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Quand le mari dort, la famille dance.

Chapitre 3

Divers
Emilie avait été distante entre notre petite partouze et le 12 avril.

Pas désagréable, ni triste, juste distante. J’avais été privé de sexe durant ces deux semaines, mais j’espérais que Marc avait fait la fête pendant ce temps.
La veille du samedi 12, Emilie me laissa un message pendant que je travaillais au lycée :
« Salut Eric, ça va ? Je t’appelle pour te dire qu’on sera bien au lac demain, soit tu nous rejoins chez nous, soit tu nous trouveras dès… Quelle heure Marc ? Midi ! Dès midi près du grand Saule, à côté du belvédère ! Allez, à demain, je t’aime ! ».
En revenant du lycée, je pris le temps de me faire un sac, embarquant un maillot de bain, une serviette et un bon bouquin. Après une bonne nuit de sommeil, ne portant qu’un débardeur et un short de sport, je pris mon sac, ma voiture, et la direction du lac, à une douzaine de kilomètres de la ville. Ce lac était d’un charme incroyable : les gens y allaient rarement le samedi, préférant la plage. On pouvait se retrouver seul, et les garçons du sport me racontaient souvent leurs beuveries, leurs coucheries ou juste de bons moments près de ce lac. On pouvait y trouver des chevaux à louer pour faire le tour du lac, qui était entouré d’une forêt méditerranéenne.
Je reconnus la voiture de Marc, et pris place à côté d’elle, sur un parking de gravier. Un sentier en terre me mena au saule pleureur, sous lequel se trouvait une serviette jaune, sur laquelle se trouvaient des vêtements en tas, un panier de nourriture et un haut de maillot de bain blanc. Alors que je posais mon sac, Marc, dans l’eau, m’apostropha :
« Hé Eric ! Viens vite nous rejoindre ! »
Il nageait, avec à ses côté, Emilie, seins nus, qui le tenait dans ses bras. Une fois mes vêtements jeté par terre, je bondis dans l’eau en les éclaboussant tout les deux.
Nous avions passé deux bonnes heures à plaisanter dans l’eau, à sauter depuis les arbres et à s’asperger d’eau. Puis, une fois dehors, Emilie nous demanda de la suivre avec insistance : toujours seins nus, elle nous prit chacun par la main, pour nous emmener à travers l’épaisse forêt de pins. Après un bon quart d’heure de marches, sans compter les arrêts pour s’enlever des pierres sous nos claquettes, Emilie nous fit découvrir une grande étable, placée près d’un parking discret.
« C’est pour s’offrir un cheval ! »
« Tu veux faire un tour de poney ? » Répondit Marc, me retirant les mots de la bouche
« Pas vraiment un tour chéri, tu vas voir… »
Emilie nous amena à un petit stand, où une incroyable rousse, au corps à peine couvert par une chemise verte attachée sous ses énormes seins, aux tétons érigés. Elle nous laissait voir tout son abdomen blanc comme neige et finement ciselé, jusqu’à son string, dépassant outrageusement de son pantacourt taille basse. En plus d’un corps d’Aphrodite, son visage aurait pu transformer en statue de sel n’importe quel homme : des traits fins, un visage recouvert de taches de rousseur, qui ne faisait que ressortir deux yeux verts émeraude qui me foudroyèrent lorsqu’ils se posèrent sur moi. Cette femme, à peine plus petite que moi, était la plus belle créature que la Terre ait portée. Ses lèvres fines et roses se fendirent d’un sourire éclatant, pour nous saluer :
« Bonjour mademoiselle et... Messieurs !» dit-elle, souriante
« Bonjour ! J’aimerais m’offrir un étalon, pendant… Une heure ? »
« Bien sûr ! Vous avez de la chance, vous serez seule dans l’étable, nos autres clients et clientes sont occupés avec nos chiens ! Ses messieurs vont vous suivre ? »
« Heu… Oui, sans doute ? » Répondis-je en regardant Marc, qui haussa les épaules en même temps que moi.
La plus belle femme du monde sortit de son petit guichet, ce qui me permit de découvrir des hanches larges, des fesses et des cuisses épaisses qui me donnèrent immédiatement une violente érection. J’étais tombé littéralement en vénération face à cette jeune femme. Elle nous emmena à l’intérieur de l’étable, qui était beaucoup moins vétuste que ce que j’imaginais. En fait, on aurait carrément dit une boîte de nuit : tapis élégants, murs colorés, odeur très douce. Seul les barrières des boxes de chevaux et les dits animaux rappelaient l’utilité du bâtiment.
