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Quand la réalité dépasse la fiction.

Chapitre 7

SM / Fétichisme
L’officier venait à peine de passer la porte que le curé me prit par le bras.
— Tiens, ma petite ! Avale cette fiole d’un seul trait ! Cela te détendra et libérera ton âme.
— C’est pas bon, mais pas bon du tout !
Dégoûtant même. En revanche, je ressentis très vite les effets désinhibants de cette potion magique.
— Sœur Rachel, allons dans sa chambre ! Nous devons nous concerter sur la meilleure façon de reprendre cette fille en main. Je m’étonne que vous n’ayez pas fait plus tôt appel à moi. Cette enfant a un besoin urgent et flagrant de se confesser pour retrouver le droit chemin. Sa crise d’adolescence la conduit en droite ligne vers le dévergondage.
La directrice avait eu le temps de faire un topo exhaustif de ma personnalité exhibitionniste avant de pénétrer dans ma chambrée. J’aurais du baisser la tête, plier l’échine, craindre les représailles ecclésiastiques, mais non. Que du contraire, messieurs dames ! Je trouvais la fichue situation dans laquelle je m’étais fourrée, hyper excitante.
— Tiens, Adèle est toujours dans la maison ?
Pour encore deux semaines mais ne vous méprenez pas, mon Père ! Elle a définitivement abandonné l’idée de prononcer ses vœux. Elle m’a avoué d’ailleurs n’en avoir jamais eu l’intention. Elle a simplement accompagné son amie pour se motiver mutuellement dans l’obtention de leur diplôme. Adèle est lesbienne jusqu’au bout des ongles, Monsieur le Chanoine. Je sais, c’est affreux. Au fil des jours, elle a pris un ascendant considérable sur son amie Valérie, l’entrainant dans des jeux sadomasochistes extrêmes sous le fallacieux prétexte de l’aider dans sa recherche du Christ. Pire ! Elle s’est adjoint l’aide des deux cousines trisseuses qui m’avaient innocemment demandé de partager leur vaste chambre.
Non ! Et dire que j’avais refusé deux fois leurs avances par le passé à ces jalouses !!!
— Jésus, Marie, Joseph ! Je comprends mieux maintenant la confession incroyable qu’Adèle m’a faite un soir. Je me sens coupable de ne pas l’avoir comprise. Je croyais que vous aviez renvoyé les cousines.
— Hum ! Ce sont de riches héritières et leurs parents, de riches donateurs qui ne regardent pas à la dépense pour en être débarrassées.
— Pourquoi, encore une fois, ne pas m’avoir averti plus tôt de la gravité de la situation, sœur Rachel ?
— C’est-à-dire que nous observions sans la comprendre la métamorphose physique de Valérie. Un jour, nous avons découvert celle qui prononcera bientôt ses vœux, attachée sur son lit, dans la chambre qu’elles partageaient. Dans son souci de plaire au Seigneur, Valérie implorait, de ses compagnes de chambrée, la multiplication de ses tourments. La pauvre est si naïve qu’elle ne fait toujours plus la différence entre les souffrances de son apprentissage rédemptoriste et le calvaire que lui faisait endurer le trio. Adèle s’était rapidement prise au jeu et voyait, dans cette forme d’esclavage consenti, un formidable exutoire à ses pulsions sadiques mais la torturait aussi dans un esprit d’offrande au Christ. Ce qui n’était pas le cas des cousines démoniaques qui avaient pour seule motivation d’entrainer notre novice dans la luxure. Quand nous avons détaché Valérie, elle nous avoua que tous ses temps libres étaient consacrés à approfondir son expérience de la torture. Valérie en arrivait à éprouver, sous la domination des cousines, des dizaines de jouissances chaque nuit. Elles voyaient dans ces orgasmes répétés une sorte d’offrande ultime au Seigneur. Comment la blâmer ?

Pas très futée, la Valérie ! Je restai bouleversée par cette révélation publique dont l’évocation ne servait finalement qu’à tester ma réaction… qui ne tarda pas à se manifester dans un croisement de jambes assez puissant pour me déboîter les hanches.
