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Quand on tire le diable par la queue

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Pas le lendemain où tout naturellement on a baisé dès le levé du jour avec beaucoup de passion, mais quelques jours plus tard. Le vieux pasteur a été remplacé par un un peu plus jeune, avec une jolie épouse dans les 25 à 30 ans.Jean, au bout de quelques jours reçoit une invitation à passer à la cure pour avoir une petite discussion avec le pasteur.
– Bonjour Jean– Bonjour Monsieur le pasteur.– Appelle moi Richard, ce que je vais te dire et te demander n’est pas simple, voila, j’ai une certaine maladie qui est apparue, parce que j’aime trop bien manger et boire. Du reste tu pourras t’en apercevoir, car je t’invite à dîner. Comme tu peux le voir, avec ma femme, on est un couple sans enfant et c’est pas par hasard. Dieu veut probablement me punir d’avoir trop mangé dans mon existence et il m’empêche de pouvoir faire mon devoir conjugal et ma femme en est très triste, elle aimerait tant avoir une maternité. D’autre part, je connais le problème que tu as avec ta mère et certains diraient que vous vivez dans le pêché. Loin de moi de jeter la pierre. Comme le Christ a dit : « ne juge pas si tu ne veux pas être jugé » ou « que celui qui n’a jamais pêché, jette la première pierre », j’ai souvent pêché, donc je ne juge pas et ne jette aucune pierre.– Tout cela est bien beau Monsieur le pasteur, mais je ne vois pas où vous voulez en venir.– C’est pas facile à le dire : J’aimerai que tu me remplaces sexuellement auprès de ma femme et que tu lui fasses un beau bébé.– Ouille, c’est pas évident, tout de suite ?– Non, réfléchis bien, j’aimerai être présent pendant l’opération. De cette façon, on ne peut dire que ce soit de l’adultère ; je ne lui en ai pas encore parlé, mais je crois qu’elle sera d’accord.– J’en ai non plus pas parlé à ma mère que j’aime par dessus tout.– Finalement, elle pourrait aussi venir et je lui tiendrai compagnie pendant que tu me remplaceras dans le lit conjugal. Voyons nous après le culte, où je vais avoir un sujet spécial, sur l’amour du prochain, thème tout à fait d’actualité.– Bon alors, je viendrai ce dimanche au culte, d’habitude, je n’y vais pas, du reste, je ne suis ni baptisé ni confirmé.– C’est pas grave, à cette occasion, je pourrai te baptiser si tu le veux bien. On se mettra les bonnes âmes sans conscience de notre coté.– OK faisons comme cela.– Voila, je vais te présenter ma femme.
Ils rentrent les deux dans la cuisine, où Martine, une très belle femme, blonde comme les blés, les accueille avec le sourire.
– Martine, je te présente Jean, qui n’a pas toujours eu une vie facile, son père est mort très jeune et avec sa mère, ils ont vécu dans une petite maison, presque une cabane ; pendant toute sa jeunesse dans la pauvreté.– Jean, je te présente Martine, ma femme adorée, continue le pasteur.– Enchanté, lui répond Jean– Martine, je lui ai présenté les problèmes de notre couple, il ne m’a pas encore donné son accord, mais après un bon repas et le partage répété du sang du Christ, j’ai bon espoir qu’il puisse soulager notre problème, si tu es d’accord. Je sais que tu souffres que je ne puisse avoir d’érection et te satisfaire. Renseignements pris, je pense que c’est le meilleure moyen pour améliorer notre couple.– Oh Non, je ne pourrai jamais faire cela.– Mais mon amour, je serai là, il n’agira que comme substitut, il faut essayer pour voir si ce n’est pas possible.
– Mais c’est pêcher que de pratiquer l’adultère !– Non ma chérie, ce serait pêcher même d’y penser si je n’étais pas au courant, mais là, c’est différent, puisque j’y consens et que je serai présent, c’est pas la même chose. En tout cas, pas pire que d’aller chez le ou la gynécologue qui te touche la vulve, sans ma présence.– Je m’incline devant ta volonté, mon chéri. Je vois dans ta quête, une énorme preuve d’amour pour moi, j’y répondrai le mieux possible.– Amen !
Le lendemain, Jean informe sa mère de la discussion qu’il a eue avec le pasteur et lui demande son avis.
– En premier ce qui me plaît, c’est qu’il ne condamne pas notre relation et qu’il compatit avec notre situation, cela change du précédent qui n’avait que de bonnes paroles. Autrement, pour ce qui en est d’avoir des relations avec sa femme, je n’ai rien à dire, tu es jeune, tu as une occasion de faire l’amour avec une femme qui a presque une génération de moins que moi, avec la bénédiction du mari. Je ne peux que t’y pousser. Mon amour pour toi reste intact, d’autant plus que tu m’as dit que j’aurai la compagnie du pasteur pour m’aider.– Oui, mais cela me fait quand même tout drôle de savoir que je vais servir d’étalon.– Mieux vaut cela que de vaches pour l’abattoir.
Le dimanche, Rita et son fils sont au premier rang dans l’église, surprenant tout le monde et nourrissant déjà les conversations. Le sermon se déroule normalement jusqu’à ce que le pasteur fasse avancer Jean devant l’assemblée et le baptise.
– Mon frère, agenouille toi pour recevoir l’eau sacrée, eau qui purifie l’âme, entraîne la pardon des fautes commises et l’entrée dans notre communauté. Je prie l’assemblée de se lever pour chanter le cantique No XIV pour célébrer le retour de cette brebis qui n’avait pas reçu les bienfaits du Seigneur.
L’assemblée se lève, chante et la cérémonie se termine, la pasteur à ce moment là, serre les mains de toutes ses ouailles qui le félicitent d’avoir ramené au bercail cette brebis soit disant égarée, mais qui fut plutôt oubliée.