« Je m’appelle Garance, et je suis l’hôtesse du « Pur-sang ». Comme vous devez le savoir, nous travaillons discrètement à satisfaire le plus tabou des fantasmes : la bestialité comme nous aimons l’appeler. Nous sommes encore à nos débuts, nous n’avons que des chevaux et des chiens pour le moment, mais de grandes races ! Labradors, Mustang, etc.. Peu importe votre sexe, personne ne vous jugera ici. Notre régime spécial donne à nos animaux une vigueur incroyable et une semence particulièrement délicieuse ! »
Marc et moi nous regardèrent, interloqué, mais pas nécessairement choqué. Garance nous conduisit à un boxe, renfermant un très bel étalon brun, nommé « Sosso ». La jeune femme expliqua qu’Emilie pouvait déposer ses affaires par terre, et qu’elle pouvait prendre tout le temps qu’il fallait pour se préparer : l’absence de client lui faciliterait la tâche. Ma sœur se déshabilla le plus tranquillement du monde, et s’approcha du membre pendant du cheval : une verge immense, conjuguée de deux énormes bourses. Contrairement à ce que j’aurais cru, cette bête ne dégageait pas une odeur désagréable. Emilie le remarqua aussi lorsqu’elle commença à astiquer le sexe turgescent de l’équidé. Pour la première fois, elle appela Marc à la rejoindre. Ce dernier s’exécuta en silence, et commença à se déshabiller : il n’était pas à plaindre, et pourrait largement satisfaire Emilie.
La jeune brune astiquait chaque bite avec une main, et regardait son mari dans les yeux. Affamée de sexe, elle passa sous le cheval, pour avaler l’épais gland de l’animal. Elle continuait de tenir vigoureusement la queue de Marc, alors qu’elle crachait abondamment sur le pénis de Sosso. Excité, je tentais alors une approche : mes mains atterrirent sur les hanches dénudées de Garance, qui se laissa faire. Je défis le nœud de sa chemise, pour masser une poitrine incroyable ; facilement du 95F ; J’embrassais le coup de la rousse, en même temps que ma sœur se crachait dans la main pour s’humidifier la touffe. Garance frottait de plus en plus fort son énorme cul contre moi, et sentit bien ma verge entrer entre ses deux fesses. Elle fit volte-face brusquement, jeta sa chemise au sol, baissa son pantacourt et son string, révélant une toison de feu délicieuse. Elle m’attrapa par la tête et me força à genoux, plaquant ma bouche sur ses parties intimes. Alors que je descendais aussi mes vêtements, je tournais à l’intérieur de ses lèvres ma langue, et buvait avec envie sa cyprine, digne d’une jument en chaleur, qui me dégoulinait sur le visage.
Elle me tirait les cheveux ; sans doute que baiser des animaux constamment finit par donner des chaleurs bestiales ; et pour me venger, je pris la peine de lui insérer mon majeur dans l’anus, que je découvris plutôt ouvert. Elle lâcha son étreinte, et tenta de reculer, ce qui contracta encore plus son cul. Je sortis mon majeur pour l’insérer dans sa bouche. Une fois tout le jus aspiré, j’empoignais avec fermeté ces fesses, et prit le temps de placer, comme Ilia l’avait fait, ma queue entre ses cuisses : ce gamin avait raison, la sensation de frottement était incroyable ! Mes coups de reins étaient de plus en plus forts, alors que Garance m’embrassait avec fougue. Je vis également du coin de l’œil qu’Emilie était située à quatre pattes sous le cheval, Marc derrière elle, la pénétrant, et la queue du cheval au fond de la bouche d’Emilie.
Garance, qui me lacérait les fesses avec ses ongles, m’hurla :
« Prend moi ! Prend moi vite ! »
Elle attrapa ma queue pour l’enfoncer dans sa petite minette, à la largeur parfaite. Elle se laissa tomber au sol, m’agrippant dans sa chute, pour me forcer à lui faire l’amour. Une de ses mains dans ma nuque, l’autre sur ma fesse, ces griffes de succubes me charcutaient la peau, ce qui permit de me focaliser sur autre chose que sur la montée de semence dans ma verge. Chaque aller et retour était plus fort que l’autre : notre sueur et notre salive se mélangeait lors de nos baisers passionnés.
Du côté d’Emilie, elle s’était retournée, et hurlait elle aussi à chaque coup de rein de l’étalon, qui enfouissait sa lance au plus profond de ses entrailles. Ses bourses imposantes martelaient le pubis poilu de ma sœur, qui aspirait celles de Marc, étendu devant elle.
