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De puceau à maquereau

Chapitre 10

Hétéro
Il l’enlace. Je vois la main de Jacques s’insinuer entre leurs ventres. Il doit la caresser car Annie gémit. Il l’emporte sur le lit et s’installe entre les cuisses écartées. Je suis un peu frustré : il me cache le sexe de ma copine. Je n’ai en premier plan que ses fesses nerveuses. Il se met à quatre pattes le cul proéminent. Jacques exhibe son anus fripé et les deux bourses poilues qui pendent entrejambe. C’est curieux l’effet que cela me fait. Je bande comme ce n’est pas permis. Je me caresse doucement. Il s’avance vers Annie. — Non ! gémit-elle. Pas ça !… (« Hé ! Elle ne va pas me laisser tomber ! Pas elle ! ») Elle sait bien qu’on a besoin qu’elle se fasse tringler pour que nous jouissions ensemble ! — …Que va dire Jean ? (« Remords tardifs ou duplicité me sachant à l’écoute ? ») — Qu’a-t-il à savoir ? Il est charmant mon beau-frère ! — Non… s’il te plait… Aaah ! (« Trop tard ma belle, tu es prise ! ») Jacques entame la danse d’amour. Annie ne résiste plus. (« L’a-t-elle fait ? »)Quand il recule, je vois son trou du cul qui palpite et les testicules valser. — Aah !… Aah !… Aah !… Aah !… Aah !… Les mains d’Annie griffent le dos de son pourfendeur. Elle répond aux coups de rein en tapant des talons sur les fesses. Elle ne m’a jamais fait ça… Ah si ! La première fois… Leur jouissance est contagieuse : Je me masturbe au rythme de leurs va-et-vient. Je mors mes lèvres, pas question qu’un gémissement me trahisse ! (« Hé Jean ! Attention ! Si tu décharges maintenant tu risques la panne quand Jacques aura fini. Toute cette mise en scène n’aura servi à rien ! »)  Je me calme et maintiens mon excitation par une douce et lente caresse. Le lit gémit. Je ne l’ai jamais autant malmené ! Le couple n’en a cure. Il poursuit l’étreinte sans faiblir. Jacques enchaine les coups de rein à cadence régulière. — Aah … Annie… te baiser… Han !… est un délice… Est-ce que Jean… Han !… te fais jouir comme ça ?… Tu ne réponds pas… Han !… Tu sais, je serai… Han !… toujours là si tu as… Han !… besoin de moi… Tu es… Han !… mon meilleur coup. — Mieux que… Aah !… Que Chloé ? — Euh… Han !… Différent… Vous vous… Aah !… complétez… Est-ce qu’ils n’ont pas encore fini ? Les propos de mon beau-frère accroissent mon excitation. Je sens la semence grimper dans la tige. Non ! Pas ça ! Je serre la base de la hampe pour enrayer la jouissance. Ah ? On dirait qu’ils accélèrent… Oui ! C’est bientôt la fin ! Les gémissements s’amplifient. Le postérieur de Jacques danse devant mes yeux et son anus me fait des clins d’œil. Quelle impression ça fait de s’enfoncer dans un cul ? La même chose que dans une chatte ? Internet regorge d’histoires de sodomie où des femmes et des hommes aiment se faire trouer la rondelle et jouissent autant sinon plus que dans une possession normale… — Ouiiii !