— C’est beau. Quel merveilleux exemple pour toi, Opaline ! Ma Sœur, je vois en Valérie et sa capacité à abandonner son corps les prémices de la Sainteté.
Le chanoine ponctua son affirmation par un signe de croix ostentatoire.
— Occupez-vous d’Adèle ! Je n’ai aucune envie qu’elle colle son oreille contre la porte pendant que je confesse Opale.
Dès que nous fûmes seuls, il commença par me congratuler ironiquement sur mes dispositions évidentes de championne d’escalade. ..dans l’indécence. Ses mains calleuses glissaient vicieusement sur ma poitrine. Je maudis cent fois mon buste de se redresser sous cette caresse non désirée. Je maudis mille fois ma robe de faire obstacle à ses attouchements. Dans mon état normal, je l’aurais giflé mais le pouvoir de cette fiole faisait tout doucement basculer ma libido dans le rouge. Le prélat pervers s’étonnait tout autant de ne me provoquer que des frissons comme seule forme de résistance.
— Je vais te parler en confesseur. Les sœurs m’ont appris énormément de choses sur ta conduite que ce soit en vacances ou dans l’internat. Je vais t’étonner mais je ne vois pas dans cette forme d’impudeur matière à te repentir. Tes fautes sont ailleurs et tu le sais. Ta recherche effrénée de plaisir, de toutes les formes de plaisir, est une preuve d’égoïsme intolérable et ne peut que te séparer de Dieu.
—  ???
— Ne joue pas l’étonnée, tu es démasquée, fille du diable ! Ton besoin irrépressible d’utiliser tes charmes pour séduire sert à merveille les ambitions de Satan pour faire basculer les enfants de Dieu dans le péché. Contre cet état de fait, il faudra que nous nous battions tous ensemble.
— ???
— Tu es une très jolie gosse et un flot intense d’hormones circule dans ton sang. Tu n’es donc nullement responsable des pulsions que tu engendres comme ne l’était pas non plus Sainte Philomène Vierge et Martyre du premier siècle de l’ère chrétienne. Selon la légende, cette petite chrétienne subissait journellement les avances de l’Empereur romain que son corps parfait avait séduit et qui la désirait…
— J’ai lu et relu avec ferveur l’histoire de son martyre. Comment elle avait choisi de devenir l’épouse du Christ contre la volonté de son père qui l’avait promise à l’empereur. Elle était adorée par le Saint Curé d’Ars si mes souvenirs sont exacts.
— Parfaitement ! Elle te ressemble beaucoup mais contrairement à toi, elle ne faisait rien pour déclencher la passion. Commences-tu à comprendre le fondement de ton péché ?
Il avait abandonné mes seins et fixait mes jambes avec gourmandise.
— Sainte Philomène a été torturée parce qu’elle était trop belle et aimait trop le Christ tandis que moi, je vais être encore plus torturée parce que je suis encore plus belle et parce que j’aime plus le vice que le Christ.
— C’est un peu ça, oui. Le péché capital que tu commets chaque jour tient à l’hypocrisie que tu manifestes en refusant d’avouer le mal qui te dévore. Explique-nous ce qui vient de changer en toi si tu veux que nous t’aidions!
Une petite larme craquante s’échappa du coin de mes paupières.
— Je n’oserai jamais vous expliquer, les yeux dans les yeux, le trouble qui s’est emparé de mon corps depuis quelques mois. Ce serait trop dégoûtant.
— Tu ne dois pas craindre d’avouer au prêtre un péché car je ne suis pas ici pour te juger. Ton péché ne me concerne pas personnellement et mon rôle se limitera à la mission que j’ai reçue de Dieu de manifester son pardon. Je vais t’aider à voir clair en toi. Laisse-moi te bander les yeux !
— Qu’allez-vous me faire ?
— Ce que tu n’oses pas me demander parce que tu imagines que mon rang m’interdit de la faire. Tes vêtements cachent la face de l’Eternel et l’empêche de t’écouter et de te venir en aide. Je vais te déshabiller et nous allons étudier ensemble le fonctionnement de ta chair pour mieux le canaliser…si cela ne t’ennuie pas du moins ?
