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Ma putain de nièce me rend visite

Chapitre 3

Divers
Je suis seul, je me suis débarrassé de mon amant pour me reposer et être en forme pour ma nièce.Elle rentre peu avant dix-huit heures et on s’embrasse tendrement, incestueusement sur la bouche, avec la langue, trop heureux de se retrouver. On se raconte notre journée, puis elle part se changer à la chambre. Elle revient telle une sublime maîtresse dominatrice: elle n’a ni culotte ni soutien gorge, juste des bas, jarretelles, chaussures à talons hauts, et le gode ceinture qu’elle tient d’une main et caresse de l’autre:— Tu ne perds pas de temps salope, ça te plait d’enculer tonton?— Oui, mais c’est aussi pour te faire plaisir. Par contre si tu veux que je te sodomise il va falloir que tu le mérites.— Pas de problème ma chérie, tu sais que je fais tout ce que tu veux.Je suis assis dans le fauteuil et elle vient à genoux entre mes jambes. Elle me caresse à travers le froc, me fait bander, puis défait mon pantalon pour le baisser. Elle reprend ses caresses à travers mon slip puis le baisse lui aussi; ma queue se dresse devant elle et sa main coulisse dessus:— Cette bite! Cette bite que tu as tonton! J’y ai pensé toute la journée, je la veux ta queue, elle est trop belle. Tu vas me baiser mon tonton chéri, par tous les trous, si tu veux que je te baise moi aussi.Elle n’attend pas de réponse et prend mon sexe dans sa bouche. Elle me suce quelques instants puis se lève, se retourne, se penche en avant, offerte face à mon visage. Je saisis ses miches à pleines mains, fourre ma gueule dans ses chairs, et lèche sa fente et sa raie, taquine de ma langue son vagin et son œillet. Je la bouffe, je la broute, je la doigte, je la fouille, je l’ouvre:— C’est bon salope, mets toi en place, je vais te la mettre.Elle débarrasse la table basse et se met dessus, à quatre pattes. Je me lève et me fous à poil avant de venir derrière elle. Je bande comme un âne et sa croupe sublime me fait encore raidir. Je frotte mon gland entre ses lèvres détrempées pour me l’huiler, le fourre dans sa chatte, le ressort pour lui planter dans le cul. Je m’enfonce profond, la lime longuement, reviens dans son huître pour un plaisir que je ne connais plus, et reprends son petit trou en manque de queue:— Salope, putain de nièce, j’adore les hommes, je suis un pédé, mais quand je te baise je me sens le plus macho de tous les hétéros. Ils sont bons tes trous à bites, ta chatte qui dégouline, et ton cul en fusion. C’est bon de t’aimer mon amour, tu me réconcilies avec les femmes. Elles sont toutes coincées du cul, mais toi tu es une pute pire que les mecs.Je lui éclate le cul de toutes mes forces, sachant que j’en aurais autant en retour. Je l’ai bien défoncée si j’en juge par ses gémissements, ses cris, ses encouragements, et je sens la sauce qui monte. Je me retire et viens dans sa bouche pour me soulager en de puissantes éjaculations. Elle s’applique à tout prendre, tout avaler.Elle est ravie de ma prestation, et je mérite ma récompense.
