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A quoi tient la vie d'un couple...

Chapitre 4

Enfin une pénétration digne de ce nom !

Avec plusieurs hommes
A peine arrivés à la maison, nous sommes accueillis par la mamie qui nous propose des cannelés avec un verre de jus de fruit… pour nous faire patienter jusqu’au repas, argument massue empêchant tout refus. De toute façon, je me fais la réflexion que ma petite sauterie de cet après-midi sur la plage m’a ouvert l’appétit comme rarement et je m’enfile six cannelés, un peu honteuse quand même. En tout cas, cela me permet de faire passer quelque peu le fort goût de sperme que j’ai encore en bouche.Roger, lui aussi, dévore les gâteaux avec gourmandise, ce qui lui vaut une remontrance de sa femme et un clin d’œil complice de ma part. Quant à Geoffrey, je le sens absent, comme déconnecté de ce qu’il se passe autour de lui. C’est tout juste s’il trempe les lèvres dans son jus de fruit et il ne mange rien. Je ressens un sentiment coupable de lui avoir infligé une telle humiliation et cherche donc comment recoller les morceaux, comment je peux me faire pardonner...
Oui, comment ?!... Je réfléchis quel premier pas je peux faire sans pour autant me coucher devant lui et lui faire de plates excuses. C’est vrai, quoi… il a aussi une part de responsabilité non négligeable et il l’a même un peu cherchée, cette situation humiliante ! Plein de pensées contradictoires fourmillent dans ma tête, incapable de trancher sur l’attitude à avoir à l’égard de mon copain…Je me décide enfin et m’apprête à prendre sa main pour lui proposer de faire une balade les deux en amoureux avant le repas… mais c’est l’instant qu’il choisit pour se lever de table.— Excusez-moi pour le repas de ce soir. J’ai mal à la tête… je vais me coucher sans manger si ça ne vous dérange pas, papy, mamie ?! — …— Oui, mon grand, il n’y a pas de souci. Tu veux un cachet pour faire passer ton mal de tête ? Je vais t’en chercher un !?— Non, papy… ça va aller comme ça ! Bonne nuit à vous deux.— …Il passe à côté de moi sans même me dire le moindre mot, ni faire le moindre geste. Comment peut-il me faire ça, le salaud ?! Intérieurement, je fulmine de colère contre Geoffrey mais aucune parole ne sort de ma bouche. Par contre, c’est décidé… ce soir, je demande à Roger de venir me baiser comme une chienne sur le lit, avec mon copain couché juste à côté de nous.Cette pensée perverse a pour effets immédiats de faire pointer mes tétons d’excitation, d’humidifier ma petite chatte et de provoquer une douce chaleur dans mon bas-ventre. Je me dis que Geoffrey a en fin de compte bien fait d’agir ainsi car ça m’enlève d’un seul coup toute inhibition. Je peux baiser avec son grand-père, maintenant libérée de tout sentiment de culpabilité. Je ne me connaissais pas une telle perversité doublée de ce cynisme à toute épreuve… mais cela a quelque chose de vraiment jouissif.
Pendant toute la soirée, je n’attends plus qu’une seule chose impatiemment, que la grand-mère nous annonce qu’elle va se coucher, pour enfin être tranquille avec son mari. Je m’imagine déjà les cuisses écartées et le sexe offert, la tête posée contre Geoffrey, pour accueillir la large verge du vieillard bien profond dans mon puits d’amour. J’ai la tête qui me tourne d’excitation…
Vingt-et-une heures trente-deux, après une petite tisane, enfin la libération. A peine a-t-elle passé la porte de sa chambre que je saute au cou de Roger et lui baise la bouche goulûment, forçant avec ma langue le passage jusqu’à la sienne. Après une brève hésitation, il cède à ma fougue et me tire contre lui, passant un bras entre mes cuisses. — Axelia, tu es vraiment insatiable… Par contre, tu sais, je n’ai plus vingt ans, moi ! — Roger !... Hmmm !... Je veux que tu me baises !... Ouiiii !...Alors que je me suis assise à califourchon sur ses cuisses avec toujours son bras entre les miennes en train de coulisser sur mon pubis, le vieil homme marque un temps de réflexion… J’essaye quant à moi de dégriffer sa ceinture et de déboutonner son pantalon, telle une affamée qui veut son dessert.— Petite salope, va ! Tu veux me faire péter le palpitant avec tes folies sexuelles !? Pourtant, ce n’est plus de mon âge, de faire des galipettes avec une jeune cochonne comme toi…— Siiii… je veux que tu me défonces ma petite chatte avec ta grosse bite, Roger !— Bon… d’accord, Axelia… mais à une seule condition !— J’accepte tout ce que tu veux, mon amour adoré… alors, nous baisons !? Tu me prends sur la table du salon, là tout de suite !?— Non, Axelia ! Je te baise dans votre chambre, sur le lit à côté de Geoffrey… c’est à cette seule condition que j’accepte.
Je reste bouche bée, incapable de dire quoi que ce soit… Comment fait-il pour lire dans mes pensées et donc deviner mes fantasmes ?! Je suis d’un seul coup terrorisée à l’idée qu’il puisse savoir à quoi je pense à cet instant…
