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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 1

Premiers pas

Inceste
En ce début du mois de juillet, le soleil tapait fort dès les premières heures à Montpellier. C’était dans cette atmosphère estivale que Manon et sa famille préparaient leur vacances. 
Autour de leur table, les discussions s’animaient quant à leur destination. Roger et Solange, les parents, souhaitaient se rendre en Suisse afin d’y faire de la randonnée tandis que Florent, le frère jumeau de Manon, davantage séduit par les plages et les boîtes de nuit, désirait passer ses vacances en Espagne. 
Au milieu de ces débats, Manon n’émettait aucun avis et se contentait de manger son repas et de quitter la table pour s’enfermer dans sa chambre. 
Un soir, alors que le dialogue de sourds se poursuivait entre Florent et ses parents, Manon alla comme à son habitude s’enfermer dans sa chambre à la fin du repas, ce qui finit par inquiéter Solange. 
— Cela fait plusieurs jours que Manon agit comme ça. D’habitude, elle participe toujours aux discussions de famille. Surtout quand il s’agit des vacances. Il y a sûrement quelque chose qui la chiffonne. 
Roger, plus relax, tenta de rassurer son épouse. 
— Pas besoin de t’inquiéter, ma chérie. Elle a peut-être tout simplement marre de nous entendre nous écharper au sujet de ces vacances et elle attend sûrement qu’on se décide. — Tu as peut-être raison mais ce n’est pas son genre de ne pas donner son avis sur quelque chose comme ça. Je suis sûre qu’il y a quelque chose qui la tourmente. 
Tiraillé entre les positions divergentes de ses parents quant à l’attitude de sa soeur, Florent voulut en avoir le coeur net. 
— Si vous voulez, je peux aller lui parler pour savoir ce qu’il se passe. Elle se confiera peut-être plus facilement à moi. 
Roger et Solange acceptèrent cette proposition et Florent alla rejoindre sa soeur dans sa chambre. Il frappa à la porte et attendit que Manon lui réponde d’entrer. 
En pénétrant dans la pièce, le jeune homme trouva sa jumelle étendue sur son lit, les yeux sans expression fixant le plafond. Florent s’assit à côté de Manon sur le lit et engagea la conversation. 
— Tu m’as l’air ailleurs, soeurette. Ça va ?— Oui, ça va. Ne t’en fais pas. 

