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Quand on tire le diable par la queue

Chapitre 6

Orgie / Partouze
Personnages :Jean, chef de production chez Watch & CoRita, la mère de JeanRichard, pasteurMartine, épouse de Richard, enceinte en fin de 8ème moisGeorgie, patron de Watch & CoJasmine, épouse de Gorgie, enceinte en fin de 5ème moisMaryse, nièce de GorgieEric, trappeur canadien, père de Martine et amant de RitaSasaya, sang-mêlé canadienne, ancienne compagne de Eric qui devient fiancée de JeanBrigitte, une « vieille » fille un peu grenouille de bénitier.

La construction des annexes de la maison de Rita est bien avancée, les murs et planchers sont faitsreste le toi et l’aménagement intérieur,C’est évident qu’elle sera plus confortable que la partie de départ, l’isolation des murs a été trèssoignée, les vitres bénéficient d’une nouvelle technologie, elles sont double vitrage (à l’époque, cen’était pas courant et il se posait plutôt des fenêtres doubles dont on démontait la partie double enété)Eric partageait le rez avec Rita et Jean et Sasaya la soupente. Si la journée n’avait pas été tropfatigante, dans la soirée, on entendait la maison retentir de Han ! De bûcherons tentant d’enfilerleur cognée dans des cons accueillants. Mais au bout d’une quinzaine de ce traitement, Sasaya confieà Jean qu’elle aimerait bien retrouvé les sensations de l’amour avec Éric.
– Vois avec Rita, moi j’aimerai bien aussi niquer à nouveau avec maman. Le petit coté interdit me manque un peu.
– Éric, viens ici beugle Sasaya, Jean veut niquer avec sa mère.– Rita, tu as envie ? Demande Éric.– Oui, le petit coté pervers de l’inceste me manque aussi, c’est le sel du sexe et surtout, j’aimesentir sa langue sur mon pistil et sa queue dans ma turbine à caca. Avec toi, le léchage du pistiln’est pas trop, quand à l’enculage, il faut oublier avec ton démonte pneu de train routier. Vous êtes vraiment très complémentaires les deux, c’est vraiment un bonheur de vous avoir sous la main.– Bon alors, je monte à l’étage pour bien ramoner Sasaya et Jean vient te rejoindre pour quevous puissiez faire vos galipettes.
C’est ainsi que la vie s’organise, une fois par semaine, les anciens partenaires se retrouvent pourattiser les sens. Sasaya est bien enceinte, le sperme riche de Jean a fait son oeuvre.Dans les derniers jours de l’automne, on couvre la maison et les premiers meubles arrivent, lechantier se tire à sa fin et les jeunes sont mis dans la nouvelle partie, l’ancienne n’étant plus utiliséeque comme dortoir pour les aînés. A nouveau, une fête est organisée où même Maryse à pu se libérerpour y participer. Maintenant, elle fait très attention, elle prend la pilule, chose toute nouvelle arrivée sur le marché, la femme est libérée, elle peut baisé à couille rabattue sans risque de se faire mettre en cloque. D’entrée de jeu, elle annonce la couleur à Rita :
– Chérie, J’ai trop rêvé de l’été passé et des plaisirs que j’ai eus avec Jean et Éric, tu me les prêteras bien une fois pour la nuit, j’ai vraiment besoin de me faire siphonner la grotte.– Pour Éric, tu peux bien partager notre couche, du reste je le prête parfois à Sasaya quand elleest nostalgique. Rien de tel qu’un bon coup de gros gourdin dans la cheminée pour se remettreles idées en place. Mais pour Jean, il te faut voir avec Jean et Sasaya, ils sont en couplemaintenant, mais je pense qu’ils seront probablement très intéressés de refaire le coup dutriangle des Bermudes.
