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Quand la chair s'éveille

Chapitre 15

Avec plusieurs femmes
– Mais chérie, quelle est la différence entre une queue noble et du peuple ? Et surtout, tu dois t’assurer qu’il maîtrise bien les préliminaires. Ce sera une expérience intéressante pour nous tous. Si tu veux prends Fuji avec toi avant de préparer la mignonnette.
Le lendemain après midi, les deux se présentent à nouveau au château.
– J’ai parlé avec Juan, il m’a confié que si au départ, il était très retissant,  par la suite, il n’a eu qu’à se féliciter de ce que tu as fait. Je veux bien essayer.– Il y a une modification, vis-à-vis de Juan, tu vas passer une examen avec ma mère et s’il est satisfaisant, tu me remplaceras. Mais je te préviens, il y a un juge très sévère, ma future femme. Va dans la pièce d’eau et prends une douche, mets le peignoir et présente-toi vers les dames. Tu dois la séduire pour réussir ton examen.– Mais tu es moins sévère que ton grand-père !– Ne va pas croire ça, je m’organise différemment simplement.– Encore une chose, je peux prendre ma guitare et m’habiller différemment qu’en peignoir ?– Comme tu veux. Seul le résultat compte, mais c’est une bonne idée je pense.– Alors, il faut que je retourne à la maison.– Si tu veux.
Une demi-heure plus tard, habillé comme un hidalgo, une guitare passée en bandoulière arrière, monté sur son vélo, le jeune arrive à nouveau au château, transpirant comme une bête, dû à la montée.
– Passe quand même sous la douche en premier, je ne suis pas sûr qu’elles apprécieraient de te voir arriver transpirant.
Commence par la suite une représentation de Flamenco de bonne facture, le jeune se donne vraiment à fond et les dames applaudissent la prestation.
– Alors, c’est bon, dit Alphar,– Tu as très bien joué, belle technique musicale, mais j’ai rien vu de la technique amoureuse, dit Fuji.– Aïe, c’est que je suis vraiment inexpérimenté et innocent.– Eh ! Bien, c’est le moment d’acquérir un peu d’expérience. Heureusement qu’il y a cette épreuve pour que tu fasses un mariage où la femme ne sert qu’à faire des gamins avant de devenir difforme. Dit Fuji, en le regardant sévèrement, Éléonora risque de s’impatienter du peu d’empressement que tu as pour elle.– Mais je n’ose, c’est une dame.– Ha ! Ta future femme n’en est pas une, premier mauvais point.