— Au contraire ! Comme cela ma robe de soirée ne sera pas froissée. Je n’ai personne à qui me confier, personne à qui poser mes questions. Mon demi-frère, je ne le vois que deux ou trois fois par an. Quant à maman…
Une fois nue, il m’obligea à m’asseoir sur le coin de mon bureau en écartant les cuisses.
— Tu es très à l’aise avec la nudité. Ce n’est pas un reproche, au contraire. Dieu t’a faite gracieuse et sensuelle. Tu ne dois pas craindre de le montrer mais à bon escient. Tu as le devoir de prendre soin de ce corps si aguichant et le sport est certes un formidable outil pour façonner ton exquise anatomie. Il est communément admis que l’activité sportive canalise souvent les pulsions mais, dans ton cas, j’ai l’impression que le remède est pire que le mal. Il est grand temps d’arrêter de te mentir, en cessant cette hypocrisie puérile.
— Mon Père ! Je ne comprends pas. En quoi suis-je hypocrite ?
— Puisque tu sembles ou ne veux pas comprendre, je vais être très direct. Tu te sers du sport pour rechercher la souffrance. Ta lecture compulsive de la vie des Saintes Martyres nous laisse à penser que ta libido se nourrit volontiers de fantasmes de persécutions. Je vais te poser une question très précise qui demandera une réponse qui le sera, je l’espère, tout autant. Te sers-tu de ces pieuses lectures pour te masturber ?
— Ah non, alors ! Non seulement, je ne me suis jamais masturbée mais je me sentirais souillée et irrespectueuse si je faisais cela.
— J’ai peine à te croire. Le rapprochement entre ton exhibitionnisme et ta soif de lectures sanguinaires me parait évident cependant. Qui cultive la provocation récoltera la violence, dis l’adage. Dans ton cas, je traduirai plutôt en ces termes : « En utilisant mes appâts sans fard, j’espère attirer sur moi la souffrance que je mérite ».
Non content d’être un pervers sexuel, ce curé s’avéra être un redoutable manipulateur de conscience, une sorte d’extralucide spécialisé dans les adolescentes à la libido tourmentée, un professionnel de la culpabilisation.
— Ton parcours est si proche et à la fois si éloigné de celui de Sainte Philomène.
En tout cas, il avait visé juste en me comparant à cette Sainte. Sa captivité enchaînée et le récit de sa résistance aux sollicitations sexuelles de l’empereur, me plongeait chaque fois dans l’ivresse.— « Croyant que la douleur et la honte affaibliraient le courage que mon divin Époux m’inspirait (c’est du Christ qu’il s’agit), il venait me voir chaque jour; puis, après avoir détaché mes chaînes pour me permettre de prendre la petite portion de pain et d’eau que je recevais comme nourriture, il renouvelait ses attaques dont certaines, sans la grâce de Dieu, auraient été fatales à ma pureté. Les échecs qu’il continua de rencontrer furent pour moi le prélude à de nouvelles tortures, mais la prière me soutenait. L’Empereur, désespérant de me faire accéder à ses désirs, multiplia les supplices pour me terrifier et m’amener à rompre mon vœu avec le Ciel. Il ordonna qu’on m’attache à un pilier pour être fouettée sans merci tandis qu’on me lançait d’horribles blasphèmes. »
— Tu connais par cœur des pans entiers de la vie de Sainte Philomène. Moi, le passage qui m’a le plus marqué est celui-ci : « Dieu et la virginité que je lui ai consacré passaient avant tout. Je ne cessais de me recommander à Jésus et à sa Mère très pure. Ma captivité durait depuis sept jours lorsque, au milieu d’une lumière céleste, je vis Marie tenant son divin Fils dans ses bras. Ma fille, me dit-elle, encore trente trois jours de prison et tu sortiras de cet état de douleur. Mon cœur battait de joie à l’annonce de cette nouvelle mais, la Reine des anges ajouta que je devrais, en cette prison, soutenir des tourments bien plus effrayants à l’image de ma beauté. »Le chanoine tentateur me pinçait mollement l’intérieur des cuisses tout en parlant. Il s’approchait dangereusement de ma fente béante. L’excitation conjuguée de ce récit et de ses stimulations me faisait doucement perdre la tête. Je ne me défendais même pas. Je subissais ses attouchements comme un insecte pris dans une toile d’araignée. Pire, je glissai mes mains sur mon pubis et écartai mes lèvres intimes pour lui faire prendre conscience des possibilités masturbatoires infinies que mon sexe offrait dans cette exposition privilégiée. — Eprouves-tu, comme la Sainte à laquelle tu aimerais ressembler, le même vertige qui conduit tant de jeunes âmes à la vie chrétienne ?Le curé s’engouffra dans ma brèche commença à me piquer la chatte avec ce qui ressemblait à s’y méprendre à un cure-dents. Maxi, ravi que quelqu’un s’intéresse enfin à lui, se redressa, fier comme Artaban.— Si vous voulez savoir si je sens poindre une vocation en moi, la réponse est catégoriquement non. Par contre, vous allez me rendre folle, mon Père, si vous continuez à me châtier le sexe pour mes mauvaises pensées. Je n’y peux rien, mon père. Je ressens un besoin viscéral de souffrir pour exister.