Garance m’attrapa par le dos et me fit rouler sur le sol. Toujours aussi bestiale, elle se releva, m’écarta les jambes, de manière à ce que mon cul et mes bourses pointent vers le ciel, et s’empala sur mon membre. Elle se tint à mes chevilles, et venait écraser son bassin sur mes cuisses avec une force et une vitesse qu’aucune femme n’avait eu. Ses râles étaient de vrais cris de plaisirs, et je ne pus moi non plus me retenir lorsqu’elle inséra un doigt dans mon intimité, pour chatouiller ma prostate. Je dus faire un effort surhumain, qui me plaça sans doute au même rang qu’un Spartiate des Thermopyles, un Poilu de Verdun ou un Sniper de Stalingrad. Garance était une furie incroyable :
« Baise-moi, baise-moi ! »
« J… Oui ! » C’était les seuls mots misérables que je pus bredouiller, alors que cette abeille rousse récoltait mes jets de nectar au plus profond de son ventre. Notre orgasme partagé ne fut troublé que par les cris d’Emilie, toujours en levrette sous Sosso. Garance, toujours en manque, se retira, et me laissa au sol, le temps de reprendre des forces. Elle se leva, prit quelque chose sur une petite étagère et me le jeta :
« Prend ça mon cœur, ça revigore direct ! Même si c’est ce qu’on donne aux chiens ! » M’expliqua-t-elle, suivi d’un rire enfantin. Elle ouvrit la porte à un superbe Chien-loup, déjà en érection rien qu’en voyant sa maîtresse, les cuisses dégoulinant de semence. Le gâteau qu’elle me donna avait un goût et une odeur de pâté bas de gamme, mais je sentis le vide de mes boules disparaître, et mon sexe, à peine rétracté, repris du poil de la bête. Garance s’allongea en face de moi et se dépêcha de m’attraper la verge avec les pieds. Je me soumis alors à ma maîtresse, et saisit ses chevilles pour « pénétrer » la plante de ses deux pieds. Elle goba l’imposant sexe rouge vif du loup, en massant ses couilles, plus modestes que celles du cheval, mais tout de même respectable et sans doute plus remplies que les miennes. La bête aboya alors que ma nouvelle déesse tétait avec envie lubrique sa dague. Une fois sa soif étanchée, elle retira ses pieds pour m’éviter de jouir entre ses orteils, et recracha la queue rouge.
Un simple claquement de doigt fit s’allonger le loup, qu’elle s’empressa de chevaucher.
« Baise mon cul mon amour, encule mes fesses s’il te plaît ! »
Sa vulgarité était comique, et additionné à sa gueule d’ange, devenait totalement excitante. Je pris ma verge à une main, l’autre placée sur l’épaule de cet ange tombé du ciel, et pénétrait son petit trou. Je sentis contre mes testicules et mes cuisses la fourrure du loup : cette bête avait une vigueur qui pouvait battre n’importe quel humain ! Même en m’accrochant fermement aux seins pendants de Garance, je ne pouvais pas rivaliser en termes de vitesse. J’essayais d’aller le plus vite possible, tout en essayant de me concentrer pour ne pas jouir trop vite.
Emilie, sur la pointe des pieds, la chatte dégoulinante, sous Sosso, tenait l’énorme verge, semblable à un tison ardent, aussi bien en termes de dureté et de chaleur, entre ses mains. La bouche grande ouverte, la langue pendante, elle attendait d’être noyée sous la semence. Derrière elle, Marc la sodomisait, les mains lui empoignant les seins. Je ne pouvais plus me retenir, et m’approchait alors du visage de ma chérie, pour lui susurrer :
« J-Je… Je vais jouir ! »
Ses deux orifices furent remplis du jus blanc du chien et du mien. Au même moment, Emilie reçu en plein entre les yeux un jet puissant brûlant, qu’elle recueillit autant que possible avec la langue. Marc se retira pour lui jouir au-dessus des fesses, en l’embrassant dans la nuque. Nos orgasmes synchronisés rendirent la scène encore plus incroyable.
Garance, toujours nue, laissant derrière elle une trace gluante blanche qui venait de ses fentes, ramena les animaux dans leurs boxes. Elle nous invita à passer à la douche, pour que Marc et moi nous décrassions, et qu’Emilie et elle se retire le foutre dégoulinant. Les douches étaient séparées, et Marc et moi nous séparèrent de nos amoureuses. Dans l’ambiance embuée de la douche, je ne pus m’empêcher d’observer son entre jambe : il avait un sexe semblable au mien, pas étonnant qu’Emilie aime autant baiser avec moi.
« Alors, tu t’es fais une copine ? » Me demanda-t-il, souriant
« Elle m’a rendu folle, je suis carrément amoureux je crois ! Et toi ?» répondis-je
« C’était… Original, j’étais pas au même niveau que le canasson mais bon… »
« Ca t’as un peu décoincé ? Parce qu’en fait, je t’explique, si Emilie baisait devant toi comme ça, c’est parce qu’elle voulait t’exciter, te donner envie… »
Marc me regarda, étonné :
« Oh, d’accord… Je pensais qu’Emilie voulait que je la regarde faire l’amour, c’est pour ça que… Enfin que je ne participais pas quoi, enfin ça ne me dérangeait pas si elle voulait être heureuse… »
« Alors démonte là, elle attend que ça ! » Dis-je en mimant l’acte
« Je… je sais pas trop m’y prendre en fait, j’ai pas eu de porno dans ma jeunesse… »
« Et bah dans la semaine, je viendrais te chercher, et je t’apprendrais tout ! »
Marc accepta, et je devais désormais trouver les bonnes idées pour qu’il fasse jouir toutes les nuits ma petite sœur.
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