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Quand la chair s'éveille

Chapitre 6

Avec plusieurs femmes
Les deux ont juste eu le temps d’avoir une tenue présentable et constate avec stupéfaction qu’il est bientôt 10h. Le déjeuner est vraiment pris sur le pouce quand le téléphone sonne, demandant Madame la Baronne.
– Il semble que ce soit correct si la réception t’a appelé, mais je t’accompagne quand même.
Au salon B, Delpatio les attendait avec une pile de papier et l’air très sérieux.
– Voilà le contrat en deux exemplaires, que je vous prie de lire avant de signer.
Ramon se tient en peu en retrait, surveillant bien comment cela se passe. Éléonora, en lisant les deux contrats ne remarque rien de négatif et appose sa signature au bas du document.
– Je le lirai en détail à la maison, dit Ramon, pour le moment, j’ai d’autres chats à fouetter.– Il prend bien sa tâche au sérieux, il me semble encore mieux que Jean.– Normal, puisqu’à terme, c’est lui qui va me seconder, voire me remplacer.
À la sortie de la rencontre, Ramon insiste :
– On part tout de suite, tu vois avec la réception pour régler la note et amener l’Hispano– Pourquoi tant de hâte !– Je ne sais pas, mais je ne sens pas très bien Marseille et plus vite on sera loin, moins on prend de risque.– Tu ne fais pas un peu trop dans la parano ?– Les dernières actions de Delpatio, ses manières de mafia me semblent tout à fait dans le style de nous faire prendre des risques inutiles.– Tu as peut-être raison et finalement, nous n’avons rien à faire de particulier à Marseille.
C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent au château où les attendait deux nouvelles inattendues.Jean décidait de rester au Japon jusqu’à une date indéterminée. Raison, il est sous le charme d’une geisha et ne désire pas le rompre.
Dans la deuxième nouvelle, de sa mère, elle lui apprend que son père va très mal et désirerait connaître son petit fils.Ramon, d’un esprit positif remarque :
– D’un côté, ce sont de tristes nouvelles, mais d’un autre, ce sont de bonnes nouvelles, je vais enfin voir mon grand-père et le problème qu’aurait posé le retour de Jean ne se pose plus. On part
Voyage en Espagne
Éléonora demanda cependant 3 jours pour partir, car selon contrat, l’Hispano allait pour révision au garage et ensuite il fallait convoquer ses directeurs pour se tenir au courant des derniers événements.Pendant trois jours, Ramon fût présenté aux différents directeurs et familiarisé avec les affaires familiales, l’Hispano était de retour, rien à signaler, si ce n’était un petit espion sous la carrosserie.
– Donnez-la-moi ou placez-la sur une cible en mouvement, par exemple un wagon international pour faire courir un peu les curieux, si possible en direction de la Turquie.– Bien, il en sera fait comme vous le désirez.
Le voyage s’annonce sous d’excellents auspices, descente vers le sud de l’Espagne en passant par la côte Atlantique, Bordeaux, Bilbao, Burgos où ils s’arrêtèrent pour la nuit pour reprendre le lendemain vers l’Andalousie, jusqu’à Lucena où était la résidence de Grand-père qui a pu récupérer ses terres à la mort de Franco, le con dilo disent les méchantes langues.L’Hispano fut rapidement rangée dans le fond de la cours, à l’abri des curieux et tout de suite Éléonora va vers la partie principale de ce qui ressemblait à une énorme ferme, plutôt qu’un château ou palais comme on les voit en France. Elle retrouve sa mère qui avait évidement pris un sérieux coup de vieux. Cela faisait déjà un moment qu’elle l’avait quittée.
– Comment va père ?– Il est dans sa chambre et je crois qu’il dort. C’est Ramon, ce beau garçon qui est derrière toi ?– Oui, c’est bien lui, Salue ta grand-mère !– Non, pas saluer, viens dans mes bras, ce n’est pas tous les jours que je peux serrer mon petit fils dans mes bras.– Bonjour grand-mère, excuse, mais mon espagnol est encore très hésitant, surtout vis-à-vis de l’Andalou, je suis très heureux de faire ta connaissance, cela me manquait, dit-il en la prenant dans ses bras et en la serrant affectueusement.– Dis donc, c’est qu’il a l’air bien bâti ton fils, un peu comme son grand-père dans les jeunes années. Ma fille, tu ne t’es pas encore remariée !– Pourquoi devrais-je me remarier ? Pour avoir un poids supplémentaire pour gérer mes affaires ? Surtout que maintenant, Ramon est devenu mon associé. Je vois mal un autre homme dans ma vie, sans créer des frictions inutiles– Oui, je suis bien contente, mais pour eh…– Là, c’est comme pour le fitness, on n’est pas obligée d’épouser son moniteur. De ce côté, ne te fais pas de soucis.– Allons voir Grand-père.
