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Quand la chair s'éveille

Chapitre 8

Inceste
Le droit de cuissage
Le soir même, une jeune fille, Hortentia, vient se présenter au vieux marquis, en se disant qu’avec lui, elle ne risque pas grand-chose, mais tout de suite il la conduit vers Éléonora :
– Prépare-la pour Ramon, qu’il fasse son devoir de maître, au besoin fais-toi aider par ta mère, elle connaît ce qu’il faut faire.
Prenant la jeune pucelle par la main, elle l’amène aux bains, elle ne profite pour demander à Hortentia d’allumer la chaudière avec quelques bûches en bois. Pendant qu’elle va s’enquérir de sa mère et des onguents nécessaires.À leur retour, un bon feu crépite dans la chaudière et la baignoire va pouvoir se remplir.
– C’est bientôt prêt pour l’eau, tu peux te déshabiller.– Mais pourquoi devrais-je prendre un bain ?– Mon enfant dit la grand-mère, tu dois tout apprendre au sujet de l’amour, c’est pas monsieur le Curé qui a dû t’éduquer dans cette partie. Si tu veux que ton initiateur t’initie bien, il faut que ce soit un plaisir partagé et que tu ne le rebutes pas. Plus tard, avec ton mari, ce sera idem, c’est une chose que tu devras lui imposer, que vous soyez propre, très propre de partout pour faire ce que l’on appelle le devoir conjugal, mais qui doit être le plaisir conjugal.…Imagine que ton époux rentre en puant de transpiration et d’autres choses du travail et qu’il te demande de faire le devoir conjugal sans se laver. C’est évident que tu risques bien de ne pas avoir de plaisir et si la femme n’en a pas, elle ne participe pas, il ira vite regarder ailleurs, ce qui mettra vos finances, votre vie et votre couple en danger. Par contre si ton mari est bien propre, s’occupe de toi avec gentillesse, tu auras aussi envie d’être gentille avec lui et en communion vous atteindrez le septième ciel.…Il faut encore que tu apprennes comment rendre ton mari dépendant de toi avec l’amour, comme une fille de joie que vont trouver les hommes que leur femme ne satisfont pas.
Convaincue, la jeune fille va dans la baignoire qui est à bonne température et là, Éléonora verse un peu de huile de pin et commence à frotter la nuque les bras, nettoie les aisselles des transpirations de la journée, lui fait un shampoing de sa magnifique chevelure noire geai.
– C’est très important de ne pas trimballer l’odeur de toute une journée avec soi, un peu c’est excitant, mais trop c’est répugnant.
Après le rinçage, qui teinte l’eau du bain d’une couleur un peu Isabelle, elle continue en lui demandant de se mettre à genou en face d’elle pour qu’elle puisse aussi lui laver la poitrine, évidement elle en profite pour la peloter dans les règles de l’art et Hortentia sent une sourde envie lui saisir le bas ventre, mais Éléonora, ne veut pas exagérer et continue à nettoyer plus bas, le nombril puis la forêt pubienne qui est bien abondante et dégage déjà une odeur féminine bien marquée, démontrant l’excitation de la jeune fille.
– Mets-toi debout et écarte bien les cuisses que je nettoie bien ton entre-jambe, puisque cela va se passer principalement ici.
Obéissante, Hortentia écarte bien les jambes, ce qui permet à Éléonora de shampouiner la toison et en même temps les abords de la vulve, elle ne peut d’empêcher d’introduire un doigt avec comme prétexte qu’il faut bien laver, elle décalotte la petite amande qui pointe son nez et lui passe aussi un petit coup de Master propre. Après rinçage, elle remet son doigt dans la fente qui continue à mouiller et l’imbibe de ce suc qui vient de ce jeune sexe pas encore aguerri. Elle le porte à la bouche pour en tester l’odeur et le goût, puis le replonge à l’orée pour l’humidifier et présente également à sa mère son indexe chargé des senteurs.
– Qu’en penses-tu, je crois qu’elle est bientôt prête ?– Ma fille, le goût est correct, mais tu oublies que toute médaille a son revers et là, tu as oublié de faire le nécessaire. Tu veux que je le fasse ?– C’est vrai que je l’avais un peu oublié, mais j’aimerais encore qu’elle goûte elle aussi à son breuvage.
