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La punition de mon beau-père

Chapitre 1

Trash
Décidément, quelle sale journée! Je me suis faite engueulée par le prof de bio à cause de mon interrogation et en plus, j’ai reçu mon bulletin. Autant dire qu’il est pas génial du tout. Mon beau-père va se faire un malin plaisir à m’en foutre plein la gueule. Après les cours, je rentre et aperçois la voiture de Paul, mon beau-père, garée devant la maison. Merde! Il est déjà là.
— Alors Estelle? me demande Paul. Que donne ce bulletin?
Paul, c’est le genre de type avec qui tu voudrais pas baiser même pour repeupler la planète. Ma mère s’est mise avec lui quelques temps après le divorce avec mon père. Le type a 50 balais, est gros, chauve et toujours couvert de sueur. Il s’amuse sans cesse à me rabattre les oreilles. Bref, je le déteste!
— Pas terrible, je lui réponds. Et j’ai encore raté biologie.— Mais c’est pas vrai ça! Qu’est ce qu’on va faire de toi? s’énerve-t-il. Tu as 17 ans bon sang. Il est temps que tu commences à assumer tes actes. Dans ta chambre et vite! On décidera d’une punition quand ta mère sera rentrée mais dis toi que ce sera pas joli! En attendant, tu es consignée dans ta chambre et je ne veux pas que tu en sortes.
Je file direct dans ma chambre où je me place sur mon lit, après avoir jeté mon sac à dos près de mon bureau, et sors mes écouteurs. Un long moment passe et j’entends qu’on frappe à la porte. Vu l’heure, ma mère ne peut pas être déjà là.
— Qu’est ce qu’il y a?— C’est moi. Je peux entrer?
De toute façon, si je dis non, il entrera quand même alors je lui réponds par l’affirmative. Il entre avec une bière à la main et à voir l’état dans lequel il est, il a dû en descendre pas mal depuis mon retour.
— Écoute, je me suis emporté la tout à l’heure, me dit il en s’asseyant sur le bord de mon lit. On pourrait peut-être s’arranger pour lever ta punition?
Sur ce, il place sa main sur ma cheville. Lentement, il remonte le long de ma jambe jusqu’à ce que je décide de réagir en repoussant sa main.
— Je préfère encore rester punie. — Allons! Ne soit pas sotte. Tu en as sûrement autant envie que moi.
Je rêve là! Ce type qui couche avec ma mère (ce que je ne comprend déjà pas) a envie de se taper la fille aussi? Je constate à son entrejambe qu’il ne ment pas. Il replace sa main sur ma jambe et continue son ascension jusqu’à ma cuisse, à peine recouverte par ma jupe assez courte. Son autre main, après avoir lâché la bouteille, se place sur la bosse de son short où il commence à se frotter à travers le tissu. Je reste stupéfaite par son audace.

