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Rapport de bon voisinage

Chapitre 2

Hétéro
Ça faisait bien 15 jours que Fernand s’envoyait sa voisine à l’abri des regards. Il s’éclatait comme un petit fou. Elle, un peu moins. Cependant, plus ça allait, plus elle le supportait … voir même commençait à apprécier son coté brutal. Faut dire qu’entre un mari qui la touche à peine et un ex amant qui finalement n’étant pas très performant, elle découvrait physiquement de nouvelles sensations. Toutefois, elle qui était très bling bling, se voyait obliger de subir ce type à l’allure trop prolétaire à son gout…. Et à l’odeur aussi.
Alors qu’il venait de la tringler sur la peau de bête devant sa cheminée, et qu’il était en train de se rhabiller, il posa une question à sa partenaire resté prostrée, allongée sur le ventre, à cause de la douloureuse sodomie qu’elle venait de subir.
— Dis-moi, ton mari il est banquier ?— Oui pourquoi ?— Ça te dirait pas de me le présenter ?— Pourquoi donc ?— J’aurais p’tet un truc à lui proposer.— Tu vas l’enculer lui aussi ?— Non mais ça va pas la tête ? Non j’ai une proposition qu’il devrait apprécier. On pourrait faire ça au cours d’un dîner ?— Ok. Je ne sais pas ce que tu mijotes mais si tu lui montres la vidéo …— T’en fais pas. Si je lui montre la vidéo je sais que tu ne viendras plus me voir. Et ça j’le veux pas. J’ai encore envie de m’amuser. Non t’inquiètes pas ça n’a rien à voir.— Ok on peut faire ça samedi soir mais je te préviens mon mec n’aime pas ça.— T’en fait pas. Cette fois ci, il va apprécier.
Le Samedi arriva, pour faire classe, Fernand avait sorti son beau costume Armani, Une chemise rose pâle, dont il avait laissé les 2 1er boutons du col ouverts, une belle tocante en or, à son autre main une grosse gourmette en Or massif ainsi qu’une chevalière sur laquelle il avait fait gravé ses initiales. Une fois lavé, parfumé, coiffé, et rasé de près, on ne le reconnaissait plus. C’était un autre homme. Ça change de son style habituel : salopette tachée, mal rasé, à peine coiffé et sentant la sueur du gars qui travail de ses mains. Il avait prévu de venir avec un gros bouquet de rose pour madame et une bonne bouteille de Dom Pérignon pour monsieur.
Il sonna à la porte et c’est la bonne qui lui a ouvert. Elle l’avait reconnu et l’a de suite remercié. Elle ne savait pas pourquoi ni ce qu’il avait bien pu faire mais madame avait plus de sympathie pour elle depuis 15 jours, plus de considération ; Contrairement à son homme. Cette femme est une femme bien. Elle mérite le respect et du coup il lui avait proposé, quand son contrat sera fini, si elle voulait venir à son service. Elle a dit qu’elle y réfléchirait. Pendant ce temps, Léa arriva dans sa belle robe du soir.
— Ça va aller Mathilda, merci. Retournez en cuisine. Bonjour monsieur. Est-ce que je peux vous ….. Fernand, c’est toi ?— Bah qui veux tu que ce soit d’autre.— T’as perdu un pari ? il t’est arrivé quelque chose ?— Quoi ? il a un problème mon costard ? Il a une tache ?— Non rien de tout ça mais je te reconnais à peine.
— Bah j’allais pas venir en salopette et pas rasé non plus.— Non bien sur. En tout cas, j’approuve le changement.
Fernand eu droit à des présentations officielles mais le maître des lieux était aussi accueillant qu’une porte de prison.
— Bonjour monsieur ! on ne se connait pas je suis votre voisin d’en face.— B’jour.— Je ne suis pas venu les mains vides. Tout d’abord des fleures pour madame. Et pour vous, une de mes meilleures bouteilles.— Merci mais je bois rarement. MATHILDA !!! menez notre invité au salon je dois parler à madame.
Visiblement il était passablement énervé par la présence de son voisin. Dans la cuisine le ton montait.