Sans attendre d’autre commentaire, elle plonge à nouveau son indexe dans le puits d’amour de la donzelle, qui cette fois serre ses cuisses, mais trop tard, elle le lui présente devant la bouche.
– Non, je ne veux pas c’est sale.– Avant oui, c’était sale, mais maintenant, c’est tout propre, c’est nécessaire que tu sentes et goûte ton odeur, ne serait-ce que pour contrôler l’odeur des moustaches de ton homme futur. Savoir s’il n’y a pas l’odeur d’une autre femme.– Excusez-moi, je suis une sotte dans ces choses. Sans autre, elle met son nez dessus et finalement enfile le doigt dans sa bouche et le suce avec application.
À ce moment-là, la grand-mère passe derrière sa fille, lui soulève la jupe et enfile son doigt à son tour dans sa fente excitée et le ressort pour le mettre sous le nez d’Hortentia.
– Compare l’odeur et le goût de toi et de ma fille. Tu vois, ce n’est pas le même. Maintenant, je vais m’occuper de l’autre côté, penche-toi en avant que je nettoie bien ton cul.– Mère vous ne pensez pas que la poire de lavement serait indispensable, pour ma part, je l’utilise chaque fois quand j’envisage cette extrémité.– Tu as raison ma fille, mais un premier dégrossissage à la main n’est pas inutile et d’un coup elle passe ses doigts bien mouillés sur l’œillet boursouflé de la jeunette qui tressaille, un peu inquiète.– Ma fille, on va te faire un lavement, car je pense que Ramon voudra prendre toutes tes virginités et si devant, cela doit être propre, derrière, d’autant plus. Il faudra garder l’eau le plus longtemps possible, en tout cas jusqu’à arriver sur le siège des toilettes.
Le pot rempli d’eau tiède est relié à un conduit en caoutchouc qui aboutit à un canule munie d’un robinet.
– Je prends un peu de ton jus intime pour lubrifier le bout de la canule, sinon cela peut faire mal, dit la grand-mère en mettant à son tour ses doigts sur la jeune figue passablement humide pour ne pas dire carrément mouillée, suite aux différents attouchements des deux femmes.
Tartinant bien l’œillet, finalement elle enfonce lentement la canule dans le cul de la jeune femme et avant d’ouvrir la vanne, elle fait quelques mouvements dans le fondement pour mesurer le degré de réceptivité et subitement elle tourne le robinet en libérant un bon litre d’eau tiède dans l’intestin de la jeune fille.Elle serre comme elle peut les fesses, mais un besoin de se libérer de toute cette eau la pousse impérativement vers les toilettes qu’elle recrépit d’un mélange d’eau et de merde dans un bruit apocalyptique.
– Ouf, cela fait du bien de relâcher tout ceci, avoue-t-elle la figure rouge pivoine.– Je crois qu’avec tout ce que tu as ressorti, un autre nettoyage de contrôle s’impose, prévint la grand-mère en remplissant à nouveau son broc d’eau.– Si j’avais su que c’était si compliqué la préparation…– Tu sais, notre but, c’est que tu sois vraiment bien dépucelée, il faut que tu rentres dans la vie amoureuse en ayant envie de recommencer et que tant ton mari que toi soyez heureux en couple.
Après avoir bien nettoyé encore une fois l’intestin, les deux femmes l’habillent d’un peignoir bien confortable et magnifique, ses magnifiques cheveux noirs étalés et l’amène jusqu’à la chambre d’initiation où les attend Ramon, également pouponné et prêt à remplir sa mission.Galamment, il vient à leur rencontre et prend Hortentia par la main et l’amène au pied du lit, lui retire le peignoir, prie les femmes de se retirer.
– Tu as de très beaux yeux, lui murmure-t-il dans le creux de l’oreille et en déposant un baiser dans le creux du cou, juste en dessous de l’oreille, créant un frisson de bon aloi. Tes cheveux sont également superbes, sans parler de ta poitrine que j’ai fort envie d’embrasser.
Il empaume les deux seins délicatement et commence à jouer avec les tétons qui se gonflent d’orgueil et s’allongent en réclamant une bouche pour les apprécier.Une fois la bouche rivée à ces délicieuses framboises, au gré des succions, il voit que l’effet se fait sentir et délicatement, il passe une main sur cette forêt luxuriante pour aller fouiller dans ce puits du bonheur.
