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Qui part à la chasse ..... s'attire des emmerdes

Chapitre 1

Hétéro
Tout commence dans une paisible forêt à quelques dizaines de kilomètres du Château de Chambord. Le soleil se couche sur cette région magnifique des châteaux de la Loire. Seul au loin retentissent les cris de détresse d’une jeune femme.
— Mais lâchez-moi. Où vous m’emmenez ?— T’inquiètes pas tu le sauras bien assez tôt.
Cette jeune midinette a visiblement fait une mauvaise rencontre, entraînée comme elle est dans les bois par 2 hommes la menaçant d’un couteau.
— Là on va être bien. Passe moi la corde on va l’attacher à l’arbre.— Tiens la voila. …. T’en fais pas ma jolie. On va pas te faire de mal. Au contraire on va te faire beaucoup de bien.
Les 2 malfrats étaient partis dans des éclats de rires pendant qu’ils l’attachaient à un gros chêne tout en lui arrachant ses vêtements. Soudain l’un d’eux s’arrêta.
— Attend ! T’as pas entendu ?— Non quoi ?— On dirait qu’il y a quelqu’un.— Tu te fais des idées. Y a personnes ici. C’est aussi désert que dans le cerveau d’un flic.— Je ne suis pas rassuré. Je vais voir.— Si tu veux moi je vais commencer les réjouissances en attendant.
Alors qu’il commençait à retirer son pantalon, il vit son comparse courir vers lui tout essoufflé.
— Qu’est ce qui te prend de courir comme ça ? — Faut qu’on se barre. Le bruit que j’ai entendu, C’est chasseur. Il arrive droit sur nous avec ses 2 clébards.— Oh merde ! Viens on se tire. — Mais et la fille ?
— On la laisse. Prends ses clés on va se barrer avec sa caisse.
Les 2 Loubards se sont alors enfuis laissant leur victime, en train d’appeler à l’aide, pied et poings liés, nue, attachée contre un arbre face à l’écorce, avec ses vêtements déchirés au sol.
— Monsieur, s’il vous plait, aidez moi.
Le chasseur en question était un homme massif, moustachu, ventru, habillé d’un pantalon et d’une veste vert kaki façon camouflage. Sur sa tête, il avait une casquette à l’effigie de l’équipe de foot locale. Il portait son fusil en bandoulière et tenait ses chiens en laisse d’une main.
— C’est quoi ce bordel ? Qu’est ce que vous foutez la complètement à poil ?— Si vous saviez … J’ai pris en Stop 2 jeunes gens qui ont fini par sortir des couteaux et m’ont entraîné dans cette forêt. Ils m’ont arraché mes vêtements et l’un d’eux se préparait à me … enfin vous voyez mais vous êtes arrivé. Vous pouvez m’aider ?— je vois très bien mais en quoi je peux vous aider ?— Bah à me détacher pardi.— Mouais … ça sent le traquenard vot’ truc.— Il n’y a aucun piège.— C’est ce que disait mon beau frère avant qu’il ne prenne une jolie blonde en stop qui lui avait promis un câlin. Résultat les potes de la fille sont arrivés, l’ont dépouillé et sont parti avec sa bagnole.— Je vous assure que je ne vous mens pas. C’est moi qui me retrouve à poil dans l’histoire.— C’est ce que je vois. Et j’y gagne quoi moi à vous aider ?— Mais … Je n’ai plus rien. Je pensais que par pur charité vous auriez pu …— Je vous arrête tout de suite ma petite dame. Les temps sont durs pour tout le monde. Je ne fais jamais rien sans rien. Par contre vous vous trompez quand vous dites que vous n’avez rien à offrir. Dit-il en lui caressant les fesses de sa grosse main velue.— Ne me dites pas que vous allez …. Je refuse c’est hors de question.— OK c’est toi qui décide. Moi je repars à ma partie de chasse. Bonne chance. dit-il en s’éloignant les laisses de ses chiens à la main.— Non attendez, vous ne pouvez pas me laisser comme ça.— Bah si. Le deal c’est un câlin et je vous détache. Vous ne voulez pas, je ne vous détache pas. C’est aussi simple que ça.— Et si j’accepte. Vous me promettez de me libérer ?— Promis, juré, craché, vomis, … tout ce que vous voulez. Je le ferais. Je n’ai qu’une parole.— …… Alors j’accepte.— Ah bah vous voila raisonnable ! ne vous inquiétez pas, je ne suis pas un méchant bougre je ne vais pas vous frapper.— J’espère bien.— Bon je vous détache les jambes, ce sera plus facile mais je laisse les mains attachées à la branche comme ça, pas d’entourloupe et vous serez comme un vieux walkman : autoreverse.— Très poétique.— He hé Merci.
