Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 104 J'aime
  • 3 Commentaires

Le queutard incestueux

Chapitre 1

Inceste
Chapitre I : Exhibition et voyeurisme incestueux
— Alors Fabienne, où en êtes vous toi et Francis pour votre projet d’emménager ensemble ?— Maman, serais-tu pressée de me voir partir d’ici ? fit Fabienne. T’impatienterais-tu de te retrouver toute seule avec Marcus, ton fils préféré ?Fabienne ne croyait pas si bien dire, car cela faisait bientôt cinq ans que son jeune frère Marcus possédait sexuellement et secrètement leur mère. A l’époque où cette relation débutait, leur père venait de les quitter sans rien dire ni à sa femme, ni à ses enfants, comme un lâche. Marcus n’avait que douze ans, et Fabienne sa sœur quatorze alors. De nature attirée par les femmes mûres, Marcus fantasmait déjà bien avant cela sur la belle croupe de sa génitrice, une jolie brune mûre aux rondeurs bien fermes et bien placées. Rolande la mère de Marcus, aujourd’hui a quarante cinq ans et même si depuis elle a prit un peu d’embonpoint et quelques rides, elle n’en devenait pas moins désirable. On dirait même que son fils l’appréciait davantage de jour en jour, car « les femmes, c’est comme le vin… L’âge les rend bien meilleurs », telle était la devise de Marcus. Et pour cela Fabienne sa sœur ainée de deux ans était encore bien loin du compte, elle qui n’avait que dix-neuf ans encore. Il est vrai qu’elle est sexy à mourir avec sa silhouette fine et gracieuse. Son petit cul rond et ses jolis petits seins sont adorables, mais la « blondinette » n’était qu’une trop jeune femelle à côté de sa mère. Néanmoins, Fabienne est une baiseuse née… Il faut croire que le jeune homme du même âge qui lui sert actuellement de copain, n’est pas très loin d’être le dixième que sa mère lui connait, et ça durait depuis 1 an pour une fois, un vrai record pour Fabienne. Marcus quant à lui, un jeune homme brun de dix sept ans, plutôt mince et de taille moyenne, reste le seul et beau mâle de la maison.Mais revenons à cette petite conversation familiale, après le diner, ce vendredi soir… La mère voulait qu’on trinque pour sa nouvelle promotion au boulot. Aussi avait-elle sorti deux bonnes bouteilles de vin sur la véranda. Ils étaient arrivés alors à bout de la première tout en discutant d’un peu de tout. C’est-à-dire qu’en plus de n’avoir pas vraiment de sujet tabou en temps normal, leurs langues devenaient plus que déliées à ce stade d’un léger début d’ivresse.— On ne répond pas à une question, par une autre. Intervint Marcus. Maman veut savoir quand tu emménages avec ce garçon… François.— Francis. Rétorqua sa sœur. Ce garçon s’appelle Francis. Je vois bien que tu te fiches de savoir avec qui c’est fait, tant que je dégage de la maison ! Et toi tu comptes quitter les jupes de maman un jour ?— LOL. Fit Marcus. Tu viens encore de poser une question.— Ca suffit mes chéris. Coupa Rolande, la mère. Faby tu sais très bien que c’est faux et que tu peux rester encore le temps qu’il te plaira.— Vraiment ? Ca tombe bien maman. Je ne suis plus très sûre de vouloir emménager avec Francis.— Qu… Quoi !? bégaya Rolande avec une pointe de déception dans la voix. Tu ne veux plus partir.— Oui t’as bien compris. J’ai pas l’impression que tu es ravie de l’apprendre…— Juste que j’aime beaucoup ton nouveau copain. Répondit l’autre. Et vous êtes ensemble depuis un an sans histoire… Il est beau, intelligent et ça doit être je parie un beau coup au lit… (elle fit un clin d’œil à sa fille).