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Recherche appartement

Chapitre 1

Trash
Aujourd’hui le marché de l’immobilier est un casse-tête: Acheteurs, vendeurs, propriétaires ou locataires, tous rencontrent des difficultés. Je suis Stéphane et avec mon agence nous sommes là pour les aider.
Il y a un mois, j’ai rencontré Chloé: Jolie brune de vingt-quatre ans, elle vivait dans un vingt mètres carrés vétuste depuis une séparation difficile. Elle avait trouvé cet appartement en location dans le quinzième arrondissement de Paris alors qu’elle était encore étudiante: forcément avec un dossier aussi peu avantageux, elle n’avait pas pu se permettre d’être exigeante.
Aujourd’hui diplômée, en CDI et ayant terminé sa période d’essai, elle espérait pouvoir enfin s’offrir un cadre de vie plus agréable.
Chloé était entré dans notre agence vêtue d’un short en jean très court et d’un top léger tout en voilage dont le subtil décolleté mettait en avant l’opulente poitrine de la jeune femme. Elle faisait partie de ces rares élues qui ont la chance d’être à la fois pulpeuses et relativement minces: Des cuisses pleines, un fessier galbé et des seins qui appellent à la gourmandise mais des chevilles fines, des bras délicats, une taille marquée et un ventre quasiment plat... Le genre de femme que les autres détestent.
Ce qui m’a le plus séduit dès les premiers mots échangés fut la relative timidité qui émanait de mon interlocutrice. Je m’attendais à une jeune femme prétentieuse, hautaine et trop sûre d’elle mais Chloé était tout le contraire.
J’ai tenté avec difficulté de reprendre mes esprits et de ne pas laisser l’attirance immédiate qui m’avait assaillie prendre le pas sur mon professionnalisme: Formulaire signalétique, coordonnées personnelles et professionnelles, type d’appartement recherché, localisation; La mécanique bien huilée de mon activité s’est mise en marche et j’ai rapidement montré les fiches de plusieurs appartements à ma cliente.
Son budget était de mille euros charges comprises, c’est déjà beaucoup d’argent mais à Paris en ce moment, cela ne permet pas d’habiter dans un château: Grand studio ou petit deux-pièces, souvent sans ascenseur, voila ce que nous allions visiter.
Nous avons pris rendrez vous deux jours plus tard puis nous nous sommes vus encore trois fois: Chloé avait du mal à se résoudre à se contenter de ce que je lui proposait. Certes c’était mieux que le studio qu’elle occupait alors mais elle avait imaginé une différence plus marquée.
A chaque rencontre elle se présentait habillée avec goût et parfaitement maquillée. Je ne pouvais pas dire si elle était toujours ainsi ou si c’était un peu pour moi même si je l’espérais secrètement. J’avais quinze ans de plus que Chloé mais je l’appréciais de plus en plus et elle était superbe: j’étais décidé à l’inviter à dîner une fois son bail signé... alors à moi aussi il me tardait que nous lui trouvions chaussure à son pied.
C’est exactement à ce moment qu’un de mes collègue a rentré un petit loft dans un bel immeuble à côté de La Madeleine: Je suis allé le visiter aussitôt, le propriétaire était un homme d’affaires libanais avec qui nous avions l’habitude de travailler. L’appartement avait été refait à neuf, repeint avec des couleurs assez chaudes et la cuisine était un modèle sur mesure haut de gamme qui avait dû coûter vingt milles euros.
J’ai tout de suite imaginé Chloé dans ce logement mais ce n’était pas du tout dans son budget; J’ai essayé de faire baisser le loyer demandé par le propriétaire puis j’ai appelé la jeune femme sur son portable pour qu’elle vienne au plus vite.
Elle était déjà surprise du quartier et du cachet extérieur de l’immeuble mais ce fut pire en découvrant le hall d’entrée et l’ascenseur. Ses yeux ont ensuite brillé lorsqu’elle est entré dans l’appartement et qu’elle a vu les volumes flatteurs de ce studio de quarante-huit mètres carrés organisé comme un loft miniature. Pour finir de la bluffer je lui ai montré la vue sur cour qui était un de ses principaux critères de recherche.
— "Mais je n’aurais jamais les moyens d’avoir un appartement comme celui-là !"
— "Chloé, vous êtes si élégante, si charmante, c’est ce que vous mériteriez alors quand j’ai visité je vous ai tout de suite imaginé ici".
Oups ! J’en avait peut-être un peu trop dit mais Chloé semblait plus heureuse que gênée par ce compliment, c’était bon signe.
— "Alors Stéphane: Ça vaut combien ?"— "Normalement il aurait du être proposé à deux mille cinq-cents euros par moi".
Elle a accusé le coup, c’était sans doute encore plus cher que ce qu’elle s’était imaginé.
— "Attendez Chloé: J’ai discuté avec le propriétaire: nous avons d’autres affaires en cours avec lui sur lesquelles, nous lui avons obtenu des conditions supérieures à ce qu’il espérait, nous avons donc pu nous arranger et il a accepté de baisser ses exigences de cinq-cents euros"....— "De mon côté, comme je m’occupe du recouvrement des loyers pour ce monsieur, nous avons normalement une commission de cent cinquante euros par mois. Je suis prêt à l’oublier".— "Alors ça fait combien au final ?".
Tout fier de moi, je lui annonçais le tarif de 1850 euros par mois charges comprises.— "Je sais que c’est beaucoup plus que les mille euros dont vous m’aviez parlé mais peut-être que si vous pouviez mettre un peu plus et que vos parents pouvaient vous aider...".
Elle me fit un signe négatif de la tête en refaisant le tour de l’appartement.— "Je suis dégoûtée: C’est trop beau ! Je veux habiter ici".
