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Proviseur, séducteur et manipulateur

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire est une pure fiction. Les personnages et événements relatés sont tous inventés. Toute ressemblance avec des personnages et événements réels ne serait que pure coïncidence.
    Tout commence dans un petit village isolé du Jura, en pleine montagne. Un homme d’une stature imposante, la cinquantaine passée, 1m80, bedaine assez prononcée, vêtu d’un jean, d’un gros pull en laine recouvert d’une veste en cuir, se dirige avec son 4x4 vers la petite gare de campagne la plus proche. Cet homme est le proviseur du lycée local. Il part accueillir sa nouvelle professeur de français, une jeune débutante de 24 ans, venant tout juste d’avoir son CAPES. Une fois sur le quai de la gare, il vit, au loin, arrivé le TER qui s’arrêta à sa hauteur et aperçut en queue de wagon, une charmante petite blonde descendre du train.
— Mademoiselle Mathilde Garnier ?— Oui ?— Je suis Jean-Claude Cheron, Proviseur du lycée Verlaine.— Bonjour, monsieur. — Je suis venu vous accueillir pour vous emmener à votre logement. — Merci. C’est vrai que c’est un peu perdu ici.
    Une fois dans la voiture, le proviseur lui fit un rapide topo sur la situation.
— Ici nous sommes dans un endroit reculé, pas très touristique et l’hiver, quand il y a trop de neige il nous arrive que tout le canton soit coupé du monde. C’est pourquoi nous avons du mal à trouver des volontaires pour venir. Et en général l’éducation nationale nous envoi de jeunes recrues, comme vous.
— Oui, je comprends. — Toutefois nous bénéficions de tout le confort moderne.— J’espère bien. Je me voyais mal faire du feu en frappant 2 silex.
    Ils arrivèrent dans un vieux corps de ferme en cour de rénovation.
— Voila nous sommes arrivé. C’est un corps de ferme que je retape durant mes Weekend avec des amis. Le bâtiment principal c’est chez moi. Tout m’appartient ici et je rénove le bâtiment en face pour en faire des logements à louer, des gîtes pour des personnes de passage.— Très bien. — Je vous en ait préparé un. Ça vous laissera le temps de trouver autre chose en attendant. Mais si vous souhaitez rester, vous le pouvez.
    Une fois dans son logement, quasiment neuf, la toute jeune prof s’installa. Etant dépourvu de voiture, le lendemain elle alla frapper à la porte du proviseur pour qu’il l’amène au lycée, situé à quelques kilomètres de là. Le proviseur sorti de chez lui, habillé pour la circonstance d’un costume élégant, d’un manteau imperméable et d’un chapeau assorti pour se protéger de la pluie. Une fois arrivée, les présentations faites, l’année commença sous les meilleurs hospices.
    les weekend, Mathilde rejoignait son fiancé. Mais au moment de la toussaint, elle avait remarqué que son homme ne lui portait plus autant d’attention. Cette situation la préoccupait et son inquiétude se voyait au quotidien. Un soir, Le proviseur qui s’inquiétait pour elle se rendit chez sa locataire pour en parler.
— Bonsoir monsieur le proviseur.— Appelez-moi Jean-Claude. Monsieur le proviseur c’est au lycée.— Très bien Jean-Claude.— Depuis quelques semaines je vous sens préoccupée. Vous avez des problèmes ? Je peux vous aider ?— Rien à voire avec vous.— Je m’inquiète du bien être de mes professeurs. Surtout quand ils commencent et qu’ils sont loin de chez eux. Ce n’est jamais facile. Je sais ce que c’est que d’être seul depuis le décès de mon épouse. Mon fils vit à Paris, ma fille à Nice. Si vous voulez en parler je suis là.— Merci …... En fait mon fiancé ne me porte plus autant d’attention quand nous nous revoyons. Et je m’inquiète.— Curieux. Vous êtes charmante. Il devrait être ravi de vous revoir pourtant. Vous pensez qu’il voit une autre femme ?— Ne parlez pas de malheur.— Bon je ne sais pas quoi faire pour vous remonter le morale. J’espère juste que vous pourrez faire la part des choses afin que votre vie privée ne déteigne pas sur votre travail. Vous êtes une bonne prof appréciée de tous et je n’aimerai pas vous perdre.— Merci monsieur.— Bon je vous laisse. Prenez un bon bain, couchez vous tôt pour être en forme et tachez de reprendre du poil de la bête.
