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Quand notre queue fait boum !

Chapitre 1

Divers
Ça fait que j’étais allé à la Goujonnière pour voir les feux d’artifice avec Jef puis sa blonde. Sauf qu’on s’était pas dit où c’est qu’on allait se rejoindre, ça fait qu’en arrivant à la plage, pas moyen de les trouver. Parce que je vous dis qu’il y avait du monde à la messe ce soir-là : c’était à croire que la ville au grand complet s’était donné le mot ! Si ça continuait à se remplir de même, on allait être tassés comme des osties de sardines tantôt !
Moi, je voulais pas me ramasser assis sur le trottoir pour regarder le spectacle, ça fait que j’ai laissé faire pour Jef puis sa blonde, puis je suis allé me chercher un petit coin où me coucher. En fin de compte, je me suis trouvé une place pas trop loin de la baie, puis juste à côté d’un gars avec un radio. Je m’étais emporté une couverte, pour pas être couché direct à terre puis retourner chez nous avec un voyage de sable dans mes poches; ça fait que je me suis installé, bien confortable, puis j’ai attendu que ça commence.
Le soleil était après se coucher, lui avec, puis il allait bientôt faire assez noir pour les feux d’artifice. Sauf qu’en attendant, il y avait toujours plus de monde qui arrivait, puis ça commençait à se piler sur les pieds. Du bord du gars avec le radio, il restait juste de la place pour passer entre nous deux; puis de l’autre bord, il y avait un zouave qui était quasiment rendu assis sur ma couverte ! Je lui ai fait signe de se tasser, mais il avait pas l’air de me voir.
Tout à coup, le gars d’à côté a monté le son de son radio, puis on a entendu l’annonceur à CIRC dire la liste des commanditaires du festival. Puis quand la musique s’est mise à jouer, on a tous fermé nos gueules : ça commençait. C’était le feu d’artifice de l’Espagne, ce soir-là, ça fait que je m’étais attendu à de la musique de toréador avec bien des castagnettes, mais en fin de compte ils ont ouvert ça avec je sais pas quelle chanson des Tartempions.
Boum !Boum ! Boum !À chaque coup de cymbale, ils nous faisaient péter ça dans la face. Du bleu, du rouge, du vert, du jaune-orange : il y a pas une ostie de couleur qu’ils ont pas essayé. Puis rendu au solo de guitare, ils ont tellement envoyé de fusées en même temps que le ciel au-dessus de nous autres était plein de boucane. Ça paraissait que c’était une compagnie de cigarettes qui l’organisait, ce festival-là : une soirée à respirer de la boucane de même, ça devait être comme fumer deux paquets de Roxane.
Sauf qu’après ça, à la fin de la première chanson, il y a quelqu’un qui est venu s’installer entre moi puis le gars avec le radio. J’ai failli lui dire de crisser son camp puis d’aller se trouver une autre place quelque part, mais je me suis rendu compte que c’était pas un zouave comme celui qui était assis de l’autre bord : c’était une fille. J’ai pas vu de quoi elle avait l’air, parce qu’il faisait noir comme dans le cul d’un ours, mais j’ai senti son parfum quand elle s’est couchée à côté de moi : ça sentait les pêches puis le melon d’eau. Ça fait que j’ai pas rien dit.
Elle était couchée tellement proche que si ça avait pas été de la musique puis du bruit des feux d’artifices, je gage que j’aurais pu l’entendre respirer. Puis de temps en temps, quand elle grouillait, je sentais son coude qui touchait mon bras. Je commençais à me demander qu’est-c’est qu’une fille de même était venue faire toute seule sur la plage ce soir-là. Peut-être qu’elle avait donné rendez-vous à son brave mais qu’elle l’avait pas trouvé, comme pour moi avec Jef puis sa blonde. Ou bien peut-être qu’elle avait pas de brave, puis qu’elle était venue s’en chercher un...
Ça fait que pour vérifier, je me suis étiré le bras puis je suis allé lui flatter une cuisse. Mais je me suis pas garroché dessus comme un sauvage : j’ai juste fait remonter le bout de mon doigt le long de sa cuisse, à partir du genou jusqu’à la hanche. Elle avait l’air d’avoir une robe ou bien une jupe qui lui descendait en bas des genoux, mais je pouvais quand même sentir sa cuisse toute chaude au travers du tissu. Quand je suis arrivé à sa hanche, le tissu continuait - ça devait être une robe qu’elle avait sur le dos - mais moi, j’ai viré de bord puis je suis redescendu. Elle a pas grouillé, elle a pas crié, elle a pas appelé la police. Ça allait bien, mon affaire !