Ils montent à l’étage, dans une chambre étonnamment fraîche où gît un vieil homme, la mine parcheminée.
– Ah ! Le voilà mon petit fils, mon unique héritier. Ruis, ne voulant pas s’encombrer d’une femme, il ne m’a fait aucun descendant légal. Donc te voici le futur marqués de Lucena. Je me sens déjà mieux– Mais grand-père, cela fait beaucoup de travail, parce que j’ai mes études à finir ?– Cela dépend pourquoi. En gestion, tant que je vis, pas de problème, mais pour le droit de cuissage, je ne suis plus ce que j’étais et si on ne l’applique pas, cela risque de se perdre pour les générations suivantes, avec tout ce que cela implique. Un peu de soutien de ta part serait le bien venu.– Mais je ne sais pas si mère sera d’accord.– Cela ne s’applique pas à ta mère, évidement !– Mais père, ce sont des coutumes qui ont été abandonnées depuis longtemps en France.– Je sais, mais pas ici, cela ne va pas lui faire de mal, il y a la fille cadette de Roméro, Hortensia, qui va se marier et ce serait bien qu’il fasse le nécessaire. Pour tout dire, il y a bien des maris qui sont très contents que le seigneur passe en premier, cela ouvre les possibilités de leur future épouse et souvent en souvenir, elles ont la reconnaissance du ventre si on ne se conduit pas comme un soudard, mais comme un initiateur, parachevant l’éducation familiale très décevante dans ce domaine.– Je ne le voyais pas sous cet angle. Ramon a bien été éduqué récemment, pendant mon absence par une amie, je pense qu’elle s’est vraiment bien donné de la peine. C’est pour quand tu dois faire valoir ton droit de cuissage ?– Si je ne me trompe pas, ils doivent se marier le week-end dans une semaine, si Ramon est d’accord, je vais la convoquer pour vendredi soir. Ramon la raccompagnera samedi matin, prête à l’emploi.– Moi, je veux bien essayer, dit Ramon, visiblement très intéressé d’élargir son cercle de connaissance.
Cependant, le dimanche à la messe, il rencontre plusieurs de ses futurs sujets et à la sortie, un petit groupe de républicains, voulant tester et plus ou moins abolir certaines habitudes des grands d’Espagne, le prennent à partie. Les pauvres, ils ne pouvaient pas savoir qu’il était une ceinture noire, après en avoir mis 5 sur le tapis, la petite bande voulut s’enfuir pour ne pas encourir de sanctions.
– Attendez ! Ne partez pas, c’est pas cette petite distraction qui vous fait peur. Soyons amis.
Revenant en arrière, la petite troupe fait amende honorable.
– On a cru comprendre que Luis allait être cocu avant d’être marié !– Je suis désolé, mais grand-père est très attaché aux traditions et m’a demandé de m’y prêter, cela ne vient pas de moi !– Je ne t’en veux pas, répond Luis, si ce n’est pas volontaire de ta part.– Merci, je ferai du mieux que je peux. J’aimerais bien qu’on fasse une bande de copain.– Et tu serais le chef, je suppose, ricane José qui semble être le porte-parole du groupe.– Comme vous voulez, il n’est pas nécessaire d’avoir un chef, mais d’être solidaire est plus important.– Pourquoi pas, mais qu’est-ce qu’on y gagne ?– À ta question, on peut répondre qu’est-ce que vous perdez ! J’ai besoin de soutiens solides en France, mais il faut qu’ils soient mes amis. Mère a des intérêts puissants en France et je me suis engagé à l’aider, donc à vous de voir et moi, je suis le futur marquès ici.– Ainsi ton grand-père s’est décidé ! On n’y croyait pas, car il était en froid avec ta mère qui ne voulait pas se remarier.– Il faut croire qu’il a choisi de faire le saut d’une génération.– Comment tu envisages notre séjour en France d’une partie de nous et quel sera nos tâches ?– Je n’ai pas encore cerné la chose avec ma mère, mais récemment, nous avons traité une affaire à Marseille qui a failli mal se terminer. Un soutien sûr de nos arrières me semble un apport nécessaire.
