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De puceau à maquereau

Chapitre 14

Hétéro
J’empoigne ses fesses, mes doigts glissent autour de l’anus… Un ongle s’insinue… Annie danse de plus belle. — Aaah !… Aaah !… Aaah ! Le majeur s’enfonce dans son cul en même temps qu’elle descend sur ma queue. Elle a l’air d’apprécier. Tout à coup, elle raidit et s’écroule. Je la serre contre moi. Des frissons parcourent son corps, les muscles du vagin enserrent le gland d’une main invisible… C’est géant… Je mêle mes soupirs aux siens…
— Oh chéri je t’aime, m’affirme-t-elle quand nous avons retrouvé une respiration calme. Il n’y a que toi qui me fasses jouir comme ça. — Même pas Jacques ? — Oh lui… Si, rectifie-t-elle, il me fait jouir, mais pas autant… je t’assure. — Et l’homme tout à l’heure ? Annie se referme. Je n’aurais pas dû aborder ce sujet. Elle doit avoir honte, car elle a joui j’en suis certain. Tant pis buvons le calice jusqu’à la lie. — J’ai… Je m’arrête à temps ! J’allais lui révéler que je l’ai épié à travers la glace sans tain… Et que j’ai constaté qu’elle prenait son pied. — Tu sais, tant mieux si tu as pris du plaisir. Je ne t’en veux pas, rassure-toi. Et puis, c’est peut-être pour ça que tu étais si amoureuse tout à l’heure. Et ça, j’ai vraiment apprécié ! — Tu crois ? — Sûr ! Elle se pelotonne contre moi. — On est bien tous les deux n’est-ce pas ? — Oui ma chérie. — Tu m’en veux pas dis ? — De quoi ? — Ben… euh… d’aider Chloé. Je soupire. Elle a l’intention de poursuivre sa collaboration sinon elle aurait précisé : « avoir aidé ». — Ça ne t’embête pas si je continue ? me confirme-t-elle. Je fais l’innocent. — A quoi. A seconder ma sœur ?
— Oui… J’avale avec difficultés. Que dire ? — Je sais bien que tu le fais pour nous… — Oh merci ! Tu es un chou ! Elle m’embrasse sur la joue. On dirait que ça lui fait plaisir. Mon amour propre en prend un sérieux coup. Ce n’est pas facile de débuter dans le métier de cocu systématique comme le chante Brassens. Annie fixe le plafond. Je sens qu’elle a quelque chose encore à me dire. Je ne veux pas la brusquer. — Tu sais, Jean… — Oui ? — C’est terrible ce que je ressens, mais j’ai l’impression que c’est quand je viens juste de baiser avec un autre que je fais le mieux l’amour avec toi… Tu m’en veux pas ? Voilà pourquoi elle est si contente que je lui donne l’autorisation de continuer. Je suis soulagé. — Non, parce que pour moi c’est pareil. Comme moi elle apprécie l’introduction de ma queue dans sa chatte déjà dilatée… Nous sommes semblables, il nous faut une excitation supplémentaire, elle de subir au préalable une queue étrangère, moi de la voir se faire prendre pour vivre pleinement notre amour. Elle se lève et enfile sa culotte. — Où tu vas ? — Ta sœur m’attend pour faire des courses…
L’après-midi, séance photos. Jacques emmène Annie dans un square. Il lui a fait mettre un string, un soutien-gorge, un chemisier à frou-frou et une mini-jupe légère. Il la fait évoluer, danser. C’est un régal des yeux de voir la jupe s’évaser en corolle sur ses jambes fuselées. Jacques mitraille. Il la fait asseoir sur un banc et lui fait prendre des poses suggestives. Notre manège attire des badauds. Je devine qu’Annie s’énerve. Je tire mon beau-frère par le bras. — S’il te plait Jacques, rentrons. Je m’attire un sourire de remerciement. — Tu as raison, on va poursuivre la séance à la maison, admet-il en refermant l’appareil. Nous quittons le square suivis par des regards déçus, pas tous masculins…