— Justement maman je t’arrête. Répliqua Fabienne. Ce n’est pas un si bon coup… il refuse de me faire certaines choses. Moi je pensais qu’avec le temps il s’y mettrait mais là je ne suis plus très optimiste. Je sais que tu penses que je trouve toujours un petit truc pour rompre avec mes copains, mais maman c’est vraiment important pour moi…— D’accord, d’accord. Se résigna sa mère. Une fois le gars avait un trop petit pénis, une autre c’est parce qu’il ronflait trop et j’en passe… mais tu sais chérie avec l’amour on surmonte tout…— Maman, excuses-moi, mais qu’as-tu pu surmonter avec papa. La coupa Fabienne. Je comprenais bien que tu ne rayonnais pas sexuellement. Ne sous-estimes pas tes enfants, ça on comprenait bien. Je ne connais pas ton secret, mais depuis qu’il est parti, je te vois de jour en jour plus radieuse. Te vexes pas maman, mais je pense que je devrais prendre des cours de gode chez toi !Fabienne affichait maintenant un sourire malicieux en regardant maman. Comme déjà dit, à part le secret incestueux entre la mère et le fils, ils sont bien une famille qui discute sans tabous.— T’excuses pas ma chérie. Répondit calmement la mère. J’aime que mes enfants soient francs avec moi. C’est comme ça que je vous ai élevés. Et tous les deux vous êtes adorables. Voila ce qui me fait rayonner.Marcus eut droit à un clin d’œil dérobé avant qu’elle continua encore :— Et que votre père soit à la hauteur ou pas, il m’a permis de vous avoir.— Ce salaud est bien là où il est maintenant. Fit Marcus à son tour. C’est-à-dire dans le passé. Mais Faby, je suis un peu curieux… Quelles choses ton copain se décide t-il pas à te faire ?— Eh bien il trouve que le cunnilingus n’est pas une pratique très hygiénique… La seule fois que j’y ai eu droit, j’ai du me toiletter au savon parfumé… mais monsieur aurait l’odorat trop sensible.— Pauv’con ! Un vagin sentira un vagin. Et il doit, sinon je suis pas preneur. A croire qu’il soit pas sorti d’une moule ton intello, sœurette.— Si je te suis bien, plus c’est odorant mieux c’est. Fit la sœur enjouée, avec un regard étrange et inhabituel.
— Remarque, Rit l’autre, Il t’aurait demandé de ne pas prendre de douche pendant trois jours, je l’aurais vraiment compris. Crois-moi, l’odeur que tu produis en bas là-bas, est la meilleure que puisse produire une femme.En disant cela il croisa volontairement le regard de leur mère. Etant donné qu’il était assis à côté d’elle et Fabienne en face, il lui mit une main sur la cuisse et la sienne ne tarda pas à la rejoindre. Leurs deux mains ainsi entrelacées sous la table, Rolande sourit de façon très furtive.— Dis-donc toi ! Reprit Fabienne. Ta copine serait bien comblée… Sérieusement je n’envisage pas de passer le restant de ma vie sans ces petits plaisirs.— Pas comme ta mère quoi ! Rigola Rolande un peu pompette. Je vois bien que ta décision est prise déjà. Eh bien… il est peut-être temps que je dévoile mon secret.La mère observa un bref moment de silence, où elle les considéra à tour de rôle. Elle avait une expression très mystérieuse dans le regard. Elle serra la main de son fils plus fort… Celui-ci se dit in petto : « Mais bon sang, elle ne va pas tout de même dévoiler notre secret juste comme ça » ? Et Comme si elle avait deviné cette inquiétude, sa mère le fixa et hocha la tête.— Mais qu’y a-t-il ? S’enquit Fabienne.— Je crois que nous avons une raison d’ouvrir la deuxième bouteille de vin. Sourit Rolande.— Eh bien, maman ?— Depuis cinq ans, ton frère me tringle presque tous les jours ! balança-t-elle les pommettes légèrement rouges. Et c’est vrai, comme tu dis, je rayonne.L’atmosphère devint aussitôt très lourde, et à part la mère qui souriait maintenant en regardant sa fille, ils demeurèrent tous interdits. Fabienne toisait son frère du regard, comme s’il était la seule personne responsable de tous les fléaux sur Terre.— Tu me dégoûtes, Marcus ! Rompit enfin le silence, la jeune femme. Ne t’approches plus jamais de moi !— Ecoutes y a pas de risque… Fit l’autre machinalement. Moi c’est maman que je…— Mais tais-toi !!! lâcha-t-elle au comble du choc.Marcus comprit trop tard qu’il n’arrangeait rien. Bizarrement il commençait d’un autre côté à s’exciter de cette nouvelle situation. Et comme si elle le comprenait encore, sa mère desserra l’étreinte de sa main pour se mettre à lui caresser doucement l’entrejambe. La réaction ne se fit pas attendre… La perverse sourit malicieusement au toucher de la bosse qui déforma le pantalon de son fils.