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Quand on tire le diable par la queue

Chapitre 4

Orgie / Partouze
On se retrouve en été, Richard et Jean s’occupent bien de Jasmine, dont le ventre s’arrondit et Martine, elles’approche de son terme, à ce moment là, elle ne supporte plus que les gentillesses de son mari ou de Rita qui estdevenue sa grande amie, au grand dam de toutes les dames patronnesses, qui ne comprennent pas qu’une pauvre femmepuissent être aussi liée à Madame la pasteur.C’est alors que Richard reçoit en stage sa nièce, Maryse, qui va commencer la faculté de lettres, mais désire se faire unpeu d’argent pour le semestre. Son oncle, sans malice, la confie à Jean pour la placer à un poste pas trop exigeant.Comme elle n’a aucune qualification en horlogerie, il lui confie l’inventaire de l’outillage.Fréquemment, elle doit déranger Jean pour savoir quel nom a cet outil, mais il est tout content, car l’oeil égrillard, ilcontemple cette jeune poulette qu’il mettrait bien à cuire, mais il n’ose pas trop.Elle est comme sa tante, rousse flamboyante, mais elle, elle n’a pas teint ses cheveux en bond, elle assume. Souvent,quand elle vient, elle pique des phares en allant le déranger et ne peut s’empêcher de penser à lui faire du rentrededans. Petit manège qui n’échappe pas à Jean qui s’y prête volontiers.Il se laisse draguer et plutôt l’encourage dans cette direction, mais sans prendre aucune initiative, (il est déjà pas malpris avec Jasmine et sa mère qu’il faut contenter)Vraiment, la maison retapée est presque méconnaissable.Jean, l’invite avec le pasteur, sa femme, son patron et son épouse à suspendre la crémaillère. Le pasteur, connaissant bien Jean, fournit le vin, (pris sur le vin de la communion) et son patron, lui paie le traiteur.C’est pas évident de mettre tout le monde dans cette petite maison, mais le beau temps aide bien. C’est à cetteoccasion que le patron de Jean expose au pasteur son idée de se réunir une à deux fois par semaine pour faire desparties fines, entre ses deux couples avec Jean et sa mère, sous couvert de jouer aux cartes. Il lui expose que depuisque sa femme est enceinte, il n’arrive plus à suivre et cela serait bien de ressouder leurs entente. Maryse qui était àl’intérieur de la maison entend cette conversation et se dit :
– Tiens, cela m’a l’air de bien rigoler dans la région, je ne pensais pas que Jean était à ce point l’homme central. Jevais un peu précipiter les choses.
Sous prétexte qu’il fait vraiment chaud et qu’elle a pas mal bu, elle lui demande si il a un coin discret pour se rafraîchir.
– C’est pas trop discret, parce quand on est les deux avec ma mère, on a pas la place pour faire une salle de bain, mais si tu veux un peu te reposer, sous la soupente, il y a ma chambre et tu peux t’y reposer.– Merci, dit-le à personne, je n’ai pas envie de continuer la fête, c’est pas très drôle pour moi !– C’est pas vraiment sympa pour moi qui l’ai organisée.– Tu n’es pas en cause, mais à part toi, il y a une génération de différence et leurs soucis ne sont pas les miens.– Ok, je dirai que tu es probablement partie, car tu t’ennuyais et tu peux utiliser mon lit si tu es fatiguée, les draps datent de hier, si cela ne te fait rien.– Merci.
Il redescend vers ses invités et les informe que Maryse est fatiguée et qu’elle se repose à l’étage.
– Oups dit sa mère, je n’ai pas changé tes draps.– À la guerre comme à la guerre répond Jean.
Pendant ce temps, Maryse, curieuse fouille un peu dans les affaires et voit les affaires de nuit négligemment posées surune chaise, un peu excitée, elle les prend et les renifle.
– On sent le mâle, pense-t-elle, en mettant son nez dans la lingerie.