– Tu ne veux pas que je sois nu comme toi ? Lui dit-il en se redressant, déshabille-moi, comme tu le feras à ton mari dans le futur, je te dirai si tu le fais juste.
Maladroitement elle défait la ceinture qui retient le peignoir et d’une main tremblante elle écarte les pans, un peu curieuse et un peu effrayée par ce qui risque d’y surgir. Enfin l’objet est là-devant elle et elle ne sait que faire, elle contemple ce sexe d’homme qu’elle voit pour la première fois. Elle l’observe et remarque qu’une petite goûte perle au bout.
Elle reste sans réaction devant, ne sachant pas si elle ose faire quelque chose, quand timidement elle tend la main et saisit ce membre très dur qui l’intrigue au plus haut point. « C’est donc ça qui effrayait tant les sœurs cela ne m’a pas l’air très méchant, c’est plutôt doux au toucher. »Elle place à ce moment son doigt juste sur l’extrémité, exactement où pointe cette petite goûte perle. Curieuse, après les expériences précédentes, elle se dit pourquoi pas y goûter aussi et elle met son doigt dans la bouche et ne trouve pas le goût désagréable, au contraire, elle a envie de plus, mais elle n’ose pas.Ramon qui observe la scène avec intérêt lui propose :
– Si tu veux, tu peux y goûter en entier, c’est pas poison et quand tu le feras avec ton mari, il faut qu’il fasse comme j’ai fait, qu’il se nettoie consciencieusement pour que tu puisses l’apprécier si c’est tout propre et frais.
Sur ce, elle prend en bouche son sexe et commence à le lécher avec application.
– Attention, si tu le fais trop longtemps, beaucoup plus de jus va sortir et ce serait dommage.
C’est possible de le faire, mais on ne le fera pas pour la première fois. À mon tour de m’occuper de l’objet de mes désirs, j’espère que tu en retireras bien du plaisir, car il faut que tu aies envie de prendre ce que tu viens de sucer dans ton puits pour que tout se passe bien.… Mets-toi sur le dos et écarte bien les cuisses, place tes pieds délicieux sur mes épaules et laisse-moi faire.Délicatement, il avance sa figure vers ce joli sexe tout neuf, entouré d’une végétation un peu trop luxuriante à son goût, il constate qu’elle est déjà bien excitée, sa fontaine déborde à gros bouillons. Avec hâte, il plonge sa lécheuse pour récupérer ce jus juvénile et lèche consciencieusement cette figue aux goûts andalous, parfois il donne un petit coup de langue sur le pistil qui dépasse, il grandit, encore de plus en plus jusqu’à atteindre une taille respectable et là, telle une sangsue, il l’aspire, le suce, créant un mouvement de houle de plus en plus marqué, elle a tendance à écraser sa fleur sur la bouche de Ramon.
– Oui, continue, je n’ai jamais eu cela et elle commence à voir des feux d’artifice dans la tête, un orgasme, son premier, mais elle sent que ce n’est pas complet, même si c’est trop bon.… Prends-moi, je n’en peux plus.
La bouche de Ramon quitte la fleur que Baudelaire écrirait du mâle peut-être et présente sa bite à l’orée du sexe de Hortentia et la promène en caressant les lèvres qui frémissent à chaque passage, il titille aussi avec son petit frère qui s’impatiente, puis lentement, il introduit son sexe dans le puits d’amour d’Hortentia jusqu’à ce qu’il sente une petite résistance, démontrant bien là qu’elle est vraiment pucelle.
– Ça va ? Je continue, tu vas avoir un peu mal, mais cela passe rapidement.Puissamment, il pénètre de plus en plus profond dans cet antre du plaisir.– Aïe ! Cela a fait mal, mais continue, cela commence à n’être plus qu’un souvenir et à voir l’orage qui se prépare, il faut encore bien ramoner Ramon.
Se plaçant sur les talons, il a une vue imprenable sur la pénétration et sur cette jolie motte qu’il est en train de contenter. Délicatement, il avance son pouce vers le starter ou dit autrement le bouton d’amour et le caresse en effleurant la tête, puis plus énergiquement, il le saisit à travers la peau protectrice et commence à avoir un mouvement synchrone avec sa bite. Le résultat ne se fait pas attendre, Hortentia part à l’escalade des rideaux, qui sont fort lourds et épais, mais rien ne la ralentit dans l’ascension du plaisir qui éclot comme une gerbe d’un feu d’artifice.Hors de souffle, les yeux bordés de reconnaissance, Hortentia regarde amoureusement Ramon qui l’a si bien ramonée.
