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De puceau à maquereau

Chapitre 2

Hétéro
J’ai honte de profiter de son abandon mais c’est tellement bon de la tenir dans les bras. Presque contre ma volonté ma main caresse la taille, descend sur les fesses. Je sens sous les doigts l’ourlet du slip, du moins c’est ce que j’ai cru à ce moment là. Confus je remonte le poignet. Ce n’est plus un sexe que j’ai entre les jambes mais un véritable bout de bois… La musique ne cesse pas… Je n’y tiens plus… Il faut que je me soulage aux toilettes, sinon… sinon quoi ? J’ignore, je ne suis plus capable de réfléchir. Par un effort surhumain, je parviens à me détacher d’Annie. — Oui, tu as raison, sortons, me souffle-t-elle.
Elle m’entraîne dans le parc. Il fait doux, l’air nous fait du bien après la chaleur étouffante de la salle. Ma copine m’emmène à l’écart dans un bosquet sombre. Je m’accoude à la balustrade qui surplombe la deuxième partie du parc. Annie me rejoint en soupirant. Je comprends qu’elle aurait préféré s’asseoir sur un banc proche, mais j’ai peur de m’asseoir à ses cotés. Peur que dans l’obscurité complice j’ose les gestes que j’accomplis en rêve, gestes qui je le crains la feraient fuir. Elle s’appuie contre moi. Je passe le bras autour de son cou. Ma main pend sur son épaule, je sens sur le bout des doigts le doux renflement de sa poitrine. Ah si j’osais ! Avec quel délice je caresserais ses seins ! J’ai bien trop peur qu’elle s’en aille. Je suis si bien à ses cotés… Annie mordille le lobe de mon oreille. — Aah ! Je tourne la tête, ma bouche touche la sienne. Oh ! Un petit bout de langue frétille et s’insinue entre mes lèvres… C’est délicieux !… La mienne se précipite à la rencontre… les deux muscles entament un ballet voluptueux dans ma bouche puis dans la sienne… On ne m’avait jamais, je n’avais jamais embrassé de la sorte… C’est divin… Un véritable acte d’amour…
Une forme claire accompagnée par une autre plus sombre s’approche en contre bas. La lune qui passe à travers les feuilles les éclaire un instant. Oh ! On dirait la robe de Chloé. Que vient-elle faire là ? Avec Jacques ils devaient passer la nuit dans un hôtel des environs. Annie l’a aussi reconnue. — C’est ta sœur ? Avec qui elle est ? murmure-t-elle. — Mais avec son mari pardi ! Le couple s’installe sur un banc juste au-dessous de nous. On ne distingue que la robe, tache à peine moins sombre que l’environnement. On devine qu’ils s’embrassent avec passion. Connaissant ma sœur, je sais qu’ils ne se contenteront pas de ces préliminaires. Je veux entraîner Annie loin de ce spectacle choquant. Elle résiste. — Chut ! Si on bouge, ils s’apercevront de notre présence. Tu te rends compte de la gêne qu’ils auront ! Il est préférable d’attendre qu’ils terminent… Bon, elle a peut-être raison. Je veux reprendre ses lèvres. — Chut ! Ils vont nous entendre. Annie se penche pour voir si le couple nous a détectés. — Attention, ils vont te voir s’ils lèvent la tête. — Aucun risque, les arbres au-dessus de nous nous protègent… Elle a raison, je me penche à mon tour. Si je n’avais pas reconnu la robe tout à l’heure quand la lune l’a furtivement éclairée, je ne saurais dire qui est la femme sur le banc au-dessous de nous. Ils ne se doutent pas que nous les observons. Le murmure de la brise dans les feuilles couvre nos chuchotements. Maintenant, la tache claire monte et descend sur le tas plus sombre. — Oh ! Ils font l’amour ! — Je crois, viens, laissons-les. Je tente sans succès d’entraîner Annie. — Bouge pas ! murmure-t-elle. Tu vas nous faire remarquer… Euh… Il vaut mieux qu’ils ne se sachent pas observé.
