui propose thé ou café pour le petit déjeuner avec 2 biscottes et un peu de confiture, même pas de beurre, ils se foutent de lui ! Le matin il mange toute une baguette et là 2 biscottes. On lui dit de se dépêcher, dans 1 heure, il devra être en bas en tenue de sport.
D’une humeur exécrable, il descend dans la salle commune, il ne dit bonjour à personne et montre sa mauvaise volonté. Habitué, le personnel n’y fait pas attention et annonce au groupe une randonnée de 2 heures dans les sentiers du parc naturel.La marche est parti, il est tout derrière, au début tout le monde l’appel et le motive, mais lui il s’en fout. Au bout d’une demi-heure, il dit qu’il n’ira pas plus loin, il s’assoit sur un rocher sous un arbre et dit qu’ils n’auront qu’à le réveiller à leur retour. Le groupe le laisse donc là, de toute façon, il n’en peut déjà plus, la sueur lui coule de partout et il tout essoufflé, c’est assez pour aujourd’hui. Il regarde le groupe partir puis se lève afin de trouver un endroit pour se reposer, debout à 6 heures les fous, il n’y est pas habitué. Le voilà donc parti à la recherche de cet endroit tranquille quand une jolie joggeuse passe un peu plus haut sur le sentier. Il l’a voit un instant plus tard s’arrêter au milieu du sentier et regarder un peu partout, il pense avoir compris elle va pisser et regarde si elle est bien seule, vas-y ma jolie, toi tu ne me vois pas, moi si.
Il s’avance rapidement malgré son poids et sa fatigue, il essaie de ne faire aucun bruit et il arrive à 1 mètre de la jeune femme d’une vingtaine d’année. Elle lui tourne le dos, il s’avance rapidement, la joggeuse, se retourne elle est dans une position inconfortable, le short en bas des jambes accroupie en train d’uriner. Elle crie de surprise et de peur, elle va pour se relever, mais là Monsieur LUC lui pose une main sur l’épaule et lui dit d’un ton sec, tu n’as pas fini ta chatte coule encore, termine avant, le spectacle de tes fesses ainsi exposées est une bien bonne chose en un jour qui avait si mal commencé.
La jeune Lucie, car c’est ainsi qu’elle s’appelle, est pétrifié, elle dit qu’elle a terminé et tente de se relever en remontant son string et son short. Monsieur LUC lui dit alors, t’es une sacrée cochonne toi, tu t’essuies pas la chatte ? Donne-moi donc ce petit mouchoir papier qui est dans ta main. Il n’attend pas qu’elle lui tende, il lui prend des mains attrape la jeune fille contre son bras et lui essuie la chatte. Voilà qui est mieux non ? Elle ose à peine répondre et lui dit que si, c’est surement mieux maintenant. Alors tout content il lui dit, je vais vérifier si j’ai bien essuyé. Et sans attendre, il lui passe son gros doigt boudiné le long de la chatte. Il promène son doigt bien partout, pendant que Lucie pleure et lui demande de la laisser repartir. A vous les filles toutes les mêmes, à jouer vos mijaurées qui n’aiment pas la bite et quand vous l’avez dans le minou vous en redemandez ! Tu vas commencer par te taire et te laisser faire, je ne te laisserai pas partir tant que je banderai comme je bande, regarde salope, ce que tu me fais. Là il baisse son short et lui dévoile son sexe monstrueux, il est énorme aussi grand que gros, jamais elle n’avait vu ça, elle ne savait même pas que ça pouvait exister.