— Si tu es incapable de résister à tes pulsions, laisse-toi prendre en charge ! Ta personnalité masochiste peut être un atout. Rien n’est encore perdu. La sainteté n’est pas si distante de la perversité. Toute pécheresse peut s’amender si elle s’implique totalement dans sa rédemption et consent d’être châtiée cruellement si elle viole ses engagements.
— Ordonnez et je vous obéirai, mon père ! J’accepterai d’être brutalisée et même battue si je désobéis. J’ai toujours été fascinée par les lectures contant la vie de privation et de souffrances des Saintes Martyres. Je me complais à m’imaginer être une de ces femmes suppliciées pour leur religion. Dans ces moments d’égarement, je n’ai plus aucune retenue et je me métamorphose en la pire des débauchées. La description de tortures que je pourrais subir m’excitent tellement que je peux passer des nuits blanches en prenant des poses obscènes, nue devant mon miroir. Je m’imagine alors être livrée à mille bourreaux qui conjugueraient leurs supplices pour…pour… Mon père !!! Mon genou est tout chaud et tout mouillé.J’entendis clairement un bruit de fermeture éclair et une boucle de ceinture se refermer.— Ouch ! Tu pousses comme une plante folle, Bambi. Le démon de l’impureté a commencé à faire des ravages irrémédiables dans ton esprit. Je superviserai personnellement ton initiation qui sera marquée du sceau de la sévérité à la mesure de ton tempérament volcanique. Suce ce comprimé !
— Beurk ! C’est salé !
Je commençais à savourer gravement cette situation qui faisait de moi l’auteur de mon destin tragique et mon propre bourreau. J’entendis distinctement plusieurs personnes pénétrer, à pas feutrés dans ma chambre. Loin de me bloquer, cette présence emballa mes fantasmes les plus sordides. Mon heure était venue. Je me glissai dans la peau de mon personnage fantasmé favori, la jeune vierge tourmentée par le tribunal de l’inquisition. Ma réponse fut un cri du cœur.
— Mon entourage m’a trop souvent répété que j’étais belle et pas suffisamment que j’étais une sale petite vicieuse. Je ne remercierai jamais assez la divine Providence de m’avoir envoyé un représentant de Dieu pour que mon corps puisse servir enfin à quelque chose ou à quelqu’un.
— Ou à quelqu’une ? A Sœur Elise par exemple, non ? Veux-tu que je lui en parle ?
— Oh oui ! Dites à Sœur Elise que je mérite un châtiment exemplaire parce que je suis une vilaine fille ! Si vous faites cela pour moi, je ne dirai à personne que vous avez mouillé mon genou.
— Cet abominable chantage à mots couverts témoigne de la noirceur de ton âme. Comment pourrais-je donner le pardon de Dieu à une fillette qui utilise la calomnie pour assouvir ses pulsions masochistes ? Ecarte encore mieux tes cuisses !
— Pardonnez-moi, mon père ! Je suis sur des charbons ardents depuis hier. Je ne le ferai plus. Aaarh ! C’est terrible ce que vous faites à mon Titi. Mais bon sang ! Jusqu’à quand allez-vous me faire languir ?