    Durant les semaines qui suivirent, le fiancé de Mathilde se montrait de plus en plus distant. Elle avait l’impression de vivre avec un inconnu qui s’absentait le soir au lieu de passer du temps avec elle. Au contraire, le proviseur se montrait de plus en plus prévenant et attentionné, presque paternaliste, un véritable ami. Elle appréciait sa compagnie.    Un jour, après ses cours elle trouva dans sa boite mail, un message avec des photos en pièce jointes signé « Un ami qui vous veut du bien ». Là ce fut la douche froide. Elle y voyait son fiancé, en rendez-vous galant avec une belle brune pulpeuse. Les photos étant datées certaine d’entre elles avait été prises alors qu’elle était chez elle avec lui. Elle fut anéantie. Le proviseur, voyant que ça n’allait pas, voulu faire une mise au point.
— Ok, Mademoiselle Garnier Je sais que vous traversez une mauvaise passe en ce moment mais dans l’enceinte du lycée, je vous demande de faire fi de votre vie privée.— Bien monsieur le proviseur.— Je sais que c’est désagréable mais j’exige la même discipline avec tout le monde en particulier en face des élèves.— Je comprends bien.— Si vous le voulez on pourra en parler en privé à la maison mais pas ici.— Merci je pense que j’ai besoin de me confier à quelqu’un.
    Une fois arrivé, Le proviseur toujours très prévenant, l’invita à partager son dîné le soir même.
— Jean Claude, vous êtes un excellent cuisinier.— Merci. Ça fait plaisir de ne pas dîner seul. Et encore plus avec quelqu’un qui apprécie ma cuisine. Vous savez, la cuisine et moi c’est une longue histoire d’amour. Je suis amateur de bonne chair comme en témoigne mon tour de taille. C’est pourquoi, avant d’être proviseur j’étais professeur de cuisine dans une école spécialisée.— Ça se voit.— Bon si on parlait de ce qui vous préoccupe.— Les images valent parfois mieux qu’un long discours. Regardez ça.
    Et là elle lui montre les photos reçues par mail qu’elle avait imprimée.
— C’est votre fiancé sur les photos ? Qui est cette jeune femme avec lui ?— Oui c’est lui. Et je ne sais pas qui est celle qui l’accompagne.— Eh bien il ne se gêne pas dites-moi. Je crois que la situation est claire : il vous trompe. Ce baiser sur la dernière photo est plus qu’explicite. Ça me rappelle quand il est arrivé la même chose à ma fille. J’ai envoyé mon poing dans la figure du type.
    Ces paroles étaient ce qu’elle redoutait et en sanglotant elle se blottissait contre celui qu’elle appréciait de plus en plus.
— Ecoutez, je doute de pouvoir faire quoi que ce soit pour vous concrètement. Je ne peux que vous donner mon avis. Pour moi, il n’en vaut pas la peine. Et encore moins si il se jette sur la 1ère fille qui passe comme un vulgaire directeur du FMI au SOFITEL. Jolie comme vous êtes je doute que vous ayez du mal à trouver mieux.— Merci. Je pense que je vais vous écouter et tourner la page. Je vais récupérer mes affaires chez lui et aménager ici. Je ne suis plus pressé pour ma mutation.— C’est vous qui voyez.
    En la raccompagnant à la porte, après une petite bise pour lui dire au revoir, le proviseur esquissa un timide baisé sur les lèvres de sa locataire mais se ravisa aussitôt.
— Excusez-moi. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je ne devrais pas. je suis votre proviseur. Peut-être est ce ma solitude qui me pèse, ou alors l’émotion dû à votre situation. — Ce n’est pas grave, à demain. Dit-elle en passant la pointe de sa langue sur ses lèvres, troublée par ce qui venait de se passer.
