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Randonnée avec ma grande cousine infirmière

Chapitre 2

Erotique
Chapitre 2
Il fait petit jour. La lumière pénètre doucement à travers la toile de tente. Je viens de me réveiller. Oh oui… je me souviens… hier, la chute dans l’eau glacée, ce froid, ma cousine qui s’occupe de moi… et puis plus rien n’est clair, seulement le froid, le froid, le froid... Je me retourne dans mon sac de couchage et je vois le visage de Cécile tout près du mien. Tiens, nos deux sacs de couchage sont réunis… visiblement on a encore dormi ensemble. Oui oui, je me souviens un peu maintenant… elle m’a massé et frictionné pour me réchauffer. Mais je sens ses jambes nues… Et moi aussi je suis tout nu ! Purée c’est quoi ce bordel ? !
**********
J’ouvre les yeux. C’est le petit jour. Mon cousin est face à moi et me regarde avec un air ahuri ! -    Ben alors Jean, t’as vu un ours ou quoi… En tout cas, t’as l’air bien réveillé et tu n’as plus l’air d’avoir froid ni d’être malade… hier soir je t’avoue que je n’en menais pas large…-    Ah bon… … d’ailleurs, à ce propos… qu’est ce qui s’est passé exactement ?-    Ah oui… c’est vrai que tu étais plus ou moins dans les vapes… Alors… en fait… tu n’arrivais pas du tout à te réchauffer après ta chute - tu te souviens de ta chute ? -    oui, oui, tout jusqu’à la tente…-    Alors oui, voilà, j’ai soigné tes plaies, tes hématomes… -    Ah oui ça je m’en souviens un peu…-    et puis je t’ai fait boire une soupe mais comme tu ne te réchauffais toujours pas et étais en hypothermie, je t’ai d’abord frictionné comme une malade. Comme ça ne suffisait toujours pas, j’ai employé les grands moyens… -    c’est-à-dire ?-    Quand une personne a trop froid, une des solutions si on n’a pas mieux sous la main c’est de lui donner ta propre chaleur… Pour ça il faut faire un contact direct, peau contre peau, avec le maximum de surface de contact, et si besoin continuer à frictionner les deux peaux ou bouger pour créer encore plus de chaleur... C’est ce que j’ai fait…. -    Ah… je vois… c’est pour ça que je suis… tout nu ?… et… toi aussi, donc, tu es toute nue ?-    Oui… enfin j’ai quand même passé un t-shirt dans la nuit… un des tiens qui n’était pas très mouillé, pour le sécher.-    C’est gênant quand même…. tu m’as vraiment vu et touché…  tout nu …?-    Ben tu sais, je n’avais pas vraiment le choix, c’était une vraie nécessité médicale et je n’avais pas de moyen d’appeler les secours sauf à te laisser seul pendant un bon moment. J’ai préféré tout tenter avant d’en arriver là…. Donc oui, je t’ai vu tout nu, je t’ai touché, je me suis frottée contre toi longtemps et on a dormi nus collés l’un contre l’autre ! Mais bon, c’est pas un drame non plus ! Ca m’arrive tous les jours à l’hôpital de voir des gens nus. Et ça a marché et là tu as l’air plutôt en bonne forme par rapport à hier. Moi en tout cas ça ne me dérange pas. J’en ai vu d’autres comme infirmière… Et d’ailleurs, je ne suis pas non plus hyper pudique… Quand on fait du trekking il ne vaut mieux pas… disons qu’il y a pas mal de situations où l’intimité est assez réduite. -    C’est vrai… aux scouts aussi, sauf qu’il n’y a que des mecs ! Mais bon… ça ne me dérange pas non plus puisque c’était la seule solution… c’est comme si j’étais allé chez le médecin ou à l’hosto… Je te remercie pour tout ce que tu as fait pour moi… tu dois me prendre pour un gros boulet…-    Mais non, je t’ai trouvé très courageux au contraire après ta chute. J’aurais dû te faire te changer tout de suite, mais  je ne voyais pas comment faire avec cette pluie battante… et d’ailleurs en fait tu n’avais plus beaucoup de vêtements secs. A ce propos, il faut qu’on trouve une solution pour aujourd’hui…. Il ne pleut plus on dirait. On peut refaire du feu et essayer de faire sécher tes vêtements les moins humides avant de partir… Et on va raccourcir l’étape : il faut passer le col mais ensuite on peut arriver assez vite à une vieille cabane de berger, abandonnée mais encore habitable j’espère. On va s’arrêter là au lieu de descendre au lac où je pensais bivouaquer. Il y a une cheminée. Si elle est toujours fonctionnelle on pourra faire du feu et étendre tes autres vêtements, ils devraient sécher dans la nuit.  