— Eternellement s’il ne tenait qu’à moi !
— Oh non !
Ma délectation libérait en une coulée continue mon effervescence vaginale quand je parvins à faire le grand écart en coinçant mes jambes de part et d’autre sous la tablette de mon bureau.
— Plus ta frustration s’enracinera, plus tu te rapprocheras de Dieu et plus tu deviendras intéressante à observer. Qui sait même, si à force d’imposer des tourments à ton corps, tu ne souhaiteras pas un jour entrer en noviciat.
— Je ne mériterai jamais d’intégrer le noviciat en état de péché, mon père. J’aimerais tellement mais je n’y arriverai jamais.
— Peut-être pas ! Après quelques mois d’apprentissage et de privations, je te crois capable de faire un choix de vie en accord avec tes désirs.
— Je suis sans cesse obsédée de pensées impures. Vous ne pouvez savoir à quel point je ressens le besoin d’utiliser le corps que Dieu m’a donné pour l’accabler de supplices et m’amener à l’extase. Je ne pense plus qu’à cela. C’est mal, n’est-ce pas ?
— Oui et non ! Quelque chose me dit que tu aimes te faire surpasser et te lancer des défis. Soeur Michèle ! Bloquez ses poignets dans le dos tandis que je lui maintiens ses chevilles ! Avale cette pilule ! Elle va t’aider à te relâcher.
Ah non ! Celle-là n’atterrira pas dans mon estomac. Assez de conneries pour aujourd’hui ! Pas facile, les yeux bandés, de choisir le meilleur endroit ni le meilleur moment pour la recracher. Si bien qu’elle quitta ma bouche en y laissant probablement suffisamment de principe actif pour me rendre un peu stone mais pas assez pour me rendre comateuse.
— Docteur ! Procédez, je vous prie !
J’eus à peine le temps de réaliser qu’un nouveau personnage me matait qu’une piqûre de guêpe me tuait déjà le bras gauche.
— Elle gardera encore sa conscience une petite demi-heure et puis oubliera tout de notre passage.
Mon sixième sens me disait qu’il fallait absolument que je reste en éveil. Tout se passa très vite. Des doigts en griffe s’emparèrent de mes nymphes humides qu’il malaxa sans douceur avant de m’élargir la fente comme un dément avec un instrument glacé. Une série interminable de contractions vaginales salua sa manœuvre.
— Jamais vu ça ! Extraordinaire tonicité de sa musculature intime. Elle expulse mon speculum rien que par la force de ses muscles périnéaux.
Moi, j’expulse tout ce qui est inintéressant.
— Ca, c’est épatant, Mr le Chanoine. Dieu l’a pourvue d’un délicat hymen en corole, suffisamment périphérique et ouvert, pour permettre un accès aisé à l’entièreté de sa soie vaginale sans la dépuceler. Elle mouille énormément votre pucelle. Une agitation prometteuse me dit qu’un trésor se cache en ce lieu. Gants, s’il vous plait !
Mes lèvres gonflées et débridées engouffrèrent ses doigts avec avidité. Le toubib commença l’exploration de mes profondeurs en insinuant deux doigts dans ma grotte. Les gémissements que je tentais plutôt mal que bien d’étouffer se transformèrent en chant érotique.
— OoOoOh ! Pitié Monsieur pour ma petite chatte! Iiiih ! Nooon !
— Tiens ! Tu es encore avec nous, toi. Lâchez-la et ôtez-lui son bandeau ! A quatre pattes sur la table, pétasse !
J’eus quelques peines à me mettre debout ce qui engendra l’hilarité du toubib. Sœur Rachel, Yvette et le chanoine étaient assis sur mon lit. Sœur Michelle, a son habitude, tapotait son martinet dans la paume de sa main.
— Attends un peu et mets-toi face au miroir ! Tu es plus grande que je ne le pensais. Combien mesures-tu ?
— Trois mètres…
— Très bien ! Reconnais-tu ces dames ?
— Non ! Je devrais ?