Même qu’après ça, c’est elle qui est venue me taponner. Puis elle m’a pas juste touché avec le bout du doigt : elle m’a poigné toute une cuisse avec sa main. Moi, j’ai fait un crisse de saut; je m’étais pas attendu à ce qu’elle soit vite en affaires de même ! Parce qu’à mesure qu’elle me massait, je sentais ses doigts qui faisaient leur chemin : elle venait me toucher de plus en plus loin sur ma cuisse. Puis quand elle a eu le bras bien accoté sur ma hanche puis qu’elle a pas pu descendre plus bas, elle s’est mise à remonter en me massant l’intérieur de la cuisse. À ce train-là, elle allait bientôt pouvoir sentir comment est-ce qu’elle me faisait bander...
Parce que moi, pendant ce temps-là, j’étais dur comme l’oreille d’un sourd ! J’étais couché sur ma couverte, à la plage, pour regarder les feux d’artifices, puis voilà qu’une fille que j’avais jamais vu - puis que je voyais toujours pas - s’en venait me taponner entre les deux cuisses. J’ai fermé les yeux, j’ai pris un grand respire pour me remplir la tête de son parfum, puis j’ai attendu qu’elle remonte jusqu’à mon braque. Rendue là, sa main s’est ouverte, toute chaude, puis ses doigts sont venus se promener sur la grosse bosse dans mes nîmes. Elle faisait passer chaque doigt par-dessus mon braque, un par un, puis entre chaque doigt, elle laissait descendre sa main pour me flatter avec sa paume. Elle savait comment s’y prendre, la cochonne !
Ça fait que j’ai décidé de m’étirer le bras puis d’aller lui jouer entre les deux cuisses, moi avec; sauf que juste là, elle s’est couchée sur le côté puis elle est venue se coller sur moi. J’avais le bras poigné en-dessous de sa hanche, puis je pouvais plus grouiller. Elle aussi, elle avait le bras pris entre nous deux, mais elle pouvait toujours me toucher où c’est qu’elle voulait avec son autre main. Puis elle avait la tête tellement proche de la mienne que sa bouche était collée sur mon oreille, ça fait que même avec le bruit des feux d’artifices, je pouvais entendre tout qu’est-c’est qu’elle me disait :
"Ah ! tu m’excites, avec ta grosse queue ! Je veux la toucher; je veux la serrer dans mes doigts. J’aime les grosses queues, bien dures; j’aime les avoir dans ma plotte, dans ma bouche... J’aime ça, te faire bander. Bande pour moi; oui, bande bien dur ! Je veux que ta belle grosse queue soit bien dure tantôt quand tu vas me la bourrer dans la plotte jusqu’aux couilles !"

Moi, j’étais pas sûr que j’allais pouvoir me rendre jusque là, parce que je sentais que j’étais déjà pour exploser. Elle était après me faire jouir, à me dire des affaires de même en me jouant après la poche, l’ostie de cochonne ! Puis des fois, entre deux phrases, quand elle savait plus quoi dire, elle m’enfonçait sa langue dans l’oreille. C’était chaud puis tout mouillé, puis ça me faisait penser comment est-ce que sa plotte allait être, tantôt, ça fait que je bandais comme la bande des six...
Après ça, la fille a défait le bouton de mes nîmes puis elle a baissé mon farmoir. Moi, de mon côté, j’ai essayé de tirer après mes nîmes avec mon autre main pour l’aider à me les enlever, mais j’ai même pas eu le temps : elle avait déjà mis sa main dans mes bobes puis était ressortie avec ma queue. Je sentais ses doigts enroulés autour de mon manche, puis l’élastique de mes bobes qui me serrait les gosses. "Ah, oui ! donne-moi ta queue !", qu’elle me dit dans l’oreille en me crossant, "laisse-moi caresser ta belle grosse queue !" Ça fait que j’ai arrêté de grouiller puis je l’ai laissée faire.
Elle a commencé par faire tourner ses doigts. Au début, elle y allait tout doucement, en me flattant avec le bout de ses doigts puis le creux de sa main. Puis à chaque fois qu’elle virait de bord, elle serrait un peu plus fort avec son pouce. Elle a continué de serrer puis de tourner de plus en plus fort, comme si elle avait voulu me la dévisser. Je pouvais sentir les bagues autour de ses doigts qui s’enfonçaient dans mon braque, puis l’ongle de son pouce qui frottait puis qui grattait le long de mon manche.
La dernière chanson du spectacle ce soir-là, c’était "Elle s’appelait Conception"; il faut croire que personne au festival De Bergerac avait de vraie musique espagnole à faire jouer. Par contre, ils avaient du budget en calvaire, parce qu’ils nous en ont mis plein la vue. Ils ont garroché tellement de feux d’artifices qu’on voyait plus de l’autre côté de la baie des Goujons ! Puis la fille à côté de moi a tout manqué ça, parce que pendant ce temps-là, elle était occupée à me crosser comme une ostie de chienne en chaleur.