– Mon amour, dit-elle d’un ton pathétique.– Non, ce n’est pas moi, ce sera ton futur époux. Moi, je te montre la voie et je dois dire que tu es une bonne élève. Il reste cependant à compléter un peu ton éducation. Tu peux reprendre le suçage que tu avais commencé, pour que tu testes le jus de pruneau avant que ton mari te l’impose, il vaut mieux que tu l’apprécies plutôt que tu en soies forcée.– Là, il n’y a pas que ton parfum, il y a aussi le mien, je le reconnais. Ta mère me l’a donné à tester en comparaison au sien.– Alors, c’est le quel le meilleur ?– Le tien !– Je voulais savoir entre le tien et celui de ma mère ?– Ils sont différents, mais j’aime bien celui de ta mère.– Tu le voudrais pendant que je m’occupe de ton petit cul ? Elle serait certainement d’accord de faire l’expérience.– Parce que tu envisages de me casser le cul ? C’est pas très catholique tout cela !– Souvent, c’est ce qui n’est pas catholique qui a de la saveur. Il faut parfois choisir, l’église ou le libertin, bien que parfois le curé se dévoue pour remplir les deux rôles, mais ce n’est pas bien vu par sa hiérarchie.– Avant, je penchais pour le curé, mais maintenant que j’ai goûté au fruit défendu, je me vois mal m’en passer.– Mam ! Viens, on a besoin de tes services.La grand-mère répond :– Elle est en train de mettre au lit le marquis, tu veux que je vienne ?– Je ne sais pas, Hortentia voulait tester la chatte de mère, mais peut-être que celle de mère-grand se prêtera bien à la chose. Tu en penses quoi Hortentia ?– Je ne sais pas, il faut essayer pour savoir.– Alors viens, mais sans culotte.– Hum petit polisson, je me réjouis mon minou tremble d’impatience de se faire câliner.À ces mots, l’aïeule franchit la porte complètement nue, la motte en avant.– Mets-toi sur le dos sur le lit, pendant que je m’occupe de son croupion, vous l’avez bien nettoyé, je vais en primeur le déguster.
Quand grand-mère fut installée, les jambes écartées enserrant le joli visage d’Hortentia qui la bouche en avant essayait d’atteindre son Saint-Graal alors que Ramon, un doigt dans la chatte récupérait un maximum de lubrifiant et de lait de minette, enfin à force d’être battue, cela ressemblait plus à de la crème, voir du beurre pommade, toutes fois avant de l’étendre, il baisa gentiment l’œillet prêt pour le sacrifice ultime.Cependant, pour la préserver d’une douleur certaine, elle avait déjà eu sa dose avec le premier pucelage, Ramon se décide de faire une petite exploration avec les doigts, un, puis deux quand il y a un peu de jeu, trois comme il se doit et finalement quatre pour le pâtre. Une fois le fion bien souple et les prémices du désir s’éveillant fortement, il n’y avait plus à reculer, mais à enculer.Présentant sa bite devant la porte de service, il force doucement l’huis et pénètre dans le saint des saints, progresse lentement, s’arrête par moment en demandant si la douleur est supportable.