— Suis mon regard ! Tes paupières sont lourdes, lourdes mais tu gardes assez de force dans les jambes pour te tenir debout. Tu es de plus en plus fatiguée et bientôt tu ne pourras plus lutter. Je serais là pour te donner des ordres précis auxquels tu obéiras. Il te sera impossible de t’esquiver ni de nous mentir car nous connaissons par avance les réponses à nos questions. Ecoute bien cette clochette ! Dès que tu l’entendras, tu devras te tenir prête à recevoir des ordres que tu exécuteras à la seconde.
Je pris un air hébété de circonstance. Le docteur emprunta la clochette qui pendait à la ceinture Sœur Rachel. Gling gling !
— Tu t’appelles Bambi, n’est-ce pas ?
— Non, Monsieur ! Je m’appelle Opaline Duval
— Que fais-tu nue dans cette chambre ? Est-ce la directrice qui t’y a amenée ?
— Je ne sais pas Monsieur. Je ne crois pas. Je peux me rhabiller si vous voulez. Ma penderie est pleine de jolies robes.
— Sœur Michèle ! Votre martinet s’il vous plait ! Chaque fois que tu recevras le martinet, tu compteras dix coups. Puis tu te réveilleras et tu ne te souviendras de rien.
Le toubib m’administra, de toutes ses forces, une série de dix coups sur les fesses. Pas question de réagir et me trahir sans que je n’ose broncher.
— Qui êtes-vous ? Qui vous a permis d’entrer dans ma chambre ? J’ai les jambes en coton et les fesses en feu. Oh ! Je suis toute mouillée !!! Ai-je encore fait des bêtises ?
Je répondais, le souffle court et la voix voilée. J’ai probablement joué parfaitement la comédie car le toubib serra la main du chanoine avec un grand sourire quand une sonnerie de GSM retentit sur l’air de Bilitis de David Hamilton. Ivanova, la compagne de mon frère, m’avait fait visionner ce film de 1977 pour me mettre dans une ambiance propice à shotting photos super sensuel dont j’incarnais le modèle. Depuis, je l’avais gravé sur mon disque dur car il représentait pour moi le summum de l’interdit. Je le regardais en boucle en me laissant envoûter par sa mélodie troublante.
— Vite, Bambi ! Lève-toi et fais le tour du bureau !
— Oui, Commandant ! As-tu vu les images ?
— Oui, Doc ! Les photos, vingt fois, et je viens de visionner une bonne partie du film. C’est une magnifique jeune fille. J’aime beaucoup sa taille fine et ses hanches bien prononcées. Une jeune femelle doit avoir des hanches. Branche le son des caméras avec ta télécommande si tu veux ! J’aimerais entendre sa voix. O.K ! Fais la tourner sur la pointe des pieds autour de son bureau et demande aux sœurs de lui fouetter généreusement les cuisses !
J’avais bien compris que mes guiboles distendues et luisantes fascinaient mon persécuteur. Encouragée par le miroir, je décidai de gratifier mes spectateurs de mon jeu de jambes favori, celui qui, à Ténériffe, faisait tomber tous les mâles de leur balcon. A chaque cinglée, je croisais ma cuisse droite très haut, de façon à ce qu’elle me comprime le clitoris avant de lui polir la pointe avec ma paume dans de lents mouvements rotatifs. Je grimpais à la vitesse de la lumière vers les hautes sphères du plaisir. J’étais stupéfaite de ma capacité à endiguer l’orgasme, complètement allumée de me savoir observée. Je me sentais terriblement vulnérable et j’adorais cela.

— Arrêtez ! Vous me faites trop mouiller. C’est dégoûtant. Vous allez finir par abîmer mes jambes dont je suis si fière…et vous deux, si jalouses.
Je gémissais déjà comme une truie qu’on égorge et il en redemanda.
— Elle a une voix, qui semble surgir directement de son sexe, douce, suave, émouvante. Elle vous provoque, ma Sœur. Faites-la crier !
Au troisième tour de table, les martinets se firent de plus en plus blessants et ma lubrification si intense qu’elle m’obligeait à me lisser les jambes avec mes sécrétions.