Je lui proposais alors de s’asseoir et je prenais mon courage à deux mains pour appeler de nouveau Monsieur Suzaiba, le propriétaire de l’appartement. Je plaidais le sérieux de Chloé, le fait que l’agence se portait garant de la jeune femme et, grande première, je m’engageais à prendre à mes frais une remise à neuf du studio lorsque la jeune femme quitterait les lieux dans quelques années.
Mon interlocuteur m’appréciait mais j’étais arrivé au bout de sa patience et il ne m’accorda qu’un geste symbolique en arrondissant le loyer à 1800 euros au lieu de 1850.
Je raccrochais déçu mais Chloé me regardait bizarrement. — "Pourquoi est-ce que vous faites tout cela pour moi ?"— "Je... Nous en reparlerons une fois que je vous aurais trouvé un logement... mais j’imagine que vous avez sans doute une petite idée"
Elle m’envoya un sourire qui me fit fondre puis elle fit le tour de la table pour venir m’embrasser sur la joue et me glisser quelques mots à l’oreille.— "Ça me fait très plaisir que vous vous démeniez comme cela pour moi, c’est très romanesque".
Mon cœur battait à toutes vitesse mais il était temps de terminer cette visite et de laisser repartir la jolie brune. En bas de l’immeuble Chloé me fit un nouveau signe de la main.— "Merci d’avoir essayé mais c’est vraiment trop cher pour moi".
Le lendemain et le surlendemain j’ai refait le tour de ce que je pouvais proposer à ma cliente mais je ne trouvais pas plus que les jours précédents de nouveaux logements à lui faire visiter. Toujours sous le charme de son regard émerveillé lors de la dernière visite, je me décidais de tenter un ultime coup de poker. Je convoquais alors Chloé le soir même une fois l’agence fermée et je lui exposais mon plan.
— "Chloé, ne vous enflammez pas mais j’ai peut-être une idée pour que vous puissiez avoir le studio qui vous a tellement plu".— "Ne me dites pas ça: je n’ai pas arrêté d’y penser depuis la visite"....— "Chloé, il faut que vous compreniez que Monsieur Suzaiba n’est vraiment pas dans le besoin. Pour lui, ce loyer c’est une goutte d’eau dans l’océan"....— "Avec quelqu’un d’autre que lui j’aurais abandonné... mais il peut se montrer assez fantasque et pour peu qu’il vous trouve sympathique, il se pourrait très bien qu’il puisse revoir sa position".— "Vraiment ?"
Je pris alors une grande respiration, Chloé pouvait très bien mal réagir à ce que je m’apprêtais à lui proposer.— "Pour tout vous dire... Mon dieu, j’ai honte de ce que je vais vous proposer... Pour tout vous dire, il est sensible aux jolies femmes... et vous êtes... jolie".
Lancé pour lancé j’ai poursuivi:— "En fait, il est très très sensible aux jolies femmes et vous êtes vraiment très très jolie... alors je me disais que si vous pouviez m’accompagner pour déposer votre dossier et qu’il vous voit, cela mettrait sûrement toutes les chances de votre côté".
La jolie brune resta immobile quelques instants puis elle sourit largement sans doute proche d’éclater de rire.— "Sérieusement ?"— "Oui, sérieusement. Je ne vous promets pas que cela va fonctionner mais honnêtement tel que je le connais, c’est loin d’être impossible".
Elle a hésité quelques secondes puis sans doute toujours sous le charme de l’appartement de luxe, elle a craqué:— "Et vous pensez qu’il faudrait que je m’habille comment ?"
Je l’ai regardée: Sa robe beige lui arrivait à mi cuisses, le décolleté un peu plus profond qu’à l’accoutumée faisait honneur à ses seins magnifiques, quand à ses chaussures: leurs talons d’une dizaine de centimètres embellissaient les jambes de Chloé bien qu’elles n’en avaient absolument pas besoin.— "Je vous trouve toujours ravissante mais aujourd’hui vous êtes particulièrement en beauté. Ce type de tenue sera parfaite".
J’ai attrapé mon portable puis une dernière fois j’ai demandé à Chloé si elle était sure d’elle. Trois sonneries ont retenti puis Amir Suzaiba a répondu en me prenant quelque peu au dépourvu: — "Oui Bonjour Monsieur Suzaiba, je vous appelle de nouveau au sujet du studio Rue d’Aguesseau. La personne dont je vous avais parlé est avec moi et nous nous proposions de venir vous déposer son dossier dans les prochains jours".— "C’est la jeune femme qui veut l’avoir à moitié prix ?"— "Je... oui ce n’est pas vraiment cela mais effectivement ce n’est pas tout à fait dans ses moyens"— "Passez ce soir si vous voulez. Je suis à mon bureau place de l’Opéra et je pars pour Berlin demain matin".— "Je...j’appelle ma cliente et nous arrivons. Merci beaucoup de nous recevoir".
Je voulais expliquer la conversation à Chloé mais elle avait déjà compris.— "Ho mon dieu! Il faut y aller de toute suite !"— "Ne vous inquiétez pas, cela va bien se passer".
Après un rapide trajet en taxi nous nous retrouvâmes donc devant un immeuble cossu dans lequel M. Suzaiba avait acheté un étage entier pour gérer ses affaires françaises avec trois collaborateurs. Il était vingt-et-une heures si bien qu’il nous accueillit lui-même avant de nous faire entrer dans son bureau.
Je vis immédiatement la façon dont il regardait Chloé: Lui aussi semblait sous le charme, j’avais bon espoir que mon stratagème fonctionne.
Il prit place derrière son bureau et nous nous assîmes face à lui timides comme deux smicards venus solliciter un prêt immobilier à leur banquier. Je tentais de faire face et comme je l’avais promis à ma cliente je m’apprêtais à plaider moi-même sa cause.