Je vais sortir faire le feu. Reste là pour l’instant, continue à te reposer, tu en auras besoin. Je prends ton deuxième pantalon, il est juste un peu mouillé en bas, je te le ramène une fois sec. Je vais faire pareil avec ton coupe-vent. Je vais essayer de voir si je peux te sécher tes chaussettes aussi, mais elles sont toutes très mouillées. Sinon tu prendras les miennes que tu as aux pieds. J’ai dormi avec ton t-shirt, il est sec maintenant. Et tu as un caleçon sec au fond de ton sac, en tout cas c’est là où je l’ai quitté la dernière fois ! Et tu devrais pouvoir enfiler ma polaire, moi je mettrai un pull. -    Et mes chaussures ?-    Je m’en suis occupée hier soir… elles ont dû bien sécher déjà…-    Comment t’as fait ?
-    Des galets chauffés au feu, à l’intérieur de chaque chaussure, dans une chaussette. -    Et ça fait pas tout fondre ? -    Non, le seul truc qui craint c’est les semelles et je les ai retirées, je vais les faire sécher sur une pierre maintenant. Et si tes chaussures ne sont pas tout à fait sèches je vais remettre des galets.-    Alors là t’es trop forte ! J’aurais jamais pensé à ça !-    C’est ça l’expérience mon petit mec !Ma cousine sort du sac de couchage. Elle s’accroupit pour fouiller dans son sac à dos. Je n’en crois pas mes yeux… elle n’a pas de culotte et j’ai une pleine vue sur ses fesses lorsque le t-shirt remonte. Putain, c’est vraiment beau les fesses d’une fille… Elles sont larges, blanches, musclées et charnues à la fois… Elles doivent être douces… Je n’ai jamais regardé ma sœur comme ça… pourtant je les ai vues plus d’une fois ses miches. Faut dire, elle est tellement conne, ça aide pas à rêver…. Alors que Cécile… c’est vraiment une super-woman…. Elle sort un shorty de son sac, s’assoit en me tournant le dos aux trois quarts et l’enfile. J’ai à nouveau une belle vue, furtive, de ses fesses nues lorsqu’elle se relève et remonte son short de coton sur ses hanches. Mais j’hallucine, elle enlève le haut ! Elle pivote légèrement vers moi et me lance le t-shirt. Je vois sa poitrine nue, de profil. Elle est magnifique. Ses seins ont une belle forme de pomme bien pleine, ils se tiennent fermement sans retomber, le téton pointe un peu, pas des seins énormes de bimbo, mais pas non plus des petits seins, je n’ai aucune idée de la taille que ça fait, je dirais quand même bien plus gros que ceux de ma sœur et je crois savoir qu’elle fait du 85B.-    Tiens ! C’est pour toi. J’espère que ça ne te gêne pas que j’aie dormi avec !-    Euh, non… non non…. C’est… c’est gentil de me l’avoir séché…-    Ben fais pas cette tête-là mon Jeannot ! T’as jamais vu les seins d’une fille ? -    Euh, si si … ma mère évidemment, et ma sœur parfois, elle est du genre un peu exhib, ça la fait marrer mais c’est surtout très ridicule…. mais bon, c’est pas pareil….-    Ah bon…. Alors je les cache ! Elle serre un bras contre sa poitrine. -    C’est mieux comme ça ? On avait bien dit qu’il ne fallait pas être trop pudique en randonnée, surtout en bivouac, non ? En tout cas comme ça on est presque à égalité…-    C’est vrai… En tout cas tu es très belle. Tous les mecs doivent être à tes genoux !