— Continuez jusqu’à ce qu’elle atteigne le paroxysme de l’affolement ! Cette gosse se déplace avec une grâce élastique et virevolte avec une élégance naturelle. Je n’en suis pas à ma première traque, mais cette proie-là, il me la faut. Avec sa belle chute de rein et sa superbe poitrine de belle tenue, elle va ensorceler tous nos clients. Sait-elle que nos caméras l’observent en permanence depuis quelques mois?
— Non, elle l’ignore, évidemment. Je crois même qu’elle ne sait plus trop où elle se trouve pour l’instant et encore moins ce qui va lui arriver. Elle est extrêmement réceptive à l’hypnose et aux drogues désinhibitrices. Elle s’est créé, à force de lectures, un personnage de martyre qui évolue un monde fantasmatique peuplé de sadiques assoiffés de chair fraîche. Sa dévotion à Dieu et sa phobie d’être possédée du diable va beaucoup aider les sœurs dans son débourrage. J’ai insisté pour qu’elles multiplient les supplices et les stimulations sexuelles sans aucune période de repos pour l’endurcir et l’étourdir à la fois, jusqu’à la rendre parfaitement malléable. Elle ne présenterait que peu d’intérêt si elle implorait notre pitié au premier coup de fouet. J’attendais ton feu vert pour entamer avec les sœurs les "négociations" qui s’annoncent déjà sous les meilleurs hospices.
— Il ne faudra pas hésiter à la proposer au prix fort, elle en vaut vraiment la peine. Je vais faire parvenir un petit bout de film à nos amis en leur demandant de nous faire leurs suggestions pour alourdir le calvaire de leur esclave sexuelle. Dès ce soir, les six caméras seront en réseau et accessible 24h sur 24 aux cotisants. Marc l’est déjà Il a proposé d’installer cette nuit une de ses cabines solaires dernier cri dans la salle des supplices et de la brancher sur le réseau vidéo. Tu connais la passion de nos amis pour les lolitas bronzées à l’allure des filles des îles. Si Sœur Rachel est d’accord, je lance la procédure.
— Pas de problème pour moi ! Je me proposerai même pour l’attacher personnellement. Vous pouvez déjà contacter les amateurs si vous me reversez toujours mes trente pour cent en guise de dédommagement. La torture par procuration est un business rentable. Cela évite de se salir les mains et surtout les risques inutiles. Croyez-moi ! Nous allons leur en donner pour leur argent…et tout de suite.
J’aurais du m’enfuir mais sous l’emprise d’une excitation paroxystique, je ressentis au contraire le besoin viscéral de défier tout ce que la terre porte de pervers. Je poussai un cri suraigu et me jetai sur le coin du bureau. Inquiet, le chanoine se précipita à mon chevet.

— Que se passe-t-il ?
Bien décidée à ne plus cacher hypocritement mes envies, j’allais lui montrer dans quel état ma paume avait mis Maxi quand Sœur Rachel se montra dubitative.
— Je peux essayer la sonnette. Il parait qu’elle a la particularité de servir de sérum de vérité en l’envoyant dans un état hypnotique. Bambi n’a pas seulement le plus beau corps du collège, c’est une de mes élèves les plus douées pour la comédie. Gling Gling !
Et de reprogrammer son cerveau ajouta le Docteur, sûr de son fait.
— Je me sens toute bizarre. Comme si j’allais jouir…Non ! Il ne faut plus me toucher où je vais mourir en jouissant.
Le chanoine, fasciné par mes seins, commença par apprécier longuement leur galbe avant me faire une proposition scabreuse.
— Tu as les cuisses toutes rouges, mon enfant. Veux-tu arrêter ? Les sœurs te font-elles trop souffrir ?
— Alors là, pas du tout ! Leur martinet d’apparat ne sert qu’à me faire mouiller. Le diable doit se marrer. Même sur mes seins, je vous parie que je ne sentirai rien.
Le curé me tenailla les tétons entre ses doigts crochus et les étira à la limite de la rupture.
— Sœur Michèle ! La fine baguette !
La marâtre moustachue fit siffler son instrument et me gratifia de cinq belles marques rouges sur chaque sein. Il me fallut une bonne dose d’héroïsme pour ne pas m’arracher deux cordes vocales.