– Venez mes amis dit-il en prenant la main de Jean et de sa mère, allons faire nos noces de Cana, mais Jésus n’aura pas besoin de fournir le vin, j’ai tout ce qu’il faut dans la cave.– J’en suis toute troublée, confie Rita au pasteur, cela me fait vraiment drôle de voir mon Jean dans cette situation.– Soyez forte, je serai tout près de vous pour vous réconforter du mieux que je peux.– Ce ne serait pas plutôt à moi de vous réconforter, vous faites un très grand sacrifice pour votre épouse.– J’ai bien réfléchi, je préfère que ce soit Jean qui le fasse, c’est un très brave garçon, timide et pas vantard, avec un lourd secret qui ne m’est parvenu aux oreilles que par mon prédécesseur.– Comment cela ? Nous n’en avons fait part à personne, c’était juste le fruit de son imagination ! Du reste, nous n’avons consommé que tout récemment.– Alors le hasard fait bien les choses et donc de la part de mon prédécesseur, ce n’était que calomnies ! J’en suis désolé, surtout avec la demande que je vous fais.– C’est pas grave, du moment que ceci reste entre nous.
Les 4 qui ne sont pas mousquetaires, arrivent sur ces entre-faits à la cure où Martine va à la cuisine avec Rita pour préparer un bon repas avant de passer aux choses sérieuses.
– Ma chère Martine, comment ressentez-vous ce qui va se passer ? Moi, je suis très contente pour Jean, même si je suis un peu frustrée, mais d’un autre coté, c’est toujours un plaisir de rencontrer des gens qui ne soient pas bornés dans leurs convictions religieuses.– Pour moi, c’est un peu un tourbillon de sentiments qui m’agitent, d’une part une forte envie de faire l’amour, trop longtemps réprimée mêlée à un amour très grand pour mon époux qui m’offre votre fils, suite à son impuissance et une excitation profonde pour ce qui va suivre, mêlée à une petite honte.– Je vous comprends, moi aussi j’ai une petite excitation.– Je crois que le repas est bien prêt.
Pendant ce temps, les deux hommes (en bon macho) sont assis dans le salon avec un apéritif, discutant sur la suite des opérations.
– Comment vous vous sentez, mon cher Jean ?– Un peu anxieux, j’ai un peu peur de ne pas être autant à la hauteur que j’aimerai. J’ai vraiment envie de rendre votre femme heureuse, elle est tellement belle, j’en suis très impressionné.– Mais vous êtes quand même un peu excité j’espère.– Sexuellement pas encore, mais cela viendra quand il faudra, quand mes sens sont comblés, je ne vois pas comment il pourrait en être différemment.– Comment cela vos sens ?– Votre femme est très belle, cela comble déjà mon sens de la vue, elle émettra probablement un parfum qui va me combler quand elle sera excitée et le goût de sa peau me fait déjà saliver.– Ah bon, je n’avais jamais vu la chose sous cet angle ! C’est comme cela que vous faites avec votre mère.– Non, d’habitude, on le fait quand la lumière est éteinte, mais pour le reste c’est bien cela.– Je me réjouis de voir cela, j’espère que cela ne te déstabilisera pas que je soies présent ! Chez certains, cela a un effet castrant, mais pour pas que ce soit pris comme un adultère, ma présence est absolument indispensable et aussi pour soutenir moralement ma femme.– Non, je ne crois pas que cela m’enlèvera mes moyens, vous êtes si sympatrique, que c’est avec plaisir que je vous rends ce service.
Le repas se déroule bien et à nouveau le sang du Christ débloque les esprits. Le pasteur :
– Je pense qu’au préalable, il serait bon de prendre un bain, je suggère que Martine et Jean le prennent ensemble pour faire connaissance.– À vos ordres répondent ensemble les deux concernés.
Les voila dans la salle de bain, la mine un peu empruntée, rougissant comme des puceaux au premier contact.
– Stp, aide-moi, je suis trop fébrile je n’arrive pas à me déshabiller, dit Martine pour un peu décoincer Jean.– Pour moi, c’est la même chose.
Les deux à ce moment là commencent à s’effeuiller mutuellement, Jean est étonné de la belle lingerie que possède Martine, ce qui le change avec la lingerie de sa mère. Doucement, son sexe commence à se relever. Jean, en tirant la culotte de Martine vers le bas, peut admirer l’entre-jambe avec sa belle fourrure blonde, en ayant son nez tout prêt, il sent aussi les effluves qui s’en dégagent, du coup, sa bite se redresse violemment.Martine voyant le tableau :
– Ah cela me fait plaisir de voir que je ne te suis pas indifférente.– Votre parfum madame est vraiment très capiteux et me trouble profondément.– Appelle moi Martine et pas madame dit-elle
En baissant à son tour le caleçon de Jean, faisant jaillir comme un diable au fond de sa boite, le sexe érigé. Elle le prend en main et elle est aussi un peu émue, du fait que cela fait un moment déjà qu’elle n’a plus tenu une belle verge en érection pour elle.
