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Randonnée avec ma grande cousine infirmière

Chapitre 7

Erotique
Chapitre 7
Nous reprenons notre marche en silence. La nature en cette fin de printemps est sublime. Les rapaces tournent dans le ciel, des marmottes sifflent, les oiseaux piaillent de tous côtés dans cette vallée. C’est Jeannot qui marche devant. Je le regarde. Il est beau. 18 ans ! Même pas en avance sur son âge…un visage d’enfant… comment puis-je être séduite par un gamin ? C’est dingue… Le pire, c’est qu’il m’a fait jouir comme personne ! Enfin si, quelqu’un d’autre, mais ça je préfère ne plus y penser, jamais… En tout cas je l’ai laissé me faire des choses que je n’avais jamais autorisé personne à me faire. Et j’ai adoré ! Ce gamin me rend folle. Comment vais-je faire pour me sortir de cette histoire ? Il est vraiment accro, c’est sûr. Forcément, je suis la première… et en 24 heures je lui ai presque tout montré. Mais il me trouve réellement belle je crois, ça n’a pas l’air d’être des compliments en l’air. C’est fou qu’à son âge il s’intéresse à moi, alors qu’il y a tant de petites minettes qui sont de véritables bombes. Mais bon, ne cherchons pas à comprendre, c’est tellement agréable de se sentir désirée… Tout à l’heure j’étais tellement bien, entièrement nue devant lui, exhibée en plein soleil, sachant qu’il me dévorait des yeux… Si au moins ce n’était pas mon cousin… Ca ne peut pas se finir bien…  c’est vraiment trop con…Petit à petit nous approchons du dernier lac, où nous devons bivouaquer. Il est 19 heures 30 quand nous arrivons. Il n’y a absolument personne. En plein été on aurait sûrement eu des voisins. Le soleil est déjà passé derrière la montagne depuis un bon moment, et il commence à faire frisquet. Nous nous habillons un peu plus chaudement. La tente est installée rapidement. Jeannot part chercher du bois un peu plus loin, je commence à préparer le feu avec les branchages les plus proches. Quinze minutes plus tard, l’eau est en train de chauffer pour les pâtes et la soupe. Personne n’est très bavard ce soir. La fatigue… et puis, la fin du voyage qui approche… Nous mangeons presque en silence. Je ferais quand même bien un petit tour du lac… histoire de profiter vraiment au moins une fois de la nature au crépuscule. Jeannot me dit qu’il est trop crevé, il préfère rester là. Je pars seule.
Lorsque je reviens il est 22h30. Le feu est éteint, plus personne dehors. Jeannot doit être allé se coucher. Je m’approche de la tente et j’entends sa respiration… il dort en effet. Je reste encore un peu dehors pour guetter les premières étoiles. En cette fin juin, c’est plutôt vers minuit qu’on aura un vrai ciel étoilé. Tant pis, je suis crevée… Je vais me coucher moi aussi. Jeannot est trop mignon, il a remis nos sacs de couchage comme les nuits précédentes, en un seul lit. Je commence à me déshabiller. Je cherche mon t-shirt et mon short. Celui-ci est plein de tâches de sperme ! Mince, j’avais oublié à quoi il m’avait servi ce matin. Je regarde tendrement le responsable… il dort comme un enfant… J’ai l’impression qu’il est torse nu. Je soulève le sac de couchage… en fait, il est complètement nu. On dirait que monsieur avait des idées derrière la tête ! Mais cette fois-ci la mécanique n’a pas tenu le coup. Je le regarde. Il est beau, tellement beau, mon petit homme au visage d’ange, endormi. Moi aussi j’aimerais bien me glisser nue contre lui… dormir dans ses bras. Qu’est-ce qui m’en empêche ? J’enlève ma culotte, mon soutien-gorge, et je me glisse dans le lit… Je me blottis contre le corps nu de mon amoureux. Mon amoureux !!!??? Oh la la, c’est vraiment de la folie furieuse… Mais c’est tellement bon… Jeannot se serre contre moi, il passe un bras autour de ma taille. Et dépose un baiser dans mon cou…
-    Bonne nuit ma Cécile…je t’aime…-    Bonne nuit mon Jeannot… je…t’es… un amour… tu me fais du bien…tellement de bien.