Elle s’équipe du gode ceinture et je m’allonge sur la table de la salle à manger, les jambes relevées et que je maintiens de mes mains, les fesses bien au bord. Elle s’accroupit et me lèche le cul, me le doigte, me le fouille:— Hum, oui, c’est bon Aurélie, c’est bon ma nièce chérie, tu me fais du bien. Encules moi mon amour, défonces le cul de tonton, son cul de pute.Elle se relève et grâce à ses talons hauts se trouve à la bonne hauteur. Elle plaque son faux gland sur ma rondelle impatiente, et enfonce sa queue factice dans mon fion. Elle se met en mouvement, me matraque de toute l’ardeur de sa jeunesse, me fait mouiller du cul, me fait avoir une érection:— Tu me fais bander mon chaton, regarde la trique que je me tiens. Va chercher la rallonge s’il te plait.— Tu es sûr, tu sais ce que ça veut dire!— Oui ma puce, je suis tout à toi.Je suis bricoleur, et la rallonge est une de mes inventions. C’est un tube souple comme le gode, et qui se fixe entre celui-ci et le harnais. Il y a un grosse rondelle autour, comme un socle, et que l’on peut serrer à la longueur souhaitée. Pour moi elle est installée au raccordement du gode, de façon à ne m’enfiler que celui-ci et pas plus.L’avantage de cette trouvaille c’est qu’elle a du recul pour voir son engin aller et venir entre mes miches, qu’elle pourrait me mettre bien plus de longueur si j’acceptais, mais surtout qu’elle peut se pencher sur ma bite et me sucer en même temps qu’elle me sodomise. Si elle m’a prévenu, m’a demandé si j’étais sûr de vouloir, c’est parce que l’on a mis un petit jeu au point. Si j’accepte cette rallonge, qu’elle me pompe en même temps qu’elle m’encule, elle va me casser le cul jusqu’à ce que je jouisse à nouveau dans sa bouche et même si ça doit prendre du temps. C’est vrai que je n’ai plus vingt ans, et qu’à mon âge il me faut du temps entre deux explosions: autant dire que je vais en prendre plein le cul, pour mon plus grand bonheur.Elle est jeune ma nièce, sportive, en pleine forme, et elle me matraque non stop jusqu’à ce que décharge enfin dans sa bouche et qu’elle engloutisse tout.
Je suis épuisé, ne peut plus rien pour elle dans l’immédiat, alors qu’elle a toujours envie de baiser. Elle me demande si je peux appeler Thierry pour se refaire une partie à trois. Je le contacte, mais il a prévu un plan sexe avec un ami. Je lui propose une partie à quatre et il me dit qu’il me rappelle. Mon téléphone sonne quelques minutes plus tard: c’est son ami. Il sait tout de moi et de ma nièce, Thierry lui a tout raconté, me dit qu’il est aussi vicieux que nous, mais qu’il veut imposer des conditions à notre rencontre, surtout pour Aurélie. Je ne veux pas m’engager pour elle et lui passe le téléphone. D’après ce que je comprends elle accepte ses volontés mais impose aussi les siennes. L’affaire est conclue et elle me le repasse pour fixer l’heure et qu’il m’indique son adresse.
On arrive chez lui vers vingt-deux heures, Thierry est là, et on se déshabille tous sans perdre de temps. Je suis scotché à la vue de notre hôte: il semble plus âgé que moi, dans les soixante-cinq, et il a un superbe engin entre les cuisses; aussi long que le mien, mais bien plus large, plus épais. C’est lui qui nous invite, lui l’aîné, et il a décidé avec notre accord que c’est lui qui va faire le scénario. Pour commencer il demande à Thierry de s’occuper du cul d’Aurélie, de la préparer pour la suite. Ils ne se font pas prier ni l’un ni l’autre, démarrent les préliminaires, et je me retrouve face à face avec Daniel, notre hôte. On se met la main au paquet, on se tripote, et je lui dis tout le bien que je pense de lui:— Ouah, cette queue tu as mon salaud! Elle est trop belle.