– Je n’osais pas vous tutoyer.– Viens, dans le bain ensemble, on ferra mieux connaissance avec nos corps comme cela. Je vais commencer par te savonner.– Cela va me rappeler ma mère quand on se baignait, on avait qu’un petit baquet en bois et il ne fallait pas trop user l’eau pour qu’il en reste pour l’autre, ce qui nous obligeait aussi à se laver mutuellement.– C’est excitant ce que tu me dis, tu lui nettoyais aussi entre les jambes ?– Surtout là, c’est principalement dans cette partie que la saleté s’accumule et maman s’appliquait toujours à bien me nettoyer la bite pour ne pas avoir de fromage qui s’accumule.– Viens, je vais aussi te nettoyer en profondeur, réplique Martine en lui saisissant la pine et en retroussant le prépuce. Oh ! Comme c’est joli, mais effectivement, il fallait nettoyer. Je vais aussi faire l’arrière.– A mon tour répond Jean
En prenant l’éponge, Jean, lui met du savon sur le coup, les épaules, le dos, les fesses, y compris le trou du cul, les jarrets. Puis, il lave avec la douche le coté pile et la fait tourner. Là, il a devant lui une très belle paire de seins, ce serait bête de prendre l’éponge et se savonne les mains pour nettoyer l’autre coté.
– Hum, c’est bien agréable quand tu me nettoies si consciencieusement la poitrine, j’aime bien.– J’aimerai aussi les sucer.– Pas maintenant, mais plus tard, quand mon époux sera présent !– Bon je continue plus bas, répond-il en descendant sa main vers le pubis en faisant des mouvements circulaires.
Il parvient à dénicher le clitoris qui comme sa mère le lui a expliqué, il ne faut pas l’oublier, mais avant de mettre plein de savon et d’eau, en se mettant à genoux, ayant le sexe juste en face de sa tête, il tend sa tête en avant et donne un puissant coup de langue sur le petit bouton pour récolter le goût original non perturbé.
– Oh cochon, qu’est-ce que tu fais ! C’est pas bien ! Mais c’est vrai que c’est très bon, mon mari ne m’a jamais fait ce petit plaisir, mais arrête, on ne doit faire des privautés qu’en sa présence.– C’était pour déguster le goût original et non pas perturbé par le savon ou l’eau. C’était délicieux.– Bon, vu sous cet angle c’est acceptable, finis de me nettoyer, sans autre fantaisie, puis on se sèche et on va dans la chambre à coucher pour continuer. Mais avant, j’aimerai aussi contrôler quelque chose avant d’y aller quand tu auras fini de me laver.
Ils sortent de la baignoire et avant de se rhabiller dans un peignoir, elle s’agenouille devant lui prend la bite en main, retrousse le prépuce et avec la langue, elle cueille la goutte de pré-sperme qui l’orne :
– Ainsi c’est match nul dit-elle avec un sourire en se léchant les babines.– Tu m’as bien eu, je ne m’y attendais pas.
Les deux se dirigent vers le lit nuptial et dans un coin, sur un canapé, se trouve le pasteur et Rita en grande discussion philosophique sur la pratique et les bien faits du candaulisme.
– Voila, on est prêt pour commencer annonce Martine en se couchant sur le dos et en écartant les cuisses.– Monsieur le pasteur, est-ce que je peux lécher votre épouse ? C’est assez nécessaire pour qu’elle soit bien prête et qu’elle apprécie.– C’est qu’à ce chapitre, je n’ai pas beaucoup d’expérience, tu es sûr que tu sauras bien le faire ?– Oui, sans problème, Maman m’a bien instruit à ce sujet.– Quoi dit Martine émoustillée, tu couches avec ta mère ?– Je pensais que ton mari t’avais tenu au courant, que c’était une des raisons de son choix pour s’assurer de notre discrétion.– Je comprends, mais cela m’excite d’autant plus, viens.
Tranquillement Jean monte sur le lit et se met à genoux il prend en bouche un sein et triture l’autre.
– Tu aimes, demande-t-il, je fais comme tu le souhaites ?– Oui. Tu vois dit-elle à son mari, ça c’est très agréable, le prochain coup, tu pourras aussi le faire pour me préparer quand Jean viendra coucher avec moi.– Oui mon amour, je ne le savais pas, tu sais au séminaire, ils n’enseignent pas ce genre de chose !– J’aimerai maintenant aussi goûter ton puits d’amour et saluer le soldat qui le garde dit Jean en descendant ses lèvres vers le bas ventre de Martine en tirant une langue menaçante pour la rose de corail posée entre ses grosses lèvres.– Fais, j’adore ce que tu fais, mais j’aimerai aussi pouvoir goûter ta queue vigoureuse dans mon con. Il est assez lubrifié, viens sur moi.– Non, j’aimerai mieux que ce soit toi qui vienne sur moi, c’est meilleure pour les deux.– Si tu veux.
Ainsi les deux se retrouvent unis ; Jean ayant son sexe profondément enfoui dans le con de Martine qui le chevauche gaillardement. Les deux spectateurs sont scotchés de voir une telle cavalcade et le pasteur sent bizarrement le désir se réveiller dans son bas ventre et sa queue commence à faire la toile de tente sous sa chasuble.Discrètement, Rita passe sa main sur la bosse cléricale en la caressant doucement pour entretenir la pression. D’un autre coté, Martine, voyant son mari bandé quand elle se fait niquer, part dans un orgasme ravageur, mais Jean qui a un coté pratique, la bascule et continue à lui limer la chatte vaillamment jusqu’à ce que d’une détente violente, il lui arrose les ovaires.Voyant cela, le pasteur, enlève sa chasuble, son slip, tout le saint-frusquin et pousse Jean de coté et à son tour se plante dans la figue rose de sa femme.– Houra ! Crie-t-il j’ai enfin pu rebandé en voyant ma femme prendre son plaisir avec un autre, c’est bizarre, heureusement que les voies de ma femme ne sont pas comme celle du seigneur, elles sont bien pénétrables. Merci Jean de m’avoir, par ton spectacle, rendu un peu de ma virilité. Si ma femme tombe enceinte, on ne saura pas qui est le vrai père, ce qui est très bien. Ce serait un miracle que nous donnerait le Seigneur. Probablement le Seigneur a exigé de ma part, le don de ma femme à un autre homme pour me redonner la force.– Je vous en prie, c’était un grand plaisir de vous rendre ce service et je suis toujours à votre disposition.– Et moi gémit à son tour Rita qui a relevé sa robe présentant son minou tout noir et en le frottant avec énergie.– Déshabille-toi Maman et viens nous rejoindre. Je sens que je me sens en forme pour te faire plaisir à ton tour.