Il commença par se mouiller 2 doigts et les inséra dans la fente de sa future partenaire afin de préparer le terrain. Une fois qu’il l’a jugé suffisamment prête il s’est positionné derrière elle pour la prendre en levrette en la tenant par la taille. Les coups de rein du chasseur étaient vifs et puissants. L’empressement qu’il avait à la besogne ainsi que les soupirs rauques qu’il poussait, laissait penser qu’il ne tirait pas son coup souvent. Ses mains se sont petit à petit déplacées jusqu’à la poitrine de sa partenaire qu’il commençait à palper avec gourmandise.Au bout de quelques minutes il se retira et retourna la jeune fille face à lui.
— Au fait je ne me suis pas présenté. Moi c’est Charles. Et toi ?— Moi c’est « dépêchez vous de finir pour que je puisse m’en aller »— Ok puisque tu ne veux pas répondre, je t’appellerai « chérie » alors.— Je préfère encore que vous m’appeliez par mon prénom.— Qui est ?— Elodie— Bah voila, tu vois ce n’est pas si difficile. Bon passons à la suite.
Il lui prit le menton pour la galocher. Puis, il commença à la peloter de partout. La poitrine, les fesses des caresses partout. Ensuite il lui souleva une jambe pour avoir un meilleur accès à son entrejambe et reparti de plus belle avec la même fougue que précédemment. Même si son esprit disait non, du moins au départ, son corps lui, disait le contraire. C’est vrai qu’étant seule depuis un moment elle avait envie des caresses d’un homme … mais pas forcement celle d’un homme comme lui. Toutefois elle se surprit à éprouver du plaisir et même un orgasme surprise au moment où son partenaire éjaculait en poussant un cri de bête sauvage.Alors que le gros Charles rhabillait elle lui rappela leur accord.
— Maintenant que vous avez eu ce que vous vouliez, vous aller me libérer ?— Chose promise chose due. Je tiens toujours mes promesses.
Il sortit alors son gros couteau et sectionna la corde pour lui libérer les mains.
— Bon bah voila. Merci pour ce délicieux moment. Moi j’y retourne, je te laisse là Au revoir.— Attendez, vous n’allez pas me laissez là comme ça ?— Qu’est ce qu’il y a encore ?— Bah je suis nue, mes fringues sont en lambeaux, je n’ai plus rien ….— Oui et alors ? Notre accord c’était un câlin et je te détache. Chacun a eu ce qu’il voulait.— Mais je ne peux pas me balader nue comme ça. J’ai froid et puis on m’a piqué ma voiture.— Ecoute pour les fringues j’y peux rien. Pour te déplacer, à quelques kilomètres par la t’as une aire de repos. Là bas y a souvent des routiers qui passent. je suis sur que tu trouveras quelqu’un pour te prendre.— Je ne sais pas comment interpréter cette phrase.— Oui c’est vrai que les mots sont peut-être mal choisis. Enfin bref, voila. Moi j’ai ma partie de chasse à finir.— Et si je vous demandais de m’aider …— Bah ça ne sera pas gratuit.— Et donc ?— Et bien …. Y a un relai de chasse pas loin, un peu comme un refuge de montagne. J’avais prévu d’y passer la nuit. Je te propose de me tenir chaud cette nuit et demain je te ramène ou tu veux.— Et appeler d’un portable, c’est pas plus simple ?— Ça capte pas ici c’est une zone morte. Y a pas de relai à proximité.— Bon bah ok. Après ce qu’on vient de faire, j’en suis plus à ça prés.— Parfait …. Tiens prend ma veste t’aura moins froid …… Mmh tiens mets aussi ces grosses chaussettes. Ça ne vaut pas de bonnes chaussures mais au moins tu ne seras plus pieds nus. Bon on y va. Ah au fait arrête-le « vous », tu peux me tutoyer.
Après plus d’une heure de marche, le duo arriva enfin en vue du refuge. Après avoir allumé un feu dans la cheminée, Charles, le chasseur s’attela à préparer le dîner pendant que la petite Elodie se réchauffa au coin du feu.Après avoir mangé, le chasseur regarda celle qui allait être son dessert.
