Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 17 J'aime
  • 0 Commentaire

De puceau à maquereau

Chapitre 11

Hétéro
Annie demande l’asile
Toute la nuit j’ai rêvé de l’après-midi. Envolée l’éjaculation précoce ! Pour la deuxième fois, j’ai contrôlé et comment ! J’ai même le sentiment que si j’avais voulu j’aurais résisté encore plus. Ayant eu la certitude d’avoir satisfait Annie, je me suis laissé aller quand les muscles de son vagin pompaient délicieusement mon sexe. Mon handicap ne serait-il qu’un mauvais souvenir ? Comment m’en assurer ? Avec Annie à la prochaine occasion ? Non, la peur d’une désillusion risque de me jouer un sale tour. Mieux vaut avant de tenter l’expérience renouveler avec l’aide involontaire de Jacques ce qui nous a si bien réussi. Mon sexe raide soulève le drap, réveil triomphant qui me fait sourire. Ma main part à sa rencontre, réflexe matinal, la force de l’habitude… Ma queue est encore imprégnée de l’odeur d’Annie. Je porte les doigts à mes narines et à mes lèvres pour m’enivrer de son parfum. Quel dommage que je ne puisse me lécher !
Ce matin, je n’éprouve pas le besoin de conclure. Je maintiens l’érection par une caresse légère. Saurai-je la faire durer sans dépasser le point de non retour ? Je me complais dans cet état d’excitation tranquille jouissant des frissons de plaisir lorsque je décalotte le gland, le libère de la peau protectrice. Il n’y a pas si longtemps cela m’étais impossible : j’étais puceau… Attention ! La verge hoquète toute seule. Je cesse tout mouvement. Ne suis-je pas allé trop loin ? Non, la pression diminue dans la tige, je reprends ma lente masturbation…
Je suis bien… Mes pensées me ramènent la veille quand assis dans la salle de bain, je me caressais pendant qu’Annie subissait Jacques… Je revois les fesses musclées qui occultent mon horizon, les testicules qui valsent au rythme des coups de rein et l’anus qui palpite… L’anus… Quelle impression ça fait de sentir une queue entrer par là ? La même qu’éprouve une femme se faisant baiser ? Comment savoir ? Sans cesser ma caresse je me couche sur le côté pour atteindre mes fesses. L’index tourne autour du petit trou, c’est agréable sans plus… Peut-être qu’avec un doigt étranger ?… J’enfonce de quelques millimètres… Aïe ! L’ongle accroche… Là ça va mieux… Une phalange… Une autre… Je pistonne deux coups… bizarre… Pas désagréable… Un deuxième doigt… Ouille ! Ça tire… Non, l’index seul suffit… Je combine la caresse sur le sexe et l’introduction dans le cul… Le cul… Les fesses de Jacques dansent à nouveau devant mes yeux… Son petit trou m’attire… Ah ! Le transpercer pendant qu’il baise Annie ! Enfoncer la queue dans cet orifice ! Douce vengeance… Il apprécierait peut-être… Aurai-je le courage ?… Zut ! Ma rêverie m’a entraîné trop loin ! Je n’ai pas pris garde à la montée de la sève qui jaillit et déborde de la paume que par réflexe j’ai refermée sur le gland…
Après une bonne douche je me sens en pleine forme. Et plein d’espoir aussi : la séance de caresse du matin a duré plus, beaucoup plus qu’à l’accoutumé. Serai-je sur le chemin de la guérison ? Dommage qu’il me faille attendre cet après-midi la visite d’Annie. Et puis non, tant mieux ! J’ai peur… Et si ma prétendue résistance n’était qu’un leurre, un mirage ? Il est préférable « d’utiliser » Jacques encore une fois.