C’est ainsi que le soir même, Rita et Éric accueillent dans leur lit Maryse très impatiente de se faireramoner la cheminée, c’était moins une avant l’incendie et Éric fait la remarque :
– C’est vraiment super de niquer avec une fille qui n’a plus connu de vrais bites depuis un moment, l’étui est vraiment parfait. J’ai presque l’impression de m’offrir ta virginité tellement c’est serré.– Je ne te dis pas comment je la sens passer, là, je te sens super bien en moi, je sens que je vaisvenir. Hum, tu peux rester, maintenant, je prends la pilule anticonceptionnelle, donc tu nerisques pas de mettre en cloque et j’aime sentir les jets qui me tapissent les ovaires. Viens etarrose ma matrice de ton bon jus de couilles.– Tiens, Han ! Dit Éric en plantant le plus profond possible son énorme pieu dans cette joliepetite craquette qui souffre un peu de se faire dévaster de la sorte.– Laisse moi récupérer un peu de cette crème de mon chéri lui demande Rita, une fois que Éric,les couilles essorées, bascule de coté
Rita avance sa langue vers le con de Maryse qui relâche les surplus surabondants de l’armée de spermatozoïdes en déroute devant le refus des ovaires de se laisser envahir. La guerre du guignol dans le tiroir n’aura pas lieu.Pendant ce temps là, à l’étage, on entend Sasaya qui crie son bonheur sous la langue de Jean qui luiripoline la crapette et se régale des fruits sauvages, jusqu’à en avoir l’indigestion. Finalement lalangue repue, il dirige sa fusée à tête chercheuse vers le compas de son nouvel amour et la besognesoigneusement.
– Je vois que Jean est toujours aussi adroit à déguster l’escalope à moustaches, je n’ai connuqu’un homme qui rivalisait avec lui, c’est Richard, là, chapeau, il est tenace dans sesentreprises et ne te lâche que quand tu as grimpé deux fois aux rideaux sous sa languediabolique, On voit qu’à coté du séminaire, il a fait aussi les langues anciennes et nouvelles àl’université.– Au fait, je ne t’ai pas dit que Martine a fait un beau garçon et les deux sont vraiment très prispar ce petit bout de choux. Dès qu’il sort de la construction, Éric passe son temps à pouponnerson petit fils et Jean lui emboîte le pas.– Et Jasmine, comment se passe sa grossesse ?– Cela commence à devenir pénible, mais je pense que tous se passe bien, souvent Sasaya est verselle pour lui aider et prendre des conseils, quoique je ne me fais pas de soucis pour elle, lesindiennes sont vraiment faites pour porter des enfants de par leurs cultures.
Martine est bien remise de ses couches, elle réclame un deuxième bébé avant qu’il ne soit trop tard,mais avant elle veut aussi goûter au démonte pneu de son père qui n’est pas trop partant, il est restésimple dans ses désirs, mais elle insiste en disant que toutes ses copines on put tester l’engin etqu’elle est très frustrée ; comme compromis, elle annonce qu’elle lui mettra un chapeau encaoutchouc à cette occasion pour ne pas risquer de faire un bébé à tares. Finalement il accepteexceptionnellement, un peu poussé par Rita pour ne plus être une exception dans le giron de soncercle d’amis.Tout d’un coup, il y a un coup de tonner dans le ciel pourtant bien paisible du village, les gens d’armesont venus arrêter le couple Jean et Rita sous prétexte d’incestes répétés. Rita demande lesecours de Richard et celui-ci rapidement fait le tour du problème et fait venir Jean et lui dit cequ’il faut qu’il déclare :
– Tu prétends que celle qui t’accuse est fâchée avec toi car tu as refusé de lui accorder tesfaveurs et tu lui demandes où sont les preuves de ses affirmations. A ce taux, tu pourrais aussidire que tu l’as vu se faire prendre par le bélier de la ferme des Avancets. C’est pas vrai, jen’ai pas de preuve, mais au niveau des fantasmes, tout est possible et en plus tu contre-attaquesles gens d’armes en leurs disant qu’on arrête pas les citoyens sans preuve de leurculpabilité sur la base de simples ragots d’une vieille fille frustrée. Je te garantis qu’ils vont te faire des excuses les plus plates, à ce propos, je vois déjà le thème de mon prochain sermon sur la médisance, la calomnie et ses effets pervers.En effet, le dimanche en chair, le pasteur commence son sermon, pas sur la montagne, mais sur lacalomnie dont a été victime son bedeau qui est si dévoué à la communauté et que c’est une honte dese conduire de cette manière. Il déclame très haut :
– il est écrit : « Malheur à celui par qui le scandale arrive », je n’aimerai pas être à la place decelle qui a jeté de fausses accusations quand elle devra présenter des comptes devant Dieu. Ilest aussi écrit : « Si tu ne veux pas être jugé, ne juges pas ». Je lui proposerai d’aller faire desexcuses et pénitence vers notre soeur Rita et son fils Jean, ici présent pour le mal qu’elle leurs a causé.Le sermon se termine et les participants se retirent à part une qui est très rouge et les yeuxinondés.
