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Quand la chair s'éveille

Chapitre 5

Avec plusieurs femmes
Remarque préalable: il y a une renumérotation à faire, elle se situe entre la 2 et la 3
Le retour de mère.
Mardi après midi, ils reçoivent un câble.
"Sauf accident, arrive demain à 12h au Bourget E."
Les voilà partis Luce et Ramon pour arriver un peu avant midi au Bourget (CDG n’était pas construit à l’époque), à peine arrivés, ils constatent que l’avion arrive pile à l’heure. Les formalités douanières ne sont vraiment qu’une formalité pour Mme la Baronne.
– La voilà, remarque Ramon en se précipitant vers sa génitrice.
– Mère, que je suis heureux de vous revoir ! Lui dit-il en la pressant sur sa large poitrine.
– Moi aussi mon poussin. J’ai l’impression que tu as encore grandi ! Bonjour Luce ! Alors Ramon a été sage et à la hauteur ?
– Oui Éléonora, un vrai ange et qui fut bien à la hauteur !
Les voilà qui s’embarquent tous dans la voiture et Luce qui a déjà préparé ses valises, doit un peu réfréner les ardeurs de Ramon qui voudrait le faire une dernière fois.
– Non mon biquet, il n’en est plus question ! Les vacances sont terminées tout rentre dans l’ordre.
– Mais je vais faire comment, maintenant que tu as débloqué ma sexualité ?
– C’est pas mon problème, tu trouveras bien une petite amie ou une autre femme, il faut chercher.
– Oui, certainement, mais une aussi bonne que toi, cela va être difficile.
– Merci du compliment, cela me touche, mais c’est non. Je ne veux pas me mettre à dos Éléonora.z
Redescendant au rez, Ramon a une idée :
– Mère, tu me permets de raccompagner Luce chez elle avec l’Hispano ?
– Si tu veux mon chéri, moi je vais dormir un peu, cela fatigue ces longs voyages et pour moi, il est passé minuit à l’heure du Japon.
C’est ainsi que prenant l’Hispano, Ramon reconduit Luce chez elle et surprise, il y a aussi Line qui l’attendait impatiemment.
– Bonjour ! Tiens tu es là aussi, maman t’a laissé sortir, fait-elle de manière impertinente.
– Pourquoi es-tu si impertinente ? C’est normal que je raccompagne Luce.
– Certainement, mais j’espère que tu ne vas pas traîner trop long temps, j’ai des tas de choses à voir avec elle !
– Dis-moi un peu, est-ce que ces tas de choses à voir, ne serait pas plutôt des tas de choses à sucer ?
– Gros malin, comment tu as deviné, mais dis-moi, c’est ma vue ou ma conversation qui gonfle ton pantalon ? Répond-elle en lui mettant la main sur l’entre-jambe, il me semble que tu as de biens belles choses à apprécier ici.
– Line, tu m’emmerdes, j’ai déjà eu assez de peine à lui faire comprendre que c’était fini avec nous et maintenant tu le provoques.
– Tu ne serais pas pour un petit au revoir à trois.
– Peut-être, mais pas une au revoir, mais un adieu.
Ces querelles de femmes avaient bien refroidi l’enthousiasme de Ramon et de manière significative.
– Voilà, avec tes remarques, tu nous fais encore rater un bon coup, se plaint Line qui, a lâché l’objet de ses envies.
– Bon mes amies, il faut que je rentre, maman va m’attendre, dit-il alors qu’il sait, que sa mère est au lit, profondément endormie.
– Attends un peu, je reviens sur ce que je t’ai dit, on va faire un petit adieu coquin, mais après ce sera fini n i ni, demande Luce.
– Je serais d’accord si Line me fait le même cadeau que toi !
– Qu’est-ce que tu lui a fait comme cadeau, j’ai peur de comprendre, s’effraie Line qui s’image avec raison que son dernier pucelage risque bien de partir sur les couilles de Ramon.
– Je pense que tu as bien deviné, tu as toujours de la vaseline, celle qu’on utilise pour nos jeux.
– Oui, mais cela va être dur.
– Ne t’en fais pas, je vais bien te préparer le trou du cul pour qu’il soit bien accueillant.