Le pasteur ayant continué à entretenir l’excitation de Martine, mais n’ayant pu tenir la distance, présente maintenant un profil bas, sa queue en berne.
Mais Martine qui est vraiment en chaleur après avoir pris deux saillies dit à Ritta :– Viens au milieu, on va s’occuper à trois de toi, Mon mari va te sucer ton sein droite, je vais m’occuper de celui de gauche et Jean va te pilonner car je vois qu’il est de nouveau au beau fixe.
C’est ainsi que se mirent ces trois complices, jusqu’à un certain moment où le pasteur, frustré de ne pas avoir goûté une chatte, demande à Jean de compléter son don du sperme chez sa femme et que lui va s’occuper de la chatte de sa mère.
– Oui, je vois que vous vous dévergondez !– Non, je renforce mes connaissances ecclésiastiques au sujet des femmes. Régulièrement, je vais goûter Martine maintenant, mais j’aimerai commencer mon parcourt gustatif par ta mère.
Du coup, Jean se retrouve derrière Martine qui est en train de sucer les seins de Ritta pendant que le pasteur s’incline et se prosterne devant letabernacle de Rita qui n’attend que son adoration. Il tire sa langue et prend le clito de Rita en disant :
– Mon Dieu, on dirait presque un sexe d’homme, est-ce que j’ose le prendre en bouche ?– Ce n’est pas moi qui va vous l’interdire réplique Rita qui sent aussi une excitation incroyable lui labourer les reins.
Un homme de Dieu qui lui lèche sa vieille chatte et qui lui bouffe son pistil, du coup, sa cyprine se fait abondante ce qui surprend le brave pasteur qui cependant n’en perd pas une miette.
– Je ne connaissais pas ce plaisir de la chair dit-il un pareil régal pour les papilles, je resterai bien abonné à cette source de jouvence.– Je crois que mon homme y a pris goût dit Martine qui envisage déjà un ripolinage régulier de sa moule.– Je le pense aussi, mais maintenant, il te faut rester un peu couchée sur le dos pour que les spermatozoïdes nageurs puissent bien arrivées sur la plage de tes trompes et fructifier tes ovaires. Dit Jean en lui envoyant une nouvelle rasade de sperme dans la tire-lire.
Épuisés, les 4 s’allongent dans un sommeil réparateur. Rita qui s’est réveillée en premier se dit, mais enfin, les autres ont pu tout goûter de moi, mais moi, la crème du représentant de Dieu, j’y ai pas eu droit ! Doucement, elle s’approche du sexe tout recroquevillé du pasteur et délicatement, tire sur le prépuce et commence à le lécher avec délicatesse. Lentement, il refait surface et est très surpris de voir que le lit nuptial a été transformé en baisodrôme et qu’une femme âgée est en train de lui tailler une pipe d’enfer, lui le saint homme. Devant l’étrangeté de la situation, il y a un deuxième miracle qui se produit, en moins de deux heures, sa tige s’est redressée et présente une belle forme.
– Alors mon beau pasteur, il y a un petit puits d’amour qui attend votre visite pastorale pour convaincre ma tire-lire au bien fait des sacrements elle aimerait aussi être baptisée avec votre bon jus de couilles.
Les deux autres dormant dans les bras l’un de l’autre, ce qui a augmenté sa libido, il n’hésite pas longtemps et se plonge dans le sexe de Rita avec bonheur. La force du piochage finit par réveiller les deux autres qui sont émerveillés par la forme retrouvée par le berger pastoral.
– Bravo mon chéri, c’est un plaisir de te voir à nouveau performant, dit Martine, qui câline Jean pour en avoir encore une petite couche, tant qu’à faire où il y a de la gaine, il n’y a pas de plaisir dit le proverbe. Ne penses-tu pas que ce serait bien qu’on se retrouve régulièrement pour bénéficier de ce type de catéchisme ? Il t’est très favorable pour ta santé je crois et pour la mienne aussi.– Le proverbe dit : ce que femme veut, Dieu le veut. Soit, mais qu’est-ce que tu entends par régulièrement ?– Au moins une à deux fois par semaine.– Il faudra alors trouver une raison pour les visites fréquentes, je vais faire de Jean mon bedeau ; de cette manière, cela lui fera une petite aide financière, une bonne excuse pour nous rencontrer et clouer le bec aux médisants.– Mon amour, tu as vraiment des idées géniales, qu’est-ce que vous en pensez vous autres ?– Si c’est pour pouvoir bénéficier de tes charmes régulièrement, je veux bien jouer la grenouille de bénitier, pas de problème. Répond Jean, C’en est d’autant plus excitant. La nuit étant en train de tomber, je pense qu’il va falloir retourner à la maison !
C’est ainsi que les deux se retrouvent dans leurs petite maison, bien fatigué par cette journée hors norme.
– Qu’est-ce que tu en penses maman de cette journée ?– Au delà de tous mes rêves répond-elle en baillant, mais je tombe de sommeil, bonne nuit.– Bonne nuit, j’espère que l’on recommencera.– Je pense que le pasteur, ayant goûté aux plaisirs poivrés du sexe ne va plus s’en passer. C’est un sybarite cet homme là. On va passer encore de bien belles soirées, il faudra aussi que je goûte avec la langue ce couple bien particulier. Cela m’a manqué un peu.