— Voyons, voyons. Fit elle alors. Je vois que l’ambiance tourne court ici. Alors je vais ouvrir la deuxième bouteille. Je pensais que ma propre fille pouvait comprendre que le plus important c’est que sa mère puisse trouver du bonheur chaque jour.— Pour ma part, j’ai perdu toute envie de boire. Rétorqua Fabienne. Tu pourras la finir avec ton propre fils. Tu te le tapais ! Mais putain j’me le disais bien mais j’osais pas vraiment y penser !— Pourtant c’est bien ce que je veux que tu fasses. Refit la mère. Enfin, accepter la réalité. Et que bien sûr nous restons toujours une famille tous les trois.— Mais tu parles ! Vociféra Fabienne en se levant les larmes aux yeux. Vous arriviez à peine à cacher votre impatience de me voir partir de la maison chaque jour.— Ecoutes Faby chérie. Reprit la mère incestueuse qui caressait toujours la queue de son fils à travers le pantalon. Quand votre père était parti, il fallait un nouveau coq dans la…— Mais pas mon frère ! s’étouffa Fabienne. J’aurais préféré que ce soit quelqu’un d’autre.— Je vois que nous ne voyons pas du tout les choses de la même façon. Intervint Marcus. Moi, ça je ne le supporterais pas ! Et puis franchement, t’as vu comment c’est difficile de trouver le bon coup, c’est-à-dire moi ?Là il prenait de plus en plus plaisir à voir l’effarement de sa sœur, tout en sentant sa trique s’affermir comme du béton armé, grâce à sa maman qui n’arrêtait pas de la lui caresser agréablement. Il pariait intérieurement qu’elle-même devait bien mouiller comme la fontaine qu’elle est dans son entrecuisse. A son tour il remonta sa jupe de sa main restée sur sa cuisse, pour aller à l’assaut de sa vulve. Sur le chemin il rencontra une culotte bien moite qu’il écarta doucement, puis un buisson trempé dans lequel il n’eut pas trop de mal à guider son majeur de doigt jusqu’à la fente maternelle où il coula facilement. Tout à coup Fabienne tira la table brutalement derrière, dans un bruit de verres et de bouteilles qui se brisèrent sur le sol, et découvrit leur petit manège. C’est-à-dire la main de Marcus bien enfoncée entre les jambes de leur mère, et la sienne cajolant en retour sa virilité. Surprise par ce geste brutal, Rolande enleva sa main, mais emprisonna celle de son fils en lui refermant dessus ses cuisses. Par bonheur personne ne reçut d’éclats de verre. Mais sur le visage de Fabienne se dessina un choc encore plus profond. Elle devait se demander si c’était juste un mauvais rêve, tant elle n’en revenait pas.— Non mais dites-moi que je rêve ! Finit-elle par laisser tomber.— Chérie ! Tu viens de briser une bouteille de vin que j’ai payée assez cher… répondit Rolande en guise de toute réponse.S’en était trop pour elle, un nouveau flot de larmes fusa sur ses joues sans couleur, et elle se précipita vers sa chambre. Alors sa mère parla bien haut qu’elle puisse entendre : « Laissons-là, ça lui passera ». Marcus retira brutalement sa main, saisit par la nuque sa mère et l’embrassa fougueusement. Surprise elle répondit avec autant de force, et ils faillirent en tomber… Ce qui arracha un petit rire étouffé à Rolande. Au bout de quelques minutes de jeux tendres et amoureux, ils se levèrent à leur tour, enjambant précautionneusement les taisons de verre sur le sol. Ils traversent le salon, lui enlaçant sa maman dans le dos, deux doigts ayant à nouveau rejoint sa chatte dégoulinante de cyprine, et sa main gauche pétrissant sa mamelle droite. Elle n’arrêtait pas de rire doucement comme si elle ne voulait pas que le bruit soit entendu par sa fille, en belle salope. Marcus limait maintenant son érection contre la croupe maternelle, alors que ses deux doigts lui indiquaient qu’elle était plus que prête pour une bonne saillie. Il les retira pour commencer à la déshabiller dès l’entrée du couloir. En atteignant la chambre de Rolande, ils étaient déjà tous à poils. La chambre de Fabienne y fait juste