— Bon, et si on passait au dessert ? à notre petit accord ? dit il en de zippant son pantalon.— J’arrive dit elle en se dirigeant nue vers son entrejambe.
Une fois à genou devant lui elle sorti cette queue qu’elle avait senti lui remplir le ventre 2 heures auparavant. Au niveau volume, elle correspondait à ce qu’elle avait imaginé quand il la besognait. Contrairement, à l’apparence négligée de son partenaire, son sexe était propre. Visiblement, malgré son allure de gros rustre, il se lavait. Du coup elle était moins réticente à tenir sa promesse.Alors qu’elle dégustait la verge du chasseur, lui, savourait ce moment en lui caressant les cheveux.
— Mmmmh ….. y a pas à dire. C’est la meilleure partie de chasse que j’ai pu avoir. J’ai plutôt l’habitude de tirer les lapins et les oiseaux, pas les jolies filles. ….. Bon aller, la chambre nous attend. Et bien sur tu me laisse faire tout ce que je veux.— C’est notre accord.— Bien, au moins tu respectes ta parole c’est bien. C’est à croire que tu aimes ça.— Même si c’est pas si désagréable, de toute façon je n’avais pas le choix.— Bah si tu l’as eu— Tu parles d’un choix : coucher ou risquer des ennuis— T’as de la chance, si j’avais voulu j’aurais pu te violer attaché à ton arbre et te laisser là bas.— C’est pas faux
Une fois dans la chambre, Le gros Charles se couche à poil dans le lit, en laissant la couverture ouverte et en tapotant sur la place libre invitant ainsi, avec un grand sourire, la jolie Elodie qui se déshabillait devant lui à venir le rejoindre. Une fois couchée, il se jeta sur elle pour la galocher mais elle calma son empressement.
— Attends tu m’écrases. T’es trop lourd— Oups pardon. Attends, on inverse. Et puis tiens fait moi un 69.
Elle se plaça au dessus de lui en position et continua la fellation qu’elle avait débuté en guise de dessert. Charles quand à lui, titillait, de sa langue le bigorneau de sa partenaire. Elodie voyait le gros mandrin du chasseur gonfler à vue d’œil alors qu’elle se sentait envahir par une sensation de chaleur due aux coups de langue de Charles sur son entrejambe.
— Voila te voila prête pour la suite. Viens t’empaler sur moi et fais moi ton plus joli déhanché.— Tout de suite.
Elle savait que si elle ne satisfaisait pas ses exigences, il pourrait changer d’avis. Alors elle mit tout en œuvre pour que cette nuit soit la meilleure possible, selon le bon vouloir de son partenaire. Après avoir accueillis le braquemart du gros poilu dans sa fente humide, elle se déhancha sur son gros ventre, les bras en appuis sur les épaules de Charles et laissant ainsi ses seins à dispositions des grosses paluches du chasseur.
— Et bien ! Je ne sais pas ce qui te pousse à faire autant de zèle. T’as peur que je ne change d’avis si je ne suis pas satisfait c’est ça ? Autant te le dire : si tu continu comme ça ce sera un vrai plaisir de te ramener chez toi demain.— Tant mieux.— Bon aller maintenant c’est moi qui dirige.
C’est là que le chasseur plaqua sa « proie » allongée sur le ventre, les fesses bien offerte et prête à l’accueillir. Après l’avoir préparé par l’intrusion de 2 doigts dans l’anus, il lui présenta, à l’entrée de sa rondelle son gland qui ne manquait pas de vigueur. Alors qu’il s’introduisait progressivement en elle, il l’entendait pousser des soupirs étouffés par sa tête dans l’oreiller.
— Dis le moi si je te fais trop mal.— Non ça va aller. Fais ce que tu as à faire et ne t’inquiète pas. C’est pas ma 1ère fois par là.— Ok alors j’y vais
Il commença alors à la limer à une bonne cadence. Les ressorts de la vieille literie du refuge qui devait bien dater de plus de 30 ans grinçaient à chaque coup de rein. Elodie sentait le souffle de son partenaire sur sa nuque alors qu’il la recouvrait de toute sa masse. Au bout de quelques minutes de pilonnage intensif il se retira, retourna la jeune fille sur le dos pour la pénétrer à nouveau et jouir dans son vagin en beuglant comme un phacochère. Après ça il s’écroula au coté d’Elodie, le sourire aux lèvres.
— Ahh ! c’était génial.— Alors verdict ?— Ne t’inquiète pas demain je te ramène chez toi.— Je préférerai à un commissariat. Je dois porter plainte pour vol de voiture.— Pas de problème.
