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En raie mineure

Chapitre 1

Trash
Par pur défi deux copines, l’une brune et l’autre blonde ont invité quatre copains pour se donner du plaisir tous en même temps. Mignonnes comme elles sont, l’hésitation qu’ils ont manifestée était compréhensible : ils croyaient à une blague, et c’est seulement parce qu’ils étaient tous ensemble qu’ils ont accepté. Jusqu’au dernier moment ils n’étaient pas rassurés. Les choses se déroulant comme prévues et malgré cette situation probablement unique dans leur vie, ils sont là et enfin totalement décrispés. Cela fait un bout de temps que les deux filles sucent indifféremment les quatre hommes qui se pressent autour d’elles. Les mains se font baladeuses et lorsqu’elles n’appuient pas sur leurs têtes pour intensifier une fellation, elles explorent les seins, les fesses et toute la zone située autour du pubis. Puis la brune ouvre le bal, se mettant sur le dos, jambes bien écartées : pas besoin d’explications, la place est aussitôt prise d’assaut. Un type manipule la blonde sur l’épaisse moquette, pour la faire mettre en levrette. Elle est habituée à cette position. Elle sait qu’ainsi exposée les hommes deviennent fous. Sa chatte épilée dont les grandes lèvres se touchent et dont les petites ne sont pas visibles, ressemble à un abricot. Un abricot assez gros, bien bombé, légèrement plus foncé que le reste de sa peau couleur miel. Au-dessus se trouve mis en évidence, le centre d’intérêt actuel de ce monsieur. Pas du tout plissé, parfaitement rond et légèrement renflé, le tout au milieu d’une paire de fesses tellement magnifiques que se sont les hommes qui en parlent le mieux. Extraits choisis : "Un cul pareil, et j’oublie qu’on peut baiser autrement !" ou "Jamais vu un aussi joli p’tit cul" ou "Çà c’est un cul !" ou "Putain ce cul !" ou encore "Le cul qu’elle a !" etc…Evidemment, elle sait ce qui va suivre, ça aussi elle y est habituée. Avec ce corps, et surtout cette chute de reins, elle a eu la chance d’avoir un copain très doux qui l’a initiée très tôt à cette pratique dite contre nature. Depuis lors, tous ses petits copains ont craqué, et tôt ou tard (mais c’était généralement très tôt, sauf pour un ou deux qui étaient très timides) l’ont essayée par là avec un réel bonheur. Bien que réputée étroite, sa pastille s’y est très bien accommodée, et elle a déjà accueilli pas mal de bites de ce côté-là. Le type, qui a la plus petite queue de tous (mais c’est un hasard que ce soit lui le premier), commence directement par la sodomiser. Après un certain temps, il s’interrompt et c’est un autre qui prend la relève, après que le gars ait testé l’élasticité de l’endroit (on devrait dire l’envers) avec un doigt. Voyant que contrairement à sa copine elle n’est pas farouche pour cette privauté, et qu’elle s’en est déjà prise deux directement par là, alors pour quelques secondes ou pour plusieurs minutes, dès qu’une queue quitte son œillet une autre la remplace, et c’est à tour de rôle que 3 bites se relayent en permanence dans son cul. Le manège dure pendant un bon moment, quand le dernier type qu’elle suçait déjà avec difficulté (il est monté comme un âne), s’installe derrière elle. Elle lui dit avec ironie et fausse candeur, d’une voix légèrement teintée d’anxiété : — Mais qu’est-ce que vous avez tous à vouloir mon cul ? Vous êtes complètement tarés ou quoi ? Et le type qui commence déjà à batailler pour lui rentrer son engin lui répond : — C’est pas impossible. Mais en attendant, reste calme et détends-toi. — "Détends-toi", tu en as de bonnes ! T’as vu l’engin que tu te payes !— Peut-être, mais j’ai envie d’en profiter moi aussi. — Sûr ! Mais ça m’étonnerait que t’y arrives. Et fais vachement gaffe ! Ne vas pas m’estropier.