Jeannot se rendort quasi instantanément. Je ne tarde pas à sombrer aussi.
Un besoin pressant me réveille en pleine nuit. Oh la la, il faut que je sorte… Pas le choix. Je passe mon pantalon, ma polaire, et je sors de la tente en silence. Dehors, le ciel est sublime. La voie lactée est pile au-dessus de la vallée, la lune est dans son dernier quartier, sa lumière ne nous gène pas, il y a des millions d’étoiles qui nous regardent. Il faudrait vraiment que Jeannot voie ça… Pendant que je me soulage, je ne cesse de regarder le ciel. Puis j’entends du bruit dans la tente. Jeannot se lève lui aussi. Il sort avec juste sa polaire sur le dos, et va uriner. Il n’a pas froid ! Je vois ses belles petites fesses blanches. Tiens, finalement c’est pleine lune aujourd’hui ! Je me relève et vais vers lui. Il a fini. Il se retourne… avant qu’il ne dise un mot je me serre contre son torse. Il m’enlace.
-    Regarde comme le ciel est magnifique mon Jeannot.-    Oui. C’est fantastique. Je ne sais pas si j’ai déjà vu autant d’étoiles. Et ce qui est sûr, c’est que je n’en ai jamais eu d’aussi belle dans mes bras…
Je fonds. Quel charmeur ce Jeannot ! Je n’aurais jamais soupçonné ça chez lui. Moi qui le voyais encore comme un gamin de 12 ans avant cette rando. Il dépose un baiser sur mon front. Je me serre encore plus fort contre lui. Je suis tellement bien dans ses bras… des bras d’homme, oui… 18 ans… encore un peu enfant, mais c’est bel et bien un homme… en devenir. Nous restons ainsi un bon moment, puis je sens Jeannot qui frissonne. Ah non ! Ca va pas recommencer ! Faut dire, quelle idée de sortir cul nu ! Je passe mes mains sur ses belles fesses, elles sont gelées. Je lui donne une petite tape sur la fesse droite.
-    Allez mon grand. Tu as le cul glacé je te signale. Et personnellement je préfère quand il est bien chaud ! Alors on rentre. Je ne veux pas avoir à recommencer mon opération de sauvetage d’avant-hier !
Nous rentrons dans la tente et retrouvons notre lit commun, à nouveau nus, couchés l’un contre l’autre, face à face. Je regarde mon petit mec, mon chéri... Il me regarde. Amoureusement. On est vraiment dans la merde… Il passe sa main sur mon visage, dans mes cheveux. Je le laisse faire, je frotte mon front contre sa joue… ma bouche dépose un baiser dans le creux de son épaule… je sais comment ça va finir, mais je ne résiste pas, je n’attends que ça… Mon Jeannot, mon amour… oh non… Mon mec… qui me renverse sur le dos, très délicatement. Il me couvre de baisers. Mon visage, mon buste, mes seins, mon ventre, mon pubis…ooooh…. mes jambes, mes pieds. Il dévore mes pieds, suce mes orteils ! Il s’est accroupi face à moi, il pose mon pied droit sur son entrejambe. Je sens son sexe dressé. Je commence à le masser légèrement, le caresser de mon pied… je titille ses couilles qui dépassent entre ses cuisses… Jeannot soupire, il gémit. Mon pied remonte, mes orteils caressent son ventre, massent son torse, chatouillent son cou, câlinent sa joue… Il reprend mon gros orteil dans sa bouche, le suce, puis il lèche tout mon pied… avidement. Moi aussi je commence à être très sensible à ce petit jeu… je me touche les seins, titille mes tétons. Ma chatte est