— "M. Suzaiba, Je sais que vous avez refait l’appartement à neuf et que vous avez investi pour réaliser une plus-value dans quelques années. C’est en ce sens que je vous propose de vous entendre avec cette demoiselle. Ne la voyez pas comme une locataire mais plutôt comme une jeune femme que je vous recommande et qui prendra soin de votre studio en attendant qu’il prenne de la valeur"....— "Ne voyez pas la somme qu’elle vous versera comme un loyer mais plutôt comme sa participation aux divers frais que vous pourriez avoir".
L’homme d’affaire s’était retenu mais il sourit largement en voyant que j’avais fini.— "Qu’est ce qu’il vous arrive mon petit Stéphane ? Vous m’avez appelez quatre fois, vous venez me raconter cette histoire invraisemblable... C’est votre petite amie ? Remarquez mademoiselle est très jolie..."— "Chloé"— "Oui, je disais donc: Chloé est ravissante, je ne pourrais que vous féliciter".— "Non non pas du tout. Je fais juste mon travail et je pense que cela pourrait être appréciable pour elle d’habiter ce logement autant que cela pourrait l’être pour vous d’avoir une personne aussi sérieuse dans l’un de vos appartements. C’est l’assurance qu’il n’y aura aucun soucis".
Il se tourna alors vers ma cliente:— "Il est tenace, vous ne trouvez pas ?... J’imagine qu’il a des vues sur vous, je ne l’ai jamais vu comme ça".— " Effectivement sa motivation me semble suspecte à moi aussi".
Chloé avait visiblement décidé de jouer le jeu de notre hôte et de se moquer de moi gentiment à son tour.
— "Parlons peu mais parlons bien mademoiselle: Combien pouvez mettre pour la location de mon appartement ?"— "Je... et bien en fait j’avais un budget de mille euros mais je peux monter à mille-cent. Je sais que c’est beaucoup moins que ce que vous souhaitiez mais..."
Le propriétaire fronça les sourcils avec fureur.— "Je ne sais pas ce qu’il vous a dit mais la générosité n’est pas ma qualité première. Je ne suis pas arrivé là ou j’en suis en faisant des cadeaux des inconnus; Je ne vois pas pourquoi je braderais cet appartement".
Le ton avait été péremptoire, un silence pesant s’installa alors que Chloé me cherchait du regard en semblant me demander pourquoi je l’avais emmené dans une galère pareille.
Après deux minutes qui parurent une éternité M. Suzaiba se leva et j’imaginais qu’il allait nous congédier; Pourtant il n’en fit rien et c’est vers le canapé de l’autre côté de la pièce qu’il se dirigea. Il m’indiqua le fauteuil qui faisait face et montra la place a ses côtés à la jeune femme.
— "Stéphane, je suis d’accord mais votre commission sur les achats que je réalise avec votre agence devra passer de 6.15% à 6%. Je fais un geste pour vous, vous faites un geste pour moi, c’est comme ça que ça marche".
J’ai réfléchi aussi vite que possible: J’avais accepté un mois plus tôt le principe d’une revue des tarifs et commissions que nous lui appliquions et je m’attendais à ce qu’il me demande une diminution encore plus importante, peut-être même aux alentours de 5.50%. De toute façon, vu l’importance de ce client, il pouvait m’imposer à peu près les conditions qu’il voulait. Finalement j’étais en train de faire coup double: ne baisser que très peu les tarifs de l’agence pour mes affaires avec lui et obtenir en même temps l’appartement pour Chloé au prix que nous voulions. C’était parfait et pour peu que Chloé me laisse la ramener chez moi pour fêter cela, nous étions bien parti pour que je sois en train de vivre la meilleur journée que je n’avais vécu. Il fallait jouer serré pour donner le change.
— "C’est une baisse très importante. Vous allez économiser bien plus que ce que va vous coûter la baisse de prix sur le studio de mademoiselle".— "Soyez beau joueur Stéphane. Il ne tient qu’à vous de faire plaisir à votre jeune amie....— "Très bien Monsieur Suzaiba mais on reste sur les 6.15% de commission pour les affaires en cours. La nouvelle tarification s’appliquera aux nouveaux dossiers uniquement... et nous ne reparlerons plus du niveau de mes honoraires pendant les dix-huit prochains mois"— "Cela me semble équitable".
"Belote, rebelote et dix de der" comme aurait dit mon grand- père ! Je venais de berner ce gros libanais prétentieux qui ne ratait jamais une occasion de me montrer son sentiment de supériorité. A cet instant je me sentais le roi du monde.
Je croyais en avoir fini et je m’apprêtais à partir mais il s’est tourné vers Chloé avec un regard de prédateur.
— "Je suis d’accord sur le prix.... Reste à étudier la candidature de mademoiselle. Parlez moi de vous que je vois si j’ai envie de vous louer mon appartement à ce tarif ridicule ou si je préfère en faire profiter une autre personne que Stéphane m’amènera"
Chloé déballa alors son CV avec une maladresse qui me semblait adorable. Le propriétaire remarqua mon regard attendri et il ne manqua pas de m’envoyer une nouvelle pic.— "Vous l’aimez vraiment bien. Ce n’est pas juste physique... intéressant".
Chloé continua, M. Suzaiba posa quelques questions puis alors que rien ne le laissait présager il posa avec autorité sa grosse main sur le bas de la cuisse dénudée de ma cliente. Avec aplomb, il remonta quinze centimètres plus haut en commençant à palper la peau lisse et dorée de l’élue de mon cœur.
