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Ma putain de nièce me rend visite

Chapitre 2

Divers
On est prêt à quitter notre partenaire de jeu, et il nous souhaite une bonne nuit avec un sourire entendu. Je lui réponds que je suis crevé, et que je compte dormir. Ce n’est pas ce qu’avait prévu ma nièce, et elle s’adresse à lui, plus jeune et certainement plus performant que moi, pour lui demander s’il veut coucher avec elle.Il refuse sa proposition et me dit en douce qu’il me rejoindra demain, quand ma nièce sera au baptême, que je pourrais le soumettre à tous mes désirs.Du coup je couche avec elle, on se fait un câlin, sans plus. Elle comprend ma fatigue, elle n’est pas trop en forme elle non plus. mais rajoute de ne pas hésiter à la réveiller si je me sens des ardeurs dans la nuit. On s’endort dans les bras l’un de l’autre.
Je me réveille dans la nuit, trois heures dix, et je me tiens une gaule béton, comme toutes les nuits. Habituellement je suis seul, et je glisse ma main dans mon slip pour me tripoter; mais là il y a ma nièce près de moi, et que je peux utiliser puisqu’elle me l’a demandé. J’enlève mon dessous et me tourne vers elle la cherchant à tâtons. Elle me tourne le dos, et ma main sur sa hanche puis sa cuisse m’indique qu’elle dort en chien de fusil. Je baisse lentement sa petite culotte jusqu’aux genoux, et je glisse mon manche entre ses cuisses. Je plaque mon sexe sur ses lèvres chaudes et humides, sans oser la pénétrer, la réveiller. C’est pourtant ce que j’ai fait, puisque je sens ses doigts se poser sur mon gland, le caresser, le frotter contre son clito, puis appuyer dessus pour le faire disparaître dans sa fente. Ma bite est au paradis, et je la lime en douceur:— Oh, Aurélie, ma chérie, c’est bon, c’est bon de t’enfiler. Elle est trop bonne ta chatte ma petite salope.— Montres moi comme tu l’aimes, défonces moi avec ta grosse queue de tonton pervers qui baise sa nièce.— Oui, je suis un oncle pervers, mais toi tu es une nièce vicieuse. N’oublie que c’est toi qui m’a cherché il y a deux ans, petite pute.— Oui, c’est vrai, mais tu n’as pas dit non, vieux cochon. Elle te plait ta petite putain!On continue nos échanges, et je vais et viens dans son vagin accueillant, mais pas assez virilement à son goût. Elle se dégage et me demande de venir sur elle, de la prendre comme une bête. Elle a dégagé une jambe de sa culotte pour pouvoir écarter ses cuisses, et je viens la couvrir sauvagement. Je la pilonne, je la matraque, et on échange des obscénités:— Tu aimes ça salope, te faire prendre virilement. Je te monte ma nièce, comme un chien monte une chienne.— Oui, je suis ta pouliche et toi mon étalon. — Tu es ma truie et moi ton porc.— Je suis ta femelle en chaleur, et toi mon mâle en rut...On continue avec des insultes qui nous chauffent encore plus, elle jouit à plusieurs reprises et je viens moi aussi, lui remplis la chatte. Elle remet sa culotte sans même se laver, pour le plaisir de dormir avec mon sperme dans son ventre. Je remets alors mon slip sans me laver non plus, pour garder ma bite et mes couilles recouvertes de sa mouille abondante.On dort jusqu’au matin, et quand elle se lève elle a juste le temps de se préparer pour le baptême de sa filleule.
Dix heures du matin, elle s’en va, Thierry est à l’affut à surveiller son départ, et il sonne à ma porte.Je lui ouvre, lui roule une pelle, et l’emmène à ma chambre:— Suis moi salope, ma pute de nièce est partie et tu vas la remplacer. D’accord?— Oui.Il prend une tarte dans la gueule:
— Oui qui? Mon chien?— Excuses moi, oui maître.— C’est mieux, déshabilles toi. On se fout à poil, je bande et c’est normal, il bande et ça ne me plait pas:— C’est quoi cette queue insolente qui ose se dresser. Branle toi fumier et fait lui baisser la tête. Et surtout n’oublie de bouffer ton sperme, je ne veux pas que tu souilles tout.Il se masturbe et je fixe un gode ventouse au mur. Il a joui, a léché ses éjaculations, et je lui ordonne de s’empaler sur ce beau sceptre:— Emmanches toi putain, ouvre toi le cul, je ne veux pas me salir les doigts à fouiller ton trou.Il s’empale dessus, sans effort apparent, et je suis ravi de ses facultés anales.— Humm, j’en ai vu des salopes, hommes et femmes, mais tu es une des meilleures. C’est bon comme tu prends ce manche, il est trop accueillant ton cul de chienne. J’ai dans l’idée que je pourrais enquiller ma bite en plus de celle que tu as déjà. Qu’est ce que tu en penses, tu aimes les doubles sodomies, enculé? Il confirme et écarte son cul pour que je vienne m’ y engouffrer. — Viens m’honorer de ton gros membre maitreJe détache la ventouse, la dévisse du gode, et viens me placer derrière lui. Je regarde le gode écarter son cul de chienne et viens poser mon gros gland contre ce joujou. Je pousse d’un coup ma bite en lui et il crie à mon passage.Une fois calé en lui je commence à bouger. Ça le fait couiner tellement son trou est ouvert:— Tu aimes qu’on te casse le cul?— Oui maitre. Tu es bien monté et tu me défonces trop bienJe commence à aller de plus en plus vite et il crie son plaisir disant que c’est super bon, même si c’est un peu douloureux. Ma queue et le gode le défoncent, je le pilonne à fond et d’un coup je me vide les couilles au fond de son cul, pour remplir son trou de ma sauce chaude et épaisse.Il s’affale au sol quand je ressors et que j’arrache le gode, le cul ravagé par mes coups. Mon jus coule de son fion, et je le regarde:— Tu as ramassé salope! Mais je vois que tu bandes à nouveau! Ca te fait du bien de te faire mettre. Elle n’est pas mal ta queue, je la veux dans le cul, mais ce n’est pas toi qui vas m’enculer, c’est moi qui vais me servir de toi comme d’un gode.