— Cette fois-ci, tu as gémi, belle enfant. Ne sens-tu toujours rien ?
— Ca commence…
— Alors, on recommence…
Le deuxième service fit singulièrement plus cuisant mais incomparable à la douleur que j’ai ressenti quand Sœur Michèle prit l’initiative de tester son instrument sur mon bas- ventre.
— Mon Père, elle a assez de tempérament pour ne pas demander grâce. Je pense m’approcher de l’endroit où Satan se terre. Son clitoris a doublé de volume.
— Soit tu as raison, soit il raffole de la douleur.
Mes mains plongèrent sur mon entrecuisse pour protéger Maxi qui, inconscient, n’en finissait plus d’enfler et de gigoter
— Non ! Pas ça ! C’est précisément parce qu’une lanière du martinet de Sœur Rachel l’a atteint que j’ai crié et qu’il a enflé.
— Même pas vrai ! Tout le monde a remarqué ton manège. Tu profites de la moindre occasion pour le cajoler ton bouton. Pas étonnant que tu lubrifies autant. Tu es tellement fière de ton pistil que tu ne pense qu’à le montrer au monde entier. Comment veux-tu que nous te venions en aide si tu mens à tout bout de champ. Est-ce la vérité ?
Tous les regards s’orientèrent vers la zone la plus sensible de mon anatomie, même les deux caméras suivirent le mouvement et firent un zoom sur mon pubis.
— Oui, ma Sœur ! Il est si chatouilleux et si sensible en ce moment qu’il devient intenable.
— Avoue que ta petite chatte, devenue grande, est de plus en plus habitée par une voracité sexuelle difficilement supportable ! Il suffit de voir les traces gluantes que tu as laissées aux quatre coins du bureau. Tu t’es comportée comme une chienne qui se gratterait les puces. Ne sois pas étonnée si nous te traitons comme telle !
Toi, tu as été méchamment repérée, ma fille. Tant pis, je me lâche puisque je suis sensée ne pas mentir sous hypnose. Mauvaise idée, très mauvaise idée !
— Bien écartée, elle adore toujours se frotter partout si on lui en laisse l’occasion. Je lui dirai qu’elle sera punie si elle recommence.
— Trop tard ! Le mal est fait. Sers-toi de tes mains pour ouvrir l’écrin où tu dissimules cette merveille qui nous permettra de prolonger à satiété délices et supplices ! Montre au Seigneur le bel organe que tu vas soumettre sans regrets à la torture ! Décalotte-le mieux que cela !
Face au miroir impassible, dans une rétroversion héroïque du bassin, je vis avec émoi Maxi, dépouillé de son capuchon, propulsé à l’avant-scène par mes doigts impitoyables. Si le pauvre pouvait parler, il m’aurait certainement culpabilisé à vie pour cette traitrise.
— C’est mieux. Chaque fois que tu entendras cette clochette, tu te dénuderas et tu présenteras ton Titi dans la plus belle érection possible. Arrange-toi comme tu veux mais j’exige que ton clito se tende avec entrain quand l’une de nous se décidera à le violenter ! As-tu bien compris ce que j’attends de toi
— Oui, ma Soeur ! Qu’allez-vous lui faire ? Il est si émotif…Oh non !
Sœur Rachel prit ma brosse à dents et se mit en tête de faire la toilette de Maxi qui fit carrément une crise d’épilepsie.
— Ce n’est pas ton problème. Laisse-nous juge de la meilleure façon de faire de son sexe un hymne au Seigneur !
Traduction : « Tais-toi et bande ! ».
— Attention !!! Aaarh ! C’est terriiible comme ça !

Je n’avais plus qu’une obsession en tête. Il fallait que je résiste ou j’allais mourir sur le champ si elle m’obligeait à jouir de force. Lorsqu’au bout de quelques longues secondes, ma petite crête de chair fut devenue toute rouge et turgide, elle s’arrêta pour me laisser reprendre mon souffle et me mit au pied du mur.
A suivre
J’ai subi la plupart des sévices décrits dans mon histoire de la part d’écclésiastiques illuminés. L’écriture est simplement romancée et la chronologie non respectée. Les faits se sont simplement étalés sur une période de deux ans.
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