face. Les fesses de sa mère complètement à l’air libre devant lui, faisait bander Marcus dur comme un roc. Il s’impatientait déjà de la prendre en levrette comme ils adoraient tous les deux. Il poussa donc la porte, puis elle dans le lit qui devenait officiellement conjugal. Dans cet élan sexuel, personne ne se souciait de refermer convenablement la porte. A quatre pattes dans le lit maintenant, Rolande dit à son jeune étalon : « Je sais que tu veux me prendre tout de suite… mais s’il te plait renifle et lèche-moi la chatte. Tu sais c’est ta faute, tu m’as beaucoup excitée ce soir quand tu parlais de l’odeur que ça devait avoir. J’espère que tu la reconnaitras, chéri. ».— J’adore ton odeur maman. Et je vois bien que tu comptes jouir bien bruyamment afin que ta fille t’entende bien prendre ton pied.— C’est aussi sa faute… Elle n’avait qu’à pas renoncer à son projet de déménagement. Désormais je veux profiter de tout avec toi… enfin si tu veux bien mon amour.En guise de toute réponse, Marcus s’agenouilla devant le lit de sorte à attraper de ses mains les deux fesses de sa mère qu’il attira devant son visage et écarta avec délices. Comme toujours ce tableau sauvage aux herbes folles l’excita au plus haut point. Il aimait définitivement les chattes bien poilues, et sa mère entretenait bien ce buisson rien que pour lui. Il écarta encore les grosses lèvres de ses deux pouces pour découvrir l’antre béant et rose d’où ils étaient sortis sa sœur et lui-même. Il rapprocha encore son nez et s’émerveilla de la force de senteur de la chose. Un mélange sans doute de cyprine, d’urine, de sueur… diverses sécrétions accumulées durant toute la journée pour le bonheur de son pervers de fils. Enivré par ces effluves primaires, Marcus embrassa franchement cette vulve. Il y promène sa langue en hochant doucement sa tête de haut en bas. On aurait dit un bébé qu’on allaitait par une deuxième voie. Rolande commença à gémir doucement de plaisir sous l’effet du léchage. Elle se remit à mouiller de plus belle au contact de la langue de son rejeton. C’était normal ainsi, pensa-t-elle, une mère devait bien sustenter son enfant. Ce dernier s’en délecte, et accélère l’oscillation de sa tête en s’attaquant cette fois au bouton d’amour maternel. Les deux mains écartelant les fesses de sa mère, Marcus enfouissait sa face toujours plus profondément dans cette vallée en crue. L’odeur qu’elle exhalait agissait comme un aphrodisiaque sur le jeune mâle qui n’en pouvait plus de prendre sa chaude femelle mure. Dans un bruit de gazouillis indécents, il enfonça sa langue jusqu’à la garde dans l’intimité de sa mère en reculant et avançant furieusement sa tête. Dans un cri bien rauque, celle-ci lui jouit violemment dans le visage.— Oh… ouiiiiiiiiiii !! Ouiiiiiii-ille !! Bois tout le jus à ta mère !— Glouglou… glouglou… glouglou…— C’est ça mon glouton, tu aimes ça.De l’autre côté du couloir, Fabienne était étrangement partagée entre plusieurs sentiments contradictoires : indignation, jalousie et excitation. Serait-elle, elle-même attirée par son propre frère sans pouvoir se l’avouer ? Ou était-ce juste de la jalousie due au fait qu’on puisse lui préférer sa mère ? Etait-elle vraiment bien placée pour juger son frère ? Elle qui sait pertinemment avoir été attirée à une époque par son propre père. Ne serait-ce pas qu’elle l’avait juste substitué par son petit frère ? Ne serait-elle pas frustrée par ce double échec face à sa mère, puisque les deux vrais hommes de sa vie ont regardé ou regardent sa mère, et non pas elle, comme une femme ? A y voir plus près, elle trouva sa réaction précédente devant son frère, assez étrange… Elle s’était comportée exactement comme ferait une femme devant son amant infidèle. « Ne t’approches plus jamais de moi ! » était tout ce qu’elle avait trouvé à dire et en plus elle avait coulé quelques larmes devant lui. Elle était en train de se poser toutes ces questions allongées dans son lit, quand les rires faussement