Le jeune homme ne fut guère convaincu par cette réponse qu’il jugea quelque peu bancale. 
— Je suis ton jumeau. Je sais quand il y a quelque chose qui ne va pas. Ce n’est pas au sujet de nos vacances ?— Non. — Tu en es sûre ? Maman s’inquiète énormément du fait que tu n’aies encore rien dit sur ce que tu voulais faire pour les vacances. — Pour tout te dire, entre la randonnée et la plage, ça m’est complètement égal. 
Cette fois, Florent fut surpris de la réponse de sa soeur car il ne l’avait jamais connue aussi peu décidée. Il réfléchit quelques instants, cherchant à comprendre d’où pouvait venir ce brusque changement chez Manon, puis il se risqua à lui poser une question plus intime. 
— C’est à propos d’un gars, c’est ça ?
Manon essaya d’abord de nier cette hypothèse mais ne parvint pas à convaincre son frère. Elle lui expliqua donc la situation qu’elle vivait. 
— Il s’appelle Johann. Je l’ai rencontré à une fête de classe. J’ai discuté un peu avec lui et il m’a l’air d’être un type bien même si...— Même si quoi ?— Même s’il met beaucoup de filles dans son lit. — Qu’est-ce qui te fait dire que ce n’est pas juste un mec qui se vante d’un truc qu’il n’a pas fait ?— Je l’ai vu montrer des photos de lui au lit en train de baiser des filles à ses potes. — Et tu veux agrandir la collection de ce prétentieux ? — Ce n’est pas un prétentieux ! Il a juste une vie sexuelle très riche. Il n’a pas encore de copine à proprement parler. — Et tu espères pouvoir devenir sa copine ? Je suis désolé de devoir te dire ça mais ce genre de mec, ça ne se met jamais avec une seule fille. Il en voudra toujours d’autres. — Pas si je deviens meilleure que les autres.— C’est-à-dire ?— Ben... Si je baise super bien avec lui, il y aura des chances pour qu’il ne puisse plus se passer de moi. — Je ne pense pas que ce soit un bon plan. — Pour l’instant. Mais dès que j’aurai acquis suffisamment d’expérience, je serai la copine idéale pour lui. — D’accord... Et comment tu comptes acquérir cette expérience ?
Manon bafouilla durant quelques instants, suscitant l’incompréhension de Florent, puis parvint à reprendre la discussion. 
— Eh bien, je comptais sur ton aide. — Mon aide ? Comment ça ?— Ben... Que tu me prennes.— Tu es folle ou quoi ?! On est frère et soeur. Et jumeaux en plus. On ne peut pas faire ça ! Ce serait... Il n’y a pas de mot. — S’il te plaît, Florent, tu es le seul qui puisse m’aider. — Mais non, Manon. Tu es une très belle fille. Je suis sûr qu’il y a plein de mecs bien qui rêveraient de sortir avec toi. — Tu crois que je n’ai pas déjà essayé de trouver quelqu’un d’autre ? J’ai tout mis en oeuvre pour trouver mais rien à faire. Les mecs que je connais veulent des filles qui savent sucer et tout le tralala et sur les sites de rencontres, il y a soit des puceaux, soit des hommes matures, soit des idiots. Tu es mon dernier espoir, Florent. 
Florent ne sut que répondre aux révélations de sa jumelle. D’une part, l’idée de passer la barrière de l’interdit avec elle le répugnait mais d’autre part, au vu de son désespoir, il se sentait le devoir de l’aider. Le jeune homme décida donc d’avancer à petits pas. 
— Bon, d’accord. Si c’est ce que tu veux, je veux bien être ton initiateur mais il faut que tu saches que ça me met un peu mal à l’aise de faire ça avec toi. — Moi aussi, ça me met mal à l’aise, mais je veux être celle qu’il faut à Johann. — Dans ce cas, j’espère qu’il mérite une fille comme toi. Bon, je te propose de commencer doucement. Pour nous habituer peu à peu à notre relation, je vais d’abord te montrer les préliminaires des relations que j’ai eues avec mes conquêtes. 
Manon hocha la tête et les deux jeunes gens se dévêtirent lentement, gênés de se dévoiler ainsi l’un à l’autre. Malgré la honte que lui inspirait la situation, Florent ne put s’empêcher d’admirer le corps de sa jumelle. Ses longs cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules se mariaient à merveille avec ses yeux noisette dont il évita de croiser le regard afin de ne pas trahir son trouble. Son regard s’attarda ensuite naturellement sur sa poitrine qu’il jugea juste de la grosseur nécessaire à une branlette espagnole et sur ses hanches particulièrement bien dessinées. La gêne ayant repris le dessus, il ne regarda l’entrejambe de Manon que durant une poignée de secondes pour se rendre qu’il était rasé. 
De son côté, Manon était troublée elle aussi par le corps de son frère dont le sexe dur pointait vers elle. Les deux jumeaux s’adressèrent un sourire gêné puis Florent reprit les choses en main. 
— Pour commencer, allonge-toi sur le lit et écarte les cuisses le plus possible. 
Manon obtempéra et Florent plaça son visage entre ses cuisses pour lui lécher le sexe avec douceur et lenteur. La jeune femme ferma les yeux pour mieux apprécier ce premier cunnilingus prodigué par son frère. 
Au bout d’un certain temps que Manon jugea trop vite écoulé, Florent s’allongea à côté d’elle sur le lit et lui fit signe de le masturber avec douceur. La jeune femme obéit et se saisit du sexe de son frère pour le caresser. 
Entendant son jumeau gémir, Manon en déduisit qu’il appréciait ce qu’elle faisait et elle décida de prendre une initiative. Penchant lentement son visage vers le pubis de Florent, elle ouvrit doucement sa bouche et y fit entrer sa verge. 
La jeune femme fit d’abord lentement coulisser ses lèvres sur la queue de son frère puis accéléra son mouvement pour ensuite le ralentir à nouveau. 
Au terme de plusieurs minutes d’efforts buccaux, Manon sentit le sexe de Florent palpiter entre ses lèvres et l’entendit pousser des râles. Comprenant ce qui allait suivre, elle recracha la verge de son frère et le masturba légèrement jusqu’à ce qu’il éjacule sur ses seins. 
Frère et soeur reprirent ensuite leurs esprits, allongés l’un à côté de l’autre sur le lit, puis se rhabillèrent. Alors que Florent allait quitter la chambre, Manon l’arrêta durant quelques instants. 
— S’il te plaît, ne dis rien aux parents de ce que je t’ai dit et de ce qu’on a fait. — Ne t’en fais pas, je leur dirai juste que tu t’es disputée avec l’une de tes copines. 
Les deux jeunes gens se sourirent à nouveau d’un air gêné, attendant chacun que l’autre dise quelque chose. Florent fut le premier à briser la glace. 
— On va remettre ça encore une fois. — Merci, frangin. 
Florent quitta la chambre de sa soeur pour faire un bref rapport à ses parents puis regagna la sienne en se demandant s’il avait bien fait de se lancer dans une telle aventure. 
[ à suivre ]
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