Je suis contrarié. Depuis l’arrivée de Chloé et de son mari, Annie ne veut plus bouger craignant de dévoiler sa présence. Oh ! Mais c’est une idée ça ! Si je tente une caresse elle n’osera pas se dérober de peur de se trahir. Je l’attire contre moi. Ma main plonge sur sa poitrine, empaume un sein qui palpite. Annie gémit. Je ne laisse pas apitoyer. Je pianote sur la chair douce. Elle tente d’immobiliser ma main contre elle mais mes doigts explorent le globe. Ah ! Quel plaisir de toucher cette poitrine tendre ! Je découvre le téton qui durcit, je m’amuse à le triturer. Consciente de son impuissance, elle s’abandonne à ma caresse. En dessous, la tache claire danse toujours…
— Tiens ! Vous êtes là ? Je vous cherchais partout. Nous nous séparons brusquement. Une ombre nous rejoint. Mon dieu ! Jacques ! Mais alors qui est avec Chloé ? Je suis furieux ! Ma sœur est incorrigible, encore avec un amant ! Le soir de ses noces ! Pourvu que le mari ne s’aperçoive de rien ! Annie aussi a compris le danger. — Chut ! Pas si fort ! Il y a en bas un couple qu’on ne veut pas déranger. — Ah ? Qui c’est ? — Euh… Je… On ne sait pas, on ne distingue pas grand-chose. Jacques se penche. Mon cœur bondit dans ma poitrine, il va reconnaître Chloé ! Fausse alerte. Il se relève hilare. — Ils ne s’embêtent pas ! Ils ont raison, la vie est si courte ! Il s’installe contre la balustrade à coté d’Annie. — Hé ! Hé ! Je vous y prends à espionner de pauvre amoureux. — On n’espionne rien du tout ! Nous étions là quand le couple est arrivé. — Oui renchérit Annie. On n’a pas osé bouger pour ne pas les gêner. — Pour ne pas les gêner ? Ah oui, vous avez raison, ce serait dommage. Nous restons immobiles. On n’entend plus que les gémissements du couple en pleine action et le bruissement des feuilles. — Que fais… Jacques interrompt Annie. — Chut ! Vous allez les déranger là dessous ! — Quand même tu… Faut-il qu’elle soit perturbée pour le tutoyer juste après avoir fait sa connaissance ! Elle se repend bien vite. — Euh… pardon vous… — Tenez-vous absolument à dévoiler notre présence ? insiste-t-il en lui coupant la parole. — Vous… vous avez raison. Il faut pas… les déranger, s’excuse-t-elle. Annie agrippe mon poignet qu’elle serre convulsivement. La lune disparait derrière un nuage. On ne distingue plus rien, même pas Jacques à nos cotés. Je veux me libérer pour passer le bras autour des épaules de ma voisine. — Non… s’il te plait. Je sens sa main glisser dans ma poche. Zut ! C’est celle dont le fond est percé ! J’ai oublié de signaler l’incident à Lucie ce matin en essayant le costume. Ça y est ! C’était couru d’avance ! Les doigts fureteurs découvrent le trou. Je veux me dégager. — Reste tranquille, demande-t-elle. J’insiste, un bref déchirement, le tissu cède, la main s’engouffre dans l’ouverture. — Bouge pas ! L’ordre bref m’immobilise. Je frémis lorsque les doigts tâtent la protubérance à travers le slip. Ils enserrent la tige qui durcit à vitesse grand V. — Mmmh ! — Qu’est-ce que tu as Jean ? interroge Jacques. — Ri-ri-rien. J’en bafouille de plaisir. Je ferme les yeux. Oh ! Cette sensation ! La première fois qu’une main étrangère touche mon sexe ! C’est tellement meilleur que lorsque je me caresse ! Annie tortille des hanches. Il me semble que mon beau-frère se baisse. — Qu’est-ce qu’il y a Jacques ? — J’enlève une branche qui gênait les jambes d’Annie. J’interroge celle-ci. — Pourquoi tu me l’as pas demandé ? — Je voulais pas que tu bouges, murmure-t-elle en m’embrassant sous l’oreille. La main a glissé sous le slip, elle empoigne la verge. Oh ! C’est divin ! L’excitation est trop forte. — Mmmh ! — Je te fais mal ? Oh non elle ne me fait pas mal ! Je bafouille des mots incompréhensibles sous l’emprise d’un plaisir violent. Ma queue tressaute dans les doigts d’Annie et crache sa semence. Jamais une masturbation ne m’avait fait un tel effet. J’halète comme un phoque. — Qu’est-ce que vous avez ? interroge Jacques. J’espère que je ne vous gêne pas. Annie le rassure à ma place. — Oh non !