discrets de sa mère dans le couloir, attirèrent son attention. Elle se surprit à envier le bonheur de sa mère, un picotement d’excitation persistant dans son bas-ventre. Plus tard quand elle entendit les premiers gémissements explicites de sa mère, elle mouilla de plus en plus et dut se résoudre à se masturber pour retrouver son calme. Elle se caressa d’abord les seins en se pinçant les tétons… Evidement cela n’allait pas suffire, et elle se dénuda complètement. Les gémissements de sa mère de plus en plus réguliers et forts la faisaient désormais abondamment mouiller. Même si elle se sentait toujours jalouse à en mourir, elle y alla franchement pour branler sa jeune chatte gourmande. Contrairement à sa mère, elle l’avait bien rasée. Sa vulve était pourtant pas mal béante aussi, et cela n’était pas du qu’aux assauts répétés de ses différents amants, mais elle était bien la fille de sa mère. Maintenant, elle imaginait clairement son frère lui donner du plaisir avec sa langue et ses mots résonnaient encore dans sa tête, tandis qu’elle avait carrément trois doigts dans le vagin suintant de cyprine fortement odorante. « Crois-moi, l’odeur que tu produis en bas là-bas, est la meilleure que puisse produire une femme. » lui avait-il dit. « Pourquoi fallait-il que tu dises ça à ta sœur, frangin ? Assumes maintenant, petit frère ! » Pensa-t-elle. La langue imaginaire de Marcus était très douée et lui faisait énormément de bien. Elle râla, accéléra la caresse de son clitoris de son pouce et se retourna soudainement pour mordre son oreiller, pour étouffer son cri de jouissance, tout le corps parcouru par un violent spasme incestueux. Au même moment elle entendit sa mère monter aux rideaux en poussant un formidable « ouiiiiiiiiiiiii ! ».Fabienne, curieuse et toujours excitée malgré tout, se leva toute nue et ouvrit sa porte… Constatant que sa mère n’avait même pas pris la peine de rabattre la sienne juste en face, elle s’approcha jusqu’au seuil. Elle vit alors son frère la tête dans le gros cul maternel. « Salaud ! » murmura-t-elle. Elle est dans leur dos, juste là, sans qu’ils puissent se douter de sa présence, trop occupés par leur jeu incestueux.— Tu peux me prendre maintenant par derrière comme tu aimes mon cœur.— Ben attends que je vais te baiser un peu ouais ! Tu veux que ta fille chérie sache bien, qui le mâle de la maison, préfère hein ? Quelle égoïste tu fais maman !— Je ne peux rien te cacher, mon bébé. Fais ce qui te plait à ta maman.Marcus monte alors sur le lit enjambant le gros postérieur de sa mère toujours à quatre pattes. Elle inclina même son buste vers l’avant afin de mieux lui offrir sa croupe. Fabienne vit alors une grosse vulve bien humide tant l’herbe sauvage qui s’y dressait, luisait effrontément… Fabienne croit même percevoir des effluves attirant les mâles, et masquant les siennes, en émaner… Elle se sentait comme intimidée par sa rivale mûre. La jeune moule devait attendre sagement son tour, en laissant celle maternelle se sustenter. C’est alors qu’elle vit le chibre énorme de son jeune frère, bien tendu, venir forcer et combler l’intimité pourtant béante de leur mère. Ce gros membre écartait au maximum les grosses lèvres charnues de Rolande. Il pénétrait lentement mais surement dans le gouffre humide qu’il remplissait dans un bruit indécemment gluant. Le fils arrache un gémissement à sa mère alors qu’il continuait à avancer en elle, les deux mains la tenant solidement par la hanche. Il grommela de plaisir une fois qu’elle l’avait avalé jusqu’à la garde, tant il était à l’étroit dans la grotte vivante. Il en ressentait les moindres contractions. Ses grosses couilles pendouillaient majestueusement dehors entre les jambes de sa mère.— C’est bon, la température te va ? Fit alors cette dernière. Je suis prête à être saillie maintenant.