— Mais qu’est-ce qui t’as pris de ramener ce type ici. Regarde-le. On n’est pas du même monde.— Oh ça va. Ce n’est jamais que notre voisin. Tu le juges alors que tu ne le connais pas. En plus il m’a dit avoir quelque chose à te proposer.— Tu parles. Je ne vois pas ce qu’un type dans son genre peut me proposer.
Au salon, Fernand avait tout entendu. Il faut dire que le mari avait la voix qui porte. Mais il allait bientôt changer d’avis. Mathilda, qui déposait les éléments de l’apéritif sur la table basse, lui précisa que les disputes étaient de plus en plus fréquentes. A leur arrivé, Léa offrit à Mathilda sa soirée et le trio se retrouva à prendre l’apéro.
— Alors Fernand, que faites vous dans la vie à part « bricoler » ? dit-il d’un ton moqueur et méprisant.— Pas grand-chose en fait. Je gère mon patrimoine depuis que j’ai gagné à l’Euro million. Avant j’étais dans le bâtiment : J’étais plombier chauffagiste.
Fernand a bien remarqué que le mari le regardait autrement depuis l’annonce de sa fortune. Il avait bien compris que son invité pouvait lui rapporter gros s’il le convainquait de placer ses fonds dans sa banque. La manœuvre de Fernand était claire : le mettre dans sa poche en prévision de la suite. Ainsi il ne soupçonnerait jamais que son nouveau meilleur client se tape sa femme alors qu’il est au boulot. De son coté, Léa avait bien entendu les mots « patrimoine » et « euro million ». Toujours aussi vénale, elle y voyait une possibilité de taper dans 2 assiettes à la fois. Mais il y avait son histoire de chantage qui faussait tout et surtout le physique de Fernand qui la révulsait. Quoi que depuis qu’elle l’avait vu beau comme un camion, un petit quart d’heure « Pretty Woman » pourrait peut être arrangé les choses.
La conversation entre les 2 hommes a très vite dérivé sur la nouvelle fortune de Fernand.
— Vous dites que vous êtes millionnaire ? Mais vous êtes bien conseillé pour gérer tout ça ?— En fait je m’étais dit que vous pourriez m’aider pour ça.— C’est possible mais on parle de combien ?— Je me suis gardé 3 millions pour moi il m’en reste 50 à placer.— Ah mon cher Fernand, je viens de décider que vous étiez mon nouveau meilleur ami. Trinquons ! A notre future collaboration.
Et Hop ! Emballé c’est pesé ! Il s’était mis le mec dans la poche. De son coté Léa avait l’impression de ressembler à un de ces personnage de Tex Avery avec des « $ » dans les yeux. Il venait de faire d’une pierre 2 coups. Il avait ferré le mari avec l’appât du gain représenté par la juteuse commission qu’il représentait à ces yeux et la femme aussi qui, du coup, voyait en lui un excellent parti. Toutefois ayant compris qu’il pouvait devenir la cible de cette mante religieuse, Fernand la regarda en lui faisant un petit « non » discret de la tête. Se qui la coupa nette dans son élan.
Une fois à table, les 2 se mirent à discuter comme des larrons en foire. Le mari somma Fernand de l’appeler par son prénom : Fred. Et se mirent à boire comme des trous se vidant à eux 2 la bouteille que Fernand avait apportée. Ils buvaient, … enfin Fred buvait beaucoup, Fernand lui moins. Ce qui fait qu’il a fini rond comme un boudin à la fin du repas ; à rire sur tout et n’importe quoi. Au moment du digestif, Léa, qui se sentait délaissé par ces messieurs est allé chercher une autre bouteille. Quand elle est revenue avec, Fred ronflait ; plus rien à en tirer.
— Ah bah bravo, le voila qui dors maintenant.— Attend je vais le mettre au lit. Dis Fernand en le mettant sur son dos.
Il monta les escaliers avec ce type qui lui ronflait dans les oreilles et le jeta sur le lit de la chambre.