-    Ben pas vraiment justement ! Mais bon, c’est un autre sujet ! Un vaste sujet ! Merci pour le compliment en tout cas. Tu es vraiment un chou mon Jeannot. -    Je déteste ce diminutif ! Mais bon, vu tout ce que tu as fait pour moi, je t’autorise à l’utiliser. Mais seulement quand on est seuls !-    OK, Jeannounet ! -    Ah non, faut quand même pas pousser !-    T’es trop mignon !!! En tout cas, puisqu’on est dans les compliments, toi aussi t’es beau gosse mon Jeannot.-    Euh…. vraiment… t’es sûre ?-    Vraiment…. et je te connais entièrement maintenant…Elle a dit ça en se penchant vers moi. Elle passe un bras de chaque côté de mon corps et se baisse pour déposer un long un baiser sur mon front. Maintenant ses lourds seins blancs sont à nouveau pleinement sous mon regard, à quelques centimètres de moi, suspendus au-dessus de ma poitrine…. Ils sont pleins, ils sont beaux… la gravité les attire vers mon torse… Je rêve…. C’est magnifique…. Elle colle sa joue contre la mienne et me chuchote à l’oreille :-    Tu m’as fait sacrément peur mon Jeannot. Je suis contente de te retrouver. Et tu n’es pas du tout un boulet. J’adore randonner avec toi.Sur ce, elle se relève, retourne fouiller dans son sac. Elle sort un soutien-gorge, un t-shirt, un pantalon et un gros pull, qu’elle enfile, en me tournant le dos cette fois. Puis elle sort de la tente.
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Purée. A quoi je joue avec Jean ? Qu’est-ce qui me prend ? C’est encore à peine plus qu’un gamin et je joue à l’allumeuse ou quoi ? Faut vraiment que je sois en manque…. Mais non, c’est autre chose. Rien de vraiment sexuel. Je l’aime vraiment bien ce garçon, il est très touchant, je me sens proche de lui et j’ai eu tellement peur hier… Et c’est pas facile son âge… même à 18 ans on est encore en pleine construction de soi, et putain qu’est-ce que j’en ai chié avec tous ces connards et ces pétasses qui te bourrent de complexes alors qu’ils ne valent pas mieux et ne sont pas plus sûrs d’eux-mêmes ! Comme il n’est pas encore très formé, ils doivent s’en donner à cœur joie, ça ne doit pas être facile à vivre pour lui. J’espère que je pourrai l’aider à prendre un peu plus confiance en lui. Déjà avec cette rando, c’est la première qu’il fait en autonomie en montagne pendant plusieurs jours je crois. Pour le coup il en gardera une sacrée expérience ! Purée, heureusement que ça s’est bien terminé… je serais morte s’il lui était vraiment arrivé quelque chose de grave. Il est sous ma responsabilité… il faut que je fasse encore plus attention...Ca fait une heure maintenant, le pantalon et le coupe-vent que j’ai posés sur des pierres près du feu ont bien séché je crois. Les chaussettes c’est pas encore ça. Pas grave, il gardera les miennes pour aujourd’hui. Les chaussures ça devrait aller, encore un peu mouillées autour du col mais au moins il aura les pieds au sec. Bon. Je vais profiter que Jean dorme encore pour faire ma toilette. J’ai été chercher de l’eau au ruisseau tout à l’heure. Je mélange à l’eau glacée de la montagne un peu du reste de celle que j’ai chauffée pour le petit dej et pour remplir nos thermos, histoire d’éviter de me geler trop les miches ! Toilette de petit chat, mais même dans les conditions extrêmes j’essaie toujours de le faire un minimum, pour éviter les infections, sans parler des odeurs ! Certains s’en passent peut-être, mais pas moi. Déformation professionnelle peut-être. J’enlève le haut et je commence à me passer un gant de toilette sur le buste et sous les aisselles. Mais il faut surtout soigner les zones les plus sceptiques. Je me recouvre le haut et je baisse mon pantalon et mon shorty pour me laver les parties intimes. Puis je passe aux pieds, le point le plus crucial pour les randonneurs.
