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quand le sexe devient une obsession

Chapitre 1

Gay
Je suis précoce. J’ai toujours cherché à me faire défoncer le trou du cul. La première fois je suis allé au culot vers un ami de la famille qui dormait dans ma chambre. Je suis allé directement vers lui, tout nu et je lui ai présenté mon cul comme une offrande. Je lui exhibais mes belles fesses rondes et fermes. Je me suis poussé vers lui, j’ai mis mon cul sur sa bite que j’essayais d’introduire mais c’était un gourdin trop gros pour déflorer la rondelle. Il pouvait la déchirer. Je poussais fort au risque de me faire mal, mais son zob ne voulait pas franchir la porte de l’interdit. J’essayais mais sans y parvenir. De guerre lasse j’abandonnai la queue bandante. Ce fut un échec total. Je me suis rendu compte qu’il était transi par la peur de se faire découvrir en baisant le fils de la famille qui li donnait l’hospitalité. Mais il bandait et moi aussi. Je voulais à tout prix me faire mettre. Mon cul ne demandait qu’à répondre à mon fantasme et assouvir mon désir. C’était moi qui le forçais à m’enculer. Il voulait bien me défoncer, il tremblait et d’envie et de peur. J’en abusais mais lui préférait se retenir plutôt que de me fourrer sa pine dans le cul. Nous fûmes déçus, lui et moi. Sa grosse bite resta un rêve qui me harcela des années durant. Je me rabattis sur une bonne branlette en imaginant me faire mettre par une petite bite. Je fantasmais dur. L’occasion se présenta une autre fois lorsqu’un de mes amis vint chez moi et dormit. Au moment de nous coucher je lui ai que je dormais à poil. Nous devions dormir dans le même lit. Il me répondit que cela ne le dérangeait point et que lui-même dormait habituellement tout nu. Le message apparait clair. En nous côtoyant si près il y aurait contact de chair et forcément conclusion et satisfaction puisque j’en rêvais. Je pensais que sa bite serait moins grosse et qu’elle répondrait à ma soif de l’essayer. Nous nous couchâmes et je ne tardai pas à me rapprocher de son corps lui présentant mon derrière et comme je l’envisageais il bandait. Il commença par frotter son zob dans la raie de mes fesses sur toute la longueur des fesses et de sa bité. Puis il prospecta avec la pointe de son sexe pour chercher l’entrée du trésor. Comme lubrifiant, il utilisa sa salive qu’il m’enduisit, puis il introduisit l’engin tout doucement. Au début il me faisait mal mais comme le première fois que je ne parvins pas me faire mettre pour cause de grosse bite et de cul serré par la perspective d’une défloraison douloureuse. Pour épicer l’acte sacré il me tapotait les fesses et me proférait des insultes. Il me disait que j’étais sa lopette, sa putain, son esclave, sa chose, qu’il allait me trouer le cul en l’élargissant de façon qu’un train puisse y pénétrer. Bref, il disait des mots qu’en d’autres circonstances il ne les aurait pas imaginés. Cela l’excitait et moi aussi. J’aimais sa méthode progressive qui l’instar d’un sportif il y allait doucement comme pour l’échauffement puis le va et vient et l’enfoncement profond. Au début il faisait mal mais un mal qui s’estompe et qui fait place au plaisir. Un plaisir intense, indescriptible, l’extase. Il gémissait fort et moi aussi, en chœur. Une symphonie jouée par un orchestre d’"hédoniques" accompagnée d’une chorale. Il aimait ça, moi aussi : lui actif moi passif. Même la grammaire s’applique à la fusion des corps. On dit il est sujet et moi complément d’objet direct. J’aime la bite. Pas de préliminaires, pas de lubrifiant, pas de protection : le corps à corps. Le toucher, le frottement de la verge avec mon anus me procurait une joie "éjaculative" pour employer un néologisme. J’étais blotti à son corps et je voulais passer la nuit la pine au cul. Que dis-je une éternité. Le plaisir que j’ai ressenti est immense. Le sperme dans le cul c’est du nectar dans le cul. Ah! ce cul qui jouit aussi qui se lubrifie à force de dégager du liquide : le sperme du cul. Cependant, jusqu’à présent je rêve du zob de l’invité qui n’avait pas réussi à me fourrer. Je le vois gigantesque, bandant jouissif, beau, magnifique, altier, magique, c’est le zob des dieux. Rien qu’en l’imaginant, en le revoyant dans mes souvenirs où je l’ai casé pour ne jamais l’oublier, je bande. Ah! mon Dieu que c’est beau un gros sexe. Il pénètre, prospecte, se balade, découvre et donne du plaisir. N’est-ce-pas beau ça? Aucun autre instrument ne peut donner autant plaisir. Alors vive le sexe.
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