– Pasteur, j’ai fait une énorme faute envers Jean et j’ai pensé qu’il était juste d’en faire part àla police quand on a des soupçons. C’est vrai que je ne suis pas sûre à 100% qu’ilss’embrassaient comme des amoureux, mais cela ressemblait terriblement.– Tu te représentes le poids de tes accusations non fondées, il y a deux ménages en construction,Rita et Éric mon beau père, Jean et l’ancienne compagne d’Éric qui sont mieux accordés avecl’âge. Tout rentrait dans l’ordre et tu as risqué par ton geste peu réfléchi de tout casser.Regarde comme Jean et Éric sont dévoués pour mon fils qui vient de naître, Je ne sais que teconseiller pour faire pénitence, mais sois au minimum plus positive, tu verras ta vie serameilleure. D’autres parts à l’avenir, évite d’aller espionner les gens quand ils sont chez eux,c’est pas très beau, c’est aussi un pêcher d’être voyeur. Il n’y a que l’Éternel, béni soit sonsaint nom, qui a le droit de immiscer dans la vie privée pour voir si les fidèles ne sont pas tropdans le péché.
Finalement, ils tombent d’accord que pour se faire pardonner, elle ira chez eux passer plusieursjours pour les aider à finir de s’installer.Il y a encore la tuyauterie à mettre pour relier le chauffe eau à bois et la nouvelle salle de bain, cequi causera bien des salissures qu’il faudra nettoyer. A ce propos, elle sera précieuse. Sans parler dunettoyage général quand on fait les travaux et aider Sasaya a préparer son trousseau de mariée, caren Europe, c’est pas la même chose qu’au Canada et surtout dans les tribus indiennes.Les bans sont publiés tant pour Rita et Éric que Sasaya et Jean, il faut encore que des piècesd’origine arrivent du Canada pour officialiser le mariage et là, ce n’est pas si simple, vu qu’il n’y apas d’état civil chez les indiens et rien d’écrit, mais finalement la solution vient de l’ambassade quilui délivre les documents nécessaires avec l’aide de Richard qui est toujours mis à contributionquand il y a un sujet un peu délicat à traiter.Une fois tout installé, lors des derniers nettoyages, Brigitte qui les avaient dénoncés, mais quis’était quelque peu repentie, après un après midi harassant se voit proposer d’essayer la nouvellebaignoire qui remplace le tube qui était l’unique moyen de se laver de la famille. Comme elle estpleine de transpiration, elle accepte volontiers et Rita lui propose de l’aider en lui lavant le dos.Brigitte, encore toute morfondue, n’ose refuser et les deux femmes se retrouvent dans la salle debain. Ritta se trouve en culottes et soutien-gorges pendant que Brigitte entre nue dans la baignoire.
Finalement, elle est appétissante cette petite caille se dit Rita et elle commence à lui laver le dos, enmassant en même temps les épaules la colonne vertébrale et finalement arrive aux fesses.
– Écarte un peu les jambes que je puisse aussi te laver l’entre jambe. Demande Rita.
Toujours très gênée et n’osant protester, Brigitte écarte les cuisses et armée de son savon etlavette, Rita fait force de lui nettoyer la minette et elle s’attarde un peu sur la pastille culière deBrigitte qui réagit au 1/4 de tour.
