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Purement sexuelle

Chapitre 1

Hétéro
Avez-vous déjà eu une attirance purement sexuelle ? Eh bien moi, ça m’est arrivé tout récemment ; étant en couple, je croyais que ce n’était que des récits !
Je vous raconte.
Âgée de 23 ans, j’ai mon copain depuis plusieurs années déjà. Ma maison, mon travail que j’adore ! Une petite vie parfaite quoi… Mais le vent a assez vite viré de bord pour moi. Tout a commencé quand un petit nouveau est arrivé là où je travaille ; un jeune homme de 18 ans, de belle allure. J’ai plusieurs beaux hommes à mon travail, mais ils ne me font absolument aucun effet, même après plusieurs essais de flirt de leur part. Mais celui-là a tout de suite piqué ma curiosité. Sociale comme je suis, je n’ai pas hésité à aller me présenter pour faire bonne figure. Dès que nos mains se sont touchées pour les présentations, un choc électrique m’a parcouru le corps ! Et je n’ai fait que penser à lui jusqu’à la fin de la journée. Mais qu’est-ce qui me prenait ? Jamais une chose de la sorte ne m’était arrivée ! Pourtant, tout dans mon couple allait pour le mieux ; je n’avais rien à envier à un autre. Et pourquoi toute cette curiosité face à cet étranger ? Trop de questions pour que je puisse avoir le sommeil facile...
Plusieurs semaines passèrent, et même en voulant éviter Tristan (le nouveau) – ce qui n’était pas facile puisque monsieur était dans mon département – je n’y arrivais jamais ! Et pour ne pas arranger les choses, mon patron nous assigna un dossier à travailler en duo. Et qui fut la chanceuse qui tira Tristan ? Pour mon malheur, ce fut moi ! Rien que l’idée de me retrouver seule avec lui me donnait pleins d’idées, disons… pas très catholiques. Mais qu’est-ce qui me prenait ? Il fallait que tout ça s’arrête, et vite. Je ne voulais pas y perdre mon copain ! Mais pourtant, je ne ressentais aucun amour à son égard ; ce n’était pas du sentiment que je ressentais. Juste être proche de lui et pouvoir sentir son odeur me faisait haleter ; et si j’avais le malheur de lui frôler ne serait-ce qu’une parcelle de son corps, alors un frisson me parcourait. Les nuits étaient de moins en moins longues pour moi ; le sommeil était remplacé par des pensées que je n’aurais jamais dû avoir !
Il se passa un long moment avant que je réalise que ce sentiment était en fait une attirance purement sexuelle. Être près de lui m’était devenu une vraie torture ; de plus, notre partenariat au travail ne m’aidait pas du tout ! Cela dura six bons mois avant que la journée fatidique arrive…
Avec toutes ces pensées qui me dévoraient l’esprit, mon couple commençait à battre de l’aile ; Tristan le découvrit assez vite puisque nous passions de longues heures à travailler sur notre projet qui devait être remis sous peu. Il essaya de m’en parler, mais j’évitais toujours le sujet. Et le moment auquel j’avais tant pensé, rêvé, et tant redouté arriva. Ce fut à l’occasion de la party de Noël de la compagnie. Comme mon couple se détériorait à vu d’œil, je m’étais abstenue d’inviter mon copain. J’arrivai d’assez bonne heure pour partir plus tôt, et n’avoir qu’à faire acte de présence. La soirée se déroula comme chaque année ; rien d’exceptionnel à en retenir.
Tristan n’était toujours pas arrivé. Je commençais même à penser qu’il ne viendrait pas quand je le vis entrer, vêtu d’un smoking noir qui faisait ressortir ses cheveux châtain, ses beaux yeux bleus et sa bouche qui... Bon, ça y est : ça recommence juste de le voir s’approcher de moi ; je commençai à haleter. Comme j’étais sa partenaire de travail, j’étais assurée de passer la soirée en sa compagnie, ce qui ne me déplaisait pas. Et comme de fait, il vint à ma table. Son regard était différent : il y avait quelque chose de changé, et sa façon de me regarder me fit presque mouiller. À ce moment-là, je compris qu’après cette soirée plus rien n’allait être pareil. Ayant déjà absorbé pas mal d’alcool, les barrières tombèrent assez vite… Cela faisait plus de six mois que mon corps attendait ce moment !
