Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 83 J'aime
  • 2 Commentaires

quelle belle femme

Chapitre 1

Erotique
Ce week end, appelé en urgence en salle d’op pour prendre en charge un accidenté de la route.Encore un imbécile de 19 ans à 100 à l’heure sous la pluie avec une Yamaha 1000 qui a percuté un pilône d’éclairage.La face fracassée à refaire, huit heures de travail intensif, sans compter les dégâts ailleurs.Tout se passe bien, les parents affolés sont dehors dans tous leurs états.Je les rassure de mon mieux concernant les séquelles maxillo-faciales, réservant le pronostic à faire en ce qui concerne les autres dégâts qui ne sont pas de mon ressort.Je suis fatigué, la maman m’embrasse pour me remercier, quelle belle femme de 40 ans en pleine maturité, habillée classe, une jupe droite noire, pull et sous pull en cachemir crême, un maginifique collier de perles emprisonnant un carré Hermes, un sac Delvaux, le brillant cuir naturel et pour couronner le tout, un parfum que j’adore, Diorrissimo.Je suis sous le charme, ils me proposent un rafraichissement à la cafétaria de la clinique, que j’accepte avec plaisir étant déshydraté. Je prends un soda. Attablé, je découvre les mains de la Dame, soignées, un vernis incolore, une bague de rêve, un diamant qui brille de tous ses feux, tout d’elle est luxe, magnifique, rien ne dénotte. Son regard m’électrise, sa voix m’enchante, j’imagine d’elle ce que je ne vois pas. Je suis sous le charme, je n’ai d’yeux que pour elle, je suis dans le rêve.Rendez-vous est pris pour le lendemain 17 heures pour une première évaluation de la situation du fiston.Je fais tout pour être à l’heure, sachant que le mari retenu par son travail ne peut être présent. Pour l’émoustiller, je me présente de mon mieux, tenue de chirurgien verte, elles aiment, terre d’Hermes, elles adorent ! Elle est là, aussi merveilleuse que la veille, tout aussi élégante, vêtue d’un pantalon moulant noir, épousant ses formes comme un gant, un chemisier blanc laissant deviner une lingerie blanche type push up qui ne doit pas être des plus discrètes.Le fiston va bien, quelques difficultés d’élocution, oedématié par le traumatisme et l’intervention, la maman qui le voit pour la première fois est sous le choc, elle essaye de faire bonne figure devant son enfant.Je lui propose d’aller voir les radiographies dans mon bureau où elle m’accompagne effondrée. Je la prends par les épaules, je la rassure, je lui dit que c’est normal dans les 24 heures d’être dans cet état peu esthétique. Je lui promets que dans les jours qui viennent, il va retrouver une physionomie normale, elle est rassurée. Les radiographies sont sur l’écran, je l’ai installée dans mon fauteuil, je lui montre les images, pour voir de près, elle s’appuie sur le bureau, moi derrière elle, elle s’incline de trois quart pour m’écouter, ce mouvement me livre une vision paradisiaque sur sa poitrine, le soutien s’étant à son insu décollé. Quels beaux seins assez petits, aux têtons clairs.Je suis en émoi, j’ai une trique d’enfer, cette femme me plaît , j’en suis déjà fou.Je dois rester calme, bien que l’envie de sauter sur elle est pressante.Elle a pu voir les sept fractures de la mâchoire réduites et les plaques vis placées ici et là.A nouveau, ayant vu les clichés de départ et les clichés post-op, elle est sous le charme, je la sens vulnérable, on a sauvé son tésor, elle ne sait comment me remercier. Un nouveau rendez-vous bilan est prévu pour le jeudi à une heure que je choisis pour que le mari ne puisse venir.La voilà avec un cadeau pour moi, un super stylo Mont Blanc, elle est aux anges, son fils a retrouvé un visage humain, on ne voit aucune cicatrice, elle est subjuguée par mon art, moi par son physique exceptionnel, on parle de tout, de rien, j’aime être en sa compagnie, je fais tout pour prolonger notre tête à tête. Dans huit jours, il sera rentré.Elle est sous le charme, je le sens, elle doit en sa qualité de femme se rendre compte de l’attrait qu’elle suscite en moi, de la réciprocité de la relation qui naît entre nous.Comment allumer la mêche, comment faire évoluer à ce stade la situation ?Tout de go, c’est elle qui me tend la perche en me faisant part de ses souhaits de corriger une toute légère cellulite et son envie de donner plus de vomume à ses seins et pour ce, elle me demande si je connais un confrère, expert en la matière.Ayant une formation de plasticien, je lui propose de faire une expertise de son cas pour évaluer le besoin réel, elle me dit ne pas vouloir me faire perdre mon temps et, et, et ... !Montrez-moi cela lui dis-je, elle se lève, elle est là debout à un mètre, elle ôte son pantalon, son chemisier et le soutien suivent, ce déshabillage est jouissif, elle est est là debout en slip, des seins petits, bien accrochés, de longues jambes à vous couper le souffle, un slip soyeux moulant son derrière de femme de 40 ans, assez échancré cachant la zône délictueuse, il doit aussi être enlevé pour pouvoir avoir un avis ad hoc , la voilà devant moi nue, c’est inespéré, mes mains sur ses cuisses, sur ses fesses, je jauge, j’en profite, elle a la chair de poule, je déplace une jambe, je palpe plus que j’examine, à genoux, à trente centimètres, je perçois son odeur intime de blonde, elle est excitée, elle doit être exhibitionniste, pas un recoin d’elle que je n’ai palpé, caressé. je lui dis ne pas avoir besoin de liposuccion, aucune cellulite n’étant décelée, je lui dis qu’elle a un bassin féminin avec des courbes harmonieuses là où il faut en les caressant à nouveau, je prends ses seins en mains, je les palpe, j’agace ses tètons qui pointent fièrement, c’est sûr, elle en veut. Je me relève, je la prends dans mes bras, je l’embrasse, nos langues font connaissance, elle défait la ficelle de mon pantalon de salle d’op, elle prend ma verge en main au travers de mon boxer, elle évalue mes attributs.Je vais fermer la porte à clé, je reviens, je l’embrasse à nouveau, je la lèche dans le cou, je lui tète les pointes de ses seins, je descends, je flirte avec son nombril, je descends, je suis en contact avec son sexe épilé, de la langue, je fais sortir de sa gaine son clitoris assez proéminent, en érection, je le suce, je bois son jus, j’entre profondément ma langue pour recueillir tout son jus de femme. Elle aime, elle se laisse faire, je l’embrasse à nouveau, je la retourne, je l’installe poitrine sur mon bureau, de dos je la prends en levrette, je m’introduis doucement en elle, je suis au fond d’elle, chaleur, humidité, râles, que du plaisir, je suis bien en elle, je commence à la limer, elle en veut, elle remue du cul pour que je la saille au maximim, je la sens venir, elle contient ses hurlements, je n’en peux plus, j’éjacule en elle. Que j’aime ces femmes mariées de 40 ans en pleine maturité qui me donnent tout d’elle sans complications.
Diffuse en direct !
Regarder son live