trempée… Jeannot est encore plus excité, il continue à dévorer mes pieds, l’un après l’autre… Puis je replie mes jambes et écarte les cuisses… Jeannot comprend l’invitation et s’allonge entre elles... Nos bouches fusionnent… Nous ne cessons de nous caresser, de nous couvrir de baisers…. Enfin, je lui fais signe en inclinant légèrement mon bassin… Jeannot guide son sexe vers mon vagin. Cette fois-ci tout est très lent, extraordinairement tendre. Nous ne cessons de nous embrasser alors qu’il commence à battre doucement le fond de mon antre… Notre accouplement dure des heures… du moins c’est ce qu’il me semble. C’est divinement bon… tellement tendre… une communion… Finalement, Jeannot accélère, me pilonne plus violemment, se redresse sur ses bras et jouit en moi. Trois longue secousses dans un râle étouffé… Alors c’est le miracle. Son éjaculation déclenche en moi un orgasme étrange, lent, profond, qui monte comme une énorme vague venue du large et qui submerge mon corps et mon âme… je crie…. longtemps… longtemps… un cri silencieux… puis un soupir expulsé par mon corps, dans une courte et violente secousse. Tout mon corps tremble…. Enfin, je reste immobile, en extase, pendant de longues minutes. Jean est affalé sur moi. Je lui caresse le visage, le dos, les cheveux... Je nous recouvre du sac de couchage. Nous sombrons bientôt dans le sommeil.
**********

Je me réveille. Il fait déjà bien jour. Cécile est dans mes bras, lovée contre moi en chien de fusil. Je l’embrasse. Elle ouvre les yeux.
-    Ho la la, quelle heure est-il ? On doit être hyper en retard !-    Bonjour ma Cécile !-    Ah oui, désolé mon Jeannot. Bonjour.
Elle se retourne vers moi et dépose un baiser sur mes lèvres.
-    Mais on a déconné là mon bonhomme. Il doit être au moins 9 heures. Il faut qu’on décolle vite.
Elle se lève et fouille dans son sac à la recherche de ses vêtements. Je ne peux m’empêcher de rester la regarder. Son cul penché, face à moi…. Mon dieu…
-    Allez bouge-toi Jeannot, au lieu de rester mater mon cul ! Je sais que tu l’aimes, mais là c’est vraiment pas le moment.-    Je l’aime pas, je l’adore !
Je me lève. Je dépose un baiser et une longue caresse sur sa fesse droite.
-    Allez, calme-toi mon petit ! Ah la la, tu es insatiable… J’ai plus l’âge moi !-    En attendant mamie, n’oubliez pas l’hygiène ! C’est pas parce qu’on est en retard qu’il faut oublier la toilette. Vu le passif de cette nuit… Il faut que je vous porte madame ?-    T’es même pas cap !-    C’est ce qu’on va voir !
Nous prenons nos affaires de toilette et je la pousse dehors de la tente. Une fois dehors, je la soulève dans mes bras. Ouh, j’ai un peu surestimé mes forces je crois ! Mais je mets un point d’honneur à avancer vers le lac. Je manque de trébucher plusieurs fois et c’est en hurlant de rire que nous y arrivons finalement. J’ai réussi ! Et pour une fois c’est moi qui lui ai cloué le bec.
-    Bravo Jeannot ! T’es carrément costaud en fait !
Elle tate mes biceps, caresse mes pectoraux, me donne un long baiser sur la bouche et une claque sur la fesse. Puis elle se dirige vers l’eau et commence ses ablutions… Je la regarde…
-    Mais arrête sale petit pervers ! Lave-toi !