Cela me chauffe mon minou, plutôt surchauffe mon minou et elle commence à se caresser la motte, qui s’humidifie de plus en plus. Tiens, je vais essayer quelque chose, je vais m’essuyer la chatte une fois que j’aurai terminé dans sa culotte de nuit. Je suis un peu folle, mais il m’excite dur dur. Je ne sais si je me trompe, mais il doit être bon au lit et cela me changerait de mon mec actuel qui n’est pas au top je trouve.Le soir venu, les invités quittent en félicitant Jean pour l’amélioration de sa maison et s’étonne ce que fait Maryse.
– Si elle dort encore, dès qu’elle se réveillera, je vous l’enverrai Patron.– Je crois que maintenant qu’on est très proche, on va se tutoyer en privé, tu m’appelleras Georgie comme mes amis.– Oui, cela me convient.
Une fois les invités partis, Jean monte dans sa chambre et trouve Maryse effectivement endormie avec son caleçon à lamain et une forte odeur de mouille dans la chambre. Il redescend doucement vers sa mère et l’informe :
– J’ai l’impression que la nièce du patron s’est branlée dans ma culotte et s’est endormie, je ne sais pas comment il faut réagir.– Je pense que tu es mieux à même de régler la situation, tu as son âge, soit galant et peut-être ce sera tout bon.– Oui maman, lui dit-il en lui caressant les nibards et lui roulant un patin pour se donner du courage.
Il remonte dans la soupente et doucement caresse le bras de l’endormie qui grogne un peu, comme si elle ne voulait pasêtre réveillée.
– Maryse, il est tard ! Soupire Jean. Les invités sont partis.
Elle ouvre un oeil, puis deux et lui adresse un tour grand sourire.
– Je suis bien contente, viens t’asseoir à coté de moi, pour discuter un peu. Minaude-t-elle, prends moi dans tes bras.– Mais tu n’as pas déjà un petit ami ?– Oui, mais justement il n’est pas là et j’ai un besoin fort de tendresse répond-t-elle en tendant ses lèvres.– Hum, j’ai l’impression que tu as envie d’une conversation particulière, lui dit-t-il en lui prenant à son tour les lèvres et en lui collant un patin.
Sous l’excitation, elle bombe la poitrine juvénile, ce qui est clairement un appel au pelotage, ce qu’a bien compris Jean qui glisse sa main sous le thi chorte (pour les puristes le Tee-shirt ou Tshirt ) et empaume un sein.
– Elle est douce ta poitrine !lui dit il en agaçant les tétons– Je peux enlever mon chandail ? Ce serait mieux.– Je n’osais pas te le demander.– Mets-toi aussi à l’aise, ta mère, elle ne dit rien ?– Non, elle est super cool. J’aimerai bien te sucer un peu les nichons, tu me laisses les sucer ?– Oui, mais pas plus.