Le cri de jouissance d’Annie me réveille. Il était temps : pris par ma rêverie je me caressais à nouveau et j’étais sur le point d’éjaculer. Je lève les yeux et me retire brusquement : attirés par le bruit Papa et Lucie admirent le couple en pleine action par la porte ouverte. Cela n’interrompt pas le délire de Jacques : — Aaah !… Je viens !… ouiii !… Aaarrgghh ! Silence… Je n’ose risquer un œil. J’ai réussi à passer inaperçu ce serait dommage de me faire surprendre maintenant. Le lit gémit à nouveau. — Tu es merveilleuse ma petite Annie la félicite Jacques. Merci, merci beaucoup… — S’il te plait, peux-tu me laisser seule, demande-t-elle. J’ai besoin d’un peu de repos. — Avant le retour de Jean ? — C’est ça. — Bon, Antoine ! Lucie ! Vous avez entendu ? Laissons cette jeune demoiselle récupérer dans le calme. — Il n’y en a que pour elle, se plaint Lucie. — Accorde-moi quelques minutes et tu verras de quoi je suis capable…
Je n’ai pas entendu la porte se refermer et n’ose sortir de ma cachette. Ma queue débande un peu. Ce n’est pas le moment ! Je rétablis la situation de quelques coups de poignets. — Jean ? Tu es là ? Je me précipite la verge tendue à l’extrême. — Oui ma chérie. Je suis tout à toi ! Je ne m’attarde pas à l’admirer, splendide dans son abandon impudique, et prends la place occupée précédemment par Jacques. Oooh ! Cette sensation ! Je glisse dans un océan de douceur. Je retrouve enfin la volupté de notre première étreinte. Pourvu que je tienne le coup ! — Oui mon chéri ! Viens ! Annie m’attire en elle. Je suis encore un peu inquiet. De mon côté tout est parfait mais qu’en est-il du sien ? — Ça… ça va ? — Aah !… oui !… mon chéri… c’est bon ! Rassuré je pistonne avec précaution : ce n’est pas le moment de gâcher cet instant magique par excès de précipitation. Annie est de mon avis : — Aah ! Oui… dou… Aah !… doucement… Mmmh !… Ooh !… Que c’est bon !… Ouiii ! — Meilleur qu’a… Aah !… qu’avec Jacques ? — Ooh ! Ouii !… Mmh ! Ses talons noués sur mes fesses me retiennent prisonnier. Je n’ai aucune envie de m’enfuir ! Le plaisir diffuse dans mon corps sans se concentrer sur un point précis. Je contrôle ! Je me sens fort, maître de mes émotions. Je suis sûr maintenant de tenir le coup de la faire jouir plusieurs fois. Mon corps entier est à l’écoute de ses émotions. Mon ventre, ma bouche, mon sexe perçoivent les tremblements qui l’agitent. Ses mollets appuient sur mes cuisses pour m’inviter à accélérer. Non ! Pas encore ! Les lentes pénétrations auxquelles je me contrains accroissent notre plaisir commun. — Aaah !… C’est trop bon !… Mmmh !… Ouii !… Ssssh !… Chériiii !… Aaargghh ! Un violent frisson la parcourt. Ses jambes se détendent me libérant. Je suis heureux de son plaisir. Je me retire. Ma verge glisse hors de son corps lui arrachant un soupir de bonheur. Qu’elle est belle, écartelée, luisante de sueur ! Son sexe palpite sous l’effet des dernières contractions de jouissance. Dernière ? Pas question ! Je suis encore en pleine possession de mes moyens. Jamais je n’avais tenu une érection aussi longue sans lâcher mon sperme. Ce n’est pas terminé, il faut que cette étreinte soit parfaite. — Mon chéri… C’était merveilleux… Merci… merci. Annie me sourit et veut m’attirer contre elle pour une tendre embrassade— Ce n’est pas fini ! S’il te plait, mets-toi à quatre pattes. Elle contemple avec surprise la queue luisante qui pointe orgueilleusement devant mon ventre. — Oh ! Elle tend la main pour la caresser. — Tu a encore envie de moi ? — Je ne peux rien te cacher ! S’il te plait mets-toi à quatre pattes. — Tout de suite mon chéri. Elle se positionne le cul en l’air, genoux écartés, la tête appuyée sur l’oreiller me lançant un regard coquin. — Comme ça ? — Tu es adorable. Elle ne me cache rien de son intimité. J’avance et chatouille l’anus du bout du gland. Je la sens se raidir. — Tu… tu veux… par là ? interroge-t-elle d’une voix inquiète. Pourquoi pas ? Je retrouve un instant l’émotion qui m’a étreint quand le trou du cul de Jacques palpitait sous mes yeux. J’enfonce d’un petit millimètre. — S’il te plait, supplie-t-elle, non… Elle a