Se sentant perdu, il se jette aux pieds d’Éléonora, la suppliant de lui pardonner son audace et son ignorance.
– Mais mon ami, je ne vois pas d’audace de votre part, dit-elle en lui tendant la main pour qu’il y procède au baise-main.Il s’empresse de poser ses lèvres sur le dos de la main et donne plusieurs baisers.
– Je vois qu’il faut que je vous instruise un peu, dans le baise-main, les lèvres ne doivent pas toucher la peau de la dame, mais plus haut, c’est recommandé.– Merci de votre compréhension, je recommence.
Il se relève et se rejette à ses pieds et prend sa main et à un cm fait semblant de déposer un baiser.
– C’est mieux, mais en principe, il faut attendre que la dame tende la main. Passons à l’étape suivante, disons que c’est bon.
Déplaçant ses lèvres, il finit par les appuyer sur le creux du poignet, puis dans le creux du coude qui a une légère transpiration.
– Votre parfum Marquisea une odeur exquise. – Poête ? Répond-elle charmée.
Il se relève un peu et sa main parcourt le bras d’une caresse très douce,
– Votre peau est tellement douce, me permettez-vous de caresser vos épaules et vos cheveux ?– Oui, faites mon ami. Je vois que votre habit vous serre un peu, mettez-vous donc à l’aise. Ramon ne vous avait pas suggéré de mettre un peignoir pour venir me trouver ?– Oui, mais pour la sérénade, c’était pas vraiment ça.– Tu as raison elle m’a charmé, mais maintenant, il faut me charmer non de musique, mais me séduire.
Il se dépêche d’aller se changer et revient dans la chambre et surprise, elle aussi s’est changée, elle a passé une tenue de nuit, très légère, il peut deviner une lourde poitrine, elle a aussi défait ses cheveux qui tombent en cascade sur ses épaules.Croyant l’affaire dans le sac, il sort son sabre d’abordage et se précipite vers elle pour la prendre d’assaut. Éléonora ne fait rien pour s’opposer à cette attaque violente et à l’intrusion du sexe dans sa chatte, mais elle se souvient encore des exercices et conseils prodigués par Fuji et en une minute chrono, elle lui fait cracher son venin.
– He ! Bien mon ami, si tu procèdes comme cela avec ta fiancée, tu peux t’attendre peu de joie dans ton couple.– Qu’en penses-tu Fuji ?– Complètement raté pour le moment. Je te vois mal séduite par cette façon de soudard si tu était une pucelle. Peut-être que maintenant, cela pourrait éventuellement te changer, mais je ne crois pas.– Effectivement, c’était mauvais dans tous les sens du terme, prise sans préparation à sec et alors que je commençais à peine à partir, c’était déjà fini. Dommage, il a pourtant un outil qui n’est pas si mal. Qu’est-ce qu’on fait ?... Je vois comme solutions :* On le laisse assister à l’initiation complète, mais je ne suis pas sûr qu’il va supporter, même si ce serait une bonne leçon pour lui.* On lui laisse encore une chance, de se reprendre et de me faire jouir vraiment.– Je vous en prie, montrez-moi comme il faut que je fasse pour vous séduire.– Pour commencer tu pourrais t’intéresser à ma poitrine, elle n’est pas belle ? Elle ne t’invite pas à la caresser ? À la sucer ? Ensuite, tu pourrais me montrer ton sexe pour que je puisse l’admirer, voir si il a bon goût et ensuite, tu pourrais faire de même.– Oui, répond-t-il en rampant vers ses seins.
Du coup, il les prend dans ses mains fines, mais bien nerveuses, il les triture délicatement et finalement il plonge la tête et en saisit le téton dans sa bouche pour le sucer.
– C’est beaucoup mieux comme cela. Tu le fais bien. Montre-moi ce que tu m’as mis brusquement dans moi que je le voie bien.
Il se relève et présente son sexe qui a encore triste mine. Délicatement, elle le prend en main et elle voit qu’il réagit rapidement après le premier désastre, elle ne peut s’empêcher de le prendre en bouche et lui soudainement, il est aux anges, une marquise qui lui suce la pine, c’en est trop. Mais avant qu’il ne reparte dans une éjaculation, elle arrête ses léchouilles et elle écarte les jambes, présentant son intérieur où suinte le résultat de ses exploits, comme du blanc d’œuf qui sort. Là, c’est le gros dilemme pour Alphar, dans un sens, il aimerait bien lui lécher son sexe, mais pas avec ce qui sort, le produit de ses couilles, même si l’odeur le rend à moitié fou, cette odeur de femelle en rut. Non, il ne va pas lécher ce sperme qui dégouline. Amusée, Fuji remarque :
– Tu es en train de perdre des points.– Mais c’est dégueulasse. C’est plein de sperme.– Dis-moi, si je te suçais ton poireau, tu aimerais jouir dans ma bouche ?– Oh ! Oui, Ce serait super.– Tu ne te poses pas la question si c’est pas dégueulasse ou pas pour moi ? Éléonora n’a pas hésité elle t’a pris en bouche, même si il restait des traces de tes exploits précédents. Si tu veux lui faire grimper les rideaux, je pense que tu ne vas pas y couper. Tu verras, c’est pas poison et souvent d’un goût pas trop mauvais. … Qu’en penses-tu Éléonora, sa crème de roustons, elle a quoi comme goût. – Intéressante, c’est pas un grand crû, mais j’ai vu pire.– Bon je me lance et il se met à plat-ventre, la tête entre les jambes d’Éléonora qui lui caresse gentiment la tête et lui enserre les oreilles avec ses cuisses nerveuses.– N’oublie pas de sucer mon bonbon qui est en dessus.
Pendant ce temps, Fuji, lui caresse les fesses et mouillant son doigt de sa salive, elle l’introduit dans le cul de Alphar qui veut se désengager, mais les femmes tiennent bon et il est bon pour avoir ce doigt planté bien profond dans l’arrière train, qui est bientôt suivi du deuxième et délicatement, elle lui prend le vit et en même temps lui caresse la prostate.
– Si tu continues, je vais partir lui dit-il, c’est trop fort pour moi.– Attends, je reviens.Elle se dirige vers la table de nuit et en sort un récipient qui ressemble à une tasse à thé. Voilà, si tu pars, fais dans la tasse. – Mais pourquoi je ne pourrai pas venir en elle comme la première fois.– Parce qu’elle n’est pas tout à fait prête, il faut que tu lèches encore un moment, qu’elle ne tienne plus, surtout vu la vitesse avec laquelle tu as fini ton affaire avant. Tu es jeune, tu trouveras bien la ressource de le faire une troisième fois et cette fois, je pense que tu vas durer un peu plus longtemps.
Elle replante son doigt dans le cul pour lui masser à nouveau la prostate tout en le trayant vigoureusement. Le résultat ne se fait pas attendre, un flot abondant vient remplir le récipient.
– C’est pas mal pour un deuxième jus. Il a de la ressource. Mets-toi sur le dos, je vais te remettre en forme pour la suite, mais continue à bien lécher Éléonora.
Là, très rapidement, avec ces ongles, elle griffe légèrement la peau de son entre-jambe, grattouille ses couilles et ses cuisses et finalement embouche le mandrin qui ne tarde pas à se redresser.
– Tu es prête Éléonora ?– Oui, mais j’aimerais bien le chevaucher, il n’a probablement aucune idée que cela existe et cela lui sera utile plus tard.
Elle se relève et se replace avec sa vulve en face du sexe d’Alphar qui n’en revient pas de son expérience. Elle se laisse tomber et s’enfile le joli mat qui la comble bien, là, elle recommence ses exercices, mais accroupie, c’est pas habituel, Alphar est aux anges.
– Cela ne me fait rien si ma future femme se fait déflorer par un autre avec le plaisir que j’ai maintenant. Merci, merci du plaisir que vous me procurez.– Tu commences à être intéressant et ta modestie parle en ta faveur.
Cela dure nettement plus longtemps et Éléonora prend un vrai pieds et pas de biche avant qu’Alphar parte une nouvelle fois en lui remplissant le sexe.
– Bon maintenant, on va préparer la future femme. Il est peut-être utile que tu y assistes.Ils retrouvent la jeunette qui est en conversation avec Ramon qui lui explique que son futur mari subit une épreuve, pas facile et qu’il espère qu’il réussisse à s’en sortir.
Les trois femmes et le futur mari se dirigent vers la salle de bain et Ramon prend celle qui est dans la chambre adjacente pour se préparer. Quelque temps plus tard, il rejoint sa chambre et revêt son kimono en soie de Chine. Normal si l’on veut mettre la Chine au pas. Il attend, il sait que cela prend toujours plus de temps, surtout s’il faut préparer les boyaux et faire goûter le goût de l’excitation féminine.
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