Je le fais s’allonger par terre avec ordre de ne pas bouger, de ne pas parler. Je viens sur lui, l’enfourche, m’empale sur ta trique, et monte et descends sur sa tige. J’alterne les cadences, le chevauche au pas, au trot, au galop. Je me branle en même temps et il louche sur ma queue, se lèche les babines:-Elle te plait ma queue petite pute, tu vas y droit encore, dès que j’en aurais fini avec ta bite. Et n’oublies pas, je ne veux pas que tu jouisses dans mon cul, ou tu le regretteras. Il fait des efforts surhumains pour ne pas éjaculer, puis me prévient qu’il ne pourra plus se retenir. Je me dégage, soulève ses jambes, et ramène ses pieds loin derrière sa tête, pour une souplesse arrière. Il a la queue au dessus de son visage, son gland tout prêt de sa bouche. Il ouvre grand la gueule, et je le branle sauvagement pour le faire gicler dedans. Il attend la dernière goutte, et avale tout.Il se relève et me suis à la cuisine. Il s’allonge sur la table, je relève ses jambes, ses chevilles sur mes épaules, et je l’embroche d’un seul coup. Je le matraque, le défonce:— Putain que tu es bonne salope, aussi bonne qu’une femelle. C’est pas un cul que tu as, mais une chatte, une choune. J’ai jamais vu un fion aussi ouvert et mouillé que le tien. Je continue à le baiser, l’insulter, lui dire des obscénités. Je vais bientôt jouir, me retire, et lui demande de me suivre à la salle de bain:— Viens mon bel enculé, on va terminer dans le bac à douche, et je vais pouvoir te remplir le cul comme personne n’a dû le faire; je vais t’inonder de mes jus, si tu vois ce que je veux dire.
On est dans le bac à douche, je me colle derrière lui, et enfouis ma bite au chaud, dans son cul bien ouvert.Il s’est penché en avant pour s’offrir, faciliter ma pénétration, mais je le relève, pelote ses seins, lui fais tourner la tête vers moi. Sa bouche est ouverte, sa langue tirée, une grosse langue musclée à force de lécher. Je la suce, je salive dessus, et il boit tout comme une bonne chienne assoiffée. Je lime toujours son fion, je ne peux plus me retenir, et mon plaisir explose entre ses reins. Je reste en lui:— Ne bouges pas salope, je vais pisser dans ton cul. J’ai bu beaucoup de flotte avant ta venue, et je vais te faire un super lavement.Je mets du temps à ouvrir mon robinet, mais ça vient enfin. Je commence par un petit filet, puis mon jet devient puissant, dru, et se répand dans ses entrailles pour l’inonder. Je me suis soulagé, en partie, et je me retire. Son trou recrache mon urine sur moi, et j’en ai partout, sur le bas ventre, les cuisses, les couilles, la queue. Je lui ordonne de se retourner et de me nettoyer dans l’ordre que je viens d’énoncer.Il est à genoux devant moi, me lèche partout, et finit par gober ma queue un peu ramollie, mais encore bien développée.J’ai encore envie de pisser, je me laisse aller, et il se recule, lâche ma queue, recrache tout. Il se rend compte de son erreur et cherche à s’expliquer:— Excuses moi maître, je ne voulais pas, j’ai juste été surpris. Je te demande pardon.— Ok, ça va pour cette fois, mais ne t’avises pas de recommencer.Il me reprend en bouche, et je pisse à nouveau sans qu’il ne se dégage. Je caresse sa tête et le flatte comme on flatte un chien soumis et obéissant:— Hum, c’est bon salope, tu es la bonne chienne à son maître, c’est bon de me vidanger dans ta gorge. Avale salope, grosse pute, tu es la meilleure de toutes les poufiasses. Bois mon jus putasse, tu es un bon sac à foutre, un sac à foutre doublé d’un sac à pisse.Je pisse plus qu’il ne peut avaler, ça dégouline sur son corps, et il se caresse pour tout étaler. J’ai fini ma vidange, je me lave, mais pas lui. Il va se rhabiller et rentrer chez lui, tout couvert et parfumé de mon urine. Il est midi lorsque je le fous dehors, et je vais me reposer en attendant le retour de ma nièce, et que l’on s’aime chaudement, incestueusement, d’un amour totalement débridé.
A suivre.....................
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