raison, ce ne serait pas une bonne idée. Elle n’est pas encore prête… ni moi… — N’ai crainte, ma chérie, pas cette fois. Je guide le gland un peu plus bas à l’orée du vagin. — Aaaah ! Ouiii ! Elle lance le cul contre mon ventre. Je m’enfonce jusqu’à buter contre les fesses. — Mmmh ! C’est aussi doux que tout à l’heure ! Quel plaisir de sentir sa queue enveloppée par un tendre muscle qui l’aspire comme si il voulait en extraire tout le suc. Ça viendra mais pas tout de suite ! Je recule doucement. Le gland glisse dans un fourreau onctueux. Puis je m’enfonce d’un coup sec. — Aaah ! Je recommence plusieurs fois en accélérant. Le plaisir m’envahit. — Ouii !… Aaah ! De nouveau une secousse ébranle Annie. Je contrôle de justesse la montée de la semence, ce n’est pas encore terminé ! Elle s’en souviendra de cet après-midi ! Je calme mes pénétrations. Je lance une main à la recherche d’un sein. — Ouii ! Je triture le téton entre mes doigts. — Aaah ! De la poitrine la main glisse sur le ventre farfouille dans les poils follets. — Mmmh ! J’insère un index curieux dans la fente et excite le petit bouton de chair que je sais si sensible. — Mmmh !… Sssh !… Ah ouii !… Ton doigt !… Mmmh ! Je ne bouge plus, c’est Annie qui joue du bassin au devant de ma queue. C’est divin… Merveilleuse masturbation… Je n’en peux plus… je n’ai plus la force de lutter… Le plaisir monte… monte… des frissons parcourent mon corps… une délicieuse souffrance gonfle mon sexe… Je vais éclater… j’éclate : — Ouiii !… Aaah !… Aarrgghh ! Je m’effondre sur son dos. Ai-je réussi à lui procurer une ultime jouissance ?…
Nous sommes couchés sur le côté. Notre respiration s’assagit. Je me retire. Ma queue encore dilatée sort de son logement arrachant un gémissement à Annie. — Mmmh ! Elle se retourne et me sourit. — Alors monsieur ? Satisfait ? — Et toi ? Elle m’embrasse sur le bout du nez. — Comme si tu ne t’en étais pas rendu compte ! — C’est vrai que tu as joui ? — Oh oui alors ! — Combien de fois ? — Je sais pas, plus de trois fois en tout cas… Et toi ? — Oh moi, une seule mais alors ! Quelle longue et merveilleuse jouissance ! J’avais l’impression de me vider en toi. — Tu t’es vidé en moi ! Je sentais les giclées de sperme, ça n’en finissait plus ! Qu’est-ce que j’ai joui à ce moment ! Elle se lève. — Où tu vas ? — Prendre une douche, j’en ai besoin. Tu viens ? — La cabine est trop petite pour deux. Je n’ai pas envie de me laver, je veux conserver sur mon corps son parfum, sa sueur, ses sécrétions…
Elle sort de la douche en essuyant ses cheveux. Qu’elle est belle ! Une goutte d’eau glisse sur le sein. Je l’aspire. — Hii ! Tu me chatouilles ! Ma bouche passe d’un téton à l’autre. Elle se laisse faire en riant. Tout à coup elle recule : — Oh Monsieur l’obsédé ! Vous n’avez pas honte ? — De quoi ? — De ça ! réplique-t-elle pointant du doigt ma verge qui se redresse. Je suis moi-même étonné, je ne pensais pas bander aussi vite après l’extraordinaire étreinte qui m’avais complètement vidé, du moins je le croyais. Annie me caresse doucement. Je l’enlace et l’embrasse. Elle me rend le baiser sans me lâcher. Je veux l’entraîner vers le lit. — Non, ce ne serait pas raisonnable… Qu’a-t-elle à parler de raison ? Je tente de l’allonger. Elle se dégage. — Non, Jean. Plus ce soir… Restons sur le souvenir… Puis, il me faut rentrer. Tu m’accompagnes ? La voix de la sagesse… Je soupire. — Tu ne veux vraiment pas ? — T’as vu l’heure ? On n’aurait pas le temps. Pour montrer sa détermination elle s’habille. — Allez ! m’encourage-t-elle. Ne fais pas cette tête. Tu veux pas me raccompagner ? — Si, si ! — Alors qu’est-ce que tu attends pour t’habiller ? A moins que tu veuilles sortir tout nu ! Dans le couloir nous rencontrons Jacques. — Tient ? Tu es là Jean ? Je ne t’ai pas entendu rentrer. — Je sais être discret quand il faut. Le soir dans le lit, je repense au merveilleux après-midi. Je me caresse doucement juste pour maintenir l’érection sans déclencher l’éjaculation. Je suce mes doigts pour déguster la saveur d’Annie déposée sur ma queue…
A suivre…
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