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RECIT D'UN COCU - RETOUR A PARIS

Chapitre 1

Divers
Du temps s’était écoulé depuis notre séjour au Maroc. Ma chérie Julie n’était plus la même, et moi non plus. Sa rencontre avec une gigantesque et puissante bite black avait tout changé. Mais je m’étais fait à cette aventure qu’avait désormais Julie avec Driss...De retour à Paris, nous avions essayé de reprendre une vie de couple normale mais je savais qu’elle continuait à le voir de temps en temps quand il passait sur Paris. Nous n’avions jamais vraiment évoqué le sujet avec Julie mais je savais qu’elle continuait à baiser avec lui. Ils ne faisaient pas particulièrement des efforts de discrétion mais j’essayais d’éviter de croiser Driss. Parfois, je rentrais à la maison après le boulot et je l’entendais se faire baiser à l’étage. Je ne disais rien et me faisait tout petit pour ne pas les déranger. Je pouvais baiser de temps en temps avec Julie mais elle trouvait ça terne, morne et rapide dorénavant. Elle lisait même des magazines pendant que je la baisais alors que je donnais tout. Elle me demandait d’aller plus loin alors que j’étais déjà au maximum de mes 15 centimètres. Je n’étais rien à côté de mon maitre Driss et je ne pouvais rien y faire.Elle disait qu’elle m’aimait quand même mais que son autre amour était la bite de Driss, et qu’à choisir entre les deux elle choisirait la belle queue noire. Il arrivait même qu’elle refuse de coucher avec moi pendant un moment juste parce que Driss lui avait interdit de baiser avec moi pendant une période, comme ça, sans raison. Il menait notre couple à la baguette. Un beau jour de printemps, j’étais revenu plus tôt à la maison, en plein milieu de l’après-midi. J’ouvris la porte d’entrée et tomba sur Driss qui baisait ma copine sur le canapé du salon. Debout mais penchée en avant, prenant appui sur l’accoudoir du canapé, elle se faisait prendre la chatte comme une grosse salope. Elle gémissait de plaisir. Ils n’avaient même pas fait attention à moi et continuaient tranquillement. Au lieu d’aller vite me cacher pour les observer, je resta en admiration devant la puissance sexuelle de son amant black. Ma copine semblait prendre tellement de plaisir grâce à cette belle bite puissante.Driss finit par me remarquer, debout devant la porte d’entrée, à les regarder avec un sourire béat qui trahissait à la fois mon envie et mon admiration. J’étais cocu, soumis à une grosse bite de black, et heureux. Alors qu’il continuait de baiser ma copine en levrette, il me fit signe de m’approcher de la main. Je me mis alors instinctivement à quatre pattes, comme un bon chien soumis, et m’avança vers lui. Il me prit la tête et la colla à la fesses de Julie, à quelques centimètres de sa grosse bite qui faisait des allers-retours dans la chatte humide de ma copine.— Regarde bien Médor, fais toi plaisir.Julie comprit que j’étais là, et au milieu de son bonheur, réussit à me glisser sans se retourner :— Oh t’es là mon chéri?— Oui, répondis-je en ravalant ma salive.— T’aimes la vue?— Oui beaucoup.Driss se mit à aller encore plus vite et plus fort. Julie finit par avoir un orgasme magistral qui dut s’entendre dans toute la rue. Driss se retira doucement, sa queue paraissait interminable. Julie s’effondra à plat ventre sur le canapé, aux anges. Driss alla s’assoir à côté de la tête de Julie.— Tu sais ce que j’aime Médor? Me faire sucer après donné un orgasme à ta chérie d’amour. Mais là elle parait tellement épuisé qu’elle va avoir du mal je crois. Julie pouffa de rire. Je compris ce que je devais faire. Driss roula une belle pelle à Julie tandis que je marchais à quatre pattes vers eux. J’arrivais devant les jambes ouvertes de Driss, où trônait fièrement sa grosse bite toujours bien dressée. Je regarda Julie qui était encore en transe de son orgasme, mais était contente et fière de ce que j’allais faire. Je regarda mon maitre Driss qui m’indiqua du regard qu’il était temps de commencer le travail.Je n’étais plus que son