Jeans qui n’en pense pas moins, commence à prendre en bouche un téton, tandis que sa main droite massevigoureusement l’autre. Maryse commence à avoir vraiment très chaud quelque part, elle commence à parcourir lethorax de Jean et le griffe légèrement sur la poitrine. Le résultat ne se fait pas attendre, un bosse déforme sonbermuda
– Oups dit Maryse, Je vois qu’il n’y a pas que moi qui suis excitée, tu me montres ta queue ?– Si tu me montes ta chatte !– Ok. et les deux baissent simultanément les deux barrières qui cachaient encore la vue de leurs sexes.– Tu es belle, j’aime bien ton pubis qui est en accord avec tes cheveux, mais surtout, j’adore ton odeur de rousse, là même que ta tante.– Comment cela, tu renifles ma Jasmine ?– Cela m’arrive, mais en toutes discrétion.– Petit cochon. Mais je vois que tu as une bien jolie bite, réplique-t-elle en la prenant en main. Tu me permets d’y goûter ?– Que si je peux aussi te goûter, j’adore le goût des rousses.– Cela me changera de mon petit ami qui lui n’aime pas.– L’imbécile.– Mais au fait comment tu connais le goût des rousses ? À part ma tante, j’en ai pas vu beaucoup dans les environs.– Il faut voir les environs plus larges peut-être.– C’est sur que ce n’est pas ma tante ?– Non c’est pas sûr.– Salaud, tu niques comme un cochon. Qu’est-ce qu’il dit ton patron si tu lui nique sa femme ?– C’est un problème entre eux et moi et toi tu n’as rien à t’y immiscer.– C’est vrai, excuse moi, mais cela me fera un bon sujet de réflexion.– À propos, je confirme, ton goût est délicieux, J’aime ton sexe, avec ton fruit aux lèvres bien dessinées baignées dans un jus capiteux.– Tu es un vrai poète, moi je ne lèche ni ne suce, je ne tiens pas à ce qu’on me recrépisse mes amygdales.– Je ne te le demande pas, mais si tu le veux, c’est en self service.– Je vais quand même essayer, mon mec, il fait le difficile et déjà une fois il m’a envoyé la purée entre les dents, j’ai pas aimé.– Je t’aviserai si jamais la marmite risque d’exploser, fais cependant attention de ne pas mordre sur la chair fraîche, cad le gland et la partie du prépuce qui est retroussée.– Finalement, c’est pas si mauvais que cela quand on le fait gentiment sans forçage. Je dirai même plus, j’aime bien ton odeur aussi, cela sent le mâle.– Et toi la femelle, j’adore ton jus, il est très capiteux. Est-ce que tu prends des contraceptifs ?– Non, j’espère que tu as des capotes anglaises ?– Moi non, mais je peux toujours demander à Maman si elle n’en a pas.– Vous êtes cool dans la famille.– Pas cool, mais très très cool, ma mère est une Superwoman.– Maman, tu n’as pas des capotes anglaises ?– Oui, j’en ai encore deux que m’a refilé Richard.– Quoi ? Siffle Maryse estomaquée, Le pasteur ?– Oui, je ne devrai pas te le dire, mais il m’a demandé d’inséminer sa femme, il a le diabète et il n’arrivait plus à bander. Son ménage était au bord du gouffre et de ce fait on est devenu très ami aussi avec ma mère.– C’est dingue tes histoires, tu veux me dire que la cloque qu’à Martine, c’est toi l’auteur.– C’est pas sur, le fait de me voir sur sa femme, entrain de lui faire l’amour, d’un coup, il a réussi à bander à nouveau et il l’a aussi inséminé. On ne veut pas savoir qui est le vrai père, c’est mon cadeau pour sa largeur d’esprit. Mais je pense qu’il est inutile de te recommander la plus grande discrétion à ce sujet, personne ne doit le savoir, il y a tellement de mauvaises langues qui seraient enchantées de profiter et lancer des ragots peu ragoutants.– C’est clair que je ne vais rien dire, mais je vois que tu es l’étalon du village, déjà Jasmine, puis Martine, maintenant moi enfin je crois.– Te fais pas de soucis, je n’ai pas envie de te mettre en cloque.
Rita monte l’échelle pour arriver à la soupente et les voit les deux à poil, tête bêche.– Tiens fiston, voila les chapeaux en caoutchouc. Pas besoin de vous recommander d’être sage, dit-elle malicieuse. Tu veux que je te la mette ?– Non, je crois que Maryse y arrivera toute seule. Merci– Je plaisantais un peu.– J’ai bien compris.– Vraiment vous êtes trop cool. Elle l’aurait fait ?– Oui, pourquoi pas. Elle m’aime trop.– Quand même. Voila, il est mis. Tu permets que je vienne sur toi, j’aime mieux comme cela.– Cela me convient parfaitement.
C’est ainsi que Jean se retrouve sur le dos et Maryse qui lui grimpe dessus, lui attrape la queue et l’enfile dans son con.Cela rentre tour seul, tellement c’est mouillé, car toutes ces révélations et le léchage de Jean, l’ont amenée à l’orée duplaisir suprême. Elle s’agite en avant, en arrière, elle tangue de gauche à droite ressort et rentre de plus en plus vite.