Lucie s’empresse autour de moi pour me servir le petit déjeuner. Bizarre… Qu’est-ce qu’elle veut ? Ou plutôt que veut Papa car c’est lui qui la pousse à voir l’air grognon de l’infirmière. La réponse vient en fin de petit déjeuner quand en déchiffrant le charabia de Papa je comprends qu’il souhaite que je les rejoigne dans sa chambre. J’aurais dû m’en douter ! Il désire que je prenne Lucie pendant qu’elle le pompe ! Il a réussi à m’expliquer que la langue de la jeune fille vibre mieux sur sa queue que lorsqu’elle ne fait que le sucer. Ma foi, pourquoi pas ? Occasion unique de vérifier si mon aptitude à la baise a changé. Si rien n’est changé, aucune conséquence. J’ai suffisamment déçu Lucie pour qu’une fois de plus n’ait pas d’importance. — Me-me-mets… po-po-posi-position, annone Papa dès l’entrée dans la chambre. Il dirige son fauteuil roulant vers un banc rembourré. Lucie s’agenouille et pose le ventre sur le velours et la poitrine sur les genoux de Papa. Elle dégage la queue des poils et la porte en bouche. — Je-Je-Jean… — Oui Jean, qu’est-ce que tu attends ! On n’a pas que ça à faire ! Je m’approche du cul offert. Trois coups de poignet et je suis fin prêt. Le petit trou brun m’attire, je pose le gland dessus. — Eh ! Non pas de ça ! — Que-que-que fait-fait-fait ? — Ton salaud de fils veut m’enculer ! — Excuse-moi Lucie, je ne l’ai pas fait exprès. Qui ne tente rien n’a rien… Je m’empresse de rectifier la position.
— Han ! — Mmmh ! gémit Lucie tout en s’activant sur la queue de Papa. Tenant Lucie par les hanches je m’applique à contrôler ma libido. Pour le moment ça va, je tiens le coup… La jeune bonne a l’air satisfaite car elle lance le cul au devant de mon bassin, chose qu’elle ne faisait pas auparavant avec moi. Puisqu’elle fait une partie du travail, pourquoi ne pas en profiter pour la caresser ? Je glisse la main sur la cuisse remonte vers le sexe. — Oh oui !… Mmmh ! Je chatouille le petit bouton au grand plaisir de Lucie. Cela doit se sentir sur sa sucette car Papa gémit et accompagne de sa main valide la nuque de la bonne. — Argh !… Argh !… Argh !… Argh ! Il ferme les yeux. — Aaaah ! Sa main retombe sur le bras du fauteuil roulant. Sa queue diminue de volume à vue d’œil et disparaît dans les poils. Lucie repose la tête sur les cuisses, ses mains agrippent les roues du fauteuil et joue du cul. C’est la première fois qu’elle termine Papa avant que je m’effondre. Ma guérison est en bonne voie ! Je m’applique à la faire jouir en variant le rythme de mes coups de rein tout en martyrisant le clitoris. — Aah !… Oui !… Mmmh !… Sssh !… Aaah !… Aaaah !… Ouiiii ! Il était temps ! Je lâche la pression que je n’arrivais plus à contrôler. — Aarrgghh ! Nous restons quelques secondes immobiles. Le vagin de Lucie palpite et enserre ma queue d’une douce caresse qui accompagne sa contraction.
Papa a de la peine à respirer. La jeune infirmière me repousse. Elle soulève mon père et le cale contre le dossier du fauteuil puis s’éclipse dans la salle de bain. — Ça va bien Papa ? — Mer-mer-merci fi-fi-fiston. — On dirait que tu fais des progrès. C’est pas trop tôt ! Lucie de retour, ne peut s’empêcher de me lancer une vanne. — Bon ben… euh… je vous laisse. Ravi de vous avoir fait plaisir. — Tu sais… J’ai bien aimé, me glisse-t-elle en m’accompagnant à la porte. Je m’enferme dans ma chambre, tout excité : j’ai vaincu l’éjaculation précoce ! Vivement que je tente l’expérience avec Annie… Euh… Avec elle, la peur de mal faire risque de me jouer des tours. C’est décidé, tout à l’heure nous ferons encore appel aux bons offices de Jacques.