Quand il se rapprocha de moi pour me parler, comme la musique était assez forte, j’en profitai pour glisser ma main sur sa cuisse et attendre sa réaction. À mon grand étonnement, je ne vis aucune surprise dans ses yeux qui m’invitaient à aller plus loin. Mais excitée depuis déjà un bon moment, il fallait que j’aille encore plus loin ! Je le pris par la main et l’incitai à me suivre, ce qu’il fit sans aucune hésitation. J’avais beau aimer mon copain plus que tout, à ce moment-là mon corps et mes pulsions avaient pris les commandes. Je le traînai jusqu’à la salle de conférence, assurée qu’elle déserte. Sans attendre que la porte soit refermée, il commença à m’embrasser langoureusement, ce qui me fit mouiller de plus belle. Je ne pouvais plus attendre ; rien ne m’arrêterait ! J’empoignai son smoking et le poussai contre le mur le plus proche, sans jamais que nos bouches ne se dessoudent. C’était tellement bon… Je voulais en profiter jusqu’à la moindre seconde. Quand je commençai à le déshabiller, il me susurra à l’oreille : – Je suis vierge…
Le temps que je réalise ces mots, je l’avais déjà lâché et je m’éloignais de plus en plus de lui. Qu’est-ce que j’allais faire… Dévirginiser un pauvre garçon ! Et par qui ? Par moi, une vraie salope qui trompe son copain pour une simple attirance sexuelle ! Je me dégoûtais tellement, moi qui avais toujours détesté les gens qui trompaient leurs amoureux... Et j’en étais une ! Je commençai à me rhabiller quand il me prit par la main et m’approcha de lui.
– Dès la première journée où je t’ai vue, j’ai rêvé à ce moment toutes les nuits. Je n’en pouvais plus : tu occupais toutes mes pensées. J’en ai tellement envie…
Sur ce, il m’embrassa, comme jamais personne m’avait jamais embrassée avant. Ce baiser me fit tout oublier : à ce moment, il n’y avait que moi et lui, simplement. Je le déshabillai et le couchai doucement sur la table. Je pris position sur lui et sentis sa verge dure et chaude entre mes cuisses. Je le regardai dans les yeux, peut-être pour attendre une confirmation, ce qu’il fit.
– Vas-y, je suis prêt !
Je l’embrassai et la fit entrer en moi ; elle glissa comme dans du beurre, tellement j’étais mouillée ! Elle était si chaude... Je pris un instant pour voir si mon partenaire appréciait ; rien qu’à son regard, j’eus ma confirmation. Je commençai à faire mes va-et-vient assez doucement pour ne pas faire venir Tristan trop vite afin d’en profiter au maximum. Il était tellement beau, avec son corps si jeune encore inexploré… Tout ça m’excitait, et sans le vouloir, j’accélérai la cadence. Mon jeune amant ne put se retenir et éjacula en moi, si chaud et si bon ! Il était gêné de ne pas avoir pu se retenir, mais je lui fis vite oublier ce déboire en recommençant à l’embrasser. Juste l’embrasser m’excitait ; ça ne prit qu’une dizaine de minutes pour que mon jeune étalon revienne de plus belle. Cette fois-ci, il demanda d’être au-dessus pour en profiter. Juste ressentir sa verge en moi me donnait pleins de frissons ; il avait des problèmes avec la cadence, mais bon ! C’était si agréable, à ce rythme...
Cette fois-ci, l’orgasme se fit attendre. Nous avons dû baiser pendant au moins 45 minutes avant de jouir en duo ! Nous avons passé la nuit enlacés, nus, dans nos propres bureaux de travail : aucune crainte de se faire découvrir, car ils étaient fermés pour plusieurs jours. Le lendemain, nous avons eu une longue discussion sur notre attirance sexuelle ; nous avons décidé de continuer. J’ai laissé mon copain et nous couchons régulièrement ensemble. Nous ne sommes pas des amoureux, mais seulement des amants sexuels.
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