– C’est beau quand même deux jeunes qui font l’amour, dit la mère en les regardant avec un regard très tendre.– C’est pas beau par contre de jouer au voyeur, réplique Maryse.– Pourquoi, tu as un tellement beau corps que j’ai aussi envie de le câliner, dit-elle en se rapprochant et en lui caressant le dos. Ta transpiration me bouleverse complètement.– C’est que je n’ai pas l’habitude des amours saphiques avoue Maryse.– C’est pas grave, tu me permets de te sucer les seins, cela me ferait très plaisir.– Oui, mais après, quand je serai remise, j’aimerai aussi déguster les vôtres.– Mais ils sont tout vieux.– Cela ne fait rien, la peau est probablement plus douce.– J’aimerai bien, tu me feras bien plaisir, j’aime autant les femmes que les hommes, mais cette révélation est toute récente. Pendant longtemps, c’était plutôt le désert et tout d’un coup, c’est venu. J’aime tout, tous et toutes.– Même votre fils ?– Lui c’est le plus. Que ferai-je sans lui ? C’est ma lumière, mon phare, ma joie, mon homme à la maison. Si on mel’enlevait, ce serait comme si on me coupait les bras et les jambes. Je confirme l’appréciation de Jean, tes seinssont délicieux.– J’adore quand vous me les sucez, cela m’excite à mort d’avoir deux personnes qui s’occupent de moi alors qued’habitude, j’ai un demi homme vite fait, mal fait.– C’est que je l’ai un peu éduqué mon fiston.– Très bien éduqué. Tu permets que je te caresse aussi ton bouton, je vois qu’il est tout seul et je pense qu’il a besoin d’un peu de compagnie.– Oui, pourquoi pas, au point où on en est, je vais tout essayer.– Pas tout le premier soir, il faut laisser un peu à découvrir les autres fois.– Ah ! Parce qu’il y aura d’autres fois.– Cela ne dépend que de toi mon trésor.– Je pense que je vais retenir cette option. Mais c’est bon quand vous me massez mon clito, je suis en train de venir, ouille ouille, je parts comme je ne suis jamais partie, c’est bien d’avoir un fils comme cela endurant, mon mec, il y a longtemps qu’il aurait plié bagages et sorti la voiture du garage. Dit Maryse en se crispant dans un orgasme bien marqué. Oh c’est bon, j’ai jamais autant joui.– Tu permets que je te nettoie, dit Rita avançant une lippe quémandeuse, j’aimerai bien aussi déguster à la source ce que j’ai entendu mon fils décrire comme exceptionnel.– Si tu veux, mais je risque de repartir.– T’inquiète, il n’a pas encore débandé, il sera prêt pour t’en remettre une deuxième couche, j’ai encore unecapote anglaise.– Mais vu qu’il n’a pas craché sa sauce, il peut bien la réutiliser !– C’est vrai. Alors je ne vais pas m’éterniser entre tes cuisses, juste une petite léchouille.... Voila Jean, tu peux continuer, la place a été bien nettoyée.– Mam, tu ne veux pas me donner le tien pendant qu’elle me chevauche.– Voyons Jean, cela ne se fait pas avec une toute jeune fille. Tu es quand même mon fils.– Ne vous gênez pas pour moi, c’est encore plus excitant de voir le fils faire un cuni à sa mère. Je pense qu’avec ça, je vais partir direct, dit-Maryse en reprenant la pine de Jean et en la réintroduisant dans son puits d’amour. C’est vraiment une soirée qui est 1000 fois plus intéressante que la journée. Il faudra qu’on renouvelle.– Mam, ton jus est aussi délicieux, mais d’une cuvée bien différente. Je te la recommande Maryse pour essayer.– J’y compte bien quand tu auras vidé tes couilles, j’aimerai bien essayer avec une femme, cela manque encore à mon éducation.– Je pense que Rita n’y voit pas d’inconvénient, au contraire, j’ose affirmer qu’elle adore.