"Ah, tes couilles !", qu’elle me dit en me pinçant les gosses, "elles sont pleines de baise, toute chaude. Je veux que tu te vides les couilles dans ma face, sur mes seins..." Moi, j’aurais pas demandé mieux, mais en attendant, elle avait fait remonter sa main plus haut puis elle me serrait le manche : "J’aime ta queue, je veux que tu me défonces la plotte avec ta queue. Oui, donne-moi ta grosse queue !" Puis elle a continué comme ça en remontant le long de mon braque; puis rendue au bout, elle a arrêté.
Je l’ai sentie grouiller à côté de moi, puis je l’ai entendue se licher les doigts. Puis après ça, elle est revenue me frotter le bout de la queue avec ses doigts tout mouillés. "Ah, ton gland ! J’aime ton gland, mon gros cochon ! Je vais le sucer, le prendre dans ma bouche..." Je la sentais me pincer le bout de la queue entre ses doigts puis son pouce, puis entre chaque pincée, elle faisait passer un doigt sur le dessus. Ses doigts étaient de plus en plus chauds puis mouillés, puis je me suis rendu compte que c’était pas à force de se les licher : c’était moi qui mouillait de même.
"Donne-moi ton gland", qu’elle me dit dans l’oreille, "bourre-moi ton gland dans la plotte ! Je veux que tu plantes ton gland dans moi, profond, tellement profond... jusqu’à ce qu’il me pousse un chêne dans le cul !" Moi, je lui aurais bien planté la Flore Laurentienne au grand complet dans le cul; mais en attendant, j’en pouvais plus. Elle me faisait jouir, l’ostie de cochonne. Ça fait que juste comme le dernier feu d’artifice explosait au-dessus de nous autres, j’ai fermé les yeux puis j’ai explosé, moi avec.
Boum !Boum ! Boum !Elle a pas arrêté de me crosser : je sentais les gros jets de baise qui revolaient partout puis qui me retombaient sur le ventre, sur les cuisses; puis elle continuait à me masser le braque puis les gosses pour me faire venir jusqu’à la dernière goutte. Sa main était chaude puis toute collante, pleine de baise; elle était en train de m’en mettre partout. Quand elle a eu fini, elle s’est essuyée la main sur mes nîmes, puis elle m’a dit dans l’oreille : "Viens avec moi; viens me faire jouir, moi avec..."
Elle a pas eu besoin de me le dire deux fois : je me suis relevé, j’ai remonté mes culottes, puis je me suis torché le fond du nombril avec ma couverte avant de la suivre. Maintenant que le spectacle était fini puis que les feux d’artifices avaient arrêté de nous péter au-dessus de la tête, il faisait noir comme à Montréal-Nord, puis c’était plein de monde autour de nous autres en train de ramasser leurs affaires; ça fait que pour pas la perdre dans ce fouillis-là, je me suis accroché après sa sacoche puis je l’ai pas lâchée d’un pouce. Une fille cochonne de même, on tombe pas là-dessus à tous les jours !
Sauf que c’est pas ça : rendu dans la rue, en-dessous du premier lampadaire sur Virebent, je me suis rendu compte que c’était pas une fille qui venait de me crosser pendant le spectacle : c’était une vieille brebiche ! Tout ce temps-là, je m’étais imaginé avoir une belle fille couchée à côté de moi, mais en fin de compte, c’était une vieille bonne femme avec une repousse puis des rides de chaque bord des yeux. Elle avait l’air d’avoir quarante ans, simonaque ! C’est pas un brave, que ça lui prenait; c’est un archéologue !
Sur le coup, j’ai pensé laisser faire puis sacrer mon camp. Moi, manger du yogourt passé date, ça me dit rien pantoute. Mais après ça, je me suis dit que je pourrais au moins aller voir de quoi est-ce qu’elle avait l’air toute nue, ma vieille brebiche. Elle avait des rides dans la face, mais peut-être que le reste de son corps était mieux conservé. Tant qu’à être parti, ça valait la peine d’essayer; au pire, je pouvais toujours changer d’idée puis la crisser là...
Puis à part ça, je me disais qu’elle devait pas se faire sauter trop souvent, dans son hospice de vieillards; ça fait qu’elle devait être en manque en tabarnac. Ça faisait combien d’années qu’elle s’était pas faite bourrer, pour être rendue à se coucher à côté de n’importe qui au festival de feux d’artifices ? Bien j’allais lui en faire voir, moi, des feux d’artifices ! Boum ! Boum ! J’allais lui exploser dans la plotte jusqu’à ce qu’elle en perde son dentier, la vieille câlisse !