 J’obéis… La toilette terminée, nous retournons vers la tente. C’est alors que nous apercevons un peu plus loin sur la rive un pécheur… qui se dépêche de détourner le regard. Il est assis à 50 mètres environ, dans un petit repli de la rive, en retrait par rapport à nous. Nous ne pouvions pas le remarquer lorsque nous étions tournés de l’autre côté, il devait déjà être là et a sûrement tout vu. Nous nous regardons Cécile et  moi. Elle hausse les épaules pour me signifier qu’elle s’en fout. Nous continuons à retourner calmement à la tente comme si de rien n’était.
-    Décidément ma Cécile, on va se faire repérer comme exhibitionnistes !-    On s’en fout, franchement. On n’est pas près de revenir dans le coin, non ? J’en ai rien à foutre que ce pervers s’en soit mis plein les mirettes en matant mon cul, ma chatte et mes nichons. Tant mieux pour lui ! Il va pouvoir s’occuper les mains avec autre chose qu’une canne à pêche !-    Ca c’est sûr ! Vu son physique, à mon avis il en a pour quelques semaines à fantasmer !Nous nous dépêchons de remballer nos affaires et la tente. Comme hier, le petit-déjeuner est vite expédié : reste de pâtes de la veille et barres de céréales. En 20 minutes nous sommes sur le chemin.
A peine partis, nous arrivons à la hauteur du pêcheur de tout à l’heure. En nous voyant arriver, l’homme d’une cinquantaine d’années se lève, se tourne vers nous et nous interpelle :
-    Alors madame, on aime tâter les fesses des jeunes garçons ? Ca serait pas du détournement de mineur, ça ? C’est pas joli joli…
Oh non, le gros relou ! Il va pas nous casser les couilles celui-là…
-    Le mineur il est majeur, et il t’emmerde ! Lui réponds-je aussi sec.-    Vu ta gueule, ça m’étonnerait mon petit gars. Et à ta place je la fermerais si tu ne veux pas prendre mon poing dans ta jolie frimousse. Et vous madame, puisque vous aimez la bite, il y a peut-être moyen de s’arranger pour que je ne raconte rien à mes potes gendarmes de Cauterets…
Mon sang ne fait qu’un tour. Je ne supporte pas que ce gros porc parle comme ça à ma Cécile ! Je me jette sur lui. Il est deux fois plus large que moi mais avec l’élan je réussis à le déséquilibrer et il tombe à la renverse… dans le lac ! Heureusement ce n’est pas profond et il a pied… mais dans la vase… Il hurle, il nous insulte et menace de nous dénoncer à toutes les autorités jusqu’au pape ! C’est Cécile qui lui répond.
-    Comme vous le disait mon ami, il est tout à fait majeur. Dénoncez tant que vous voudrez, nous n’avons rien à nous reprocher. Par contre, vous, vos propositions sexuelles totalement déplacées sont pénalement répréhensibles. Et nous sommes deux à pouvoir en témoigner… Réfléchissez ! Votre baignade devrait vous rafraîchir les idées ! -    Et tant que vous y êtes, trouvez-vous une carpe pour vous soulager au lieu de reluquer les femmes trop belles pour vous ! ajouté-je.
L’homme peine à se relever. Nous partons au pas de course avant qu’il ne sorte du lac. Au bout de 300 mètres, nous nous retournons. On aperçoit le pêcheur, qui est remonté sur la berge. Il vocifère toujours mais n’a pas l’air décidé à nous poursuivre. Ouf ! Nous reprenons notre marche, en maintenant tout de même un bon rythme pour le mettre définitivement à distance.
-    Eh ben mon Jeannot, c’était une belle connerie que tu as faite là ! Il aurait pu se noyer ce con. -    Je sais, je sais, mais je n’ai pas supporté qu’il te parle comme ça…-    Je comprends, mais on aurait pu s’en débarrasser juste en s’éloignant. Nous n’avons rien à nous reprocher, il ne pouvait rien contre nous… J’espère qu’il n’habite pas Cauterets, faudrait pas qu’on le croise à nouveau.-    Je sais, je suis désolé ma Cécile.-    C’est pas grave mon Jeannot. On va se débrouiller… Et tu sais… même si c’était une vraie connerie… tu étais très sexy en colère et te battant pour moi !