– Oui, c’est bon, cela a coincé un peu au début, mais maintenant c’est comme les belettes, une fois la tête passée, le reste va tout seul. Continue, c’est très différent d’avec devant, mais j’aime bien, enfin, j’aime tout ce que tu me fais, mon mari a intérêt à être à la hauteur.– Il ne faut pas le prendre comme cela, tu dois l’amener doucement à ce que tu veux, sans lui mettre la pression, sinon, cela ne va pas aller. Comment trouves-tu la chatte de grand-mère ?– On voit qu’elle a plus de kilomètres au compteur que ta mère, si le goût n’est pas mauvais, il est nettement plus relevé. C’est pas du petit lu.– Je sais, je l’aime aussi bien.– Quoi ? Tu l’as aussi prise ? Ta Grand-mère ?– Elle voulait voir si j’étais capable d’assurer la succession de son mari qu’elle m’a dit. J’ai bien passé l’examen, elle a été satisfaite de ma prestation.– Il faudrait être vraiment difficile pour ne pas l’apprécier, tu es généreux et doux, que demander de plus ?À ce moment-là, la grand-mère met son grain de sel.– Il y a des femmes qui aiment l’amour vache comme on dit, il faut un peu de brutalité ou de passion pour les faire démarrer.– En tout cas, continue, c’est trop bon, meilleure que par-devant, je comprends maintenant la raison du lavement, cela ne doit pas être top de se plonger au milieu des étrons en attente d’expulsion. Encore un petit peu et je sens que je vais partir.– Pour moi aussi c’est super bon, ton petit cul tout neuf, c’est du délire, je sens aussi que le tsunami est en train de monter. Je vais bien te graisser le colon. C’est parti mon kiki. L’arroseuse municipale est en route.
Bougeant du cul comme un hanneton qui a une paille au cul, Hortentia part aussi dans une jouissance rectale de qualité supérieure. La grand-mère, remarquant qu’elle partait lui bloque la tête sur sa figue et à son tour décolle et s’envole dans la stratosphère du plaisir.
– Je crois qu’on a bien donné à Éros ce soir, je propose qu’on fasse un petit break, les chapitres principaux ont été bien parcourus. Hortentia, te sens-tu capable d’aborder ces sujets avec ton futur mari ?– Moi, oui, maintenant, il faudra voir s’il suit.– Si jamais, il a de la peine à s’adapter, je lui proposerai maman pour qu’elle le mette au courant. Elle a vraiment de très bons dons pédagogiques dans ce domaine.– C’est elle qui t’a dispensé cet enseignement ?– Non, deux de ses amies qui sont encore plus fortes dans l’enseignement. Ce fût une semaine mémorable qui me laissa complètement sur les rotules. Si on pouvait faire un somme et demain matin avant le petit déjeuner, on fera une petite répétition générale des différents chapitres.
Les voilà, dans les bras l’un de l’autre, grand-mère s’étant retirée discrètement une fois son orgasme validé, les deux se plongent dans un sommeil réparateur avant d’émerger aux premières heures de la journée. Ramon qui était réveillé le premier, prend la direction des opérations et propose en complément d’instruction, de conjuguer le chiffre 6 avec le chiffre 9 et lui présente son organe à déguster alors qu’il avance une langue indiscrète vers cette moule, mise en service tout récemment.
– Attends un peu, j’ai la vessie pleine, je ne sais si c’est tout ce que tu m’as mis hier, mais il faut que je la vide, sinon tu risques d’avoir une surprise.– Moi aussi, il faut que je vidange, après on reprendra la discussion, j’ai hâte de bouffer ton petit minou avec un arôme supplémentaire.– Cochon !– Parce que tu crois que tu vas y échapper, il faut aussi y goûter pour voir si dans le futur, si ton mari te le propose, tu vas l’accepter ou pas. Moi, je m’imagine que je vais de toutes façons me régaler. Mais il y a une chose que je ne sais pas encore, tu préfères que je te recrépisse les ovaires ou le palais ?– J’aimerai bien les deux, mais je ne sais si c’est possible. Mais en priorité mon palais, pour les ovaires, j’aimerai autant que ce soit mon futur mari qui me mette en cloque.– Comme tu veux, je ne tiens pas absolument à suivre la tradition qui veut que le premier né soit issu des couilles du suzerain.– Merci, tu es plein de délicatesses, lance-t-elle en aspirant et en léchant cet objet qui lui a tant apporté pendant la nuit.
Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse, dit le proverbe qui à la situation présente, tant va la langue sur le vit qu’à la fin il décharge.
La bouche remplie de sperme qu’elle a quelque peine à tout avaler, Hortentia, entre deux déglutitions remarque :
– Il faudra que je me lave les dents avant de retourner à la maison, même s’il y a un petit déjeuné solide.
Nota de l’auteur:On peut avoir un doute quant à l’existence du droit de cuissage tel que décrit, mais même dans nos structures modernes, cela existe bel et bien, cela a d’autres épithètes : Promotion canapé, harcèlement sexuel. Certes, on ne peut affirmer qu’il ne fut jamais écrit en noir sur blanc, mais le droit coutumier ne l’est pas non plus.
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