— Je dois t’avouer que jusqu’à présent je l’ai rarement fait. Mais rassures-toi, je vais faire en sorte qu’un canon comme toi ne me raye pas de son carnet d’adresses. Mais va y avoir du sport, t’es tellement serrée que j’ai l’impression que je vais te violer. Effectivement, malgré les copains qui ont préparé le terrain, le "petit" de la fille accepte bien un, et même deux doigts, mais résiste au nouvel envahisseur. Elle a beau être très large d’esprit, pour ce qui est de son trou mignon, c’est une autre paire de manches. Des comme ça, elle avait entendu raconter par des copines que ça existait, croyant qu’elles exagéraient, mais de toutes façons aucune d’elles ne s’était vantée d’avoir pu prendre sa température avec ! Quand le type s’était déshabillé, il était de dos. Il n’était pas très grand et avait une silhouette fine, presque maigre. En se retournant il avait dévoilé un sexe au quasi repos qui lui arrivait déjà à mi cuisse. La situation l’avait rapidement érigé à son maximum. Le contraste était saisissant, on aurait dit une pièce rapportée dans ce type fluet. Mais il fallait se rendre à l’évidence, c’était le plus gros morceau qu’elle voyait. Elle l’avait en bouche quelques secondes auparavant, et ce n’était vraiment pas un amuse-gueule ! Elle avait déjà vu des films X, et le sexe de ROCCO lui semblait le plus impressionnant qui soit, mais ce qui se balançait maintenant derrière elle, çà, c’était le summum. Pour aider les choses, le type change de tactique. Il lui pose la bite sur la moule et d’une poussée puissante et rectiligne l’investit. La fille ouvre de grands yeux ronds et aspire bruyamment. Comme un fruit mûr, sa chatte s’est écartée, en même temps que les grandes lèvres semblaient vouloir rentrer avec la bite à l’intérieur. Le type placé comme il est, voit cette barre qui écartèle ce con et ce petit cercle magique au-dessus, cela lui semble disproportionné. Malgré tout, il imprime un va-et-vient doux et lascif, et arrive rapidement au résultat escompté : la fille mouille en abondance, et la pénétration devient plaisir. Elle se sent ajustée, pleine, remplie, comblée. Très, trop (?) rapidement, c’est le pied. Le type a imprimé un rythme de métronome, ni trop rapide, ni trop lent, et il lui effleure le bouton à chaque fois qu’il envoie sa queue en avant. Projetant son bassin pour venir à la rencontre de ce véritable pal, elle jouit longuement et sans bruit. Elle se sent devenir molle, flasque, vidée (!) bien que le type aie toujours sa queue raide vissée au fond de son vagin. La fille est toute pantelante, et c’est tant mieux car il compte bien finir ce qu’il avait commencé. Il sort sa queue gluante du con de la fille, empoigne d’une main ferme sa bite avec le gland bien humecté, remonte un peu et pousse à nouveau la petite porte : — Oh non, tu ne vas pas remettre ça ! dit la blonde.Tenant son mandrin surmonté de cette tête violacée et menaçante, il répond :— Tu te trompes. Ce que je vais faire, c’est pas remettre ça, mais simplement te mettre ça.Simplement, c’est vite dit. Ça résiste encore et toujours. Visiblement il y a incompatibilité. La copine consciente de l’épreuve, est venue aider comme elle peut avec de bons coups de langue et beaucoup de salive. Mais c’est avec énormément de patience et un demi tube de lubrifiant supplémentaire, que le gland qui s’évase de façon monstrueuse sous la poussée, arrive enfin à dilater suffisamment l’anneau sensible et d’un coup se précipite à l’intérieur. Une douleur fulgurante et des étoiles qui dansent devant les yeux, la fille encaisse avec un cri sourd. — Putain, j’y suis ; éructe le type. Précision inutile. Les autres autour ont depuis longtemps délaissé la copine, qui elle aussi le cœur tapant fort d’émotion, surveille de près cette opération inhabituelle. C’est du jamais vu. Plus un mot n’est échangé. Ils ont tous la gorge sèche. Les 3 copains bandent dur. La bite du type, elle, fait un léger accent circonflexe dès qu’il appuie, et elle semble se frayer un chemin comme lorsqu’on avance dans une forêt vierge : pas à pas. Mais dans le cas présent c’est