– Es-tu si sensible que cela du cul ? Demande Rita.– Oui, à ma plus grand honte.– On va le laisser tranquille, mais je vais demander à Éric de te compléter le massage, j’ai pasdes mains aussi bonnes que les siennes pour masser, tu vas voir, à la sortie, tu serastransformée. Cela lui fera aussi une bonne pratique.– Je veux bien essayer, mais je suis un peu gênée.– - Il n’y a pas de quoi, mets toi nue sur le lit, sur le ventre. Je vais l’appeler et amener de l’huilede massage.– Il va me voir nue.– Tu veux garder ta culotte ?– Oui, ce serait préférable.– Fais comme tu veux, mais le raffermissement des fesses ne sera pas aussi bon et je pense quetu en aurais besoin. Quoi-qu’à ce niveau, je me demande si pour le raffermissement des fesses,je ne devrais pas dire à Jean de venir le faire, il est encore plus doué qu’Éric. Donc mets taculotte pour le dos et pour le ventre, tu mettras ton soutien-gorge pour ménager ta pudeur.– Eric, tu peux venir, j’ai quelqu’un pour que tu puisses faire tes entraînements de massage.– Oui, j’arrive, je descends du toit où je faisais quelques ajustements, je me change, passe sousla douche.– Alors, je garde l’eau du bain de Brigitte, parce que le chauffe eau est pratiquement vide, letemps qu’il se réchauffe...– C’est ok.– Voila, viens dans la chambre d’à coté, dit-elle à Brigitte, en lui refilant un grand linge de bainqui couvre un minimum pour pas qu’elle se sente gênée.– Installe-toi
Eric se plonge avec délice dans cette eau bien chaude pour se décrasser. Il a vraiment transpiré cematin et c’est fou ce que cela fait du bien. Il sort de l’eau et met une cuissette blanche de masseur,mais laisse son torse nu, parsemé d’une toison poivre et sel.
– Voila Brigitte qui a besoin d’être un peu remise sur pieds, elle a bien travaillé ce matin et elleest un peu fourbue. J’ai déjà un peu massé, mais j’ai pas ta puissance pour bien dénouer lesmuscles. Voila l’huile de massage. À propos, elle est très sensible au niveau de l’anus, je pense qu’à ce niveau Jean est plus doué pour traité les fesses et les raffermir, toi tu risques de tout casser.– C’est vrai, quand j’aurai fini, et avant manger, demande à Jean de finir le traitement.– J’espère que j’aurai rien à payer, dit Brigitte apeurée.– Non, juste un peu de ta personne.
C’est ainsi que Eric se place à coté de Brigitte et commence à lui masser vigoureusement le dos encommençant par les cervicales, Brigitte qui a la tête dans l’oreiller sent vraiment un bien êtrel’envahir. Une détente s’installe dans son corps et surprise elle lève la tête et voit Éric penché, trèsconcentré sur son dos qui ne se rend pas compte que sa cuissette, elle est faite pour les petitesbites et que la sienne est en train de dépasser le bord du vêtement sans pour autant êtrespécialement excité. Brigitte, surprise agréablement par la vision de ce faune, elle qui n’a jamaisconnu le mâle apprécie de voir comment est fait l’homme et rouge comme une tomate adopte latactique de l’autruche en replongeant la tête dans l’oreiller. Éric continue son massage du dos et il letermine à raz la culotte quand il lui propose de continuer en massant le ventre pour le muscler unpeu. Elle se retourne et la tête dans les nuages, elle oublie de mettre son soutien-gorge. Piquant undeuxième phare, plus rouge que le précédent, elle essaye de croiser ses mains sur ses seins.
– Laisse les libres, maintenant que je les ai vu, cela ne fait pas de différence et à l’occasion, jevais aussi te raffermir la poitrine, elle commence à en avoir besoin si tu ne veux pas avoir desoreilles de chiens de chasse plus tard.
Il commence à lui masser de ses grandes mains musclées les muscles du ventre, il les triture sansdouceur, mais avec fermeté.
– Tu verras, demain, tu auras un peu mal à ces muscles, parce que là, je les fais vraimenttravailler. Un peu comme quand tu fais une course sans entraînement.– C’est vrai que déjà maintenant, je sens que mes muscles font un peu mal.– Bon attends un peu, lève un peu tes jambes et on va faire un exercice pour les détendre.