— Je ne le dirai pas deux fois! Tu as intérêt à faire ce que je te demande sans quoi ta punition ne sera pas levée mais en plus sera prolongée pour une durée indéterminée, dit il avec une pointe de menace dans la voix. De plus, j’ai trouvé une plaquette de pilules vides dans la poubelle de la salle de bain et tu ne voudrais pas que ta mère sache que sa fille chérie s’envoie en l’air à son âge?
Prenant la menace au sérieux, je me laisse faire tout en faisant attention à ce qu’il n’aille pas trop loin non plus. Sa main continue son trajet le long de ma cuisse et s’arrête à hauteur de ma culotte.
— Tu n’iras pas plus loin que là, je lui dis alors. Je veux bien que tu me touches et j’irais même jusqu’à te montrer mes seins et te laisser les tripoter mais tu ne me baiseras pas! Alors, laisse tomber cette zone de mon corps. Je ne suis pas ta pute!— Que tu crois, me rétorque-t-il avec un regard vicieux.
Sur ces paroles, il touche mon clitoris à travers ma culotte. S’en est trop! Je le repousse avec colère et, avec l’alcool qu’il a ingurgité, tombe à terre. Il se relève avec un peu de difficultés mais se dirige tout de même vers moi en me collant un revers de la main magistral qui me sonne. Je l’entend quitter ma chambre en hurlant que je vais le payer très cher. J’ai du mal à me remettre du coup et alors que je reprend lentement mes esprits, je vois Paul revenir avec quelques chose de métallique à la main. Il me faut un peu de temps pour reconnaître des menottes. Ce salaud veut m’attacher! J’essaye de me débattre mais une deuxième baffe m’envoie valser sur mon lit complètement groggy. Il en profite pour menotter mes mains au travers des barres du montant de mon lit. Il retire rapidement sa ceinture et s’en sert pour faire de même avec mes pieds qu’il attache au bas de mon lit.
Je suis attachée, je peux à peine bouger et laissée au main de mon malade de beau-père. Il ricane sur mon sort. Il va pouvoir faire ce qu’il veut de moi et je ne peux rien y faire. Il s’allonge sur mon moi et commence à m’embrasser. J’ai du mal à respirer avec son poids qui m’écrase. Pendant ce temps, il replace sa main là où je l’en avais écartée et reprend ses attouchements. Rapidement, il se met à califourchon sur moi et déchire mon chemisier et ma jupe. Il sort son téléphone et prend quelques photos de moi en ricanant. Que veut il en faire? Il ne tarde pas à s’attaquer à mes sous-vêtements qui ne résistent pas longtemps. Me voilà nue devant ce pervers.
Il se place alors entre mes cuisses et commence à me lécher la chatte. Il est doué ce salaud. Je commence tout doucement à mouiller. En général, je suis une grosse nymphe assoiffée de sexe. Malgré mon jeune âge, j’ai un sacré palmarès sexuel. Quoiqu’il en soit, ses attouchements me font de plus en plus d’effets et il ne tarde pas à le remarquer.
— Je t’avais dis que tu en avais envie. Je sais reconnaître une salope qu’en j’en vois une. Et je sais les satisfaire bien plus qu’elles ne s’y attendent. Pourquoi penses tu que ta mère reste avec moi?
Voilà donc la raison pour laquelle ma mère s’est attachée à ce porc. Il a des atouts plus que satisfaisants que je ne vais pas tarder à constater. Il se relève et se déshabille entièrement. Je suis estomaquée devant la taille de son engin! C’est bien plus qu’un atout qu’il a ce salaud. Sa verge doit facilement faire 30 cm. Jusqu’à présent, ma taille record était de 19 cm. J’ai le regard qui pétille devant une telle chose dans la chatte. Sans doute mon côté nymphe qui ressort. Il voit bien quel effet me procure la simple vision de son sexe et sourit.
— Alors? On veut bien se faire prendre maintenant? — Heu... Non... Mais...— Et bien quoi? J’espère que tu n’as pas perdue ta langue parce que tu vas en avoir besoin petite. Tu la veux ou pas?— J’en ai envie! Oui!— C’est bien ce que je pensais. Aussi salope que ta mère. Il me semble même que tu l’es bien plus. Tu ne vas pas faire de bêtises et au contraire me satisfaire?— Non je te le promet. Je veux juste avoir cette énorme bite en moi.
Je ne me contrôle même plus depuis que j’ai vu cette chose énorme se dressée en mon honneur. Il se place à ma hauteur en restant debout à côté du lit. Je ne met pas longtemps à tourner ma tête et à me jeter sur sa verge que je commence à sucer. J’ai du mal à prendre l’entièreté dans ma bouche, à peine la moitié. Je l’entend pourtant grogner de plaisir et continue donc mon traitement.
— Tu es vraiment très douée. Seulement, je vais t’aider à l’être encore plus. D’abord, essayons de faire entrer toute ma bite dans ta bouche. pour cela, je vais te détacher pour que tu sois libre de tes mouvements.
J’arrête dès lors de le sucer en lui disant que ça m’est impossible, que je n’ai jamais eue de queue aussi grosse à sucer malgré mon expérience. Il commence donc par me détacher ce qui me permet d’être libre de mes mouvements. Je frotte légèrement mes poignets tandis qu’il place ses mains grasses dans mes cheveux blonds et me pousse à le sucer à nouveau. J’obéis et ce faisant, il m’enfonce de plus en plus sa verge dans la bouche. Il arrive à me la mettre entièrement seulement la nausée me prend et je me dirige tant bien que mal vers la poubelle de mon bureau dans laquelle je m’abandonne.
— Ce n’est pas grave, me dit il en se plaçant derrière moi. Tu as réussi à la prendre dans sa totalité pour quelques instants au moins. Passons à quelque chose de plus agréable, dit-il avec le sourire.
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