Les voilà qui se retrouvent les trois, tous nus dans la chambre de Luce, avec un lit kingsize, Line, les fesses en l’air, Ramon tendu comme un arc mongol et Luce, le visage entre les fesses de Line en train de lui faire une feuille de rose. Line, voulant mettre toutes les chances de son côté, a saisi le sexe de Ramon qui est bien tendu et lui le tartine avec la graisse à traire, Produit recommandé par l’OMS pour toutes activités de ce type, car elle contient non seulement de la vaseline, mais aussi un gel désinfectant, destiné aux mamelles des vaches.
Luce plonge aussi un doigt dans la boite pour en extraire une belle coquille et retirant sa langue de l’anus de Line, l’embardoufle en profondeur en lui mettant deux doigts dans rectum.
– Voilà, je crois qu’elle est prête pour se faire enculer, annonce Luce, très satisfaite que sa compagne perde aussi son dernier pucelage.
Ramon, avec sa tige bien au garde-à-vous, d’un mouvement lent s’enfile dans le rectum de Line, sous la surveillance de Luce.
– Putain, t’es gros, mon petit cul ne va pas le supporter.
À ce moment-là, Luce présente sa moule non frite à la dégustation de Line.
– Tiens, bouffe-moi mon minet, cela t’occupera et t’empêchera de faire de mauvais commentaires.
– Putain, c’est vrai qu’elle est étroite, j’ai presque de la peine à rentrer. Je vais lui mettre trois doigts pour lui l’assouplir un peu.
– Non continue lui dit Luce qui tient fermement la tête de Line entre ses cuisses, cela va lui faire un énorme plaisir de souffrir un peu.
– Ah bon si tu le dis, commente Ramon qui pousse un bon coup et rentre complètement dans son boyau.
– Aïe, brute ! Marmonne Line, la tête collée au pubis de Luce, Salaud, ça fait horriblement mal.
Du coup, Luce se penche un peu en avant et libère une main qui s’abat avec vigueur sur le haut des cuisses  de Line, les teintant d’une belle couleur rouge pour ne pas dire écarlate. Ce qui a pour effet de diminuer la souffrance anal pour la concentrer sur les fesses et lentement, Line sent les bienfaits du ramonage de Ramon.
– Putain, cela devient bon, plus fort, du nerf mon gaillard, brame-t-elle, la bouche collée sur la fourche de Luce. Encore, encore Je viens j’arrive je décolle, je m’envole complète-t-elle en donnant de violents coups de cul contre la bite qui lui laboure l’arrière-train. Vide-toi dans mes intestins.
– À tes ordres lui répond Ramon qui envoie de voluptueuses giclées de crèmes béchamel lui crépir le gros colon et après, il retire son trépan passablement enrobé de matières brunâtres.
– Il faut que je passe sous la douche, tu m’as laissé pas mal de souvenirs peu ragoutants de tes intestins, je ne peux décemment honorer Luce avec une queue au chocolat. C’est bon pour abîmer les outils de camping.
– On peut y aller ensemble, un petit coup devant ne me gênerait pas, dit Line d’un air gourmand.
– Et moi et moi pleurniche Luce en singeant Claude François.
– Et toi et toi, ce sera pour plus tard, lui dit Line. J’ai acheté un gode ceinture, on pourra te faire une double, après tu seras certainement repue.
Deux heures plus tard, les deux femmes, le cul en compote, mais contentes de cet intermède prennent congé de Ramon qui rentre au bercail. Il a la surprise de voir mère debout les yeux sévères.
– Tu en as mis du temps pour raccompagner Luce.
– Tu sais, maman, il y avait Line et elles m’ont proposé une partie de poker et comme je ne savais pas bien jouer, j’ai perdu.
– Certainement, mais j’ai l’impression que tu as perdu plus que tu ne m’avoues, je sens comme une drôle d’odeur. Une odeur de femme !
– Oui, c’est Line, je ne sais pourquoi, elle se frottait toujours contre moi et c’est vrai que j’avais remarqué cette odeur quand j’étais là-bas, mais je suppose que je dois m’y être habitué.
– Bizarre, je pensais que Line n’appréciait que les femmes !
– Ça, je ne sais pas ! Mais j’ai l’impression qu’elle m’a à la bonne. Mais maman, cette odeur, je l’ai déjà respirée ici, quand Jean quittait ta chambre après avoir contrôlé la sécurité.
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