Il lui empoigne les deux jambes et les pousse vers les seins, mettant bien en évidence la culottepetit bateau d’un blanc pas trop persil. Il se met à genoux et lui dit :
– Là, mets tes talons sur mes épaules et je vais aussi te masser dans cette position l’arrière descuisses pour un peu diminuer la cellulite que je vois poindre.– Oui, tout ce que tu me fais est vraiment bon, on sent que tu es doué pour cela.– Et pas seulement pour le massage. Tu as vu la maison, c’est avec Jean qu’on l’a construite. Elleme plaît vraiment.– Rita a de la chance de t’avoir, on sent que tu es un vrai homme.– Tu ne crois pas si bien dire. Rita ! On en est où avec le souper ?– Encore une heure dit-elle de la cuisine, pourquoi ?– C’est pour voir si j’ai le temps de montrer tous mes talents à Brigitte.– Toi mon cochon, tu n’en rates pas une, lui répond-elle pour avertir Brigitte que la suite risqued’être chaude. Mais tu ne penses pas que Jean serait mieux pour la suite du programme.– Mon Dieu, c’est quoi cet énorme saucisson qui dépasse votre cuissette.– Excuse-moi, c’est un hommage à ta beauté.– Mais je ne suis pas belle, je suis horrible.– Si tu as une très grande beauté intérieure.– Tu crois ?– Oui, mais maintenant, je vais un peu te masser les seins pour éviter qu’il y ait trop de vergetures.
Sans attendre une quelconque approbation, Éric se saisit des deux seins, les pétrissantconsciencieusement, sa queue commence à se tendre de plus en plus et il constate que la culotte quin’était déjà pas très blanche s’orne de plus en plus de taches d’humidité.
– Jean, Viens m’aider, il faut continuer le traitement de Brigitte, Prends aussi un bain, j’ai pasvidé la baignoire, l’eau doit encore être tiède.– J’arrive, que faut-il faire ?– Je pense qu’il faut lui ouvrir la voie, à priori, elle n’a pas été explorée ; prends aussi des doigtsen caoutchouc, tu as déjà assez de rejetons dans le monde, prends en aussi pour moi que jefinisse le travail après toi.– Oui, Oh ! Je vois que c’est bien avancé. Dit-il en se mettant à genoux près de la tête deBrigitte qui peut voir que lui aussi a un drôle de saucisson dans sa cuissette.
La pauvre Brigitte, avec les massages pratiqués par Éric est très excitée, surtout que Jean vient deremplacer Éric au massage des seins et se concentre sur les mamelons. Son corps réclame le mâle. Son ventre est de plus en plus affamé de ces beaux saucissons qui lui sont présentés.
– Tu me permets de les sucer ? C’est pour stimuler la circulation sanguine dans l’ensemble.– Oui, je veux bien, après le massage d’Éric, je me sens toute chaude dans tout le corps, c’esttrès agréable.
Jean roule sa langue autour des mamelons, il aspire et suce avec force et Éric toujours à genouxentre les jambes de Brigitte continue à lui masser l’intérieur des cuisses, provoquant desmouvements incontrôlés du bassin et contribuant de plus en plus à mouiller sa culotte, sur laquellevient butter le braquemart d’Éric.Délicatement, il pose son gros bout sur la culotte, au droit de la fente, ce qui provoque un feulementde la part de Brigitte qui ne sait plus trop bien où elle en est, doit-elle accepter qu’il poursuive sacaresse qui est si bonne ou déclarer que cela ne se fait pas et que c’est sale. Elle n’en a pasl’occasion, Éric abandonne la caresse sur sa crapette et prend sa culotte des deux cotés et la tirevers ses genoux.– Comme cela, cela ira mieux pour continuer. Déclare-t-il d’un ton qui n’admet pas lacontestation. Je vois que tu apprécies bien nos soins, ton con est vraiment trempé. Mais n’aiepas peur, c’est pas moi qui te prendrais ton pucelage.– C’est vrai, je suis encore vierge et j’ai horriblement peur des conséquences.– Ne crains rien, Jean, qui est très doux et attentionné, va t’ouvrir la voie avec amour et moi jevais venir après pour rendre l’accès confortable et terminer l’ouverture. Je ne peux pas veniren premier, car avec mon gourdin, je te ferai trop mal, mais Jean va bien te préparer, du reste,je vais lui laisser ma place, continue à garder tes jambes en haut.
C’est ainsi que les deux compères changent de place et Éric se débarrassant de sa cuissette, exhibeson membre imposant.
– Tu peux toucher si tu veux, il a déjeuné ce matin, il ne va pas te manger.