Allez ma p’tite pute tu vas prendre ma queue dans ta main pour bien la sentir, je vois qu’elle te plait, il lui attrape la main et la pose sur sa queue. Alors elle est belle, non ? Comme elle ne répond pas et qu’elle ne le branle pas, il lui pince le clitoris qu’il avait fini par trouver bien caché dans sa petite grotte. Elle crie sa douleur et se prend une paire de claque. Alors elle est comment ma queue ? Elle te plait ? Oui, oui répond la pauvre Lucie entre 2 sanglots. Oui quoi ! Elle répond d’une voix presque inaudible elle est grosse. Je n’ai rien entendu, plus fort. Elle est grosse redit-elle pleurant de plus belle. Ah voilà qui est mieux, elle te plait, hein avoue moi qu’elle te plait et que tu veux que je te prenne avec. Elle ne peut pas dire ça, il va la détruire avec un engin pareil et puis elle ne veut pas, il est énorme, il pue la sueur à plein nez, de grosses lunettes, une moustache douteuse, ses dents son pourri, rien ne peut aller avec ce vieux qui est en train de la violer.
Fous-toi à poil que je te vois bien. Il la relâche, mais lui tiens les cheveux, il ne faudrait pas qu’elle se fasse la valoche la salope. Elle essaie de résister, mais il lui tire si fort les cheveux qu’à nouveau elle crie et se prend une paire de claques. Elle retire son tee-shirt comme elle peut vu sa position, et son soutien gorges. Elle sort ses pieds de son short. Ramasse ton bout de ficelle et donne-le moi que je le sente. Elle lui tendit son string, il le renifla, le suça et lui fourra dans la bouche trempé de sa salive. Elle eut un haut le cœur, il lui pinçât le bout du téton, ce qui la fit de nouveau crier, ça va mieux petite nature ?
Bien comme tu m’as bien chauffée, tu vas me sucer, allez, allez, dépêches toi ! Suce moi et applique toi, un beau morceau comme çà, il faut en prendre soin. Il lui appuie sur les épaules sans précaution pour elle et lui attire la tête devant sa queue. Il lui pince un téton pour lui faire ouvrir la bouche, comme il a du se baisser son gros ventre lui écrasait la tête. Mais la douleur lui fit ouvrir la bouche et il s’y engouffra avec du mal. Tu essaies de me la mordre petite chienne, tu vas voir, il ressort de sa bouche, lui tire les cheveux pour la remonter et la plaque sur son bras, il lui baisse le buste sur son bras et son cul se retrouve à sa merci. Il lui met une fessée magistrale qui la fait hurler de douleur. Maintenant, tu y retournes et pas de vagues, ou ton cul ne pourra plus te servir pendant un bon moment. Elle attrape sa queue comme elle peut et suce ce gros membre, il lui attrape la tête et s’engouffre au plus profond de sa gorge manquant de la faire vomir chaque coup de boutoir. Au bout de 5 minutes, il lui dit ok c’est bon à moi de te bouffer la chatte. Non je vous en prie laissez-moi partir. Tu verras, tu en redemanderas, je suis doué avec ma langue, je vais te bouffer ton clito et c’est de plaisir que tu vas crier. Vas-y fous-toi à 4 pattes comme la chienne que tu es. Il se met derrière elle, lui écarte les fesses et lui suce la rondelle, ce qui lui remonter la croupe de surprise et lâcher un petit cri. C’est bon, non ? Il la lèche bien puis il passe à sa chatte, il la lèche et la doigte en même temps avec une dextérité que personne n’avait jamais eue avec elle. Sa langue et ses doigts tout çà mélangé commençait à ne pas la laisser insensible, ses hanches commencèrent à bouger pour que le contact soit encore plus appuyé, tu mouilles ma cochonne et tu commences à prendre ton pied, tu vois je te l’avais bien dit. Je te faire connaitre le 7ème ciel tu vas voir. Et il y repart de plus belle lui faisant rouler le clito avec sa langue lui doigtant la chatte en faisant tourner son gros doigt en plus de le rentrer et le sortir. Elle sent monter l’orgasme, elle n’a jamais connu çà et se laisse aller à crier son plaisir. Content de lui, Monsieur LUC, lui dit alors tu vois le vieux, maintenant je vais te faire jouir avec ma belle queue, dis-moi que tu la veux dans ta chatte, ma grosse queue ! Non crie Lucie, elle est trop grosse, vous allez me faire mal. Mais non, mais non, toutes celles qui comme toi y ont gouté en redemande, tu seras comme les autres ma jolie. Il fait naviguer son sexe sur ses lèvres sur sa rondelle, ce qui la fait se refermer, il redescend sur sa chatte bien chaude et la caresse avec son gros gland. Elle aime cette douce caresse, jusqu’au moment où il lui attrape la taille et lui enfonce son pieu au plus profond de son ventre, elle crie sa surprise, et il la lime, alors elle te fait mal ma queue ?