Elle restait figée et bouche-bée, moi aussi puis enfin il parla.— "Stéphane a fait tout ce qu’il pouvait pour que nous nous entendions tous les trois, moi aussi... alors il va aussi falloir que vous y mettiez du votre pour que cette affaire se fasse, une sorte de compensation... et la compensation c’est vous maintenant et pendant les soixante prochaines minutes".
Je me levais d’un bond et je hâtais le pas pour saisir la main de la jeune femme.— "Chloé je suis confus, je n’aurais jamais imaginé cela. Je vous ramène chez vous".
Je tournais les talons en fusillant ce sale con du regard et en tenant fermement la petite main de la jolie brune. Je me voyais déjà faire résonner tout le bureau en claquant la porte d’entrée mais je fus surpris de sentir le bras de Chloé résister. Je me retournais alors pour la découvrir toujours assise et le regard plongé vers le sol.
Nous restâmes ainsi une minute, figés comme les acteurs d’un mauvais film d’auteur puis je la lâchais effaré de cette réaction. Mon sang se glaça définitivement quand après quelques secondes les mots sortirent de sa bouche.— "Je crois que je vais le faire".
Je retombais assis dans le fauteuil sonné par le crochet que je venais de recevoir. Malheureusement pour moi, M.Suzaiba voulait profiter de sa victoire.
— "Et j’ajoute une condition: Il faudra que Stéphane reste assister à cette négociation un peu particulière. Après tout ma petite Chloé, c’est lui qui vous a amené à moi ici: il a bien mérité d’assister au spectacle."
De toute façon j’étais trop choqué pour bouger. Lui s’est levé pour enlever sa veste, sa cravate et déboutonner le haut de sa chemise. Il voulait pousser son avantage aussi loin que possible sans laisser à ma cliente la possibilité de reprendre ses esprits et de changer d’avis.
Je l’ai détaillé pour la première fois depuis notre arrivé: Il était tel que je l’avais toujours vu: 1m80, les cheveux bruns et courts et évidemment le teint méditerranéen. Il était coiffé et rasé de près, il portait des vêtements de marque, pourtant ses 110 kilos, ses larges mains et une démarche peu élégante lui conféraient une allure rustre en désaccord avec sa fortune colossale.
Il se rassit et mit une petite tape sur la cuisse de Chloé pour lui faire comprendre qu’elle devait venir sur lui. Il me regarda l’air goguenard m’offrant ainsi un contraste parfait avec la mine honteuse et dépitée de Chloé.
Notre hôte se délectait de la situation: nous étions ses pantins. Je m’étais cru plus malin mais finalement il faisait de nous ce que bon lui semblait.
Chloé n’avait jamais vendue son corps et je n’aurais jamais imaginé regarder un autre baiser la femme qui faisait battre mon cœur: Nous ne serions plus jamais les mêmes après cette soirée... c’était cela qu’il était en train de s’offrir: nos âmes.
Il a fait s’asseoir Chloé sur lui, le dos contre son propre torse et il lui a écarté les cuisses de force avant de la débrailler: ses yeux criaient sa panique mais elle ne s’échappait pas.
Un main grasse et peu précautionneuse fit jaillir un premier lobe du soutien gorge de ma cliente puis ce fut au tour du second.Amir Suzaiba commença alors à malaxer les trésors qu’il avait découvert comme un boulanger travaille la pâte. Il murmura ensuite quelques grossièretés dans sa langue natale avant de plonger sa bouche dans le cou de Chloé pour s’enivrer de son odeur délicate tout en malmenant la pointe de ses seins.
Jusque là, elle fronçait les yeux et les fermait quasiment mais j’ai compris qu’elle cherchait mon regard. Je l’ai vu bouger ses lèvres et j’ai compris qu’elle mimait une phrase.J’ai essayé de lire sur ses lèvres, il m’a fallu plusieurs essais mais j’ai finalement compris: "J’imagine que c’est toi"
J’ai pointé mon index vers moi, elle a hoché la tête. C’était surréaliste.
Chloé a alors penché sa tête en arrière et fermé les yeux en s’abandonnant aux mains qui la tripotaient. Elle respira plus fort à partir de cet instant ce que son tourmenteur prit pour une capitulation. — "Tu vois que ça te plaît finalement. Laisse toi aller".
Il profita de l’aubaine et malaxa Chloé de plus belle, il serrait ses seins, ses tétons, bavait sur ses doigts pour mieux les pincer. Elle ne résistait plus, se contentant d’accompagner de plaintes les caresses les plus désagréables.
Ce gros libanais n’était incidemment pas un gentleman et il ne put s’empêcher quelques commentaires dignes d’un routier en mal de sensations.
— "Tu sens comme tu me fais bander?"— "Tu vas voir: tu t’en rappelleras longtemps"
Profitant de l’abandon de la jeune femme, il fit descendre sa main droite sur le ventre de Chloé jusqu’à s’insinuer dans sa culotte.— "Mais dis donc, c’est déjà la fête ici: Tu caches bien ton jeu, petite coquine".
Le tissu m’empêchait de voir précisément ce qu’il faisait à la jolie brune mais il y avait peu de doute: il alternait entre chiffonner ses lèvres intimes et glisser ses doigts en elle.— " Relève bien les genoux que je puisse m’amuser".
Elle avait obéit et je compris en voyant Chloé tressaillir que cette fois c’était un index et un majeur qui visitaient sa grotte simultanément.Je repensait à la large main que j’avais serré quelques minutes plus tôt lorsque nous étions arrivés: il n’était pas étonnant que ma jeune cliente frissonne a chaque fois que les phalanges du riche homme d’affaire frayaient leur chemin.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais entre le ventre chaud de Chloé et sa poitrine aussi lourde que ferme, il s’en est donné à cœur joie jusqu’au moment où il ordonna à la brunette de se mettre de bout.