— Il avait raison quand il disait qu’il ne buvait pas. Il tient vraiment pas l’alcool.— Oui à chaque fois qu’il boit c’est pareil.— Dit donc, comme on est dans ta chambre, on pourrait profiter du lit conjugal?— Ça ne va pas non ? il dort à coté.— T’en fais pas va. Avec ce qu’il a bu et ce que j’ai mis dans son verre durant le repas il va ronfler jusqu’à midi. Aller laisse toi faire. Lui dit-il en la plaquant contre lui une main aux fesses juste avant de lui rouler une bonne galoche.
— MMMmmmhh ! Pouah tu sens le pinard toi aussi.— Oh eh dis donc tu va pas faire la difficile.— Ce n’est pas ça mais je préfère quand tu sens bon avec l’haleine fraiche.— Ah bah si c’est que ça …
Là il sorti un paquet de pastille de menthe forte et alors qu’il en mâchait une, il guida la bouche de Léa au niveau de sa braguette. Elle lui a baissé son froc et se mit à le sucer violement.
— Ah bah c’est bien tu sais ce que j’aime. T’as retenu la leçon. Aller c’est bon allonge toi sur le lit— Mais il y a Fred et il prend de la place.— T’en fait pas on va le pousser.
Après l’avoir poussé sur le coté et s’être déshabillé, les 2 amants ce sont allongés : Fernand en dessous et Léa au dessus. Fernand fut surpris par cette initiative.
— Et ben dit donc … C’est la 1ère fois que tu montres autant d’entrain à me chevaucher. D’habitude chui presque obliger de t’y forcer. Tu fais ça pour pas que je te balance ?
— Je ne sais pas je dois m’y habituer.— Bah écoute ne change rien surtout.
Léa gratifia Fernand de son plus beau déhanché. Lui était également ravi du joli spectacle des seins de Léa qui se balançaient devant ses yeux. Du coup il n’a pas pu s’empêcher de les prendre à pleine main. Quelques minutes plus tard, il n’a pu résister à la tentation du contact de ces jolies fesses. Il l’a alors retourné, allongé sur le ventre et écarté les 2 globes fessiers avant de l’enculer comme il en avait l’habitude.
— Eh Fred, t’as vu comment faut faire avec ta femme ? Regarde-moi bien et prends-en de la graine. Dit-il à son voisin qui ronflait comme le gros général allemand dans la grande vadrouille, dans le lit avec Louis de Funès (un classique à voir absolument).
— C’est vrai que tu t’y prends mieux que lui. Même si tu me fais encore mal.— Un cul c’est comme une paire de chaussure. Faut le mettre pour qu’il se fasse.
Fernand a fini par jouir entre les fesses de Léa et est parti ensuite se doucher, puis s’habiller. Quand il est revenu Léa s’essuyait l’anus pour y retirer les traces de sperme qui coulaient sur ses cuisses.
— Bon tu diras à Fred de passer chez moi pour qu’on finisse notre conversation. — OK, je lui dirais. Euh je peux te poser une question ?— Va z y— Pourquoi à chaque fois que je viens te voir t’es aussi négligé alors que ce soir t’étais impeccable ?— Bah parce que j’vais pas jardiner ou bricoler en costard.— Y a pas que ça. T’es obligé de sentir la sueur ?— Si tu me disais où tu veux en venir ?— Si je te dis que je viens à telle heure. Tu ne peux pas prendre 5 minutes avant pour prendre ne serait-ce qu’une douche ?— C’est marrant tu me dis ça comme si ça commençait à te plaire.— Disons plus tôt que maintenant que je sais que tu peux être potable, si ça peut devenir moins désagréable je ne serais pas contre.— Si ça peut te faire plaisir …
Le lendemain Fred arriva, avec une bonne gueule de bois, chez Fernand.
— Bonjour, cher voisin !— Salut, alors pas trop dur le réveil ?— J’ai l’impression d’avoir un concert des Gipsy King dans le crâne mais sinon ça va.— On a pas fini notre conversation hier soir.— Non c’est vrai. Je préférai qu’on fasse ça lors d’un rendez vous à mon bureau.— Ok pour moi. Ou et quand ?— Mercredi, à 10h ça vous va ?— Non, plutôt l’après midi ; disons 15h ?— OK à mercredi 15h.
Fernand ne pouvait évidement pas accepter le rendez vous à 10h car c’est à cette heure là qu’il avait prévu d’enculer sa voisine. Il n’allait pas se priver de ce petit plaisir non ?