Oui un peu. C’est rien tu vas t’y faire tu vas voir. Il la lime sans ménagement, ses mains sur ses hanches pour la tirer à lui dans de grands coups de reins. Elle crie, elle hurle son plaisir d’être ainsi rempli par une si belle queue. Il va de plus en plus fort, de plus en plus vite, son ventre énorme repose sur ses fesses, qui arriverait les trouverait ridicule tel des pantins reliés par une énorme tige.Il n’en finit pas de la limer, sa chatte commence à lui brûler, elle qui n’avait jamais eu d’orgasme, s’est sentie partir déjà au moins 3 fois elle ne sait plus trop elle va tomber à l’agonie s’il continue ainsi, elle sent la sueur de ce monstre lui couler sur les reins, d’où peut lui venir une telle endurance.
Il va et vient en continue depuis si longtemps, quand elle le sent se caler tout au fond de son ventre, elle sent les soubresauts de son membre en elle, et le foutre la remplir par jets puissants. Ils crient ensemble leur bonheur. Enfin c’est terminé, il attend collé contre ses fesses, 5 bonnes minutes passent, la queue est molle, mais toujours de bonne consistance pour rester dans son abri vu la taille. Elle n’ose plus bouger de peur de le faire repartir, elle n’en peut plus, tout comme elle n’ose pas lui parler et lui demander de se retirer. Il est lui aussi fatigué, mais il ne veut rien montrer, rien lâcher, il recommence alors son mouvement de va et vient tout doucement comme pour se redonner vigueur dans sa chatte, alors elle supplie, non, pas aujourd’hui, je vous en supplie, je ne peux plus. Il lui dit si encore un peu, pas longtemps je sais que tu aimes que je te lime. Non plus maintenant, je vous en prie je suis en feu.
Très bien je te laisse, simplement demain rendez-vous à l’auberge du village pour 16 heures, si tu ne viens pas je saurai bien te retrouver.
Non pas l’auberge, je suis connue ici. Il l’a prend par les cheveux et lui dit où alors, que je puisse te faire crier comme la chienne que tu es.
Chez mes parents, à la ferme, ils sont partis pour 1 mois. 1 mois, mais cette cure va me plaire tout compte fait. Elle regrette très vite ce qu’elle vient de lui dire, mais il est trop tard. Explique moi vite où se trouve ta ferme ma chérie, je viendrai te voir chaque jour. Elle se tait. Explique, ou je raconte partout que je me sautée une petite pute dans les bois, bien bonne et bien volontaire à faire du bien aux messieurs. Et puis tu vois je commence à reprendre vigueur dans ta petite chatte qui me serre bien. Par peur et par dépit, elle explique.
Il se retire d’elle, prend son string et lui dit je le garde, souvenir. Je viendrai te voir chaque jour pour te donner du plaisir avec ma jolie queue, soit chez toi, attends-moi, reste nue pas besoin de futilités nous irons plus vite au but. Il repart vers le sentier la laissant là, pleurant de honte et de douleur. Le groupe revient, et le trouve bien essoufflé, ce à quoi il répond qu’il s’est promené seul sur l’autre sentier et qu’il avait eu bien du mal à revenir.
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