Dès notre arrivée, nous nous dévêtons sauf Annie à qui Jacques demande de surseoir. — Ça me gêne de rester habillée devant vous, se plaint-elle. Sa réflexion me fait sourire, ma copine fait sienne les habitudes de la maison ! Il nous emmène dans la chambre de Chloé. Là, il la fait évoluer, s’asseoir devant la table de maquillage, sur le lit. Il lui demande de reprendre les poses suggestives. Annie se prête à ses exigences avec complaisance. — On dirait que cela te plait de t’exhiber. — Devant toi, Jean, devant toi seulement. Tout à l’heure dans le square, j’aimais moins. — Et moi, je compte pour du beurre ? réclame Jacques l’œil vissé à son oculaire. — Exactement ! Photographie et tais-toi ! — Au lieu de dire des bêtises, commence à te déshabiller. — A quand même ! Annie ôte son chemisier. — Hé ! Pas si vite ! Fais-nous un strip-tease ! — Euh… j’ai jamais fait. — Tu verras ce n’est pas difficile. Si tu veux je mets de la musique. Jacques allume la chaine stéréo. Un slow langoureux se déverse dans la chambre. Annie balance en rythme. Lentement elle défait les boutons du chemisier. — Oui ! C’est bien ! la félicite Jacques. Elle est douée ta copine. C’est vrai qu’elle est bandante ! Le spectacle n’est pas sans effet, nos sexes s’allongent et commencent à se redresser. Cela la fait sourire et l’encourage à accentuer ses déhanchements… Nos queues sont au garde à vous quand elle lance sur une chaise la dernière pièce de lingerie. — Eh ben monsieur, on dirait que cela vous a plu, s’exclame-t-elle en se jetant dans mes bras… Emmène-moi dans ta chambre, me susurre-telle à l’oreille. — Pas tout de suite, intervient Jacques. Je voudrais prendre quelques clichés en gros plan… S’il te plait… La figure, les seins, les fesses, le ventre tout y passe. Annie s’impatiente. — C’est pas encore fini ? — Juste une dernière… Là ! Merci ! — Ouf ! C’est pas trop tôt ! Jacques range son matériel. — Tu es un bon modèle tu sais. — Merci… Tu viens Jean ? — Euh… Le photographe ne mérite pas un remerciement ? — Mais si ! Tu es un amour ! Ma copine l’embrasse sur la joue. — Euh… C’est tout ? Annie et moi nous regardons. Nous nous comprenons. Je leur laisse le champ libre, je les épierai par la glace sans tain. Je me dirige vers la porte. — Tu n’as pas besoin de te cacher Jean. Je sais bien que tu regardes quand nous baisons… Tu crois que j’avais pas remarqué ton manège ?… Assieds-toi sur le fauteuil et admire le maître ! Il l’enlace. Leurs mains recherchent le contact des corps. Je vois les doigts fins de ma copine entourer la verge raide pendant qu’il fouille l’entrejambe. Il l’entraîne vers le lit. Elle semble aussi impatiente que lui. Je me persuade que c’est en prévision de la douce séance d’amour que nous partagerons par la suite…
Jacques s’est installé entre les cuisses écartées. Il m’offre la vue de son postérieur. Ma main glisse sur ma queue. Le spectacle de ce cul qui danse devant mes yeux est fascinant. Annie tire sur les lobes fessiers. Le petit trou me sourit ! C’est de la provocation ! Je n’y tiens plus ! Je me lève et monte sur le lit derrière Jacques. — Annie ! Ne le laisse pas s’échapper. Elle noue les talons sur les fesses et les mains sur les omoplates. — Que… Qu’est-ce que tu fais ? se plaint-il. — Tu ne t’imaginais pas que j’allais te laisser baiser ma copine sans contre partie ! J’introduis le doigt dans l’anus qui se contracte. — Tu… Tu veux m’enculer ? — Pourquoi pas ? Je pistonne dans son trou du cul qui se relâche, signe qu’il ne déteste pas. J’aperçois un pot de crème sur la table de maquillage. — Annie tiens le bien ! Je reviens