    Une fois sa locataire sortie. Le proviseur se précipita sur son téléphone.
— Allô, Thierry ? Ici Jean-Claude. Honnêtement tu as assuré. Le plan marche comme sur des roulettes.— Oui, ce type n’a aucune volonté. La moindre fille lui fait du rentre dedans, il plonge.— C’est clair. En tout cas plus le temps passe, plus elle me fait de l’effet cette petite. Encore quelque temps et je crois que je pourrais très bientôt la mettre dans mon lit. — T’aurais tord de t’en priver.— Après tout c’est aussi de la faute de son mec. S’il avait su contrôler ses hormones ….— En tout cas appelle-moi pour passer à l’étape suivante, Après m’avoir aidé quand j’étais en galère je te devais bien ce petit service.— OK. Assure-toi juste que la call girl ne parle pas. Qu’elle lui fasse passer du bon temps, qu’elle lui fasse tout ce qu’il demande. — T’inquiète pas Elle kiffe de jouer les Matahari.— Parfait. Je te rappel pour la suite monsieur « l’ami qui vous veut du bien ».
    La situation était claire. Dès son arrivée sur le quai de la gare, le proviseur avait flashé sur la jeune et belle prof de français. Il avait profité qu’un de ses amis lui doivent un service pour monter une machination et fragiliser son couple en jouant la carte de l’isolement sur son compagnon. Bien sur, si le couple était vraiment solide et sincère, le mec aurait éconduit la fille qui le draguait et il aurait fait chou blanc. Mais là ça marchait. Ensuite avec son naturel charmeur, gentil et bonne pâte, il essaya, de son coté d’apprivoisé la belle. Si ça ne marchait pas il passait pour un bon ami et aurait eu des relations courtoises entre collègue. Mais au vu de la réaction de la demoiselle suite à son baiser furtif, il lui avait fait comprendre que si elle devait le remplacer, il se présentait comme un candidat potentiel. Il ne lui voulait pas de mal, au contraire. Juste lui montrer qu’il tenait à elle et qu’il pouvait surement la rendre heureuse. Il lui avait aussi permis de découvrir quel genre d’homme était son fiancé : Un homme dépourvu de la moindre volonté. La machine était lancée.
    Le lendemain, Mathilde ne savait que penser. Certes, elle appréciait son voisin qui la logeait contre un loyer plus que raisonnable avec tout le confort qu’elle désirait. Mais Jamais elle n’aurait imaginé qu’il avait de tels sentiments pour elle. Du coup elle se remémora toutes les petites attentions qu’il avait eu envers elle et au bout de quelques jour elle ne le voyait plus comme son gentil voisin. Un soir, elle décida de l’inviter à dîner chez elle.
— Bonsoir Jean-Claude. Débarrassez-vous.— Bonjour et merci de m’avoir invité. Mmmhh j’aime bien ce que vous avez fait de cet endroit. C’est ravissant.— Merci. J’espère que vous aimez le poisson. J’ai préparé du saumon beurre-blanc. C’est ma mère qui m’a appris à le faire.— Ah j’ai hâte de goutter ça.
    Après avoir dîné, ils se retrouvèrent sur le canapé pour un petit café.
— C’était très bon Merci. J’aime bien l’idée des échalotes marinées dans le vinaigre mélangées à la sauce. — On sent le professionnel qui reconnait les ingrédients. C’est le secret de la recette. Je voulais profiter de ce dîné pour vous poser une question un peu gênante.— Allez-y.— Depuis que je suis ici vous vous êtes montrez si gentil et prévenant envers moi. Je me suis demandé pourquoi et je crois avoir compris depuis hier. Jean-Claude … éprouvez vous des sentiments pour moi ? Je veux une réponse sincère.— Et bien ….. Oui, depuis que je vous ai vu sur le quai de la gare. Mais je sais qu’en tant que proviseur je ne devrais pas et que …..