Le jour du rendez vous arriva. Comme à son habitude, le matin, Léa était venu mais Fernand avait oublié de prendre sa douche. Du coup, il l’invita à venir se savonner avec lui. Bien sur, il en profita pour lui faire ramasser la savonnette.
A 15h, il se présenta à la banque où Fred l’attendait dans le hall pour le mener à son bureau. C’était son client et il n’allait pas laisser qui que se soit lui piquer sa commission. Il avait prévu de tout faire pour le pousser à investir chez eux.
— Asseyez-vous mon cher Fernand. Je vous offre quelque chose à boire ?— Non merci je ne veux pas finir comme vous samedi dernier.— Oui … veuillez m’excusez pour ça…..
Il appuya sur son interphone pour appeler 2 de ses collaboratrices.
— Sarah, Jennifer, vous pouvez venir dans mon bureau s’il vous plait ?
La porte s’ouvrit, laissant entrer 2 superbes bombes sexuelles dans le bureau.
— Choisissez mon cher.— Choisir quoi ?— Celle qui s’occupera de vous durant notre rendez vous.
C’était surréaliste. Il lui proposait de choisir une de ses collaboratrices pour se faire sucer. Etant un sacré chaud lapin, il ne s’est pas fait prier.
— Je choisis, la jolie Jennifer. Celle qui a les plus gros …— Je crois que j’ai saisis. Jennifer faites votre office.
La jolie Jennifer retira son haut et se plaça, à genou entre les cuisses de Fernand. Elle déboutonna son pantalon et fit sortir la queue toute frétillante de Fernand pour la sucer doucement et lentement.
Alors que Fred lui faisait l’étalage des placements de son établissement, Fernand, lui, était plus préoccupé par ce qu’il se passait au dessous de sa ceinture. « Y a pas à dire elle est douée la gamine » pensait-il. Après avoir juté dans la bouche de l’assistante, il se reculotta et sa partenaire avait presque fini de se rhabiller quand le grand patron de la banque débarqua à l’improviste.
— Bonjour monsieur, Michel Verdier, directeur de l’agence ….. Mademoiselle veuillez mieux vous couvrir s’il vous plait. Ce n’est pas une tenue pour travailler sauf pour faire le trottoir.— Bonjour Fernand Perrault, Je suis là pour …— Je sais qui vous êtes. Fred m’a parlé de vous comme notre « nouveau mécène ».— On peut dire ça comme ça …..
Les 3 hommes sont restés là entre eux à discuter. L’assistante qui avait à peine eu le temps de finir de se rhabiller est sortie pour les laisser seuls. Après cette entrevue, Fernand sorti du bureau avec des dossiers sous le bras accompagné du directeur.
— Bien ! Cher monsieur, j’espère que vous serez satisfait de nos placements. Bien sur nous attendons les dossiers signés avant de valider tout ça. — Oui je ferais en sorte de les compléter le plus vite possible….. Dites-moi, tant que nous sommes seul …C’était quoi cette remarque sur la ravissante assistante de Fred ? — Notre banque n’est pas un lupanar. J’ai eu peur qu’elle utilise ses charmes pour vous influencer. Je ne veux aucun scandale de ce genre dans mon établissement.— Je vous rassure elle n’a pris aucune initiative dans ce sens (c’est sur car c’est Fred qui le lui a demandé). Ceci dit, de vous à moi, elle restait jolie à regarder.— Là-dessus je ne vous contredirais pas ; mais ça n’est ni le lieu ni le moment pour penser à ça. Je l’aurai surpris en pleine action je l’aurai viré…. Même si je doute qu’elle en prenne l’initiative d’elle-même. — …. Ok …. je vois ce que vous voulez dire. Bon en tout cas merci.— Tenez prenez ma carte au cas où et n’hésitez pas.
Fernand s’en alla de la banque. Visiblement, le petit traitement spécial dont il avait bénéficié n’était pas autorisé. Une info à garder sous le coude, d’autant que les allusions du patron laissaient penser qu’il soupçonnait Fred de s’adonner à des agissements disons peu recommandables.
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