Quatre jours plus tard, Jean reçoit sa nomination comme bedeau (pas comme Jean-Luc), ce qui risque de poser un problème avec son travail et il demande le lendemain, vendredi un rendez-vous avec son patron.
– Bonjour Monsieur, j’ai un petit problème d’horaire et j’aimerai bien en discuter avec vous avant d’avancer plus dans cette direction.– Bonjour, j’ai vu que tu t’es intégré dimanche passé dans notre communauté.– Justement, c’est à ce sujet, Monsieur le Pasteur, m’a demandé de remplacer le bedeau actuel qui a atteint la limite d’âge, ce qui va me représenterun surcharge de travail impossible à assumer à long terme. J’aimerai travailler à 70% pour bien remplir ma tâche.– Merci de m’en faire part, comme tu es un excellent élément, j’accepte et comme je suis membre du conseil synodal, l’usine te garde ton salaire plein et même j’envisage si tout se passe bien de te nommer chef de production, prochainement, quand le titulaire actuel arrivera à la retraite. Je vais l’affranchir pour qu’il te prépare à ta future charge.– Merci beaucoup, comme cela, je pourrai bien me consacrer à ma tâche.
En rentrant le soir, il fait part à sa mère de la bonne nouvelle qui correspond en fait à une augmentation substantielle de salaire. Comme quoi, un coup de queue bien placée, des fois ça paie.Le dimanche, à nouveau après le sermon, Jean est invité pour dîner à la cure, mais cette fois, la mère a été oubliée. Ce qui le rend triste, mais il n’ose pas le dire. Cependant le pasteur, fin psychologue remarque que son entrain et bonne humeur n’est pas au rendez-vous.
– Zut dit-il, nous avons oublié d’inviter ta mère, quand je t’invite, comprends le comme un invitation pour les deux, toujours le dimanche après le sermon, pour déstresser c’est bon et comme cela on termine la semaine en beauté. Je vais vite la chercher avec la voiture.– Merci, vous êtes vraiment trop bon.
Pendant ce temps là, Martine et Jean commencent à se chauffer, en se roulant des pelles, pas à neige, en se caressant. Finalement, Martine :
– J’aimerai bien quand mon mari n’est pas là, te sucer la queue, je ne l’ai jamais fait, juste un petit bisou la dernière fois, mais j’aimerai connaître la complète et je ne suis pas sûr qu’il apprécierait. Il faudrait amener ceci doucement pour pas le braquer.– Bonne idée, répond Jean en sortant son outil, d’un pantalon qui avait encore l’odeur de l’encens.– C’est drôle ce mélange d’odeurs religieuses et de sexe, c’est vraiment pas désagréable dit Martine en saisissant la queue et en la mettant dans sa bouche.Elle s’applique et fait les corrections nécessaires que lui dit Jean pour que ce soit une bonne pipe et pas une pipe dont on doit oublier qu’elle a eu lieu, mais un pipe à faire envie aux usines de St Claude.Lentement, la tension monte et la crème est en train de prendre (ou la mayonnaise suivant l’étape du repas). Elle sent les tressautements du sexe dans sa bouche, elle continue à la tenir également avec sa main tout en lui caressant l’entre-jambe.
– Je sens que tu dois être mûr, je t’en prie, envoie lentement, j’ai envie de tout absorber. Viens dans ma bouche.– Hein ! Han ! Dit Jean en envoyant une première rasade de jus de couille dans le palais de la belle Martine. Tiens, voila l’apéritif ajoute-t-il en envoyant une deuxième rasade et en suivant les amuse- gueules.– Gloups gloups lui répond Martine. Pris à chaud, c’est pas mauvais du tout. On dirait un peu de la soupe de poisson. Pas mauvaise ta bouillabaisse ! (et non pas la bouille à baise, comme je l’avais écrit tout d’abord)
Sans penser à mal, elle lui tend ses lèvres pour l’embrasser. Jean a un petit geste de recul, mais accepte cependant la pelle.
– Avant que ton mari revienne, lave-toi les dents, l’odeur est assez forte, il ne faudrait pas le provoquer inutilement.– Oui mon chou, tu as raison.
Pendant ce temps là, le pasteur arrive chez Jean, sonne et trouve Rita en sous vêtement en train de se changer pour la journée.
– Excusez moi, je voulais vous inviter pour le repas de midi, nous avons oublié de le faire. Mais je vois que j’arrive soit trop tôt soit trop tard.– Non, j’étais en train de me changer pour la journée. Dit-elle en voyant le pasteur, le regard scotché sur ses seins et sa culotte où une grosse touffe de poils s’échappe sur le coté créant une image assez excitante presque obscène. Mais rentrez donc, ne rester pas sur le pas de porte.– Je n’osai pas.– Osez mon ami.– Vraiment ?– Oui. Je sens que vous avez un regard concupiscent sur mes charmes si j’en ai encore.– Je dois dire que la vue de votre culotte me trouble.– Vous avez envie que je l’enlève et vous livre ma chatte ou si vous voulez le faire vous même ?– J’ai envie de vous lécher, ce que je n’oserai pas faire devant ma femme, mais votre tablier de sapeur me désinhibe complètement. Rita en enlevant son soutien-gorge et sa culotte le prend par sa ceinture et l’entraîne vers son lit, elle commence à déboutonner sa braguette pour sortir l’oiseau du nid.
– Tu sais, on va se tutoyer maintenant, j’ai invité Jean à faire l’amour à ma femme, c’est que j’ai beaucoup de peine à bander, tu vas trouver mon oiseau au repos. Au fait mon prénom, c’est Richard, toi je sais que c’est Rita.– On verra bien. Viens et lèche-moi d’abord les seins, j’aime beaucoup et cela améliore le goût plus bas.– Oui, comme il te plaît, c’est fou, les événements qui se sont précipités depuis une semaine. Tout se déroule tellement vite.– Je ne m’en plaints pas, répond Rita avec un large sourire. Tète bien, c’est bon !