— Merci, mais la tienne est belle aussi. Et mes couilles, elles te plaisent?— Oui, elles sont magnifiques, bien chaudes, bien lourdes, et je suppose bien remplies!— Au maxi, prêtes à éclater. Tu aimes le sperme?— Oui, j’aime tout. Et toi?— Comme toi, je suis une pute moi aussi.— Tu embrasses?— J’adore ça, des pelles bien saliveuses.On cesse de discuter et nos lèvres se soudent, nos langues s’enlacent, s’enroulent, pour un patin vorace à perdre souffle. Nos bouches se dessoudent et je me baisse jusqu’à sa queue. Je la caresse, crache dessus, décalotte son gland, recrache dessus, le tripote, le câline. Il est tout épanoui, gonflé de désir, rouge de plaisir, énorme, et j’ouvre la gueule en grand pour le gober. Son bourgeon remplit ma bouche et ça me ramène quarante ans en arrière: j’avais alors vingt ans et j’ai sucé un homme pour la première fois, dans un cinéma X, un mec dans la cinquantaine, et qui avait un engin incroyable, pire que dans les films. Je n’avais pas d’expérience à l’époque, n’ai sucé que son gland, mais aujourd’hui je pourrais l’engloutir entier, jusque dans la gorge, et c’est ce que je fais avec le chibre de Daniel.Je le pompe quelques instants puis il se dégage, me relève, et ’accroupit à son tour pour me turlutter. Je m’abandonne à sa bouche experte et je mâte nos deux jeunes:Thierry broute le cul de ma nièce tout en se branlant. Il se relève et l’harponne d’un seul coup. Il est dans son fion et la lime profondément à cadence soutenue. On est dans une villa, sans voisin immédiat, et on peut crier autant que l’on veut. Ma nièce l’a bien compris et elle se lâche, hurle ses orgasmes, tandis que son partenaire gueule des insultes et obscénités.C’est à nouveau moi qui suce mon amant, et il me délivre des mots grossiers:— Hum, tu es une bonne salope toi, et ta nièce aussi. Vous êtes des putes, comme nous, on devrait bien s’amuser tous les cinq.- Tous les cinq! Comment ça!— Elle ne t’a pas dit ta petite putain, attends deux minutes, tu vas voir.Il quitte la pièce et revient accompagné d’un chien, un très grand chien que je suppose hyper bien monté. Il demande à Thierry de se dépêcher de conclure, et je le vois se mettre à quatre pattes, passer sa tête sous le ventre de son chien, et le sucer pour le faire bander. Thierry se démène comme un fou entre les miches de ma nièce, et ils gueulent tous les deux au moment de sa délivrance. Il se retire, et Daniel le suce pour le nettoyer tout en branlant son compagnon canin. Il met ensuite Aurélie en position pour la faire saillir, aide son chien à la monter, guide sa superbe bite dans son cul. Il attend que son animal soit bien installé et nous rejoint, Thierry et moi, pour s’amuser à trois.C’est toujours lui qui décide de nos ébats, et il a prévu que l’on s’offre chacun aux deux autres, à tour de rôle. C’est Thierry qui va jouer la première pute, et on va le baiser à deux, pénétrer sa bouche et son cul. On le défonce en regardant ma nièce se faire mettre, Daniel encourage son gros toutou et on échange quelques mots: — Oui, c’est bien mon chien, baise là cette salope, casse lui le cul comme si c’était papa. — Tu te fais baiser par ton clébard?— Oui, au prix qu’il me coûte il me doit bien ça. Je le suce et il m’encule tous les jours. Tu n’as jamais essayé?— Non, mais quand je vois le plaisir que prend ma nièce ça donne envie.Je suis super excité et je décharge dans la bouche de Thierry. C’est maintenant à mon tour de m’offrir à eux. Je prends le gros tube de Daniel avec délice, il m’éclate le cul comme rarement on ne me l’a fait. Il vient ensuite dans ma bouche et m’abreuve de ses giclées imposantes. Il s’offre à son tour.