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Après le lever de Cécile je me suis rendormi. Je viens de me réveiller à nouveau, il fait bien jour maintenant. Je passe la tête hors de la tente, et je reste scotché. Cécile est debout près du feu, dos à moi. Elle a le pantalon baissé, les fesses à l’air. Je comprends qu’elle fait sa toilette. Wow, elle est courageuse, ça caille, c’est carrément une guerrière ma cousine ! Je la vois passer consciencieusement un gant de toilette entre ses cuisses. Elle descend sur ses jambes puis remonte par derrière sur ses fesses, elle passe et repasse avec soin le gant entre les lobes fessiers et entre ses jambes, puis se penche pour le rincer dans sa gamelle en aluminium posée devant elle. Elle recommence avec le gant propre. Elle se penche à nouveau pour ramasser sa serviette. A chaque fois que son bassin bascule vers moi j’aperçois un sillon de poils noirs touffus entre ses cuisses, qui remonte et disparaît entre ses belles fesses blanches. Elle se sèche bien soigneusement puis se baisse pour remonter son pantalon. Elle s’assoit et commence à enlever ses chaussures, elle va sûrement se laver les pieds. Mince ! il ne faut pas qu’elle me voie en train de la mater comme ça ! Je referme doucement la tente et me rallonge. Purée, j’ai une trique monumentale ! Qu’est-ce qu’elle est belle ma cousine ! Pourquoi n’ai-je que 18 ans ? J’ai trop envie de l’embrasser, de saisir ses magnifiques fesses de femme larges et charnues, de la dévorer partout, de lui faire l’amour ! Il faut que je me soulage… Je n’en peux plus. Je commence à me masturber. Je suis tellement excité que ça vient très vite. Merde ! J’ai même pas pensé à prendre un mouchoir ! Je recouvre in extremis mon gland avec le prépuce et j’éjacule à l’intérieur. Je pince très fort l’extrémité du prépuce qui se gonfle de mon sperme comme un ballon prêt à éclater ! Vite je me lève et je fouille de ma main libre dans mon sac à dos. J’en sors un mouchoir, humide évidemment mais vu sa destination ce n’est pas un problème ! Je me vide dans le mouchoir quand j’entends la fermeture de la tente s’ouvrir. -    Ben alors ma petite marmotte ! Faut quand même pas abuser ! J’ai pas envie de bivouaquer ici pendant 3 jours !Cécile vient de passer la tête à l’intérieur de la tente alors que je me retourne à peine, encore à genoux. Je vois son regard descendre vers mon entrejambe. Je remonte vite un coin du sac de couchage, mais c’est sûr elle a tout vu ! Mon sexe était encore à demi bandé… putain la honte ! Je dois être rouge comme une tomate.-    Oh excuse moi, j’aurais dû m’annoncer… euh, pardon, euh, je suis désolée… Euh tiens, voilà, ton pantalon, il est sec…
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Je ressors de la tente comme un boulet. Merde ! Quelle conne ! Je pense avoir assez bien compris ce qu’il faisait… et ça ne me choque pas du tout d’ailleurs, c’est naturel. Surtout à son âge et vu la nuit qu’il vient de vivre. Moi je pense que je me serais astiqué le minou pendant des semaines après un truc pareil ! Mais je suis hyper gênée de l’avoir vu dans cette posture. Vu comme il a rougi il doit être mort de honte. Moi qui voulais lui donner confiance en lui, c’est gagné ! Il faut que je fasse comme si je n’avais rien vu ni compris… il y croira peut-être. En tout cas, apparemment, j’ai provoqué une belle réaction virile chez ce joli petit mec… enfin, je suppose que c’est moi…. c’est assez flatteur et excitant…. Mais putain Cécile, arrête tes conneries !!!! C’EST TON COUSIN !!!! ET IL A TOUT JUSTE 18 ANS !!!!!!