    Et là sans prévenir, Mathilde lui roule un patin. Ils se regardèrent fixement avec des étoiles dans les yeux et recommencèrent à s’embrasser sur le canapé. Le proviseur avait réussi son coup. Il l’avait séduite et était parvenu à éloignée d’elle ce fiancé qu’il pensait ne pas la mériter. Après une longue séance de galoche le proviseur voulu en savoir plus.
— Mathilde, je suis surpris. Pourquoi autant d’attention et pourquoi maintenant.— Je me considère comme célibataire. Ça fait des mois que mon homme ne me touche plus et vous, au quotidien, vous m’avez prouvé votre affection. J’ai appris à vous connaitre, et à vous apprécier. Et puis vous êtes veuf. Je suis sur que vous aussi vous avez besoin d’amour.— C’est vrai que ça manque.— Alors laissez-vous faire.
    Et là elle retira son chemisier, au dessous duquel elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Du coup le proviseur avait une vu direct sur ses petits seins arrogants qui le provoquait depuis le début. Par pur reflex animal, il commença à les masser avant de voir Mathilde se placer entre ses jambes, déboutonner sa braguette et lui faire une fellation. Chose qu’il n’avait pas eu depuis longtemps. Malheureusement pour lui, n’ayant pas eu de rapport depuis sa femme, il fini par jouir très vite, trop vite, dans la bouche de sa partenaire. Navrés de la situation, ils s’embrassèrent avant de se séparer pour mieux se retrouver par la suite.    De retour chez lui, ravi de la tournure des événements mais frustré que se fut si court, il prit son téléphone et appela son complice.
— Allô Thierry ? C’est Jean-Claude.— Salut comment tu vas ?— Bien ma foi. Je t’annonce que le poisson a mordu.— Déjà ? Laisse-moi deviner : elle t’a embrassé. Non mieux, elle t’a sucé.— Exactement.— Tu rigoles ? moi je disais ça pour déconner.— Bah pas moi. Bon par contre je suis parti trop vite.— Pas étonnant t’as pas eu de femme depuis la mère de tes enfants. En tout cas je suis content pour toi. Du coup on fait quoi ?— On laisse filer encore un peu. Je te fais un premier virement pour payer la fille. Et quand j’aurai vraiment conclus on avisera.— Ça ne te dérange pas si je profite d’elle aussi ? — Pas à mes frais.— Ne t’inquiète pas. Et puis elle me plait et j’ai envie de m’amuser.— Je ne vais pas te jeter la pierre.— Ok bah bravo à toi et à plus tard pour de nouvelles aventures.— C’est ça. A plus.
    Le proviseur était ravi. Ok il avait un peu provoqué la situation, mais il ne l’avait ni violé ni fait chanter. En plus elle était, d’elle-même, venue vers lui sans qu’il ne commence à lui faire réellement du charme. Sa solitude allait bientôt prendre fin. Par contre il ne fallait pas paraître trop impatient. L’hiver allait commencer et ça allait être le moment propice pour des rapprochements bien au chaud sous la couette ou devant la cheminée.    Mathilde quand à elle, s’en voulait un peu de l’avoir fait partir trop vite. Elle aurait voulu en profiter plus et compte tenu de la consistance de ce qu’elle avait reçu en bouche, elle avait deviné qu’il n’avait pas, ou peu, eu de femme ces dernières années. Mais elle comptait bien lui rendre toute l’affection et ses délicates attentions qu’il avait eu envers elle … et même plus si c’était possible. Il ne lui restait plus qu’à récupérer ses affaires chez celui qu’elle considérait déjà comme son Ex. Elle ne perdit pas de temps pour partir reprendre ses affaires chez son ex le weekend suivant. Elle eu le plaisir de lui claquer la porte sur le nez après une engueulade mémorable où il reçu pas mal de noms d’oiseau.     