Quelques secousses telluriques plus loin, à l’échelle 8 de Richter, les deux amants ont joui simultanément. La capote, estvraiment bien remplie, Rita fait un noeud en le retirant du manche de son fils.
– Maryse, tu ne veux pas emboucher pour récupérer le double goût de son sperme et de ta cyprine ?– Non, c’est pas trop mon truc enfin, je ne sais pas, peut-être la prochaine fois.– Donc cela ne te fait rien si je lui fais sa toilette avec ma bouche, j’adore le mélange des épices.– Dit comme cela, je dois dire que cela me met l’eau à la bouche, pourquoi pas finalement.– Tiens essaye, si tu n’aimes pas, je n’ai pas besoin de me sacrifier pour en profiter, ce sera avec plaisir.– C’est vrai que c’est vraiment pas mauvais, mais maintenant, j’aimerai comparer en te léchant ta crousille.
Rita en se mettant sur le dos, repliant ses jambes contre ses seins lui offre sa forêt vierge, son tapis d’astrakan.Maryse est un peu perdue pour se diriger dans ce dédale de poils plus ou moins collés de cyprine.
– écarte avec la langue, c’est le seul moyen lui conseille Jean. Autrement, il te faudrait une boussole et un compas. ( à l’époque on ne connaissait pas le GPS)
Après avoir bien ripoliné la grotte de Rita, Maryse pense que l’heure de rentrer se précise, elle espère que son oncle et sa tante ne trouveront rien à redire.
– Ne te fais pas de soucis, tu leurs diras que tu t’es réveillée bien après leurs départ. Mais quand mêmedébarbouille toi un peu le visage, on sent la mouille de maman à plein nez.– Tu as raison. C’est quand qu’on fait une autre séance, j’ai envie de me faire mettre à plein pendant les vacances.– Quand tu veux, mais il faudra que je demande une rallonge à Richard. Il ne reste plus qu’une capote, autrement, ilfaudrait passer par la porte de service.– Qu’est-ce que tu entends par là ?– Dans le cul, ce qui se pratique aussi quand les anglais débarquent.– Je vois, vous êtes super organisé. A demain au boulot Jean et merci pour tout.– Pas de quoi, c’est nous qui te remercions pour ces moments de plaisir.
Une fois Maryse partie, sa mère se tourne vers Jean :
– C’est pas le tout, mais là, je suis vraiment bien excitée, en la léchant et en vous voyant, tu ne vas pas me laisser comme cela pour la nuit.– Non Maman, je vais te mettre mon goupillon pour te ramoner ta cheminée à fond.– Travail de Titan, plus tu nettoies, plus il y a à nettoyer, mais un bon orgasme suffira.
Quelques jours plus tard, Jean est convoqué chez son patron.
– Salut Jean, j’aimerai bien avoir ton avis, j’en envie d’agrandir ma maison et de construire une annexe avec un jacuzzi, un sauna et un baisodrome, ce qui sera bien agréable pour nos parties de cartes.– Je ne saurai que vous encourager dans cette direction, ce serait super, mais le coût ?– Cela devrait aller, je ne suis de loin pas sur la paille. Au fait, que penses-tu de ma nièce ? Elle est vraiment sexi non ?– Je ne sais si je dois le dire, mais c’est un bon coup. Je me suis fait piéger lors de la crémaillère.– Tu penses que ce serait une bonne chose de l’inviter à une partie de cartes.– Cela pourrait être intéressant et non traumatisant, elle s’est bien prêtée à des petits jeux avec ma mère, elle est au courant de comment Martine est devenue mère avec un mari impuissant.– Alors, je te laisse l’inviter pour mercredi prochain, elle sera un bon complément, vu que Martine rentre dans la dernière ligne droite avant l’accouchement et qu’elle est pour un certain temps hors service, ce qui est finalement pas mal, j’ai encore des vues sur ma secrétaire, je l’ai mise dans mon lit lors de mon voyage au Japon, je pense que lui élargir l’esprit et le reste serait aussi une bonne chose. Qu’en penses-tu ?– Que du bien, c’est une jolie poulette.– Pas poulette, mais Paulette !– Excuse, mais les deux termes conviennent bien je pense.– C’est vrai.– On les invite les deux, mais il faudra vraiment assurer si on ne veut pas en faire un centre lesbien, parce que Richard, c’est un peu une couille molle, heureusement, car avec cela on a commencé à mieux se connaître. Penses-tu qu’il faille trouver un renfort mâle ?– J’aurai bien une idée, si on a un sauna et qu’on fait un peu de massage coquin, il y a le fromager, tu as vu ses pognes, mais je ne sais comment il est du point de vue individu.– Bon on le garde sous la main et on essaye de le sonder.