Je sais pas trop où c’est qu’il était, son foyer de vieux croûtons, mais deux ou trois coins de rue plus loin, elle en pouvait plus : elle m’a traîné dans une ruelle en arrière d’un Accès-Soir, elle s’est accotée sur une poubelle, puis elle a relevé sa robe. Il y avait une lumière au-dessus de la porte du dépanneur; il faisait juste assez clair pour que je puisse voir ses jambes, ses cuisses puis ses bobettes. Elle avait des bobettes noires avec de la dentelle après; c’était pas mal cochon de la voir de même, avec sa robe relevée jusqu’aux hanches - surtout que moi, je m’étais attendu à ce qu’elle soit rendue aux couches, la brebiche.
Puis j’ai eu une autre surprise quand j’ai enfoncé mon doigt entre ses cuisses : elles étaient mouillées, ses bobettes ! J’ai tiré dessus puis je lui ai baissées jusqu’aux genoux; puis en-dessous de son cache-trésor, c’était chaud puis humide comme sa langue dans mon oreille tantôt. Apparence qu’elle était pas encore complètement fossilisée, la vieille matante... "Oui, mets tes doigts dans ma plotte", qu’elle me dit, "creuse un chemin dans ma plotte pour ta grosse queue!" Puis en même temps, elle me serrait le poignet pour que j’aille la bourrer plus profond.
Sauf qu’elle avait beau être excitée comme le calvaire, elle était pas encore assez trempe pour que je puisse l’embraquer tout de suite. Ça fait que je me suis ramassé une bonne gorgée de bave dans la gueule, je me suis mis à genoux en avant d’elle, puis je suis allé lui licher la plotte. Je lui en ai mis partout, de la raie jusqu’au capuchon, puis bien creux entre les deux lèvres. Je lui massais les fesses dans mes mains, en serrant bien fort pour lui ouvrir la craque, puis pendant ce temps-là, elle m’estampait la face entre ses deux cuisses en me grattant le fond de la tête avec ses grands ongles.
"Ah ! Ta langue ! Bourre-moi avec ta langue ! Oui, plus creux, plus creux, mon gros cochon ! Viens me licher jusqu’au fond !" Ça fait que je me suis effoiré la face dans sa plotte, puis j’ai poussé avec ma langue aussi loin que j’ai pu. Je vous dis que c’était doux en tabarnac, là-dedans : elle avait pas une crisse de ride ! Je lichais à gauche, je lichais à droite, puis ça me dégoulinait jusque sur le menton. Ça goûtait pas le melon d’eau ni les pêches, mais c’était pas méchant non plus. À part ça, j’avais les doigts des deux mains enfoncés dans la craque de ses fesses, puis je la sentais qui serrait de plus en plus fort. Elle s’en venait...
Tout à coup, juste comme j’allais lui fourrer mon petit doigt dans le trou de cul, elle s’est crispée puis elle s’est mise à couiner : "Han ! Han ! C’est bon ! Oui, c’est bon !" Puis elle poussait avec ses hanches jusqu’à ce que j’aie la face poignée entre ses deux cuisses. Moi, je m’en câlissais : je demandais pas mieux que de rester pris là pour le restant de mes jours. Puis en attendant, je lui suçais le capuchon comme un ostie de malade; comme un veau qui tète encore sa mère. "Oh, oui, encore !", qu’elle me crie, "fais-moi jouir encore !"
Mais à un moment donné, il a bien fallu que je remonte à la surface pour prendre un respire; ça fait que je lui ai lâché le cul puis je me suis sorti la tête de là. Elle avec, elle essayait de reprendre son respire : elle poussait des grands soupirs, toujours accotée sur la poubelle avec sa robe relevée jusqu’au nombril puis ses bobettes autour des chevilles. J’avais beau m’être fait crosser tantôt, ça me faisait bander encore de la voir de même. Je me suis dit : "Tu veux que je te fasse jouir un autre coup, ma vieille câlisse ? Bien je vais te l’embraquer assez raide que tu seras plus capable de marcher pour le reste de la semaine ! J’espère qu’ils ont une chaise roulante de libre, à l’hospice..."
Sauf que c’est pas ça; quand je me suis relevé puis que je me suis sorti le manche pour la bourrer, elle a eu une drôle de réaction : elle a sacré son camp. Une seconde, elle m’a vu avec la queue dans une main; la seconde d’après, elle a remonté ses bobettes puis elle s’est sauvée en riant. Pour moi, elle devait être sénile, la bonne femme; ça arrive, à leur âge. Ou bien elle venait de se rappeler qu’il y avait un tournoi de poches ce soir-là au foyer, puis elle voulait pas être en retard. Ou bien donc, qu’est-c’est qui est encore plus probable : elle était partie chez le notaire pour faire mettre mon nom dans son testament, la vieille crisse !
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