Après quelques léchouilles, Rita pense qu’il est temps de passer à l’étage inférieur et ouvre largement ses cuisses et presse la tête de Richard en direction de sa fourche. Fourche qui ressemble de plus en plus aux fourches caudines, où le bon pasteur met en veilleuse sa rigidité morale au profit de sa rigidité sexuelle.
– Viens maintenant, je crois que c’est près pour la dégustation, mais j’aimerai bien aussi avoir ton oiseau, même si il est tout petit, c’est pas plus mal. J’aurai moins mal aux mâchoires.
Les deux s’installent dans un 69 tranquille en se léchant le sexe avec application et Rita, à force de subtilités, arrive à faire grossir le haricot de Richard. Haricot qui grossit, grossit, grossit pour ressembler de plus en plus à une belle banane.
– Tu vois, à force de patience et peut-être de l’inédit, on arrive à un certain résultat.– C’est vrai que quand je fouille avec ma langue ta forêt odorante, cela m’excite comme un fou.– Je crois que je vais venir, mets moi deux doigts dans la crousille, Oui comme cela, hum c’est bon, encore mets en trois ou quatre, c’est encore meilleure. Je viens dit-elle en arrosant le visage du pasteur d’un jet de cyprine qu’il s’empresse de boire avec avidité.– Hum c’est bon, j’aime ce goût de vinaigrette que tu produits. Je ne l’avais jamais essayé avec Martine, il faudra que je compare.– Oui, mais toi, tu n’es pas encore venu, pourtant, je sens que tu es encore bien excité.– C’est très bon, mais je n’oublie pas que j’étais venu te chercher pour le repas de midi et là, on risque bien de les faire attendre. On peut pour un petit retard dire que tu n’étais pas prête, mais seulement pour un petit retard.– C’est vrai et peut-être que plus tard dans l’après midi ....– Oui, pourquoi pas, comme dimanche passé !
Les voila qui prennent le chemin de la cure, ils expliquent tant bien que mal la raison du retard et Martine en embrassant son mari a tout de suite compris à l’odeur dégagée par la barbe de son homme qu’il avait eu les mêmes approches cachées qu’elle et qu’il avait trempé son nez dans le puits du plaisir de Rita.
– Je vois chéri que tu as déjà goûté un peu de soupe chez Rita, tu étais comme cela affamé ?– Non, c’est pas ça !– Alors tu as fait comme moi, tu as voulu essayer quelque chose hors de la maison ! Je reconnais l’odeur de la mouille accrochée dans ta barbe. Moi au moins je me suis lavée les dents.– Oui, je le confesse que je n’ai pas pu résister à la vue de sa culotte avec les touffes noires qui dépassaient, j’ai eu envie de les déguster et elle a réussi à réveiller mon pistil, mais n’a pas récolté de pollen.– Hé bien moi pareille, J’ai voulu aussi déguster une saucisse de Francfort baignant dans son jus. Pas mal.– C’était aussi très bon pour ma part, je regrette qu’on ait été bloqué par les moeurs si longtemps et ne pas avoir pratiqué plus tôt cette liberté !– Cela n’en sera que meilleur.
Après un bon repas, vient la sieste où nos quatre compères se retrouvent à poil sur le lit nuptial du couple pastoral.
– Chéri, j’aimerai bien aussi déguster la moule de Rita pour connaître à chaud le goût, j’ai remarqué que quand cela sort juste avec Jean, c’est délicieux, pour une femme, cela doit être pareille.– Qu’est-ce que tu entends par là ? Tu aimerais aussi que je déguste Jean ? Mais je ne suis pas sûr qu’il soit partant pour ce genre de chose et cela se rapproche terriblement des égarement de Sodome et Gomorrhe.– Non mon chérir, c’est juste pour moi de tester afin ne pas mourir idiote.– Merci de ton appréciation de notre intelligence.– Tu ne regrettes pas que jusqu’à maintenant, dirigé par une morale obscure et pas trop justifiée à ce que j’ai vécu ces derniers temps, on ait pas élargi le jardin de nos plaisirs, pendant que tu pouvais encore,.– Comment cela.– J’ai lu dernièrement que des recherches archéologiques ont été entreprises en Israël et qu’en fait la disparition de Sodome et Gomorrhe était un phénomène tectonique, la terre s’est ouverte et les villes se sont trouvées englouties dans les profondeurs de la terre. C’est pourquoi on a pas encore réussi à retrouver leur trace et que probablement on ne les retrouvera jamais, contrairement à certaines autres de la même époque. Les lacs et mers de la région selon la publication semble dater de cet événement.– Tu as probablement raison, comme toujours, mais on est pas ici pour faire un cours de théologie appliquée, mais pour....élargir le cercle de nos connaissances et j’ai bien envie de compléter mon dessert en goûtant aussi ta soupe aux moules fraîches.– Mais les deux autres.– Je crois qu’ils savent aussi comment se distraire, ils ne nous ont pas attendu, il y aura peut-être quelque chose d’intéressant à apprendre.
C’est ainsi que les deux couples se retrouvent dans un 69 endiablés, mais Martine n’arrive pas, contrairement à Rita à faire grossir le haricot de son mari qui reste en berne.– Peut-être qu’on devrait changer de partenaire, je n’arrive vraiment pas à exciter mon mari. Je me souviens que dimanche passé, il a décollé quand Jean a commencé à me prendre. Déclare Martine un peu frustrée.
