Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 93 J'aime
  • 1 Commentaire

De puceau à maquereau

Chapitre 16

Hétéro
Annie s’allonge à mes côtés et me berce doucement. — Alors ? Ça t’a plu ? me demande-t-elle. — Oh oui ! Et toi ? — Tu sais, ta queue vibrait en moi c’était délicieux. Annie se pelotonne contre moi. — Dis… Elle a quelque chose à me demander, je ne la brusque pas. — Euh… dis… Ça fait mal ? interroge-t-elle au bout de plusieurs secondes. Tiens ? Elle envisagerait la sodomie ? — Non, c’est même fort agréable, je t’assure. — Euh… On pourrait… euh… Le pot de crème est sur la table de nuit, je crois. — Oh merci chérie ! Je veux la tourner sur le ventre. — Attends chéri, tu es trop pressé ! Effectivement mon sexe n’est pas au diapason de mon désir. — Je connais un remède, sourit-elle en embouchant la queue. Elle raison, le remède est souverain ! Je ne suis pas long à retrouver la raideur adéquate. Satisfaite, elle se positionne à quatre pattes sur la couverture, la tête dans le coude replié. Il faut que cette première soit un succès. Je tartine à l’excès le petit trou. J’assouplis l’anus en pistonnant avec un doigt, puis deux. — Ça va ma chérie ? — Ou-oui. Elle est prête. Je pose le gland qui disparait à moitié dans le trou élargi. — C’est ta queue que je sens ? — Oui. Attention, je pousse… Le gland disparait, avalé par le sphincter. — Mmmh !
— Ouiii ! C’est plus tendre que le cul de Jacques ! Ça serre c’est délicieux… Je donne plusieurs coups de rein auxquels Annie répond en lançant le bassin à ma rencontre. Je tâte sous son corps, une main sur un sein, l’autre sur son sexe. — Aaah ! Oui ! Ce n’est pas commode. Nous basculons sur le côté, il m’est plus facile de la caresser. Je ne suis pas pressé, je ralentis volontairement les pénétrations. Annie ronronne de plaisir…
— Tu sais, m’avoue-t-elle une fois que nous nous sommes douchés, des clients m’avaient demandé… — Ils voulaient t’enculer ? — Oui, mais je refusais. — Tu avais peur ? — Un peu, mais surtout je voulais que ce soit toi le premier. — Tu es un amour… Nous restons silencieux quelques secondes. — Tu… — Je… Nous avons parlé en même temps. — A toi ma chéri. Que voulais-tu dire ? — Non, toi en premier. — Avec Jacques… Comme tout à l’heure… On pourra recommencer ? — J’allais te demander la même chose, sourit-elle. J’ai préféré que ce soit toi qui me fasses l’amour plutôt que Jacques. Je veux bien que tu l’encules quand il baise Chloé… — Mais à condition que mon beau-frère nous rende la pareille n’est-ce pas ? — Tu es un amour !…
Ainsi fut fait… plusieurs fois… Un jour, Annie s’est amusée à nous filmer Chloé, Jacques et moi avec un caméscope. Après quelques retouches nous avons diffusé l’enregistrement : Succès immédiat malgré la qualité moyenne des images ! Cela m’a donné une idée. Voilà ce qui renouvellerait notre offre ! J’ai convaincu Chloé et Annie que les étreintes à trois aient lieu dans la chambre aux visiteurs pour utiliser le matériel de vidéo. Ma copine se révèle une bonne réalisatrice, et ses vidéos ont une meilleure audience que celles filmées par ma sœur, ce dont je ne suis pas peu fier…
Un jour Jacques me prend à part : — Tu sais ce que Chloé m’a raconté ? — Non. — Elle dit comme ça qu’un client lui a avoué nous avoir vus baiser à trois sur internet et demande si cela serait possible avec lui. — Ah ? Et alors ? Elle l’a envoyé balader ? — Euh… non. Elle lui a dit qu’elle ne pouvait lui répondre tout de suite car il fallait me consulter, mais que si j’étais d’accord elle exigerait le doublement du prix. — Elle ne perd pas le nord ma frangine ! — Qu’est-ce que tu en dis ? — C’est toi que ça concerne, c’est ta femme après tout. Tu ne serais pas d’accord ? — Ben… Euh… quand même… — Qu’est-ce que ça change entre vous ? Que tu sois dans la chambre ou dans la salle d’enregistrement entrain de la filmer ne modifie pas vos relations. Puis, de l’argent supplémentaire, ce n’est pas à négliger. — Tu serais d’accord pour Annie ? — Bien sûr, si elle m’en fait la demande. Je suis tranquille, la connaissant cela m’étonnerait qu’elle émette une telle proposition. Il me quitte un peu perplexe. Je devine que l’expérience ne le tente pas et qu’il espérait que je le soutienne. Il n’a qu’à se débrouiller avec ma sœur. Entre deux cours à la faculté je raconte notre conversation à Annie. — Pauvre Jacques ! Il était déçu, il pensait que j’allais dire que je n’étais pas d’accord. — Ah parce que tu l’es ? — C’est une affaire entre lui et Chloé, cela ne me regarde pas. — Il ne t’a pas demandé si tu serais du même avis si je te demandais la même chose ? — Si. — Que lui as-tu répondu ? Qu’est-ce que ce micmac ? — Pourquoi tu me le demandes ? Il t’en a parlé ? — Tu lui as dit que cela ne te ferait rien, n’est-ce pas ? — Euh… Oui, mais parce que j’étais sûr que tu ne me poserais pas la question. — Comment peux-tu en être sûr ? Je la regarde avec attention. — On t’a fait la même proposition n’est-ce pas ? — Non, mais Chloé m’en a parlé. — Tu serais d’accord ? — Uniquement si tu le voulais mon chéri. Je suis piégé ! Si je refuse Chloé et Jacques auraient beau jeu de me renvoyer mes arguments ! — Avoue que tu en as envie, avoue ! — Pour nous deux, ce serait la même chose que lorsque Joseph était entre nous. Tu n’aimais pas ? Là elle m’en bouche un coin ! Que rétorquer ? — Chloé m’a affirmé qu’on pourrait augmenter notre prix. Ça ne t’intéresse pas ? — Bon, bon ça va ! Faites comme vous voulez. Le soir nous mettons au point la stratégie. Jacques secondera Chloé pendant que je filmerai. Il sera aux commandes des caméras lorsqu’Annie aura besoin de moi.
A présent, l’étreinte à trois, un homme entre une femme et un homme est un must de la maison. Très vite des clients ont proposés de venir à deux. Cela m’arrange. J’ai toujours un pincement de jalousie quand Annie couine son plaisir lorsque la queue d’un visiteur que j’encule vibre dans son vagin. Au moins, derrière la glace sans tain, je n’entends rien. Souvent les clients jouent alternativement le rôle de la tranche de jambon dans le sandwich. Entre les deux prestations Annie ou Chloé les réconfortent par une savante fellation. Il va sans dire que cela n’est autorisé qu’avec un substantiel supplément de prix (les affaires sont les affaires !). Un cordial leur est offert par la maison… Les vidéos enregistrées en ces occasions remportent les suffrages des internautes et nous attirent de nombreuses connexions payantes. Si les affaires continuent à ce rythme, Jacques et moi pourrons demander à nos compagnes de réduire le nombre des prestations et de ne sélectionner que les clients les plus télégéniques…