tout de suite. Jacques ne tente pas de fuir. Il pourrait s’il le désirait, car ce ne sont pas les faibles forces de ma copine qui l’en empêcheraient, signe qu’il accepte la sodomie. Je prélève une noix de crème dont je tartine l’anus. — Mmmh ! Un peu à l’intérieur… — Aaah ! C’est bon, on peut y aller ! Je pose le gland contre le petit trou. Je pousse. Les chairs s’écartent mais le bouclier bloque la progression. J’appuie… J’appuie plus fort… — Ouch ! Ça y est c’est passé ! Je m’enfonce à petits coups. — Oh que c’est drôle ! s’écrie Annie. Continue mon chéri ! C’est à moi qu’elle s’adresse ! Preuve que l’introduction fait de l’effet à Jacques. Je bute contre son cul. Une seconde pour récupérer et je me retire presque complètement. — Oooh ! — Vas-y Jacques ! Baise Annie ! — Ouiii ! encourage celle-ci. Après quelques tâtonnements nous prenons le rythme. Un cul est plus serré qu’un con mais l’impression sur ma queue est délicieuse. J’ai juste la force de me cramponner à ses hanches pour ne pas être désarçonné. Je n’aurais jamais imaginé que s’enfoncer dans un cul d’homme me fasse autant d’effet. Annie aussi a l’air d’apprécier. Elle marmonne des mots incompréhensibles à chaque pénétration. Mon beau-frère ne se plaint plus. C’est lui qui fait le plus gros du travail : il recule sur ma queue puis s’enfonce dans le vagin à cadence régulière… Je succombe le premier, immédiatement suivi par Jacques qui s’effondre sur Annie. Il ne bouge pas quand je le libère. Annie se dépêtre, il reste allongé sur le ventre, immobile, un filet de sperme coule le long de sa cuisse. Nous le laissons récupérer. C’est dans ma chambre, chez moi, pardon chez nous que je veux conclure.
Annie nettoie ma verge avant de l’enfourner pour lui rendre sa rigidité. C’est chose faite en quelques sucettes. Elle s’allonge sur la couverture, écarte les lèvres de son sexe. — Viens mon chéri. Je retrouve la douceur de sa chatte pleine de sperme, c’est génial… Elle est de mon avis : — Oh c’est bon… c’est bon… c’est bon… J’ai la satisfaction suprême de la faire jouir trois fois avant de rendre les armes…
Je suis un peu flagada en retrouvant Jacques devant son ordinateur. Il sélectionne les photos qui illustreront la partie du site consacrée à Annie. Il fait semblant de pas me voir arriver. Fait-il la tête ? — Dis ? Tu m’en veux ? Il répond sans me regarder. — Je ne m’imaginais pas ça comme ça… Traduction, il ne m’en tient pas rigueur au contraire. Tant mieux j’aurais été désolé qu’une brouille nous sépare. Je m’installe à ses côtés. Il fait défiler les prises de vue où Annie dévoile ses charmes. Y-a pas à dire il est douée pour la photographie ! — Dis ? T’as pas eu l’idée de filmer et de diffuser les vidéos sur Internet ? Il y a de l’argent à se faire. — Si, mais Chloé s’y oppose. Elle prétend que la confidentialité est essentielle dans son job et que ce serait la catastrophe si les clients se reconnaissaient sur l’écran. — En prenant des précautions, par exemple : éviter de cadrer sur leur visage, tu crois que ça serait pas possible ? Je vois bien qu’il est intéressé. J’insiste. — On pourrait faire un essai et lui montrer. Il me regarde en souriant : — Tu as de la suite dans les idées toi. — Qu’est-ce que ça coûte d’essayer ? — Oh ! Rien que le matériel de vidéo, les caméras, l’ordinateur etc. — Bah ! Ça ne va pas mener loin. — Tu as raison, qui ne tente rien n’a rien, mais attendons que ta copine prenne ses marques et se fasse sa propre clientèle. — D’accord !
A suivre…
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