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Je m’habille et je sors de la tente. Je suis hyper gêné. Cécile est en train de préparer des pâtes.-    Tu n’as pratiquement rien mangé hier soir, moi non plus d’ailleurs. Il faut prendre des forces alors je nous ai préparé des pâtes, les meilleures amies des randonneurs.-    C’est gentil. Mais tu sais il ne faut pas que tu fasses tout… je peux aussi participer. -    OK, mais bon là vu les circonstances…. Mais c’est d’accord ce soir c’est toi qui nous prépares le dîner et demain je veux un petit déj au lit ! Pour les croissants il y a une boulangerie à 2 jours de marche je crois !Ok, visiblement elle veut qu’on fasse comme si de rien n’était et elle essaie de détendre l’atmosphère. C’est sympa de sa part et franchement, ça m’arrange !-    Tu es super marrante toi, en fait, on dirait !-    C’est ça, fous toi de moi. N’empêche que sans moi….-    Ouais ouais c’est bon… -    Bon, en attendant, mangeons. Ensuite j’irai au ruisseau remplir les gourdes. Tu n’auras qu’à en profiter pour faire ta toilette. -    Hein ??! Mais t’es folle, ça caille ! -    Oui, mais moi je refuse de dormir avec un putois ce soir ! Et, sans déconner, c’est pas parce qu’on est en rando qu’il faut négliger l’hygiène. Sinon tu risques d’avoir des infections cutanées, ou même pire, surtout au niveau génital si tu vois ce que je veux dire. Mais il faut surtout bien te laver les pieds, quand tu marches c’est ta vie qui en dépend !-    Ok, ok… je vois que madame l’infirmière ne lâche rien… mais je fais comment ?-    Je te laisse le reste d’eau chaude et de l’eau du ruisseau dans ta gamelle, ça fera de l’eau tiède comme ça tu ne te gèleras pas trop tes petites coucougnettes !-    ….-    Ben rougis pas ! T’inquiète elles sont tout à fait de taille normale à ce que j’ai vu ! et le reste aussi d’ailleurs ! -    ….Je quitte dans un éclat de rire mon petit cousin rouge comme une pivoine et je descends au ruisseau. Quand je remonte il est complètement habillé et a fini son sac, il a même fait le mien à ce que je vois ! Le feu est éteint et il est en train de plier la tente…-    Waouh ! T’es super efficace quand tu veux ! Je vais y prendre goût, moi. C’est pas mal du tout en fait d’avoir un domestique en rando !-    Ah ah ah ! De plus en plus drôle l’infirmière on dirait… -    Ben oui, j’ai eu le prix de l’infirmière la plus marrante de France. Et aussi de la meilleure randonneuse, alors mon petit gars on a assez traîné. Il est déjà 10 heures, même si on va faire une étape courte il faut y aller.
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Nous voilà repartis. Ca grimpe moins qu’hier, mais on est plus hauts en altitude. Heureusement aujourd’hui le ciel est parfaitement dégagé et la vue sur les sommets et les lacs est époustouflante. Chacun s’est renfermé dans sa bulle et profite à fond de ces moments intenses. Cécile grimpe toujours devant. Il y a de nombreux névés à traverser mais elle s’assure à chaque fois que c’est sans risque et elle me guide de la voix presque pas à pas ! Elle flippe depuis hier j’ai l’impression. Mais j’assure, je suis hyper vigilant, et pour l’instant tout se passe bien, j’espère que petit à petit elle va se détendre. Lorsqu’elle marche devant je ne peux m’empêcher de fixer de temps en temps son magnifique postérieur moulé dans son pantalon. J’imagine ses belles fesses blanches, à nouveau nues et ondulant à quelques mètres devant moi… envoûtantes et inaccessibles.A midi, on est au col. On décide de manger là en profitant du paysage à 360 degrés. Devinez le menu : pâtes froides et saucisson, avec quand même un peu de sauce tomate ! C’est sûr, en rando en autonomie on ne fait pas dans la gastronomie. Mais on s’en fout. Tout est sublime dans cette journée. Malgré ma mésaventure je ne regrette pour rien au monde d’être venu… surtout avec Cécile… Cécile….