chien, son esclave, qui devait lui obéir sans discuter. Je saisis alors son énorme bite dans ma main gauche. Je n’arrivais même pas à en faire le tour. J’approchais son gland gluant vers ma bouche. Je le regarda une dernière fois et devant son regard autoritaire, j’ouvris la bouche en grand et engloba son gland, qui avait du mal à rentrer en entier. Julie eut un grand sourire en voyant ça. Je fus agréablement surpris par le goût qui n’était pas trop déplaisant. Je passa des coups de langues comme si je lui roulais une pelle, tout en commençant à le branler avec ma main. Driss commença à sourire à son tour. Il m’avait totalement soumis et savourait sa victoire.— C’est bien mon Médor, tu te débrouilles comme un chef.Je tentais d’aller le plus loin possible dans ma gorge avec sa bite mais elle était tellement énorme que c’était quasiment impossible. Pourtant je réessayais en allant un peu plus loin à chaque fois pour faire plaisir à mon maitre. Je le branlais maintenant à deux mains en montant et descendant ma tête en rythme. J’évitais de lui faire cogner mes dents car je savais que ce n’était pas agréable. J’étais un bon esclave blanc bien soumis à son maitre black. De temps en temps j’enlevais son pénis de ma bouche pour remonter le long de sa verge énorme en le léchant tout le long, puis je lui léchai le gland comme on lécherait une glace au chocolat avec gourmandise. Je donnais tout ce que j’avais. Je n’existais plus que pour satisfaire cette énorme bite black avide de sexe. Pendant ce temps, Driss et Julie s’embrassaient et rigolaient devant la situation : le cocu s’appliquait avec amour à faire une pipe à l’amant black de sa copine, en sa présence.— Je crois que c’est le moment parfait pour lui annoncer la grande nouvelle chérie ! lança soudainement Driss.Je m’arrêta un instant de faire ma fellation de derrière les fagots pour lever mon regard vers mon maitre et ma copine. Julie me regarda avec amusement et tendresse. Elle me dit de sa voix douce :— Mon chéri, je suis enceinte ! Dit-elle en se touchant le ventre qui n’avait pas encore vraiment commencé à grossir.Je compris immédiatement qui était le père et je ne réagis pas.— Je suis enceinte de 3 mois. On va avoir un joli bébé métisse bientôt. On s’en occupera tous les deux mon chéri, rajouta-t-elle en souriant tendrement. Enfin, tu seras son baby-sitter toute ta vie pendant que je m’amuserais avec son papa.
Je me contenta de répondre un sourire pour acquiescer, avant de repartir à l’assaut de cette belle bite black. Et tandis que je m’appliquais à lui faire la meilleure fellation possible, je leva les yeux vers mon maitre Black qui embrassait avec amour ma copine Julie, tout en lui touchant tendrement d’une main le ventre dans lequel grandissait son bébé métisse, pendant qu’il appuyait avec son autre main sur ma tête, pour décharger son sperme au fond de ma bouche de cocu soumis. J’en avais plein partout : au fond de la gorge, dans la bouche, sur le visage, dans les yeux. Je continuais de branler cette énorme et belle bite black qui continuait de déverser une quantité impressionnante de sperme sur moi. J’avala tout le foutre blanc que je pus avec joie. Driss m’écarta alors de la main et Julie prit ma place. Elle vint s’assoir sur sa grosse bite toujours bien dressée alors qu’il venait d’éjaculer et recommencèrent à baiser sous mes yeux admiratifs. Couvert de sperme, à genoux devant eux, je commençais à me branler en regardant ma copine enceinte d’un bébé métisse chevaucher son amant black avec amour et sauvagerie.
Depuis, je vis toujours avec Julie comme un couple normal sauf quand Driss survient de temps en temps pour la baiser et m’humilier au passage. Je suis à leurs ordres et exécutent leur moindre désir, comme un petit esclave bien soumis. Julie va bientôt accoucher de son bébé métisse dont je devrais m’occuper pendant que Driss continuzrera à faire jouir ma copine avec son énorme bite, et surement à nouveau la mettre enceinte...
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