— T’inquiètes maman, tu vas en avoir pour ton compte !Marcus se retire presque, puis recloue brutalement son énorme queue dans sa mère lui extirpant un feulement de plaisir. Au bout d’une dizaine de tours de ce même traitement, on pouvait maintenant voir son membre imposant devenir tout luisant et gluant des sécrétions abondantes de sa mère. Le vagin pris d’assaut étant complètement dilaté, Marcus put accélérer et maintenir une bonne cadence de va-et-vient interminables et ravageurs. Sa mère désormais en couinait continuellement de plaisir. Au bout d’un certain temps, Marcus fut éjecté dehors par une violente contraction vaginale maternelle. Dans son élan de cogne, son gourdin frotta la moule en ébullition de sa mère pour venir lui écraser le clitoris et osciller furieusement contre sa motte poilue. Elle feulait plus que jamais et s’affaissa sur le ventre dans le lit. Fabienne était maintenant excitée au plus haut point par l’énorme engin de son frère qui donnait si facilement du plaisir à la grosse chatte de leur mère. La simple vue de ce membre lui faisait bizarrement palpiter tout le bas, depuis sa zone pelvienne jusqu’à son petit trou. Elle mouillait presque aussi abondamment que l’autre femelle en rut qu’est sa mère. Elle porta instinctivement une main sur son intimité et l’autre sur son sein pour entreprendre de se branler devant ce spectacle incestueux torride. Marcus, le phallus plus dur que jamais écarte de nouveau les fesses de sa mère allongée sur le ventre, et s’incruste d’un bloc en elle sans la ménager.— Alors salope, tu m’éjectes ? On est loin d’en avoir fini ! Râla-t-il. Je peux aussi très bien te tringler comme ça.— Oui, oui, oui ! Baise-moi mon amour. Supplia Rolande en remuant sa tête dans tous les sens.Marcus appuyé sur ses bras de par et d’autre d’elle, recommença à la défoncer violemment. Cette fois-ci sa mère soulevait sa croupe à sa rencontre à chaque coup de boutoir. Dans cette position Marcus avait la bite tellement étroitement serrée que lui aussi se mit à rugir de plaisir. Il fit jouir encore deux fois sa mère dans cette position, quand celle-ci commença à l’implorer de lui répandre sa crème dans son vagin meurtri de plaisir. Marcus obéit en doublant la cadence… c’est carrément du viol de moule maternelle maintenant. Marcus la pénétra au plus profond, et déchargea toute sa semence en elle dans une commune jouissance explosive. Dans un rugissement sourd il s’affala de tout son corps sur elle, essayant encore de la tringler sans reculer, la ramenant sur le côté, lui soulevant la cuisse droite pour bien rester profondément figée dans son chaud vagin mur. Complètement épuisés, ils avaient toujours le dos tourné à Fabienne qui du se mettre une main sur la bouche pour ne pas crier sa jouissance en même temps qu’eux. Elle s’en retourna dans le couloir, les jambes tremblantes et dégoulinantes de cyprine. Au moins, elle mouillait aussi facilement et abondamment que sa mère. Elle repart vers sa chambre sachant bien qu’elle se branlera à nouveau et plusieurs fois cette nuit. Le pire, c’est qu’elle commençait à se demander ce qui l’excitait le plus entre se faire prendre par son propre jeune frère, ou le voir saillir leur mère…Dix minutes à peine plus tard, alors que Fabienne venait de grimper aux rideaux deux fois solitairement dans son lit, de la chambre de sa mère les feulements lubriques reprirent de plus belle. « La salope, elle voulait encore se faire saillir ! » lâcha-t-elle à part soi. L’image de la grosse moule velue aux lèvres charnues de sa mère s’imposa alors dans toute sa tête, dans une vision surréaliste. Elle, Fabienne, n’était qu’une petite chienne expulsée de ce piège à grosses queues. Le seul réconfort lui restant, c’était peut-être qu’elle en avait probablement hérité des gênes. Elle imagina sa mère se faire enculer cette fois, aux cris torrides qui provenaient de sa chambre. Instinctivement ses doigts moites retrouvèrent le chemin de son antre bien trempé… Alors une idée audacieuse germa dans sa petite tête de femelle rejetée…A suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live