… Pas… Pas du tout ! Elle aussi est émue de m’avoir caressé. — Nous pouvons rester ainsi ? Annie et moi répondons en cœur. — Oh oui ! — Chut ! Il ne faut pas déranger les amoureux là-dessous. Elle ne retire pas la main. Les doigts s’enroulent autour de la verge souple, c’est délicieux. Cela fait autant d’effet à Annie qu’à moi car elle soupire, gémit presque près de mon oreille. A nouveau je veux la serrer contre moi. — Non… s’il… s’il te plait… Reste comme ça ! C’est à cause de Jacques qu’elle ne veut pas. Ah ! S’il n’était pas là ! Comme pour me remercier de mon obéissance, la main s’active dans mon slip. C’est frustrant d’éprouver autant de plaisir sans pouvoir le rendre ! Je ne sais pas ce que fait mon beau-frère. Il doit se morfondre à coté de nous qui ne lui portons aucune attention. Je m’en fous, les amoureux sont seuls au monde dit-on, c’est bien vrai. La caresse fait autant d’effet à Annie qu’à moi. Elle gémit au rythme des mouvements de son poignet. Tout à coup, elle frotte son ventre contre ma cuisse de bas en haut tout en exhalant de profonds soupirs. — Qu’est-ce que tu as à bouger comme ça ? — Euh… J’ai des… fourmis… dans… les jambes, m’explique-t-elle dans un murmure entrecoupé de gémissements. Sa main serre ma queue aussi raide que tout à l’heure. Bien que je n’en aie aucune envie, je lui propose par politesse de rejoindre la salle des fêtes. — No-non… Ça … Ça va pa-pa-passer, balbutie-t-elle. — Et si je fais… Ça… Ça va mieux ? demande mon beau-frère. Il doit lui masser les mollets, ce que je devrais faire si j’avais le courage de renoncer à la caresse. Mais pourquoi soupire-t-il lui aussi ? Cela l’embête tellement ? — Oh ! Oui ! le remercie Annie. Le plaisir monte dans ma verge. Je ferme les yeux. Je suis heureux, la fille que j’aime est à mes cotés et m’offre une merveilleuse preuve d’amour. L’explosion de jouissance m’arrache un fort gémissement, presque un cri… Dans mon délire, il me semble entendre Annie et Jacques accompagner mes soupirs…
Nous restons un long moment immobiles. La lune revient, brisant l’obscurité totale. Annie retire la main de ma poche et se penche au dessus de la balustrade. — On dirait qu’il n’y a plus personne. Tant mieux ! Quelle catastrophe si Jacques avait surpris sa femme ! Inconscient de son infortune, il se baisse et ramasse quelque chose de clair. — Veux… Voulez-vous me rendre ça ! s’exclame Annie. — Qu’est-ce qu’il a pris ? — Ma… euh… mon mouchoir ! — Vous n’aurez qu’à venir la… euh… le chercher chez moi… pardon chez nous puisque maintenant j’habite dans la même maison que Jean, réplique mon beau-frère. Qu’ont-ils tous les deux à mélanger les genres ? Annie je comprends, elle est émue par la caresse qu’elle m’a prodiguée mais Jacques ? Je ne dis rien car il a eu la bonne idée de l’inviter ! L’occasion unique à ne pas rater ! — Jacques a raison. Il le fera nettoyer et te le rendra lorsque tu viendras me voir. — Tu… tu crois ? — Tu feras plaisir à tout le monde. — Oui renchérit Jacques, à tout le monde… Le silence retombe. Je repense avec délectation aux instants passés. J’ai encore sur la verge le souvenir des doigts d’Annie. — Ce n’est pas que je m’ennuie en votre compagnie, car j’ai passé avec vous un excellent moment, poursuit mon beau-frère… C’est gentil de dire cela mais en réalité nous t’avons bien laissé tomber ! — …mais il faut que je rejoigne mon épouse qui doit se demander ce que je fabrique. Je vous laisse vous amuser ensemble… Je ne sais si je vous verrai encore cette nuit Annie, aussi je vous dis au revoir et à bientôt j’espère. — Oui, pour que tu lui rendes son mouchoir. — C’est ça, vous rendre votre mouchoir. Il disparaît dans l’ombre. Ouf ! Il est parti ! Annie se tourne vers moi. Nos bouches se rejoignent…
Les frasques de Chloé me turlupinent et m’empêchent de savourer pleinement cet instant de grâce. — Ben dis donc ! Quelle aventure ! Si je m’étais imaginé… — Oh oui alors ! renchérit ma copine. — Quand même je n’en reviens pas… — Moi non plus. — Ma sœur qui s’envoie en l’air… — Ah ! C’est à elle que tu penses ? — Ben oui ! Tu te rends compte ? Le soir de ses noces ! Heureusement que Jacques ne s’est aperçu de rien. — Euh… Je ne sais pas s’il en aurait été très affecté. — Bien sûr que si ! Il aime ma sœur je t’assure, même si elle ne le mérite pas ! Qu’est-ce qui te fait penser le contraire ? — Oh rien… une intuition. Mais tu as raison, ce n’est pas bien de tromper son conjoint. — Bah ! C’est leur problème. Cela ne nous concerne pas. — Euh… Oui, tu as raison, ça ne nous concerne pas. Elle se suspend à mon cou. — Embrasse-moi !… — Dis, demande-t-elle quand nous nous séparons de longues secondes plus tard, si on retournait à la salle nous aussi ? J’ai un peu frais. — Vos désirs sont des ordres, mademoiselle ! Je passe le bras autour de sa taille. En marchant ma main glisse sur les fesses. Annie se serre contre moi. Je caresse les rondeurs. Je m’étais trompé tout à l’heure, il n’y a pas d’ourlet à son slip…
A suivre…
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