Les voila qui s’échangent les partenaires et malgré les sollicitations de Rita, la nouveauté n’est plus là et Richard reste en berne. Alors, doucement elle lui caresse le sac, (pas le sacrement comme le suggère Windows) puis étend son champ d’exploration plus loin, le périnée, pour arriver finalement à l’anus qui sous la caresse de son doigt se contracte violemment.
– Pas là, c’est pas permis.– Juste un petit peu pour te faire plaisir finalement dit Rita en insistant.
Finalement, mettant de coté ses à priori, Richard lui laisse faire, en se disant que par une femme, c’est pas Sodome et c’est bien excitant. Ne voit-il pas qu’en effet, cela lui fait gonflé la gaule de manière significative et Rita, avec science, ripoline le timon qui lui occupe la bouche.
– C’est un miracle caché du Seigneur dit Richard, Cela me fait augmenter la pression, c’est très bon, continue.– J’y compte bien, je t’ai dit que je voulais déguster ton goupillon, mais trempé dans son jus béni.
Malicieusement, elle presse un peu son indexe sur l’orifice maudit, le puits de l’enfer selon la Sainte Bible, mais pas trop selon l’encyclique, cette porte permettant toujours d’absorber les débordements de son clergé, sans en engendrer de suites pénibles financières ou politiques. Rita retire son index et le porte à sa bouche pour mettre un peu de lubrifiant puis, elle avance plus courageusement et enfonce encore plus son index, jusqu’à sentir une petite boule qu’elle commence à caresser.Cela ne tarde pas à faire son effet et elle reçoit le fruit de sa patience et encaisse une giclée de saint sperme qui lui tapisse les amygdales quelque peu païennes et sur sa langue.
– Tu vois Martine, ton homme m’a recrépis les amygdales. Tu en veux un peu ?– Oui, ce serait la première fois que je goûte le produit des couilles de mon mari et ce qui est drôle, c’est par personne interposée !
Du coup, les deux tigresses se collent un patin à ne pas piquer des hannetons devant le regard stupéfait du pasteur qui fait un peu les gros yeux devant la dérive de la situation. (pas des continents, ça on ne le remarque pas trop quoique, les tremblements de terre peuvent être aussi violents que les tremblements de cul) Jean ne sait pas trop comment réagir, il est sur l’expectative.Finalement pour que les deux complices ne se sentent pas coupables, Richard s’approche et tend ses lèvres et déclare qu’il aimerait aussi bien y goûter.– Demande à Rita, elle en a encore, moi, j’ai tout avalé.– Viens mon petit trésor, dit Rita en prenant Richard dans ses bras et en tenant sa tête contre sa poitrine pendant qu’elle lui roule une pelle bien baveuse où la salive et le sperme se mélangent.
Jean, regarde avec amour sa mère en train d’être avec un autre homme que lui et il est débordant de bonheur en voyant qu’elle se donne avec plaisir. Cette expérience est vraiment merveilleuse. Il se retourne vers Martine et il la prend à son tour dans ses bras et lui dit.
– J’aime tellement quand ma mère a du plaisir tout simple comme maintenant. J’ai l’impression que mon coeur va éclater.– Moi aussi, j’aime bien voir Richard heureux, même si j’ai un petit sentiment de jalousie, mais cela doit être cela l’amour complet, apprendre à partager plutôt que d’exiger l’exclusivité. J’ai l’impression que Richard est un peu comme un enfant qui a trouvé une deuxième maman. Regarde comme il a l’air heureux et le salaud, il bande à nouveau ! Là je suis franchement jalouse, quand je pense que j’y arrivais plus pendant tellement longtemps et là, dans les bras d’une autre et plus vieille que moi, il part au quart de tour comme une bagnole neuve.– À mon avis, tu devrais lui prendre le jonc dans la bouche pendant qu’il se fait dorloter par maman, on va voir comment il va réagir et pendant ce temps là, c’est moi qui vais m’occuper de ton puits d’amour.– Et qui va s’occuper du bijou de ta mère ?– Pour le moment, elle est sur un nuage d’avoir Richard dans ses bras qui roucoule de plaisir. Pour le reste, cela viendra plus tard.Ainsi fut fait et pour la première fois, Martine embouche le sexe de son pasteur de mari qui ne se sent plus de bonheur, une mère de substitution qui lui bouffe le museau et sa femme qui lui dévore sa bite. C’est vraiment le paradis sur terre, mais il veut faire durer au maximum le plaisir et Martine après dix minutes de léchage est un peu frustrée de ne pas avoir reçu elle même l’hommage de son mari dans sa bouche. Elle se retourne vers Jean pour conseil.
– Tu n’as pas vu, mais ce qui a fait partir Richard tout à l’heure, c’est que ma mère lui a mis un doigt dans le cul et il n’a pas résisté. Je vais faire idem pour toi et tu verras que c’est spécial.– Tu crois ?– Oui, mais surtout à l’église. Essayons pour renforcer la fois, pas en Dieu, mais en l’expérimentation réplique JeanIl reprend ses opérations de léchouilles, mais en les complétant par un doigt indiscret préalablement enfilé dans la conque de la belle Martine pour le graisser et enfoncé jusqu’à la dernière phalange.– Oups, je ne me doutais pas que c’était si violent. J’essaye aussi lui dit-elleSans attendre, Martine fait de même en se mouillant le doigt dans la crousille de Rita qui est juste à coté et elle le plante courageusement dans le fion de son mari qui brutalement décharge une deuxième fois, ce qui est un miracle à son âge.Vidé, lessivé, les couilles essorées, Richard, repus, se met sur le dos et part dans un sommeil réparateur, laissant les trois autres arranger leurs affaires.Martine dit qu’une fois elle aimerait aussi déguster la moule de Rita et Rita a la même réflexion et propose qu’elles se fassent plaisir mutuellement en se mettant en 69, une première pour les deux, n’ayant jamais eu de rapport lesbien de leur vie.Jean a aussi une petite idée derrière la tête et se dit qu’une fois, il pourrait bien goûter au plaisir de Sodome et que sa mère ne le lui refusera probablement pas aussi il commence également à lui caresser l’oignon, puis alors que Martine en dessous lèche la moule à Rita, son fils lui insère sa langue dans le trou du cul pour le préparer à recevoir la bite. Martine sera au première loge pour voir ceci en grand plan. Après que Jean aie bien lubrifié le trou du cul de Rita, c’est Martine qui lui introduit deux doigts dans le fondement, puis trois et dit à Jean :
– Je pense qu’elle est prête à te recevoir par la porte de service, je suis très curieuse de voir cela. Richard dort, il ne pourra jeter l’anathème– J’y vais, mais attends-toi à avoir prochainement le même genre de service.– J’y compte bien. J’attends.– Permets que je mouille à l’entrée principale le perforateur.– Fais, mais je continue à préparer jusqu’à ce que tu viennes.