Quand Chloé s’est levée, elle était déjà pantelante, pourtant l’exigent homme d’affaire l’a forcé à remettre ses chaussures à talons. Il lui a enlevé tous ses vêtements à l’exception de sa culotte et il l’a fait se tenir debout, les jambes bien droites et le buste cassé en deux vers l’avant. Il était devant elle et elle devait s’agripper à lui, plus précisément à sa ceinture pour ne pas tomber en avant.
Il a libéré une verge avantageuse, surtout de part sa largeur avant d’ordonner:-" Tu sais ce que tu as à faire... Je suis sûr que ça va te plaire"
Elle a tourné la tète un instant pour mimer "Toi" sur ses lèvres et me faire comprendre que de nouveau elle allait s’imaginer être dans mes bras pour supporter ce qui l’attendait.
M.Suzaiba a réuni les cheveux de Chloé avec sa main et il s’est servie de la poignée ainsi formé pour se branler avec la bouche de sa victime comme il l’aurait fait avec un sex toy pour homme.
Ils étaient de profil devant moi et bien que cela ait été horrible de voir un autre profiter de "ma" Chloé je ne pouvais que la trouver incroyablement sexy dans cette position. La scène devant moi était d’un érotisme magnétique bien plus que tout ce que j’avais pu voir dans des pornos.
La jeune femme n’opposait aucune résistance aux pénétrations qui lui étaient imposées, elle acceptait docilement que sa tête soit ballottée de bas en haut et que sa bouche soit emplie d’une lourde verge.
J’étais obligé de me poser la question en la voyant faire: était-ce vraiment la première fois qu’elle se retrouvait entre les sales mains d’un salop dominateur comme notre hôte ?
Lui était ravi évidemment.— "Ha putain, tu as bien fait de me l’amener !".— "Oui c’est ça, fais toi bien moelleuse et continue de retrousser tes lèvres".
Emporté dans son élan, il força encore plus sur l’arrière du crane de Chloé mais cette fois elle atteignait ses limites: elle bavait, elle se raidissait, elle perdait l’équilibre. Je ne sais pas jusqu’où il s’était imaginé la faire aller mais Chloé semblait incapable d’engloutir sa queue en totalité comme il l’avait espéré.
Il ne se résigna pas facilement et il lui fallut une bonne dizaines d’essais infructueux ponctués des plaintes larmoyantes de sa victime pour qu’il abandonne son idée initiale. Sans doute déçu, il la balança à quatre pattes sur le sol et lui hurla dessus en l’enjambant pour la baiser brutalement.— "Le visage contre le tapis et les genoux bien écartés"
Il s’enfonça en elle comme s’il avait voulu lui passer au travers puis les mains cramponnées aux hanches délicates de Chloé, il se mit à la baiser comme une bête en rut.
Chloé criait, elle cramponnait ce qu’elle pouvait mais elle gardait la position, toujours offerte à celui qui la maltraitait tant. Je crois qu’a plusieurs reprises elle essaya de trouver mon regard mais M.Suzaiba la pilonnait tellement qu’elle n’y parvenait pas.
Leurs grognements se mêlaient au claquements de leur peau dans un concert étrange; Je voyais le sexe congestionné de mon rival ressortir presque en totalité puis plonger férocement dans les entrailles de celle que j’aurais voulu voir devenir ma compagne: C’était humiliant mais la beauté de Chloé contrastait tant avec la punition qu’elle acceptait consentante que j’étais captivé par le spectacle des corps qui se mélangeaient devant moi.
Quand enfin la brute se calma, ce fut pour rester enfoncé profondément dans le ventre de ma cliente et lui faire l’amour en ressortant à peine d’elle. Je l’ai vu se mordre les lèvres, signe qu’elle commençait à parvenir à passer outre la situation et à suffisamment s’abandonner pour permettre a son corps de se laisser aller.
Mon regard s’est posé sur les lèvres entrouvertes de cette jeune femme sublime puis sur ses seins dont le mouvement de balancier s’était synchronisé à celui du sexe qui cognait en elle; L’idée de me masturber me traversa l’esprit mais je n’étais pas assez cinglé pour que ce soit autre chose qu’une pensée furtive.
L’orage avait fini par passer mais l’exigent propriétaire avait encore à l’esprit un programme chargé. Il força tout d’abord la jeune femme à s’écrouler en avant puis il la fit se retourner. Elle était allongée sur le dos et il vint la couvrir en lui faisant largement relever et écarter les cuisses.
Il devait faire au moins soixante kilos de plus que Chloé, elle était clouée au sol par cette masse de chair surdimensionnée. Le millionnaire me jeta un regard narquois et il se mit en tête d’enfoncer sa langue dans la bouche de ma future petite amie. Elle tenta bien de détourner son visage à quelques reprises mais le combat était trop déséquilibré.
Il en sorti vainqueur et déforma le visage de Chloé en vissant ses lèvres sur les siennes. Vaincue, elle abandonna toute rébellion et finit même par placer ses bras autour des larges épaules de son amant pour signifier sa reddition.
Il ruait en elle tout en faisant durer ce baiser rageux et il compléta le tableau en faisant passer ses mains sous le dos de Chloé jusqu’à atteindre ses fesses et les empoigner.
Il était arrivé là où il le souhaitait: il la couvrait de tout son poids, cognait au fonds d’elle avec sa queue tout en lui malaxant le fessier avec autorité et en emplissant sa bouche de sa salive. Je voyais à ses réactions qu’il était au paradis: Prendre Chloé ainsi ne pouvait qu’être un délice et elle lui permettait sans doute bien plus qu’il ne l’avait imaginé au départ. Quant à ma cliente, je la distinguais à peine: seuls ses plaintes et ses gémissements m’indiquaient ce qu’elle pouvait ressentir.