Dans un même temps, Jean regarde un très joli spectacle, Brigitte est une vraie blonde et les lèvresde son sexe, peut-être dû au bon soin d’Éric ont l’air bien gonflées de sang et luisent de cyprine, il nepeut se retenir et plonge la tête entre les jambe, la langue en avant et commence à lécher à langueque veux-tu et le trou et le minuscule clito qui commence à poindre. Il l’aspire, créant le premierorgasme de Brigitte survenu pendant sa vie. Elle sent que son existence est en train de tourner. Cequ’elle avait refusé obstinément lui semble de plus en plus idiot, elle est prête pour le sacrificeultime, elle se cramponne à la tige qui est tout près de sa tête, à bout de résistance, elle réclame àJean :
– Viens prends moi, je t’offre ma virginité. Je n’en peux plus, casse ma tire-lire !
Délicatement, Jean présente sa queue à l’entrée du con de Brigitte qui est de plus en plus saisi depulsions désordonnées, il pousse un peu et sent une résistance et avant qu’il se décide de continuer,c’est Brigitte d’un coup de rein s’est fait sauter son label de garantie. Elle reste effarée, empaléepar ce sexe bien vivant qui commence ses va et vient dans son sexe.Même si une légère douleur subsiste, elle se sent partir d’un autre orgasme, d’autant plus que Ériccontinue la manutention de ses nichons. Jean pioche en continu jusqu’à ce qu’il éjacule violemmentdans la pèlerine qui la protège contre l’envahisseur spermatozoïque.
– Oh mon Dieu, pourquoi ai-je attendu si longtemps avant de vivre une parcelle du paradis ? J’enveux encore.– Tu te sens prête à affronter mon monstre ? Lui demande Éric.– Oui, oui, je la veux,
Sans transition, Éric présente son tronc de séquoia à l’entrée du tabernacle, doucement il pousse,écartant d’autant plus les chairs déjà distendues du con de Brigitte, il va lentement et s’enfonceprogressivement.
– Alors, comment tu la sens, tu supportes.– C’est gros quand même, mais continue, je m’adapte à ton monstre.– Je peux y aller plus fort ?– Oui, mais ce serait bien si Jean continuait à me brouter les nichons, ce serait encore meilleur.
À ce moment là, Rita curieuse, apparaît sur le pas de porte et regarde la scène, son regard croisecelui de Brigitte.
– Alors comment te plaît le forage qu’effectue mon homme ?– Je suis confuse de ma méchanceté, mais j’ai pêché par ignorance. Tu es super d’être si gentillede le prêter.– Mais moi aussi je suis très excitée de vous voir les trois forniquer. J’aimerai bien que tu mefasses comme Jean l’a fait avant de se planter dans ta tirelire.– Viens, mais j’ai pas d’expérience, ce sera nouveau pour moi.
Sans se démonter, Rita, enlève sa culotte et présente sa motte, qui a été retouchée récemment parl’officier du service divin, attribué à la tâche de garde forestier du groupe en enjambant sa tête eten mettant sa tire-lire juste en face des lèvres de Brigitte.– Voila, maintenant, il ne te reste plus qu’à lécher comme le faisait Jean.– Comme cela dit-elle en plantant sa langue dans la chatte de Rita.– Oui, tu le fais très bien, n’oublie pas également le petit bouton qui est en haut, tu as vu quequand on le suce comme un bonbon, c’est vraiment bon.– Tu es vraiment occupée presque de partout, le prochain coup, on complétera, on te fera latotale.– Pourquoi pas maintenant, j’ai envie de tout essayer.– Il faut laisser un peu pour la prochaine fois.– Ah ! Intéressant, il y aura une prochaine fois ?– Oui, pourquoi pas, tu n’as pas encore goûter les fruits sauvages et encore d’autres spécialités.– Éric, tu pourrais un peu accélérer la cadence, je commence à avoir la dalle et si on veut qu’ellegarde un bon souvenir, un petit orgasme de derrière les fagots serait le bien venu, autrement,tu devras attendre ce soir pour dégorger ton poireau.– Ça vient, change pas de main. Je sens la semoule qui me remonte le long du tuyau pour allerinonder les terres submersibles de Brigitte.– Oui, pioche encore un bon coup et envoie la purée de pois, j’ai la tension qui est en train demonter, je vais bientôt dépasser le 9 sur l’échelle de Richter.
