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Quand la chair s'éveille

Chapitre 4

Inceste
Inceste ?
Il va prendre sa douche et commence aussi à se poser des questions. « Ma mère a la même odeur que Luce quand elle était avec moi et qu’elle m’a expliqué que c’est avec cela qu’on attrape les mâles, qu’est-ce que cela veut dire ? Désire-t-elle que je fasse comme avec Luce ? Rien que d’y penser, voila que mon sexe se durcit, mais ce n’est pas possible, c’est ma mère quand même ou est-ce que Jean lui manque ? »
Finalement, après avoir bien nettoyé la transpiration de la journée, il prend le grand linge pour se sécher et aller chercher son costume de nuit. En le sortant de la valise, il ne fait pas attention et voila que le linge se détache, le laissant nu comme au premier jour.
Sa mère, l’air de rien apprécie la beauté du paysage et lui remarque :
– Dis mon fils, je vois que tu es vraiment un homme maintenant, bien bâti.
– Excuse Maman, je n’ai pas fait attention, il est tombé tout seul et il enfile son pyjama sans autre commentaire.
– Viens encore près de moi pour me raconter la suite de nos aventures pendant que j’étais dans les vapes.
– Oui, voilà, quand j’ai saisi Delpatio par le cou, lui laissant qu’un mince filet de vie, je lui ai ordonné qu’il commande à un de ses rugbymen de te porter jusqu’au taxi. Là, le chauffeur a voulu me faire monter à l’arrière, mais je ne suis pas tombé de la dernière pluie. Je suis monté à l’avant et voyant ceci, Delpatio lui a recommandé la prudence en précisant que j’étais un dur des durs. J’étais drôlement flatté, mais pas impressionné. Après, nous sommes arrivés à l’hôtel et j’ai demandé un fauteuil pour invalides et j’ai prié de réceptionniste de régler le taxi, je ne voulais pas qu’il traîne inutilement et voie à quel étage nous nous arrêtions.
– Tu as super bien agi, dit-elle en se serrant affectueusement contre lui, et après ?
– Je suis redescendu à la réception et j’ai arrangé qu’on revoie Delpatio dans le salon B et qu’il nous informe dès qu’il arrive, j’ai convenu d’un code, s’il y a un problème, c’est moi qu’il s’adresse et si il n’y en a pas, c’est toi qu’il appelle. Il a prévu de renforcer le service de sécurité.
– Eh bien je dois dire que je suis impressionnée par tout ce que tu as fait. On sent l’homme déterminé. Je ne regrette pas que Jean soit resté au Japon. J’aime autant que ce soit toi qui me protèges, dit-elle en se serrant cette fois amoureusement contre lui.
– Dis-moi mère, c’est avec quel parfum que tu te parfumes, je ne le connais pas.
– C’est le 5 de Chanel.