Ils restèrent longtemps ainsi à tel point que j’avais bon espoir que mon calvaire touche à sa fin. Il se releva enfin et lorsque je le vis approcher du visage de Chloé en branlant son membre imposant, j’étais persuadé que nous n’en avions plus que pour quelques secondes.
Ce ne fut pourtant pas le cas et l’ordre suivant nous ramena Chloé et moi à la réalité:— "Grimpe sur le canapé et mets toi à quatre pattes"
Les yeux dans vague, Chloé se releva avec un peu de difficulté mais elle fit ce qui lui était demandé. Une première claque tomba sur sa fesse droite puis une autre et enfin une troisième de l’autre côté. M.Suzaiba empoigna les lobes qu’il venait de rougir et il les écarta sans ménagement pour dévoiler sans pudeur l’intimité de la jeune femme.
— "C’est bien mignon tout ça. Je vais t’enculer pour terminer cette soirée en beauté".
Chloé se raidit et elle s’échappa pour se recroqueviller à l’autre bout du canapé. Elle avait l’air terrorisée.— "Non pas ça ! Vous en avez eu assez."
Un sourire carnassier barra le visage de l’homme d’affaire.— "Tu es vierge de ce côté là: Je n’en attendais pas tant, ce sera encore meilleur".— "Non! Je ne veux pas. Faut pas déconner: c’est terminé !"
Voyant Chloé à fleur de peau et si lasse qu’elle était prête à abandonner, le Libanais prit quelques secondes pour réfléchir. Il se mit à sourie et jouant du suspense qu’il avait installé, il mit dans les mains de la brunette un marché particulièrement pervers.— "Écoute jeune fille: Si je te laisse l’appartement, il y aura régulièrement des soirées comme celle-ci. Pour compenser la part du loyer que tu ne paies pas, je viendrais me servir en nature"... — "Par contre si tu me laisses jouer avec ton cul ce soir, nous serons quittes définitivement".
Il avait bien joué le coup: Depuis le début, il y avait une zone de flou quant à ce que le propriétaire exigerait après cette éprouvante soirée. La pire crainte de Chloé était évidemment que ce ne soit qu’un début et que son logeur vienne tous les trois-quatre matins exercer un droit de cuissage. L’assurance que cette soirée serait la dernière était tout ce qu’elle souhaitait... mais le prix a payer était élevé.
— "Vous ferez doucement ?"Malgré son appréhension, elle avait pris sa décision.
— "Mais oui tu verras: je suis sûr que ça va même te plaire... et puis on va faire intervenir Stéphane pour que ce soit encore plus intéressant".
Il était vraiment taré.
Obéissante, Chloé est revenu se positionner à quatre pattes devant son tortionnaire qui en profita pour me demander de venir a côté d’eux et de maintenir les fesses de la brune incendiaire écartées.J’avais envie de mettre mon poing dans la figure de ce porc mais Chloé en avait déjà fait tellement que je ne me voyais pas faire tout capoter maintenant.La mort dans l’âme, je les rejoignais donc.
— "Je ne suis pas un chien, je vais aller chercher du lubrifiant".M.Suzaiba s’éloigna vers une autre pièce et j’en profitais pour proposer une nouvelle fois à Chloé de nous en aller.— "Non ça va. Je ferme les yeux et j’imagine que c’est toi: finalement c’est lui qui se fait avoir. C’est qu’un gros sex toy".
Il lui fallait un sacré détachement pour voir les choses de cette manière... et puis il y avait une sorte de déclaration de ses sentiments au milieu de tout ça, j’étais touché malgré la situation irréelle.
— "Tiens moi fort, je vais avoir besoin de sentir tes mains pour pouvoir me concentrer la dessus... et quand il me baisera, je m’imaginerais que c’est toi qui t’enfonce en moi".
J’allais tenter une nouvelle fois de la dissuader mais des pas retentirent, il était temps de terminer cet aparté.
Comme le gros Libanais me l’avait demandé, je m’asseyais au niveau des hanches de Chloé et j’empoignais chaque fesse pour offrir à cette ordure le dernier trésor dont il ne s’était pas encore emparé.
En me souvenant de ce que Chloé m’avait demandé j’enfonçais mes doigts dans sa peau jusqu’à en faire blanchir mes phalanges. Elle poussa un soupir qu’heureusement mon rival ne remarqua pas.
L’air moqueur, il se plaça a quelques centimètres de moi. Il commença tout d’abord par froisser les lèvres intimes de Chloé avant de ricaner.— "T’es toujours aussi trempée. Décidément, tu t’amuses comme une petite folle ce soir".
Il chercha son clitoris puis il s’y reprit à plusieurs fois pour trouver un mouvement qui faisait réagir Chloé; Quand il la sentit respirer plus fort, il colla ses lèvres contre la corolle de la jeune femme. Elle eut un instant de surprise puis quelques minutes plus tard elle poussa plusieurs petits cris lorsque que son futur logeur força l’entrée de son anus avec sa langue.
J’étais à quelques centimètres de ce monstre, j’en aurais vomi. J’entendais les sonorités inélégantes provoquées par l’entrain qu’il mettait à s’approprier le cul de Chloé; J’avais des envies de meurtre.
Ce fut pire quelques instants plus tard lorsqu’il donna de l’ampleur aux mouvements de sa nuque et qu’il mima une sodomie avec sa langue dardée. Cette fois, je voyais vraiment ce qu’il faisait, ma vue n’était plus obstruée par son épaisse chevelure. Bien que visiblement novice, l’anus de Chloé avait commencé a capitulé: Toute sa raie des fesses luisait et la langue de l’affreux Maghrébin s’enfonçait de trois bons centimètres à chaque pénétration.