— Oh mon chéri tu es fatigué ? Annie de retour de la chambre de travail me réveille. Je m’étais assoupi, la main sur la queue, à remuer mes souvenirs. — Non, je repensais à nous, à ce que nous sommes devenus. — Tu regrettes ? — Oh non ! Et toi ? — Je ne voudrais changer pour rien au monde ! Que c’est agréable à entendre ! Elle m’attire sur le lit. — Viens mon chéri… Viens… Prends-moi… Ouii !… J’aime sentir ta queue s’enfoncer !… Ouiii !… je t’ai-ai-ai-aime ! — Moi… au-au-aussi… je-je-je t’ai-ai-ai-aime. Oui je l’aime ! Oui j’adore m’enfoncer dans sa chatte dilatée par une queue avant la mienne mais j’ai un regret. Il me manque l’onctuosité du sperme quand je faisais l’amour à Annie après Jacques. Depuis qu’avec celui-ci nous nous enculons à tour de rôle, Chloé lui a fait promettre de ne plus baiser Annie. Et mon beau-frère lui obéit ! Quel dommage… Je dois faire mon deuil de tremper ma quéquette dans un vagin plein de semence… A moins que… — Dis… Han !… Annie… — Aah !… oui ? — Tu ne connais… Han !… Personne… Han !… à qui tu fasses confi… Han !… confiance ? — Qu’est ce-ce-ce que tu… Aah !… tu veux dire ? — Quelqu’un avec qui… Han !… tu pourrais… Han !… travailler sans protection. — Oh ! Tu n’y penses… Aah !… penses pas ! — Si… Han !… justement. Elle ne répond pas. Ses ongles s’impriment dans mes épaules, ses talons frappent mes fesses à la cadence de mes coups de reins. J’aime ces instants qui précèdent la jouissance, où les muscles de son vagin enserrent ma queue d’une douce étreinte. Ne pas m’effondrer avant elle ! Oui ! Un flot de cyprine enveloppe ma verge : Elle part ! Je me laisse aller et mêle mon sperme à ses sécrétions…
Nous restons allongés côte à côte, main dans la main. Nos muscles se relâchent, nos respirations s’assagissent, nous sommes bien… — Dis chéri… — Oui mon amour ? — Dis… Pourquoi tu m’as demandé si je pouvais travailler sans protection ? — Est-ce que ce serait possible ? — Réponds à ma question, pourquoi ? — J’aimais bien te faire l’amour après Joseph. — Parce qu’après mes… euh… visiteurs, c’est pas pareil ?… Ah non ! Tu as raison. C’est pas tout à fait pareil… — Tu vois ! Ça te manque aussi ! — Qu’est-ce qui me manque ? — Ben de recevoir ma queue dans ton con plein de foutre. — Tais-toi ! — Avoue ! — Euh… C’est trop dangereux… — Ça doit bien exister un client en qui tu aurais toute confiance. — Viens te doucher au lieu de dire des bêtises ! Je la sens perturbée. L’idée fait sûrement son chemin dans son esprit. Je relance le sujet à notre retour de la salle de bain.— Tu ne m’as pas répondu tout à l’heure. — A quoi ? — Ben à un client de confiance. — Tu as de la suite dans les idées, toi ! Non, il n’en est pas question ! — En prenant nos précautions, quel risque il y aurait ? Elle range les serviettes. Je l’enlace pour un tendre baiser. Cela sonne le glas de sa résistance : — Euh… Il y a bien… — Ah ! Tu vois, tu penses à quelqu’un. — Je… je sais pas s’il sera d’accord… — Je te fais confiance pour le convaincre. — Ce que tu ne me fais pas faire ! C’est dans la poche ! J’en salive d’avance. Si en plus Jacques s’amène pour m’enculer en même temps, rien ne manquera alors à mon, pardon, à notre bonheur…
Fin.
Diffuse en direct !
Regarder son live