— Ça ne va pas, Axelia ?— Si, si… ça va !... Tu viens me baiser comme une petite pute, Roger !?J’essaye de garder un certain aplomb mais ma voix beaucoup moins assurée que tout à l’heure, trahit mon trouble. Je me lève néanmoins et me dirige vers la chambre à la manière d’un automate. Roger me suit, une lueur lubrique dans son regard.— Tu n’allumes pas la lumière, Axelia ?! Tu as envie que je me cogne dans un meuble ou quoi !?Sa voix n’est plus la même, le ton autoritaire ne laissant place à aucune contestation. J’actionne donc l’interrupteur, complètement abasourdie par la perversité du grand-père. Ce dernier me saisit le bras…— Axelia, tu vas te mettre à genoux sur le lit, la tête contre Geoffrey pour qu’il sente ton souffle brûlant sur son visage... et ton cul bien en arrière pour moi ! Allez, dépêche-toi, ma grande !Le ton impérieux ne me laisse pas trop le choix. Je m’exécute, honteuse de ce qu’il me pousse à faire mais aussi de plus en plus excitée par la situation… Alors que je remonte ma robe et me positionne mes fesses nues offertes à mon persécuteur, je sens de nouveau mon intimité s’inonder de mon jus d’amour. Mes seins me font presque mal tellement ils sont durs. Le souffle de mon copain me caresse le visage ; je n’arrive pas à savoir s’il dort ou pas…— Baisse-moi ton cul… tu as de trop grandes jambes pour moi sinon !— Aïe !...Il me gifle violemment la fesse.— Allez… et écarte-moi ça avec tes mains pour que je puisse rentrer ma queue, petite pute !— Aïe, tu me fais mal, Roger ! Non… pas par là !...— Han !!! Ahhh !... Ecarte, salope !— Arghhh ! Non !... Hmm !... Oh ouiii !... Hmm !...Je n’ai pas eu le temps de réagir… une forte pression sur mon petit œillet, mes muscles fessiers qui se contractent puis se relâchent sans aucun contrôle de ma part… le gland réussit à forcer le passage et pénètre dans mon anus. Putain, ce vieux salaud vient de m’enculer à sec ! Mon corps est saisi de violents spasmes, je me mords les lèvres pour ne pas hurler… je jouis, mon jus coule le long de mes cuisses…Roger ne me laisse pas le temps de reprendre mon souffle, m’agrippe fermement par les hanches et entame un va-et-vient, sa colonne de chair pénétrant un peu plus dans mon cul à chaque coup de rein. Il est en train de littéralement me défoncer la rondelle… et j’adore ça ! — Oh ouiiii ! Eclate-moi le cul, Roger !... Je suis ta pute soumise !...— Arghhh !... Oh ouiii !...De violentes saccades, son foutre chaud qui se déverse et me remplit le cul… je suis de nouveau aux anges, emportée par un violent orgasme. Je serre mon visage contre celui de Geoffrey, l’embrasse et lui susurre des mots d’amour…Tout a été vite, sans doute trop vite même… mais tellement intense ! Roger se retire et me gifle une nouvelle fois les fesses…— Allez, ma cochonne… finis-toi sur mon petit-fils maintenant ! D’ailleurs, il doit bander comme un taureau, le saligaud !? Et puis pour papy, c’est l’heure d’aller vite mettre la viande dans le torchon. Bonne nuit, les jeunes !...Une nouvelle fois, il me laisse tomber en plein milieu de ma jouissance, encore brûlante de désir… Je n’ai pas réagi que déjà il a quitté la pièce, après avoir néanmoins pris la peine d’éteindre la lumière.Putain, que dois-je faire maintenant ?! J’ai encore envie de baiser, mon sexe dégoulinant de cyprine et ma bouche affamée de sperme…Je glisse une main sous le drap et découvre effectivement la verge de Geoffrey, bandée à mort.— Tu dors, Geo ?!— …— Allez, Geoffrey… je sais que tu ne dors pas !...— …Oh ! Et puis merde… qu’il dorme ou pas, cela m’était parfaitement égal. Je me jette goulûment sur sa bite dressée et entame une fellation avec une fougue que je ne me connaissais pas. Mes lèvres et ma langue font corps avec ce sexe, l’aspirent, l’entourent et ressentent chacune des palpitations. J’aime sentir cet objet vivant dans ma bouche…Et puis une de ses mains m’effleure la cuisse… Sans même lâcher la verge objet de tous mes désirs, je me lance dans un subtil mouvement de tout mon corps pour venir enjamber la tête de mon copain et lui offrir mon intimité en guise de festin. Commence alors un 69 comme jamais je n’en avais vécu, où chacun se transcende, se dépasse au-delà de ce qui est imaginable, pour donner du plaisir à l’autre. Je découvre d’ailleurs un don caché de mon copain à jouer avec sa langue sur mes petites lèvres et mon clitoris, les aspirant avec une telle force que tout mon corps est secoué de plaisir. Emportée par ma jouissance, je me déhanche et m’empale sur cette langue comme si c’était une verge, abreuvant Geoffrey de mon jus et sans doute également du sperme de son grand-père. Ses doigts en profitent pour me pistonner frénétiquement mes deux orifices quand ils ne sont pas déjà occupés…J’avale quant à moi sa semence à chaque fois qu’il jouit dans ma bouche, proche de l’ivresse comme je ne l’ai jamais été auparavant…
Tous nos sens exacerbés à l’excès, nous passons ainsi une bonne partie de la nuit à nous faire jouir, multipliant l’un et l’autre les orgasmes d’une rare violence. Je ne sais pas à quelle heure exactement mais, complètement exsangue de plaisir et de jouissance, je m’endors ma tête toujours au niveau du sexe de mon copain et la sienne entre mes cuisses.
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