L’hiver s’installa et la neige tombait abondamment. Comme s’était déjà arrivé plusieurs fois auparavant, les routes d’accès aux villages du canton étaient coupées et cette année là, les lignes électriques avaient cédé sous la neige. Ce fut le prétexte, pour le proviseur, pour accueillir sa charmante locataire chez lui le temps que ça s’arrange. Certes La belle avait tout chez elle mais tout électrique même le chauffage. Du coup elle arriva se blottir chez son propriétaire qui l’attendait avec impatience, disposant d’un vieux poêle à mazout et d’une cheminée. Tous deux assez gros pour chauffer la maison. Le soir il lui prépara la chambre d’ami. Après un diné copieux préparé à la gazinière, éclairé à la bougie. Ils partirent se coucher, chacun de son coté. Il ne fallu pas 20 minutes d’attente au proviseur pour voir sa porte s’ouvrir et apercevoir sa locataire entièrement nue le rejoindre dans son lit.     Ça y est, cette fois, c’était dans la poche. Ils commencèrent à s’embrasser tout en se caressant. Délicatement. Puis, en ce mettant en position pour un 69, elle retira le caleçon de son nouvel homme et enfourna sa queue qu’elle connaissait déjà un peu alors que lui avait déjà commencé à la lécher. Elle sentait l’expertise de l’homme mur sachant bien manier sa langue. Rien à voir avec le petit freluquet qu’elle fréquentait avant. Lui savait parfaitement comment lui titiller le berlingot pour lui arracher des gémissements de plaisir. Elle, de son coté, s’évertuait à lui rendre la pareille. Mais elle avait la hantise de le voir partir trop tôt comme la 1ère fois. Sentant la jouissance arriver, Il lui demanda d’arrêter et de venir se blottir sur lui. Il la fit s’allonger sur le dos pour mieux la prendre tout en la recouvrant de toute sa masse. Durant de longues minutes, la jeune et belle Mathilde encaissait les puissants coups de rein de son gros nounours qu’il lui arrachait des gémissements de plaisir à chaque mouvement. Même si elle n’aurait jamais pensé coucher avec lui, Elle était ravie d’avoir trouvé en lui en homme qui était aussi affectueux, doux, gentil et performant malgré son âge et sa corpulence. Lui était motivé par l’excitation du moment. Depuis le temps qu’il rêvait d’elle dans son lit, il la possédait enfin. Il savait que le plus dur maintenant serait de la garder et pour ça il devait la combler …. Pas que ça lui déplaise.    Le lendemain, la jeune prof retourna chez elle afin de se préparer pour une des dernières journées de cours avant les vacances de noël. Apprenant que le courant serait rétabli dans la journée ils repartirent au lycée où la moitié des élèves manquaient à l’appel. Après cette journée où ils étaient restés relativement discret sur ce qui était arrivé la veille, le proviseur ne put s’empêcher de la convoquer dans son bureau pour un câlin crapuleux sous prétexte d’une évaluation de compétence. En revenant chez eux, le courant était revenu. Jean-Claude pris son téléphone pour appelé son complice.
— Thierry ? C’est Jean-Claude.— Salut ! alors j’ai appris que vous étiez coupé du monde ?— Ce ne sera plus le cas ce soir selon la DDE. En tout cas la panne d’électricité d’hier a permis certains …. Rapprochement.— Ahh ? J’en déduis que ça y est ? tu te l’es envoyé ?— Oui. Hier soir … et aussi cette après-midi dans mon bureau au lycée. Du coup je t’envoi le dernier virement. Tu paye la fille pour qu’elle le jette, tu lui paie un billet d’avion pour une destination exotique et je te libère.— Ah quel dommage. Elle est chaude comme une baraque à frite.— Après ça, libre à toi d’aller la rejoindre.— Bon ok bah amuse toi bien alors.— J’y compte bien. D’ailleurs la voila qui frappe à ma porte. Tu m’excuse mais le « gros » va se faire sucer.— Bonne bourre.
    Durant la semaine qui suivi, jusqu’à noël, pour le proviseur s’était quasiment la fête à Popole tous les soirs. Ses journées alternaient entre travaux de rénovation et gâterie durant les pauses. C’était l’effervescence du début de relation. Pour noël il lui avait prévu un repas de gala, préparé par ses soins, chez lui avec un « cadeau surprise ». Après le repas traditionnels avec le foie gras et la dinde aux marrons, C’était l’heure de la surprise.