Je sentais les tremblements de la jeune femme et la chair de poule qui avait recouvert ses fesses. Elle avait beau m’avoir dit qu’elle se concentrerait sur le contact de mes mains et s’imaginerait que c’était moi qui lui faisait découvrir de nouvelles sensations, j’étais choqué qu’elle réagisse aussi bien. D’une certaine manière, j’aurais préféré qu’elle fonde en larme et refuse de continuer.
M.Suzaiba avait d’autre chats a fouetter, il s’essuya le visage avec le soutien-gorge de sa victime et fit couler une large rasade de lubrifiant entre les fesses de Chloé que je maintenais toujours bien écartées.Avec son index il caressa les bords de l’anus de la jeune femme puis doucement il enfonça la pointe de son doigt. Elle fronça les sourcils et grogna mais cela n’arrêta pas le propriétaire.
Il répéta plusieurs fois cette introduction sans chercher a enfoncer plus qu’une phalange.— "Détends toi... enfin comme tu veux moi... je dis ça pour toi".
Chloé écouta le conseil et à ma grande surprise M.Suzaiba fut patient. Il n’alla pas plus loin jusqu’à ce qu’il sente Chloé prête. Il jouait à enfoncer et ressortir sa phalange, semblant ne jamais se lasser. Chloé finit par s’habituer et il s’en rendit compte.
— "Respire fort et lentement que je t’entende... et respire toujours sur le même rythme quoi qu’il arrive"
Elle s’exécuta et M.Suzaiba en profita pour laisser la pointe de son index enfoncée. Nous n’entendions plus que la respiration de la jeune femme et après quelques secondes il profita d’une expiration pour pousser son index jusqu’à la deuxième phalange. Une nouvelle expiration et cette fois c’est son doigt entier qu’il fit pénétrer dans le cul de la belle.
Il avait dû forcer pour cette ultime étape et cela se voyait sur le visage de Chloé.
— "Parfait, continue comme ça. Respire bien".
Chloé faisait ce qu’elle pouvait mais je voyais à ses yeux paniqués que c’en était déjà beaucoup pour elle. Son cul était fouillé au rythme du mouvement de sa poitrine, elle fronçait les sourcils et ses larmes n’étaient pas loin.
— "C’est bien. Reste bien ouverte"
Elle était rouge de honte mais elle se laissait faire cherchant à se détendre et à accepter les introductions qu’elle devait subir a chaque fois qu’elle expirait.
— "C’est bien, tu es toute serrée. Ça va être bon d’y mettre ma queue."
Il continuait inlassablement baisant les entrailles de la petite bombe au rythme de ses soupirs.— "Normalement je t’aurais préparé avec deux doigts avant de te la mettre... mais ça va être trop bon de te faire couiner en te baisant le cul tout de suite".
C’était trop, j’allais lui exploser sa gueule de crevard. J’ai lâché Chloé mais elle avait compris et elle cramponna mon bras avec sa petite main en me faisant un signe négatif de la tête.
L’échange avait échappé à notre hôte qui était en train de se relever.
J’ai repris ma place et comme Chloé le souhaitait j’ai de nouveau maintenu ses fesses bien écartées pour permettre à son bourreau de la sodomiser. Elle se cambrait plus qu’avant visiblement dans le but d’exciter l’autre raclure autant que possible et d’abréger l’éprouvante séance qui s’annonçait.
— "A nous !"
M.Suzaiba s’est placé derrière Chloé et après avoir tartiné sa verge de gel, il tapota la corolle de Chloé avec amusement.— "Ha putain, ça va être trop bon !".
Lentement, il a caressé le centre de ses attentions avec la pointe de son sexe. Chloé a soufflé plusieurs fois, je crois que c’était loin d’être désagréable et que dans d’autres circonstances, c’est une caresse qu’elle aurait su apprécier.
Et puis le moment tant redouté finit par arriver. M.Suzaiba empoigna sa queue a la base et il commença à forcer les muscles encore vierges de Chloé.
Elle couina une première fois mais son corps ne cédait pas. M.Suzaiba ne semblait pas surpris, il augmentait graduellement le poids qu’il appliquait, visiblement Chloé n’était pas la première dont il déflorait le fondement.
Elle poussa un cri aigu puis un second plus rauque immédiatement après. Le gland de son enculeur venait de trouver son chemin et d’envahir les premiers centimètres qui lui faisaient face.
Le propriétaire relâcha son effort et mécaniquement le petit cul de Chloé rejeta le corps étranger qui lui avait été imposé. Le libanais ne laissa pas de répit à la belle et il força de nouveau son chemin immédiatement après. Les gémissements de Chloé se firent entendre quelques instants plus tard quand elle fut de nouveau pénétré; La scène se répéta sept ou huit fois mais Chloé ne semblait pas s’habituer comme notre hôte l’avait imaginé. C’était même plutôt le contraire: chaque nouvelle pénétration déclenchant des plaintes plus implorantes que les précédentes.

M.Suzaiba appliqua une nouvelle noix de gel avant de débuter les trois tentatives suivantes mais elles donnèrent le même résultat. Lassé, il força comme une brute et enfonça son chibre de plus de dix centimètres dans les entrailles de Chloé. Le son strident de son premier hurlement résonna dans toute la pièce, sa bouche restait grande ouverte, ses sourcils froncés et les larmes jaillirent de ses yeux.
J’ai hurlé sur l’homme d’affaires qui avait toujours la moitié de sa bite coincée entre les fesses de Chloé :— "Sale con, laissez là maintenant. Elle a fait ce qu’elle pouvait. Ça suffit !"