millimètre par millimètre. Spectacle hallucinant que cette fille superbe qui en prend "plein le rond". Le type lime tout doucement avec les 10cm qu’il a tant bien que mal réussi à lui mettre (il reste encore à l’extérieur la longueur d’une bite normale, soit plus de 15cm !). Dans ce silence de cathédrale, il murmure ce qui pour eux deux est une évidence : - Si tu savais les sensations que j’ai. Je ne pourrai jamais ressortir de ton cul. Elle : - Oh putain, qu’est-ce que tu es grooos !!!!Bien que dilaté hors normes, le cul de la fille est tellement resserré autour de cette bite de six cm de large (!), que le gland en reculant, est bloqué quand il tape à l’intérieur du sphincter, et le type a mal ; enfin, mal c’est beaucoup dire, surtout comparé à elle. Et la fille le sent aussi, elle qui de douleur avance quand le type appuie sa bite, et qui recule avec lui pour ne pas rester au contact de cette tête qui lui fait l’effet d’un chapeau de champignon. — Bouge surtout pas, où j’explose ; prévient le type. Mais elle est obligée, et c’est dans le même sens que le type que la fille bouge, mais à un rythme rendu différent par cette brûlure au centre de ses fesses. Entre la compression et la chaleur incroyable qui irradie de ce cul, le type sent qu’il ne pourra pas se retenir bien longtemps. Il commence à accélérer de plus en plus les coups qu’il donne. La fille que la douleur projette en avant, se retrouve à plat ventre, le cul cambré, et de ses mains elle écarte ses deux globes charnus pour tenter d’aider son pauvre petit trou à minimiser le supplice qu’il subit. Le type bande vraiment très dur et grâce au lubrifiant sa bite coulisse comme un piston. Ses mains de part et d’autre de ce cul magnifique qui se donne, c’est plus qu’il ne peut supporter. Cela lui donne l’impression qu’il n’a jamais connu ça, qu’il ne le connaîtra jamais plus et que dans ce "dernier coup" l’avenir de l’humanité est en jeu. Aussi dans une suite de couinements, il donne de rapides coups de bite, et en de multiples spasmes libérateurs sa queue sursaute dans cette femelle à chaque fois qu’il se vide à longs jets. La fille a une sensation indéfinissable, comme chaque fois qu’elle sent ce liquide chaud se déverser en elle. Il lui semble que ça coulisse mieux, mais ce qui se prélasse tranquillement dans son arrière-train la gêne horriblement. Beaucoup plus lentement le type continue à donner de petits mouvements et il sent sa queue devenir un peu plus molle. Mais contrairement au scénario prévu, au bout de cinq minutes, non seulement il n’a pas débandé, mais sa bite a repris une bonne partie de son volume et le second coup étant toujours plus long à venir car la bandaison bien plus tenace, le type peut profiter pleinement de cette enculade d’enfer. Au fur et à mesure les coups se font de plus en plus profonds. Tout le reste (et il en reste !) progresse très lentement, jusqu’au moment où les fesses de la fille entrent en contact avec le bas-ventre du type. Les mains grandes ouvertes sur cette croupe chaude et élastique qu’il tient écartelée, il lui assène alors des coups terribles. A chaque coup qu’il lui met, sa bite qui a perdu un peu en raideur, plie quand il la pousse, puis elle plonge soudain et se sont presque trente centimètres qui se ruent dans ce tunnel voluptueux. La fille, résignée, est totalement écrasée dans la position de la grenouille. Lors de ses expériences passées elle a eu affaire, obligatoirement, à quelques différences morphologiques, mais toujours dans le domaine du raisonnable. Elle n’a jamais été mise en présence d’une si grande longueur, ni surtout d’une si grande largeur. Ici il n’est pas question d’amour et un seul mot lui vient en tête de manière lancinante. Elle voudrait formuler ça d’une autre manière, plus douce voire plus imagée ou poétique, mais rien ne lui vient à l’esprit, si ce n’est ce terrible constat : "Putain, là, je me fais vraiment enculer !" Et en effet, en