— Ma chérie, je t’ai réservé une petite surprise. Je vais te demandé de te bander les yeux et de m’attendre.— OK Je ne sais pas trop à quoi m’attendre.
    Il part et reviens quelque minutes plus tard. C’est alors, qu’en ouvrant les yeux, Mathilde admire son homme costumé en Père noël avec le sourire. Il avait remplacé la grosse ceinture noire en cuir par un ruban rose avec un nœud qu’elle devait ouvrir pour y découvrir son paquet cadeau.
— Alors mademoiselle? On ne dit pas bonsoir à Papa Noël ? Si tu veux ton cadeau va falloir être une gentille fifille.— Oui je vais être gentille. J’ai toujours voulu savoir si tu étais comme le sapin. Dit-elle avec un sourire moqueur et amusée, comprenant où il voulait en venir.— C’est-à-dire ? — Que les boules ne servent qu’à décorer.— Et bah viens vérifier par toi même alors.
    Et là elle se met à genou devant son homme, défait le nœud de la ceinture avec les dents, et ouvre le manteau laissant apparaitre un T-shirt marcel blanc et baisse le pantalon rouge. Ainsi qu’un caleçon aux couleurs de noël, vert avec des petits paquets cadeau dessus.
— Maintenant pour être gentille tu va me laisser faire ce que je veux.— A vos ordres.
    Et là, le faux père noël empoigne la tête de la demoiselle afin de lui glisser sa queue dans la bouche et simuler un viol buccal.
— Alors tu l’aime mon sucre d’orge ?— Oui meuchieux.— On t’a jamais dit qu’il ne fallait pas parler la bouche pleine ?— Chi mais che peux pas boucher.— Mais elle insiste en plus. Tu mérites une punition. Viens t’empaler sur mon manche. Dit-il en s’affalant sur son divan.
    Il la tire, par la main, plaque ses mains sur ses hanches et l’enfonce sur son mandrin ou elle se déhanche sur lui tout en l’embrassant. Après ça il ne pu s’empêcher d’éclater de rire.
— Ah qu’est ce qu’il ne faut pas faire pour mettre de l’ambiance.— C’est vrai que je n’aurai jamais imaginé faire l’amour au Père Noël.— Ah c’est ton fantasme alors ?— On peut dire ça. Tu me termine sur le tapis ? en levrette ? — Comme tu veux.
    La soirée se termina avec une levrette sur la peau de bette, devant la cheminée ou Papa Noël qui haletait comme un troupeau de renne, besognait sa maman noël. Et fini par un brame de cerf en rut lors de l’éjaculation.Durant les semaines qui suivirent, même si leurs libidos s’étaient un peu calmées, ils étaient toujours aussi épris l’un de l’autre, et continuaient à se voire très régulièrement soit chez l’un soit chez l’autre. Le temps passa et le proviseur était ravi de pouvoir enfin passer une saint valentin avec une jolie femme sans se choper une tendinite au poignet. La jeune et jolie prof décida d’emménager chez son amant mais une ombre au tableau commençait à déranger le proviseur : elle commençait à envisager la possibilité de fonder une famille. Jean-Claude lui n’en avait pas très envie et il ne s’en cachait pas. Il n’avait aucun désir de retomber dans les couches et les biberons. Il estimait avoir déjà assez donné avec ses 2 premiers enfants.    Un jour, en rentrant du lycée, ils aperçurent une voiture garée à coté de chez eux. Mathilde l’a reconnu car c’était celle de son ex. Il les attendait devant chez eux.
— Mathilde ! Te voila. Pardonne moi je me suis fait piégé. Cette fille C’est une pute qu’on m’a collé dans les bras et ….. Vous ! C’est vous qui m’avez fait ça ! Crie-t-il en apercevant le proviseur.— Mathilde, il n’est pas bien ce type ?— Ne faites pas l’innocent c’est vous qui avez tout brisé entre nous.— Mais il est vraiment pas bien lui. Ça fait bien 4 ans que je ne suis pas sorti de la région.— J’ai retrouvé votre complice Thierry en suivant la fille que vous m’aviez mis dans les pattes. Il m’a tout raconté.— Faut vraiment qu’il se fasse soigner.