Il ricana de nouveau comme il l’avait fait plusieurs fois.— "Désolé Stéphane mais c’est le deal: je veux la sodomiser vraiment ou sinon je repasserai la voir régulièrement".
J’entendis Chloé murmurer mais il me fallut tendre l’oreille pour bien la comprendre.— "Aide moi".
Ma virilité allait en prendre un coup mais je ne pouvais pas la laisser dans une situation pareille. J’ai pris les choses en main en m’adressant à l’autre porc:— "Restez comme cela pour l’instant".
De toute façon, Chloé s’était tellement contracté qu’il n’avait pas vraiment le choix.
Lentement j’ai commencé à caresser le fessier de la jeune femme, j’ai massé, malaxé et pétri la peau parfaite de la courageuse brunette. Plusieurs fois j’ai embrassé le bas de son dos puis j’ai petit à petit cramponné mes mains plus fort et plus bas jusqu’à ouvrir et fermer le fessier de la jeune femme autour de la verge toujours plantée en elle.
Chloé commença à perdre son masque de douleur et notre hôte put bientôt légèrement déplacer sa lourde verge. J’attrapais ensuite le tube de gel pour largement asperger les centimètres qu’il ressortait à chaque mouvement puis je reprenais mes caresses là où je les avais laissées. A pleine mains, je malaxais le cul de Chloé autour de la verge qui l’enculait. Cela fonctionnait: Chloé souffrait moins et l’exigeant propriétaire était aux anges. Vu les mouvements que je faisais faire aux fesses de la jeune femme autour du pieux de M.Suzaiba, j’avais du mal à m’ôter de l’esprit la désagréable impression d’être en train de le masturber avec le cul de l’élue de mon cœur. Toutefois, je me concentrais pour penser que la priorité était d’abréger cette horreur.
Bien sûr ce n’était pas une partie de plaisir pour la jeune femme mais elle arrivait à s’en sortir. Son inconfort restait important, M.Suzaiba profitant de chaque progrès de Chloé dans sa capacité à se détendre pour la prendre plus loin ou plus vigoureusement.
Je préférais ne plus penser à ce que j’étais en train de faire: aider un autre à enculer celle que je voulais être ma petite amie, je ne pouvais imaginer supplice plus humiliant.
Le Libanais se montra bien plus endurant que je ne l’avais imaginé. Il pris tout son temps et continua de martyriser le fondement de Chloé encore plusieurs minutes. Il semblait particulièrement apprécier lorsqu’il arrachait des cris ou des soupirs implorants a sa partenaire.J’étais parvenu à permettre à Chloé d’accepter ce coït nouveau pour elle et il en profitait pour maintenant la sodomiser profondément: il ressortait largement sa verge et se délectait de sentir la corolle étroite de la jeune femme caresser presque toute la longueur de son membre à chaque va-et-vient. Je naviguais entre horreur, jalousie et une forme d’excitation qui me faisait honte.
L’érection de notre marionnettiste ne faiblissait pas mais il arriva tout de même au bout de sa résistance.
— "Écarte lui bien les fesses".
J’obéissais et il poussait alors de toute ses forces pour embrocher Chloé totalement. Elle poussa un cri sourd et releva la tête, M.Suzaiba en profita pour agripper la chevelure de la jeune femme. Il tira avec force et elle se retrouva cambrée sur la queue plongée dans ses entrailles. Elle cria de nouveau pour tenter dissuader le Libanais:— "Haaa mais putains lâchez moi. Me tirez pas les cheveux comme ça".
Il sembla desserrer sa poigne mais il amplifia de nouveau la traction sur la nuque de Chloé quelques secondes plus tard. Elle protesta encore mais c’est sans doute a ce moment là qu’elle sentit la verge de son amant gonfler et cracher son plaisir dans son fondement.
La jeune femme se tut et elle baissa les yeux sans doute envahie d’un mélange de honte et de soulagement. L’homme grogna et jura de nouveau dans sa langue natale puis il fut prit d’un bref tremblement avant d’enfin commencer à s’extraire du cul de la brunette.
Chloé était dans un état pitoyable, j’essayais de l’aider à se rhabiller comme je pouvais mais une partie de ses vêtements étaient déchirés, notre hôte ayant déshabillé la jeune femme sans aucune précaution.
Il avait repris place a son bureau et arborait comme souvent son sourire satisfait.— "C’est un plaisir de faire des affaires avec vous. Stéphane, envoyez les contrats à ma secrétaire."...— "Bon allez ! Déguerpissez maintenant".
Nous nous retrouvâmes vite sur le palier, j’essayais de voir si Chloé n’était pas trop choquée mais c’est elle qui prit les devants.— "Putain, qu’est-ce qu’il m’a mis !"
J’étais surpris d’une telle expression dans la bouche de l’élégante Chloé mais après l’heure qu’elle venait de passer, elle avait sans doute le droit de déroger a quelques règles de langage.
Je la serrais contre moi pour la réconforter et elle posa ses lèvres sur les miennes. Le contact fut divin pourtant le baiser fut bref. Chloé resta accrochée a moi pour souffler:— "Je ne veux pas rester toute seule, dors avec moi cette nuit".
Aussi étrange que cela puisse paraître, notre histoire commença comme cela. Chloé se révéla la petite amie dont j’avais rêvé et elle parvint à oublier cette soirée assez rapidement. Quant à moi, je dois malheureusement continuer à travailler avec M.Suzaiba et supporter de le voir me toiser avec son éternel sourire en coin lorsqu’il me demande des nouvelles de ma compagne: une humiliation régulière mais qui est finalement un prix à payer dérisoire en comparaison du plaisir que j’ai à rejoindre la jeune femme chaque soir en quittant l’agence.
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A suivre (mais pas tout de suite).
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