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Ce paysage est vraiment magnifique. Vue sur les sommets encore enneigés, les glaciers et les lacs en contrebas, des deux côtés de la crête. C’est vraiment une superbe rando à faire à cette époque. Mon petit cousin a bien assuré ce matin. Pas de problème pour traverser les névés et autres passages délicats, il était concentré et prudent, ça m’a un peu soulagée. Mais c’est maintenant dans la descente que les risques sont plus importants. Mais je crois qu’il a compris. C’est vraiment un bon marcheur, bien sportif… Franchement, même si ce matin c’était une boutade, je me verrais bien repartir avec lui à l’avenir. Surtout qu’il va devenir super canon d’ici quelques années ! Je pourrai me la péter avec un apollon de presque dix ans de moins que moi !
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On marche à nouveau depuis bientôt deux heures. La descente est rude pour les genoux. Je suis crevé, j’ai les épaules sciées par mon sac à dos, mais il faut rester super concentré si je ne veux pas me vautrer à nouveau comme hier. Vu la pente, ça ne pardonnera pas. Mais j’ai l’impression qu’on aperçoit l’abri de berger dont m’a parlé Cécile. -    Ca y est cousin, on touche au but ! On va dormir dans la cabane qu’on voit en bas au milieu du pâturage. Il y a une source juste à côté.-    Ah cool ! Cette descente me tue !-    Eh oui, en montagne le plus dur c’est souvent la descente. On y sera dans une demi-heure. T’as super bien assuré mais ne relâche pas ton attention ! Le chemin descend à flanc de ravin pendant les dernières centaines de mètres, il y a beaucoup de cailloux et c’est quand on fatigue qu’on fait des erreurs…-    Oui oui t’inquiète pas ma Cécile, je vais faire hyper gaffe. J’ai pas envie que cette fois-ci tu me ramasses en morceaux !-    Oui s’il te plaît, j’ai déjà vu pas mal de morceaux de bonhommes quand j’ai fait un stage au SAMU. Ca m’a suffi, merci ! Les tiens de morceaux je les préfère quand ils sont tous ensemble !-    Purée, je sais pas comment tu fais pour faire un métier pareil….-    Ben tu sais, il y a quand même des satisfactions. On aide vraiment les gens dans des situations où ils sont totalement dépendants, fragiles. C’est très valorisant et ça donne parfois des moments très émouvants. Il y a aussi des moments durs… mais on les vit en équipe et il y a une sacrée solidarité entre nous, en tous cas dans l’équipe infirmière et d’aides-soignants… avec les médecins c’est pas toujours ça, ça dépend mais il y a des sacrés gros cons… eux je ne sais pas si j’irais les chercher en bas du ravin ! -    OK, ben si je veux continuer à randonner avec toi il vaut mieux pas que je fasse médecine alors !-    Ca dépend, t’es pas obligé de devenir un gros con ! Il y en a aussi de très bien… Et ils gagnent nettement mieux que nous ! Tu pourrais devenir un très beau parti, et je suis sûr que tu en as la capacité ! Un médecin aussi canon que toi, waouh ! !! attention les minettes !-    Euh…. tu déconnes là ou pas ? tu crois vraiment que je suis canon ?? parce que c’est pas vraiment ce que me dit ma sœur ! ni les filles de ma classe… -    Peut-être mais là tu parles de l’avis de fillettes à peine pubères et pleines de boutons ! Moi je te donne l’avis d’une femme qui a quand même un peu plus de recul et d’expérience, sans me vanter…. Et oui, je te trouve tout à fait charmant. Un vrai visage d’ange, grand, sportif, hyper gentil, attentionné et intelligent ! Franchement, je t’assure que c’est tout ce qu’attendent les femmes. Les vraies, je veux dire… pas les petites pétasses... Et puisque tu en parles, sache que je serais ravie de repartir avec toi un de ces jours.-    T’es vraiment gentille Cécile…. T’es la seule fille que je connaisse qui soit aussi cool et gentille, en plus d’être une super-woman, et super belle ! J’espère vraiment que c’est toi qui as raison !-    T’es mignon. Allez, on continue cousin. On y est presque !
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