    S’en suivi une bagarre entre les 2 hommes que Mathilde fini par séparer.
— STOOOP ! Vous arrêtez tous les 2. Ecoute Fred. Quand je suis parti ici, notre couple battait déjà de l’aile. En plus, Jean-Claude ne m’a jamais forcé en rien. Et puis même si il t’avait mis une fille dans les bras comme tu dis, t’étais pas obligé de lui sauter dessus comme je l’ai vu sur les photos.
— Ok, Alors dis-moi qui t’a donné ces photos ? Qui t’as influencé en te conseillant de me quitter ? — …. Question intéressante mais même malgré tout ça. ça m’a permis de voire que tu ne résistes pas au 1er minois qui passe et je ne compte pas rester derrière toi avec de l’eau froide pour calmer tes érections intempestives. Espèce de DSK à la noix. Et puis si tu tiens vraiment à le savoir. Lui au moins me donne vraiment du plaisir au lit. Pas comme toi avec ton petit goupillon.
— Je m’en fous. A cause de lui, ton père m’a fait viré de la boite quand il a appris. Ça a ruiné ma vie ….
    Et là il sorti un revolver de son manteau.
— Houlà Fred ….. Calmez-vous. On n’est pas des animaux. Rangez ça. Vous allez blesser quelqu’un.— Pas avant que vous ayez fait des aveux.— J’avoue avoir été très attiré par Mathilde dès son arrivé à la gare. Mais elle le sait.— ET QUOI D’AUTRE ? dit il en plaquant le canon de son arme sur la tempe du proviseur.— Bon OK j’avoue avoir demandé à Thierry de vous tester. Mais comme Mathilde l’a dit tout à l’heure vous êtes aussi fautif voir plus que moi. Vous n’aviez qu’à résister. Et puis moi de mon coté je n’ ai jamais rien tenté tant qu’elle n’avait pas pris sa décision.
    La vérité avait fini par éclater mais ça n’excusait en rien la folie du geste de Fred.
— Fred, lâche cette arme. Tu es trop nerveux le coup peut partir tout seul.— Je m’en fous. Je n’ai plus rien à perdre.
    Jean-Claude profita d’un instant d’inattention de son agresseur pour se saisir de l’arme les 2 hommes se bâtèrent pour la possession de l’arme et on entendit un coup de feu partir. Quand les gendarmes arrivèrent (la caserne n’était pas loin ils avaient entendu le bruit). Ils arrêtèrent Fred et retrouvèrent le proviseur avec une balle dans l’épaule.    15 jours après, le proviseur était de retour de l’hôpital chez lui, l’épaule bandée. Mais Mathilde voulu faire une mise au point.
— Bon écoute Jean-Claude. Tu ne m’avais pas tout dis visiblement.— Oui je sais. Si tu veux me quitter je comprendrais.— Je pourrais effectivement. Mais tu restes quand même le meilleur coup que j’ai connu.— Euh … Merci mais je sens que ce n’est pas tout.— T’as tout compris. Je veux bien rester avec toi mais à une condition. Que tu ne me refuses pas le droit à un enfant.— Je me doutais bien que ça reviendrait sur le tapis. De toute façon je me doutais bien que je devrais y venir si je voulais te garder.— Donc c’est d’accord ?— Bah oui C’est d’accord.
    2 ans plus tard, nous retrouvons le proviseur en route vers la maternité. A ses cotés, Mathilde, qui venait de perdre les eaux. Quelques heures plus tard, elle mit au monde une petite fille. Le lendemain, ses autres enfants débarquaient pour faire connaissance avec la petite. Son fils venant avec son petit dernier de 6 mois et sa fille, ses 2 jumelles d’un an. Les 3 petits enfants du proviseur se retrouvaient donc avec une tante plus jeune qu’eux. Je vous laisse imaginer le boxon pour leur expliquer quand ils seront en âge de comprendre.
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