– Non, je ne crois pas, Luce avait le même et je ne l’ai pas vu dans sa chambre. C’est un parfum qui me trouble beaucoup. Mais ces mésaventures m’ont un peu fatigué. Je pense qu’il serait bon de dormir un peu.  
Éléonora, baissant les yeux remarque qu’effectivement Ramon a bien l’air très troublé et que cela se voit distinctement. Du coup, elle sent une boule qui lui enserre les entrailles et le besoin de tendresse devient très fort.
Mais Ramon, épuisé s’endort profondément d’un sommeil profond, un peu dépitée, Éléonora s’endort à son tour, elle ne veut pas brusquer son fils qui a si bien réagit pendant cette journée. Elle le voit déjà la remplaçant à la tête des entreprises familiales.
Au cours de la nuit, suite à un rêve probablement érotique avec son amant Jean, confondant la réalité avec l’onirique, elle découvre son rejeton, le caresse doucement, les yeux bordés d’amour, plus incestueux que d’une mère à son fils, jusqu’à ce qu’il réagisse, toujours endormis, par une magnifique érection. Sans attendre, elle monte sur lui et s’embouche avec impatience sur ce priape à disposition et se ramone au sens propre et figuré la figue.
Dans un demi-sommeil, Ramon se sent bien, comme c’était avec Luce et cette femme qui le pompe avec son sexe est bigrement bonne.
– Luce ! Quel exquis réveil tu me fais, mais je croyais qu’on ne devait plus le faire !
Comprenant que son fils n’a pas tout à fait émergé de son sommeil, elle se pose le problème de sa réaction, elle-même encore l’esprit un peu embrumé, croyant avoir affaire à Jean se rencontre qu’elle s’est enfoncée dans les méandres de l’inceste et qu’il est bel et bien consommé.
– Ramon, je m’excuse, mais dans le sommeil, je t’ai confondu avec Jean et c’est de ma faute si cela s’est produit.
– Qu’est-ce qui te retient ? Lui demande-t-il
– La morale et ce qu’il adviendrait si cela était connu.
– Mon professeur de philo nous disait que la morale, c’est ce que l’on exige des autres et qu’on n’applique pas à soi, quant aux autres, il suffit de ne pas le crier sur les toits. Viens mère, embrassons-nous, j’aimerais connaître le goût de ta salive, la douceur de tes lèvres avant de connaître tes autres lèvres que j’ai aussi envie de déguster.
– Mais dis-moi, tu m’as l’air bien dégourdi d’un coup. Ne me dis pas que c’est Luce qui t’a dégourdi, je lui avais fait confiance et je m’aperçois qu’elle l’a trahi.
– Oui mère, c’est bien Luce et aussi Line qui se sont permis de m’enseigner les rudiments de l’amour.
– Je l’aurai parié quand tu m’as annoncé que tu avais réussi à maîtriser un étalon en pleine course. Son explication ne m’avait pas trop convaincue. Dans ce cas, on va consommer, mais là-dessus, motus et bouche cousue.
Sur ce, il approche sa bouche de celle de sa mère et commence à lui lécher les lèvres, elle pour ne pas rester en arrière, elle continue son balancement d’avant en arrière, l’orgasme n’étant pas loin et au diable la morale, c’est vraiment trop bon. Il est vraiment mieux qu’un substitut, elle se questionne sur l’avenir de sa relation avec Jean, maintenant qu’elle a consommé avec son fils qui remplit mieux que tout ce qu’elle a pu imaginer dans ses rêves les plus fous.
Elle accélère de plus en plus ses mouvements, venant même frotter son clito sur la tige lorsqu’elle est à moitié sortie, augmentant de ce fait la suavité du rapport.
– Comment tu le sens Ramon? Moi,j’ai un grand sentiment de culpabilité, mais je dois reconnaître que c’est mieux que tout ce que j’ai connu jusqu’à ce jour, probablement dû aux mystères des interdits.
– Maman, c’est comme moi, c’est 100 fois mieux qu’avec Luce et Line réunies, il y a une telle communion entre nous, j’aimerais que tu restes des heures comme cela à te balancer sur ma queue qui te remplit si bien, mais toutes fois, j’aimerais aussi lécher ton sexe et ton bouton d’amour pour m’imbiber de ton parfum !
– Pour moi, c’est la même chose, j’aimerais aussi bien lécher et sucer ce qui me laboure si agréablement le bas ventre, On se mette en soixante-neuf ? Mais si tu jouis, je veux que tu te laisses aller dans ma bouche, te goûter jusqu’au bout. Je te sors de moi et on se met en tête bêche, tu es d’accord.
– Oui mère, laisse-moi me faire envahir par la douceur de ton parfum intime, le goût tant désiré de ta chatte chatoyante, l’amertume de ton urètre et la rectitude de ton bouton d’amour.
– Ne serrais-tu pas poète à tes heures ? Moi je vais me contenter de ce beau bâton de chair qui va m’octroyer au fond de mon palais, son dû de béchamel brûlante. Il est délicieux ton dard, oint moi de ta sauce intime. J’en ferais volontiers une grande consommation.
– Tu n’es pas en retard dans les goûts et délices des instruments du péché. Tu régales mes papilles plus que n’importe quelle quatre fourchettes de chez Michelin ou toques de Gault&Millau. Devant ce délice tellement aphrodisiaque, je ne peux retenir le déluge qui va envahir ta bouche ma chère mère.
– Je n’en attends pas moins bleurk, bleurk, bleurk, répond-elle la bouche envahie pas la crue millénaire du Gothard et après avoir dégluti ce raz de marée, elle réussit à finir sa phrase je n’en attendais pas moins de toi, il a un parfum ma fois tout à fait convenable, je dirais même plus, il y un petit goût de reviens-y. Ce qui est bien avec toi, même après avoir déchargé le surplus de virilité que tu m’as donné, c’est que tu es encore prêt au combat amoureux, mais j’aime tellement ton art de léchage que j’espère bien conclure comme cela.
– Je sais Mam que pour le léchage de chatte, je ne peux concurrencer Luce ou Line, ce sont des pros de la chose.
– Ne mésestime pas tes qualités, je ne connais pas leurs possibilités, mais je t’assure que ce que tu fais est super bon, même si je traîne un peu, c’est surtout pour pouvoir en jouir plus longtemps.
C’est ainsi que sur les trois cents vingt-cinq coups de langue et demi, Éléonora, comblée plus que de raison rend enfin les armes ou son tablier que l’on pourrait assimiler à celui d’un sapeur.
– Ramon, je n’en peux plus, cela fait déjà trois fois que je grimpe aux rideaux et quatre aux stores, il faut que je me repose un peu.
– Comme tu veux mère, je commence à fatiguer un peu de la mâchoire, la-quelle n’a pas suivi un entraînement intensif, de loin s’en faut. Viens, rendormons-nous.
Le lendemain, les amants incestueux ont tendance à faire la grâce matinée, et pas la garce mâtinée, enfin un peu aussi quand ils reçoivent un coup de fils de la réception.
– Bonjour, ici la réception. On ne vous a pas vu pour le petit déjeuner, voulez-vous le prendre dans votre chambre.
– C’est très gentil, on s’est un peu oublié au lit et nous venons de nous réveiller. Oui, ce serait super s’il vous est possible de nous monter deux petits déjeuners anglais.
– C’est bon, dans dix minutes, on vous l’apporte dans votre suite.
– Fissa fiston, sous la douche. Toi en premier.
– Non mère, toi en premier, c’est bien connu que les femmes mettent plus de temps pour s’habiller et se pomponner que les hommes.
C’est ainsi que 10 minutes chrono plus tard, le groom avance le plateau avec un savoureux petit-déjeuner.
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