Elle se retourne vers moi, me prend le visage entre ses mains et me roule une énorme pelle… Je la serre contre moi, je l’embrasse… Nous reprenons notre marche en silence.
Au bout de deux heures nous quittons le site du Pont d’Espagne pour descendre sur Cauterets en suivant le torrent. Toujours pas de nouvelles du gros porc de tout à l’heure, je crois que là on s’en est vraiment débarrassés. Nous nous arrêtons pour déjeuner dans une petite prairie. La fatigue se fait vraiment sentir. Ni Cécile ni moi ne nous précipitons pour déballer le pique-nique. Nous restons assis, muets, à regarder le torrent. Je la regarde, elle me sourit.
-    Qu’est-ce qu’on va faire Cécile ?-    Je ne sais pas mon Jeannot… je ne sais pas…-    Je t’aime…-    Je sais… mais c’est pas raisonnable… C’est juste parce qu’on est là, ensemble, tous les deux. Quand on sera à nouveau dans nos vies respectives, toi avec ta famille et les gens de ton âge, moi dans mon boulot et mon rythme de cinglée, ça sera forcément différent. -    Je ne crois pas. Pas pour moi en tout cas. -    Tu verras… tu ne penseras plus à moi de la même façon. Et là-bas, l’incongruité de cette histoire sera bien plus évidente. Pour toi comme pour moi.-    Mais là, on est bien, non ?-    Oui, on est bien. Je suis bien avec toi. Tu es tellement gentil, attentionné, tu me regardes tellement bien... Sache que je ne regretterai jamais ce qui s’est passé. A chaque fois j’étais pleinement consciente et consentante, je ne peux rien te reprocher. Je t’ai même guidé moi-même, parfois…-    Tu m’as beaucoup appris… -    Peut-être. Mais de toute façon tu n’aurais pas tardé à découvrir ça avec d’autres filles. Et j’espère que c’est ce que tu vas faire… Il faut que tu passes à autre chose, que tu oublies ces quatre jours. C’était hors du temps, entre nous, mais ça n’a pas d’avenir.-    Je ne crois pas que je rencontrerai à nouveau quelqu’un comme toi.-    Mais si… il y en a plein des filles, des bien plus belles que moi et plus proches de tes préoccupations.-    Figure-toi que les jeunes filles qui aiment passer leur temps dans la nature et faire des randos, ça ne court pas les rues de nos jours.-    Ben justement, ça sera plus facile de cibler et de trier ! Il y en a sûrement et elles aussi elles cherchent… Et dis-toi que beaucoup de femmes ne recherchent pas des hommes banals. Elles préfèrent un peu d’originalité. Et toi, tu en as.-    Décidément tu as réponse à tout… tu veux vraiment que je te laisse tranquille…
Une larme coule sur ma joue…-    Jeannot… je ne veux pas te faire de peine… moi aussi ça va me coûter d’oublier ces quatre jours avec toi… Tu m’as fait tellement de bien… Mais je t’assure qu’on n’a pas le choix… c’est mieux comme ça… on n’arrivera pas à assumer tout ce que ça implique…Elle aussi a les yeux humides. Elle essuie une larme sur sa joue droite.-    Viens.