On le besogne, en matant ma nièce se faire monter, et il se dégage lorsque son chien à fini son affaire et abandonne sa monture. Il lui ordonne de ne pas bouger, et s’approche de lui. Il le félicite, suce sa queue puis le fait sortir. Aurélie est restée en position et il vient fourrer sa gueule entre ses fesses qu’il écarte, lui bouffe le cul, dévore le foutre de son chien qu’il aspire bruyamment. On le regarde avec des yeux incrédules, mais il s’en fout complet: c’est un porc, fier de l’être et qui affiche sa perversité en toute impudeur.Il a vidé le conduit de ma nièce, a tout bu, et nous dit qu’il n’y rien de meilleur qu’un cul bien farci. C’est toujours lui qui dirige la soirée, et il nous propose d’enculer ma nièce tous les trois, de se vider les couilles dans son trou, pour qu’il se fasse une deuxième ventrée de sperme. C’est Thierry qui la sodomise le premier, et on se colle l’un à l’autre avec Daniel. On se caresse intimement, on se roule des pelles goulues, voraces, on parle déjà de se revoir tous les trois, nous deux et son chien. Thierry vient d’éjaculer entre les reins de notre salope offerte, et remplace Daniel dans mes bras tandis que celui-ci prend la relève entre les reins d’Aurélie. Elle gueule de plaisir à se faire ramoner par son énorme chibre, et il jouit à son tour, complète sa garniture. Jamais deux sans trois, et c’est à mon tour de saillir ma nièce, de la défoncer jusqu’a libérer ma semence dans son fion. Je me retire et Daniel s’attable entre ses miches pour dévorer le mélange de nos jus jusqu’à la dernière goutte.
Il est satisfait de ma nièce, elle a répondu à ses désirs, a accepté ses conditions, et c’est maintenant à lui de se soumettre.Elle a apporté le gode ceinture et s’en équipe, avec la rallonge. Ca lui fait une énorme bite qui pend jusqu’aux genoux, un sexe de cheval. Ce salaud de Daniel la regarde avec envie, même pas inquiet de ce qui l’attend. Elle lui demande de nous amener à sa chambre et commence son plan:— Mets toi à quatre pattes sur le lit, et offres moi ton cul, je vais bien m’en occuper pendant que tu vas sucer mon tonton et votre copain. Elle le fouille vite fait et engage son engin, tandis qu’on lui donne nos bites à pomper. Elle ne lui a mis que le gode, jusqu’à la rondelle de blocage fixée à la jonction avec la rallonge. Elle le matraque sauvagement, puis fait une petite pause; elle dévisse la rondelle et la revisse trois ou quatre centimètres plus loin. Elle s’enfonce, lentement mais surement, et voyant que Daniel accepte, apprécie, elle se remet en mouvement pour bien le limer. Nouvelle pause, quelques centimètres de plus, et ça passe sans problème. Daniel l’encourage, lui demande de tout lui mettre, et ce qu’elle fait peu à peu. A la cinq ou sixième pause elle enlève la rondelle et s’engage entièrement jusqu’au harnais, plus de quarante centimètres. Elle se retire jusqu’au gland, lui remet tout, et recommence plusieurs fois, de plus en plus virilement. Il nous suce toujours, grogne de plaisir, et l’on regarde cette longue queue bien souple se faufiler dans son intestin, on la devine négocier ses virages pour s’enfouir totalement. Elle lui casse le cul pour son plus grand plaisir, balance des insultes, des obscénités. On va bientôt jouir mon complice et moi, et Aurélie se retire pour nous laisser la place. Thierry s’allonge sur le dos et Daniel vient sur lui pour s’empaler sur son manche. Je viens derrière lui et j’enfonce ma queue pour une double sodomie. On le matraque de nos dernières forces tandis que ma nièce lui donne sa fausse queue à sucer, à lécher, à nettoyer. C’est bon nos deux bites qui se frottent l’une à l’autre dans son trou d’enculé, et on s’attend pour décharger en même temps, vider nos dernières cartouches.On se lève, il s’accroupit pour nous sucer, et se torche le cul pour récupérer nos jus qui coulent et les dévorer.La séance est finie, et on se rhabille avec ma nièce pour rentrer. Ils restent à poil, sans doute pour coucher ensemble, jouer les prolongations.
En ce qui nous concerne on est épuisé et on va s’endormir sagement. Elle ne part le lendemain qu’en fin de matinée, et on aura le temps de se faire un bonne petite et dernière baise.
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