Le mercredi suivant, Jean invite Maryse à cette célèbre partie de carte, mais il faut un peu changer les règles pour l’amener gentiment à l’échangisme sans la braquer.
– On va commencer effectivement par une partie de cartes de type strip-poker. Cela devrait suffire, vu qu’elle a eu une petite expérience lesbienne avec Rita.– Vous lui avez vraiment fait le grand jeu alors.– C’est un peu par hasard et cela s’est bien engagé.– Je me réjouis de me la faire, cela fait déjà un moment que je salive après.– Je vais essayer de te l’amener toute cuite dans ton assiette.
Les participants arrivent, Martine avec son gros ventre et ses nichons proéminents accompagnée de son mari, Jasminedont on ne devine pas qu’elle est enceinte, Jean et Rita et finalement Maryse bien curieuse de cette assemblée bizarre.Après s’être débarrassé des pardessus et s’être assis au tour d’une table ronde, on sert les boissons et on distribueles cartes. C’est une sorte de Rami améliorer et le perdant doit subir le gage du gagnant. Après une vingtaine de tours,presque tous les participants se retrouvent en petite tenue et on peut admirer les plastiques plus ou moins valables desparticipants et le pas suivant, il s’agit de trouver les différentes actions des participants et là on fait un nouveau jeu,on a trois urnes, dans la première, il y a les noms des participants qui dirige le gage alors que dans la deuxième il y acelui ou celle qui subit et finalement dans la troisième, il y a l’action à réaliser, mais c’est pas toujours possible, vuqu’une pénétration vaginale est difficile entre deux hommes, il y a toujours 3 possibilités. Si c’est un couple mixte, sic’est un couple homo masculin ou féminin.Le premier tirage est pour le moins surprenant.
* Richard se retrouve en brouteur de motte de Maryse qui fut tout d’abord un peu effrayée quand elle a vu qui elle avait tiré comme partenaire, mais, Richard était passé maître est escalope à moustaches et ripolineur de clito.* Jean s’est vu attribuer le cul de Jasmine à préparer à la sodo.* Rita s’est fait brouter la moule par Georgie qui finit en râlant d’avoir des poils entre les dents et demande lefils dentaire.– Il faudra qu’elle essarte un peu son buisson, il y en a trop.– Je pense que ce pourrait être un gage suivant si la forêt est trop importante, mais selon la tradition, c’est aux religieux que fut dévolue la coutume de l’essartage. Donc Frère Richard, je te prêterai les outils nécessaires.– C’est dommage, j’aimai bien sa luxurieuse forêt.– Tu n’es pas obligé de tout couper, mais juste un peu rafraîchir le maillot autour des grandes lèvres.* Martine se retrouva en Pierre le Noir pour ce tour et se retrouva dans le rôle de presse citron à la mi-temps, cequi ne la gênait pas trop, vu son état.
Le tirage suivant fût un peu triché vu que Richard et Rita avaient déjà une activité.Suite au prochain numéros
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