Je m’allonge et pose ma tête sur ses genoux. Elle passe ses mains dans mes cheveux, caresse mon visage… Puis elle se penche vers moi et m’embrasse sur le front, la joue. Je tourne la tête vers son ventre et m’enfonce vers son entrecuisse… je respire à fond, cherchant l’odeur de son con, pour la garder en moi, intacte, pour toujours… Je m’aventure toujours plus loin, forçant le passage entre ses cuisses… Elle ne dit rien. Elle continue à me caresser les cheveux. J’entreprends de déboutonner son pantalon... Elle pousse un long soupir… puis, à voix basse « Non Jeannot, pas ça… » Je ne l’écoute pas. Sa culotte blanche apparaît devant moi, dans l’ouverture de son pantalon. Je sens à présent pleinement l’odeur que je cherchais… ma main abaisse le tissu blanc, je plonge mon nez et ma bouche dans les poils noirs qui se dévoilent… je fouille, je m’imprègne de l’odeur qui remonte de son sexe… elle soupire… « Jeannot, arrête s’il te plaît… pas ça, pas maintenant ». Mais je ne m’arrête pas. Mes doigts, qui tiennent sa culotte baissée, s’enfoncent de plus en plus bas. Ils rencontrent bientôt l’extrémité de sa fente, où se cache son bouton d’amour. Alors que j’amorce un mouvement pour retourner ma main et épouser son entrejambe, la paume contre son sexe, Cécile saisit mon poignet…. « Non, non, mon Jeannot, s’il te plaît mon amour, pas ça, je ne veux pas. Je t’en prie, arrête, arrête… » Elle pleure. Elle pleure à chaudes larmes. Elle m’a appelé « mon amour ».J’arrête. Ma main quitte son entrejambe, je laisse sa culotte remonter. Cécile s’effondre. Elle s’allonge sur le dos, je reste allongé, la tête sur son bas-ventre. Elle pleure doucement, elle continue à me caresser la tête… « Pardon mon Jeannot, pardon, je suis désolée mais je ne peux pas… il faut qu’on arrête…pardon mon grand…». Je me rapproche de son visage. Je la couvre de baisers, buvant ses larmes. « C’est rien ma Cécile, c’est rien… je t’aime… je t’aime… je t’aime… ». Enfin, séchant ses larmes, Cécile me dit « Merci Jeannot, merci de m’avoir écoutée. Tu es vraiment formidable..... Moi aussi je … Mais c’est impossible. Impossible. Complètement impossible…».
Nous finissons par nous relever et manger notre pique-nique. Il nous reste 10 kms. Nous sommes fatigués et pressés d’arriver à l’hôtel. La descente me scie les genoux. Personne ne dit rien, nous nous contentons d’avancer. A 15 heures, nous apercevons Cauterets. Il nous reste environ une heure. Nous prenons le temps de prendre un rapide goûter. Ce soir, c’est un vrai restaurant qui nous attend. Chacun mange en silence. Je regarde Cécile, elle me sourit.
-    On est bientôt arrivés mon Jeannot. C’était une belle randonnée.-    Oui, magnifique. Ce coin est vraiment sublime. J’y reviendrai.-    Il y a plein d’autres circuits sympas à faire par ici. Du côté de Gavarnie, ou vers les lacs de Néouvielle, par exemple. C’est vraiment le paradis des randonneurs.-    Alors on recommence quand ?-    Je ne sais pas. Mais je t’assure que je serais très heureuse de repartir avec toi. Ici ou ailleurs. Tu es bon marcheur, on se comprend vite et on sait respecter l’autre, c’est vraiment très agréable. Indépendamment de ce qui s’est passé entre nous cette fois-ci. Et même pendant l’année, si j’arrive à programmer un week-end de marche. Si tu veux je te préviendrai.-    C’est vrai ? Ce serait trop cool… Mais on n’est pas censés faire comme si on ne se connaissait pas une fois rentrés à Paris ?-    Arrête, c’est pas ce que j’ai dit. On peut continuer à se voir… si on reste sages.-    Ah d’accord… Mais j’aurai quand même le droit de voir tes fesses et tes seins ? Parce qu’ils vont sacrément me manquer…-    Arrête, petit cochon. Tu les connais déjà par cœur. T’as qu’à avoir bonne mémoire… Bon, en attendant, on les fait ces derniers mètres ?
(à suivre)
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