Le hasard fait bien les choses, Annie et mon beau-frère arrivent ensemble à la maison. — J’ai rencontré ta charmante copine à l’arrêt du bus. Elle a accepté de profiter de ma voiture. Nous avons discuté un peu, n’est-ce pas Annie ? Celle-ci rougit en baissant les yeux. Ils n’ont pas fait que discuter ces deux là ! Je serre les poings puis je me calme. Si je veux qu’il prépare notre étreinte je dois au contraire favoriser leur rapprochement… Du moins tant que j’ai besoin de lui. J’enlace Annie pour l’embrasser sur les joues. — Tu n’as pas de honte à avoir, tu peux l’embrasser sur la bouche tu sais, se moque Jacques. Nous nous séparons. Il hausse les épaules. — Je vais me mettre à mon aise. A tout à l’heure. J’entraîne ma copine dans ma chambre. Un tendre baiser nous unit. — Tu ne te mets pas à l’aise toi aussi ? — Tout de suite. Je la regarde se déshabiller, c’est charmant. — Ça va ? Tu t’es bien rincé l’œil ? — Tu es adorable ma chérie. Nouveau baiser… — J’ai envie de toi, me susurre-t-elle en m’attirant vers le lit. Moi aussi… Mon sexe bande comme ce n’est pas permis… Ah ! Me fondre en elle… Non, pas encore ! C’est trop tôt, d’abord Jacques. Je m’écarte. Elle me regarde étonnée. — Tu… Tu veux pas ? — Oh si ! Mais… — Qu’est-ce qu’il y a ? — J’ai peur ma chérie. — Peur de quoi ? — De te décevoir. — Ah ? — Oui, je me demande s’il ne faudrait pas… Comme hier… — Tu… veux faire venir Jacques ? — Avoue que cela ne te déplairait pas. — Oh toi alors ! Elle martèle ma poitrine de ses poings serrés. Je la serre contre moi… elle se calme. — On dirait que tu aimes ça, me voir faire l’amour avec un autre. — Euh… Elle a touché un point sensible. C’est vrai que de les regarder baiser était excitant en diable. Je me reprends. — Pas un autre, avec Jacques et uniquement à cause de ce qui suivra. — Qu’est-ce qui suivra ? Là elle m’étonne ! — Mais l’étreinte que nous aurons, toi et moi. J’en tremble rien que d’y penser. Effectivement ma queue hoquète toute seule. Annie la contemple un sourire narquois aux lèvres. — Et qui te dit que moi j’en aurai envie ? La douche froide ! Je reste sans voix comme hébété. La raideur de mon sexe s’en ressent. — Allez, va, je te fais marcher. File dans la salle de bain ! — Dis, tu te places comme il faut… — Oui n’ai pas peur, je me débrouille pour qu’il te tourne le dos tout le temps. J’installe le tabouret. Annie ouvre la porte du couloir. — Jacques ! — Oui ma toute belle ? — Jean m’a laissé tomber, une course urgente qu’il m’a dit. — Oh ! Ce n’est pas gentil de sa part. — N’est-ce pas ? Tu ne voudrais pas me tenir compagnie en l’attendant ? — Tes désirs sont des ordres… Mon beau-frère a l’habitude de mener rondement les choses, un baiser, quelques caresses sur les seins et il entraîne Annie sur le lit. Comme la veille j’ai vu sur ses fesses. Comme la veille le petit trou qui palpite au rythme de ses coups de rein attire mon regard…
Jacques se dépense sans compter. Son enthousiasme est contagieux, Annie exprime sa satisfaction, moi-même m’astique avec frénésie. Je n’ai d’yeux que pour le cul qui danse devant moi… Ooh ! Catastrophe ! Quel idiot ! Je suis furieux contre moi, je n’ai pas pris garde à la montée de la sève. Tout mon beau scénario tombe à l’eau ! C’est indifférent aux gémissements qui s’amplifient dans la pièce voisine que j’essuie sur le carrelage les gouttes de sperme…
— Jean ? Tu es là ? Je n’ose montrer ma déconfiture. — Alors qu’est ce que tu attends ? Je m’avance contrit, la verge en berne. — Ah !… Je vois que tu t’es caressé. — Je voulais pas, j’ai pas fait exprès… je suis désolé. — Ce n’est peut-être pas si grave que ça en a l’air… Viens t’allonger mon chéri… Là… détends-toi. Elle monte à son tour sur les couvertures. Ses cheveux balaient ma poitrine, caresse le ventre… — Aah ! Une bouche entoure le gland, c’est divin. Elle me suce ! Depuis le temps que j’en rêvais… Le remède est souverain. Annie se redresse. Sans lâcher ma queue, elle m’enjambe et s’empale sur le glaive de chair. — Ouiii ! C’est elle qui me baise ! Je soutiens les seins qui dansent au-dessus de moi. — Aah !… tu vois… Aah !… Le mal est… Aah !… répa… Aah !… réparé… Ou-ou-oui !… Aaah !… Aaaah ! Elle s’affale sur mon torse essoufflée par cette première jouissance. J’en profite d’un relâchement de sa part pour prendre la direction des opérations…
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live