subissant un pilonnage intensif qui semble s’éterniser, elle se fait puissamment enculer. Les couilles du mec lui tapant en cadence contre l’entrée principale, elle se remémore la jouissance qu’elle a eue un peu plus tôt. Même si la douleur s’est estompée progressivement et a presque disparue, elle se demande si par hasard elle ne devient pas folle. Elle se met imperceptiblement à onduler du bassin d’avant en arrière, et de droite à gauche : car elle en veut ! Le type s’en aperçoit, et se remet à lui branler le clitoris en cadence. C’est le déclic qui la fait instantanément exploser. Elle part loin, très loin, et plus rien n’existe. Quand elle revient à la réalité, il ne s’est pas passé plus de quelques secondes. Elle ne s’est pas aperçue que, de sentir cette fille onduler en tous sens puis feuler sa jouissance, le type a poussé sa bite au plus loin qu’il pouvait, plus un millimètre n’était dehors (ahurissant !) et il a éjaculé à nouveau. Elle le sent (mais comment pourrait-il en être autrement !) bien planté tout au fond d’elle et immobile. Puis il se relève doucement, il empoigne sa bite, redevenue plus souple et pas mal décongestionnée, tire lentement dessus pour la faire sortir. Elle pense qu’il est bien prévenant, qu’il a tout fait pour que ça se passe au mieux, quand le gland vient buter derrière l’entrée la plus étroite de sa personne et lui rappelle immédiatement, que ce qu’elle hébergeait par le petit trou de la lorgnette, ce n’était pas du cinéma. Une vive douleur au moment du retrait puis c’est la libération, suivie d’une sensation de brûlure. Les autres se mettent à bouger au ralenti, comme au sortir d’un rêve, totalement hypnotisés par ce qui restera pour eux, jusqu’à la fin de leur vie une sodomie d’anthologie. Avec tout ça, ils ont du retard à rattraper. Simultanément et sans aucun ménagement, les 3 copains se ruent sur la brune pour la prendre, et ça tombe bien, cette scène lui a aussi mis le feu : ses trois orifices sont devenus avides et voraces. — Toi mon chou, dit la blonde, ça m’aurait déplu de pas te connaître. Avant toi, la sodomie c’était le plaisir de faire plaisir. Dans des conditions particulières, quelques fois ça a même été très agréable, mais j’en avais rarement vraiment joui. Dorénavant, pour outrepasser la douleur et pour un plaisir aussi intense, j’ai envie que régulièrement tu viennes m’élargir. Maintenant que j’ai vu, mais surtout senti, de quoi tu es capable avec ce putain de bâton d’amour, si tu promets de faire aussi attention qu’aujourd’hui, et si tu prends le temps de rendre une visite de courtoisie à mon minou, mon cul t’offre un abonnement à vie. — Vu le handicap que l’on vient de franchir toi et moi, ça crée des liens … disons étroits, sans jeu de mots. Comment veux-tu qu’un type puisse dire non à une proposition pareille, venant d’une fille aussi belle, aussi gentille et aussi … ouverte, que toi ? D’ailleurs, je crois que je suis en train de tomber amoureux.— Ah bon ? De moi, ou tout simplement de mon cul ?— Soyons francs. De ton cul bien sûr ! Et à la folie ! Mais de toi, je sens que ça ne saurait tarder. — Merci, répond-elle simplement. Après quoi elle rajoute : - Et toi ma grande, qui n’as pas perdu une miette du spectacle et qui devais mouiller comme une fontaine, si t’es sage je te le prêterais, quoique j’en sois déjà un peu jalouse. Je sais que tu as une chatte que paradoxalement tous les mecs trouvent serrée, et qui pourtant avalerait n’importe quoi, mais je te mets au défi de pouvoir te le prendre dans le fion.Vu le fait que la copine brune ne l’autorise que de manière exceptionnelle, la belle bite (mais d’une taille standard) qu’elle était en train de se prendre dans le cul lui semblait très largement suffisant, et était pour elle à la limite du supportable. Néanmoins elle dit crânement : - Chiche ! Mais jamais elle ne mit ce projet à exécution.
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