Le soir tout le monde est rassemblé autour d’un gaspacho tout à fait dans la tradition andalouse. On boit copieusement et c’est connu les vins du sud, sont un peu traître, un peu doux, mais surtout très alcoolisés. À la troisième bouteille, tout le monde est joyeux, Grand-mère a un sourire que cela fait longtemps qu’elle n’avait pas eu, juste le Marquès qui accuse un peu le coup.
– Éléonora, va donc aider ton père pendant que je profite un peu de mon petit fils.– Je vais t’aider Maman, Grand-père est trop lourd pour toi.– Oui, aide-là pour l’amener dans son lit, mais après redescend.
Une fois le grand-père amené dans la chambre, sa mère lui ordonne de redescendre tenir compagnie à grand-mère.
– Dis-moi mon petit-fils, c’est comment avec les femmes, tu es encore vierge.– Non, pas vraiment, la copine de maman qui devait me surveiller. En fait m’a plutôt dévergondé, j’ai tout appris avec elle.– Dommage, je voulais te donner un cours particulier pendant qu’Éléonora s’occupe de grand-père.– Donne toujours, on apprend à tout âge, surtout au mien.– Mais j’y pense, je ne suis pas trop vieille ? Je me suis peut-être un peu trop avancée.– Mais non Grand-mère, tu es encore une belle femme pleine d’allant– Je suis très curieuse, tu ne veux pas me montrer ton outil pour voir s’il conviendra à la tâche que t’a confié Grand-père.– Si tu veux, mais dis-moi, tu n’étais pas jalouse que grand-père prenait du bon temps en courant les femmes de ses sujets.– Non, car ce n’était qu’une fois, au moins à ce qu’il affirme. Ce que je ne lui ai jamais pardonné, c’est avec ta mère avant son mariage.– Quoi ? Tu veux dire qu’ils ont eu des rapports sexuels avant le mariage.– Son argumentation était ce que j’exige de mes sujets, cela s’applique aussi à la famille. Mais je ne crois pas qu’il y ait eu récidive. Car je me suis arrangée pour expédier ta mère vers son mari le plus tôt possible.– Je comprends mieux sa réticence à revenir en Espagne. Mais tu sais, Maman est formidable, elle mène ses affaires d’une main de fer dans un gant de velours.– Je pense que ta mère t’aime beaucoup, quand elle te regarde, elle a un regard qui ne trompe pas, je dirais qu’elle est amoureuse de toi. Dit-elle en mettant sa main sur la bosse qui s’est formée lentement au niveau de l’entre-jambe de Ramon.– Tu permets que je le mette à jour, j’aimerais le comparer avec celui de mon mari.– C’est un peu gênant, tu es ma grand-mère ! Mais si cela peut te faire plaisir, pourquoi pas.Elle baisse le pantalon et le slip et extrait une belle queue bien dressée.– Beau morceau, il n’a rien à envie à ton grand-père, Qu’en est-il du goût ? Il faut qu’il soit adapté aux pucelles dont tu devras t’occuper.Sur ce, elle embouche dans sa vieille bouche le morceau de viande et le suce avec avidité.– Pas mal, mais je ne vais pas aller jusqu’au bout. Tu ne veux pas me saillir, cela fait tellement longtemps que ce n’est pas arrivé.– Oui, mais maman va bientôt redescendre.– À priori, grand-père ne va pas la laisser redescendre tout de suite, il faudra bien qu’elle lui fasse une petite gâterie et il est long à venir. Surtout s’il veut en plus goûter les délices de ta mère.– Tu penses sérieusement que maman se fait suborner par son père ?– C’est bien possible. Si tu veux en avoir le cœur net, monte vers la chambre de ton grand-père et tend l’oreille.– J’y vais tout de suite, si c’est vrai, je te fais ton affaire.– J’espère bien, depuis le temps que je suis en friche.
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