Très tôt le lendemain matin, le duo quitta le refuge. Il fallait le faire avant l’arriver des chasseurs de la journée dans le domaine. Elodie en avait profité pour se recouvrir d’une couverture le temps du trajet jusqu’à la vieille camionnette de Charles. Comme promis il l’emmena au commissariat le plus proche où elle porta plainte et décrivit aux gendarmes sa journée de la veille en omettant volontairement les exigences de celui qui l’avait détaché de l’arbre. Car finalement sans lui elle y serait surement encore. A la merci des autres chasseurs qui aurait surement profité de la situation.A la suite de ça, Elodie et Charles se sont quitté sans garder contact en se remerciant pour cet « échange de bons procédés ».Un an plus tard, on retrouve la belle Elodie sur le parking du domaine de chasse. Dans sa nouvelle voiture, elle semble attendre quelqu’un. Au bout d’un moment, elle voit la vieille camionnette de Charles arriver et le voit descendre de son véhicule pour saluer ses camarades chasseurs.
— Charles, hé ho, Charles !— Ça alors, Elodie ? Je ne pensais pas te revoir un jour. Qu’est ce qui t’amènes ici ?— J’aurais besoin que tu me rendes un service.— Ah mais tout ce que tu veux ma jolie. Dis-moi, ça à un rapport avec ce qu’il s’est passé l’année dernière entre nous ?— Plus ou moins. Vois tu je pars pour un mois à Londres pour mon boulot et j’ai besoin que tu t’occupes de Kyky.— Kyky ? c’est quoi, ton chien ? dit il en la voyant sortir des valises de son coffre.— Non pas du tout.
Et là elle sort un couffin avec un bébé de 3 mois de sa banquette arrière. Elle le sort et lui met dans les bras.
— Je te présent Kylian, Je me suis dit, qui de mieux pour s’occuper d’un bébé que son père alors voila. Dans cette valise tu as des changes pour une semaine, là de quoi faire des biberons pour 3 jours, là tu as un stock de couches pour la semaine. Bon bien sur il faudra que tu en rachètes. Là je te laisse tout ce que tu as à savoir et là tu as les numéros utiles notamment son pédiatres. Tu vas voir, c’est un bébé adorable. En plus vous avez tous les 2 la même tache de naissance sur la fesse gauche. Bon tu m’excuseras mais faut que j’y aille sinon je vais louper mon avion. A dans un mois.— Eh oh attends tu ne vas pas ….. partir comme ça ?
Elodie ne lui a même pas laissé le temps d’en placer une, elle est partie sans lui laissé le temps de réfléchir. Le gros Charles se retrouvait avec un bébé de 3 mois dans les bras sans trop savoir qu’en faire.
— Oh merde ! Dans quelle galère je me suis fourré moi ?
Derrière lui c’était l’hilarité générale. Tous les chasseurs du groupe avait suivi ce qu’il s’était passé.
— Bah alors mon coco, On dirait que t’as fait une boulette ? Regarde comme il est mignon. Gouzi, gouzi. Tout le portrait de son papa.— Arrête c’est pas drôle.— Bon bah les mecs je crois qu’on va y aller sans lui. Papounet a d’autres chats à fouetter.— Non mais attendez vous n’allez pas me laisser dans la mouise comme ça ? Gégé, t’as des gosses, tu peux pas m’aider ?— Ah désoler mon pote ! J’ai pour habitude de ne pas me mêler des affaires des autres. Va falloir te démerder tout seul….. Enfin va plutôt falloir démerder le petit d’abord au vu de l’odeur qui se dégage de sa couche. Bon aller on y va.
Le voila seul sur le Parking avec un petit à changer. N’aimant pas qu’on lui fasse un sale coup, il trouve dans la liste des numéros, le portable d’Elodie. Il l’appelle et tombe sur son répondeur.
« Salut vous êtes bien sur le portable d’Elodie. Je ne suis pas joignable pour le moment mais vous pouvez me laisser un message après le bip …. Message personnel pour Charles : tu t’es bien amusé l’année dernière. Maintenant assumes tes actes. »
Ok, la situation était claire. C’était le retour de bâton. Bon bah il n’avait pas le choix Il allait devoir rentrer chez lui et s’occuper du petit. Le voila embarqué dans un remake de 3 hommes et un couffin. Sauf que là il était tout seul. Comme quoi le coup du magicien bah ça marche pas toujours.
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