Du reste, Jean est obligé à s’agripper aux poignées pour rester en place. – Rita, une fois ripolinée, a déserté ma langue pour aller à la cuisine, mais je suis très satisfaite de vos nombreuses prestations. Je sens que je vais devenir encore plus demandeuse.– Allons les mecs, faites un peu grimper notre invitée aux rideaux, plongez la dans l’océan dustupre et la fornication, mais grouillez vous un peu, le souper va refroidir et le micro-onde n’apas encore été inventé.– On vient, juste encore quelques coups de balancier et j’envoie la purée prophétise Éric.
Les voila réunis autour d’un échantillon de bols de bonne soupe fumante.
– ça creuse ces exercices prédit Éric, surtout quand il faut défricher les terre vierges. Brigitte,maintenant on peut prétendre que tu deviens un bon coup.– Avec de tels professeurs, je n’ai pas beaucoup de mérite. Je vais faire de la réclame pour tesmassages envers mes amies. J’espère que vous êtes d’accord.– Tout à fait, on a besoin d’améliorer nos techniques de massage et agrandir notre clientèle. Aufait, si tu as des amies qui peinent à avoir des enfants et en désireraient, on va monter uncentre d’insémination naturelle. (suffit de faire ce qu’on a fait, mais sans se couvrir. )– Je pense que je connais deux clientes potentielles, mais vous êtes sûrs de vous.– Oui, mais il faut qu’elles soient mariées, car on n’envisage pas de donner suite à des demandesde frais d’éducation des implants et que le mari soit consentant.– Cela va de soi, à celles que je pense, ce sont effectivement des femmes mariées, pour ce quiest des maris, je n’en sais rien, mais je vais leurs en parler.– De toutes façons, de faire un massage ne leurs ferait pas de mal, au pire à vous d’en profiterpar la suite.– On est intransigeant sur le port de la capote, pas de prise de risque sans autorisation.
Une fois Brigitte partie, les 4 se retrouvent, Rita pose quand même une réflexion :
– vous êtes quand même gonflé de proposer ce service sans nous demander à Sasaya et à moi.– Mais évidement vous êtes d’accord car vous savez bien que vous on vous aime, on ne vous baisepas, mais on vous fait l’amour. Soyez réalistes, il n’y a pas de différences entre un massagepayant ou une insémination payante, enfin si le résultat, le massage se sent tout de suite alorsque le résultat de l’insémination n’est pas forcément garantie. Dans ce cas là, il faut quelquesfois recommencer l’injection. Mais ni Jean, ni moi n’allons nous plaindre et je pense que tu n’aspas eu en horreur de te faire ripoliner par Brigitte, c’était une bonne revanche après ladénonciation qu’elle a eu pour toi. Je suis sûr que tu as bien apprécié le chemin qu’on a réussi àlui faire faire, surtout le prochain coup, quand Jean va lui casser sa turbine à caca et que tu vaslui déguster l’escalope à moustaches.– Tu as raison, comme on est parti, il ne faut pas regarder en arrière, mais vivre l’instantprésent et ne pas trop se soucier du futur.
– Au fait, il faudra bientôt officialiser notre salon de massage et les tarifs. Rita, est-ce que tuserais d’accord de participer, surtout si il y a des hommes intéressés ? Je proposerai deprévoir:
* massage dorsale CHF 100.-* massage complet CHF 200.-* Massage complet, yc services complémentaires. Dès CHF 300.-* Inséminations naturelles, tarifs et conditions sur demande.* rabais pour troisième âge et étudiants.* tous ces services comprennent un bain préalable.
– Tu ne penses pas que ce soit trop cher.– Qu’est-ce que tu proposerais ?– La moitié me semblerait plus correcte.– Je pense qu’il vaut mieux commencer haut et baisser plutôt que le contraire. Je vais préparerle panneau et proposer pour le début, qu’à l’ouverture il y a rabais de 50%– Pour ce qui est de participer, cela dépend du succès, de baiser avec un inconnu propre etsympa, je n’y suis pas opposée, mais j’ai pas envie de me coltiner tous les cons de la création.– On pourrait augmenter les prestations, mais il faudrait faire venir une esthéticienne de lacapitale pour un certain temps, le temps qu’on apprenne. Je pourrais en parler à Richard pourvoir ce qu’il en pense.
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