Sans attendre plus longtemps, Jean engage son chibre dans le con de sa mère pour bien l’huiler et ensuite commence à perforer l’anneau culier de sa mère, tout doucement et lui demande :– Ça va, pas mal ?– Un peu pas trop, vas doucement que je m’habitue.
Pendant ce temps là, Martine a continué sa léchouille en se concentrant sur le clito ce qui augmente l’excitation de Rita qui finalement donne un coup de cul contre la queue qui hésite à l’orée de son cul.
– Ça y est, tu es bien au fond, maintenant tu peux y aller à ton gré, c’est très bon.– Je le sens bien dit Martine, ta mouille a singulièrement augmenté depuis que tu as un forage dans le cul. Je ne m’en plaints pas, c’est de meilleur en meilleur.– Vas-y mon fils, fais plus vite, je sens que c’est en train de venir, ouille oups houa ! Encore (et pas endort.) Plus profond. Aië je sens que tu es entrain de m’inonder les boyaux C’est bon, trop bon, je parts je courre je vole dans les nuages du plaisir. Jamais je n’avais connu un tel bonheur d’avoir une femme qui me mange mon clito pendant que mon fils ravale mes hémorroïdes.Divin ! Excuse mais c’est vrai, même si c’est condamné officiellement par la société, ils ne savent pas ce qu’ils perdent.– C’est comme cela bon ? questionne Martine, curieuse avec son visage barbouillé de mouille et un peu de sperme qui suinte à l’orifice du trou du cul et qui coule jusqu’à sa place de léchage.– Tu ne peux t’imaginer, c’est indescriptible. Je te le recommande quand tu en auras l’occasion, mais je pense que notre deuxième mâle a aussi les roustons essorés. Si on se faisait un petit encas les deux pour les laisser récupérer.
– Pourquoi pas, réplique Martine, en continuant à lui lécher la moule. Tu veux aussi un doigt dans le cul ?– Oui, j’aime bien, c’est agréable– Pas plus que cela ?– Non, il faudrait plus qu’un doigt pour que cela me fasse grimper aux rideaux et ce plus qu’un doigt est à plat pour le moment et j’ai eu ma dose aujourd’hui.– Je comprends. Moi, tu peux en mettre trois, je pense que j’apprécierai.– Je pense que tu vas aussi y prendre goût ! Mais qu’en est-il de ton mari ?– Je ne sais pas, mais en tout cas, cela lui a débloqué les gonades quand toi ou moi lui avons massé la prostate.– Prostate ?– Oui, la petite boule que tu as senti quand tu as mis ton doigt dans son cul, il me semble que quand on le caresse, cela augmente l’excitation.– Je me rappelle, j’ai été toute surprise par le résultat. Mais pour le moment, je suis un peu rassasiée de sexe, mais j’aimerai bien un petit alcool fort, tu en veux aussi ?– Plutôt un alcool doux pour moi.
C’est ainsi que les deux mâles sont laissés à leur sommeil dans la chambre à coucher et que les deux femmes se retrouvent après avoir passé sous la douche en petite tenue dans le salon en train de déguster un petit digestif. Richard se réveille en premier et voit que le lit a été déserté par la gente féminine et que Jean, probablement pris dans un rêve érotique a la trique.

« tiens se dit-il, c’est l’occasion ou jamais de voir ce que cela donne entre deux hommes, c’est en testant qu’on peut vraiment appréhender les relations homosexuelles. Je vais lui sucer la bite pour voir ce que cela donne »
Doucement, il se penche sur le mat qui orne le bas ventre de Jean, le prend en main et tendrement pose ses lèvres dessus. C’est surprenant, le goût est vraiment fort, mélange de plusieurs sucs qui se sont accrochés sur la hampe. Mais j’aime aussi les goûts relevés pense-t-il et il continue à sucer avec application quand tout d’un coup Jean se réveille.
– Mais qu’est-ce que vous faites ?– Je voulais savoir une fois ce que cela fait quand on est entre deux hommes, excuse-moi !– C’est bon, je ne me plaints pas, tu peux continuer. Mais je ne vais pas tarder à venir tellement que cette situation est bizarre.– Envoie ton jus, j’aimerai que ce soit complet.– Comment complet ?– J’aimerai bien avaler ta fumée.– Cela me fait très plaisir, répond Jean, en envoyant une bonne rasade de sperme tapisser ses amygdales, mais à la troisième fois, c’est évidement moins abondant que la première.– Hum ! C’est pas mauvais, ni délicieux, un peu comme de la soupe de poisson.– Je ne sais pas, jamais vraiment pris à la source, c’est ma première expérience de ce type.– On verra la semaine prochaine. Si on allait rejoindre nos femmes.
à suivre
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