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Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse

Chapitre 2

Hétéro
Elle me regarde, visiblement émue.Elle attrape le bas de son élégant t-shirt et le remonte lentement en murmurant :
« - Puisque c’est comme ça que tu veux... »
Je sens qu’elle va me faire le numéro du style « si tu avais été tendre on aurait pu avoir une histoire ensemble » mais je ne veux surtout pas d’une histoire avec elle, c’est une chieuse, une profiteuse qui m’accaparerait, me pomperait tout, mon temps, mon fric, et qui m’obligerait à lui consacrer toute ma vie. La baiser, c’est tout ce que je veux, même une seule fois, une bonne fois, j’aurai ce dont j’ai envie depuis longtemps. A chacun ses caprices après tout.
Elle me révèle son ventre, sa peau très blanche, très pâle, la voilà en soutien-gorge, un soutien-gorge crème. Dire qu’elle disait il y a des années qu’elle voulait faire un régime, qu’elle était complexée par ses bourrelets, cette conne. Son ventre est à peine replet, comme ses flancs. Elle est super bandante.
Elle ne lève presque plus les yeux sur moi. Elle a des gestes très lents, elle pose son t-shirt consciencieusement sur le lit.
« - Mets-ça sur la chaise. Et défais ta jupe, et tes chaussures, vite ! »
Elle s’exécute, elle dégrafe la jupe qui tombe à ses pieds, l’air de rien.J’aime bien son effeuillage méthodique. Mine de rien, même si je la presse, je ne suis pas mécontent que ce strip dure un peu. Je mate, je me rince l’œil, je m’en mets plein les mirettes.
« - Enlève ton collant. Il est triste en plus. Tu pourrais mettre des bas auto-fixants, au moins. Je m’attendais à un peu plus d’attention à mon égard. »
Elle lève un œil mauvais sur moi, l’espace d’une seconde.Elle baisse le collant, s’en débarrasse.
« - Reste un peu comme ça, en sous-vêtements, que je profite un peu de la vue. Vas-y, tourne-toi.Hum, t’es vraiment bien foutue. Tu as un corps parfait. Je vais me régaler. Tu as un beau cul. Et tu le sais en plus, n’est-ce pas ? »
Pour toute réponse, elle a une petite moue.
« - Allez, enlève ton soustingue. Parfait. Tu as encore de beaux seins. T’es une belle femelle.Maintenant tourne-toi et déculotte-toi, je veux voir ton beau cul blanc. »
Elle obéit, et d’un geste gracieux elle baisse lentement son slip coordonné. Ses belles fesses, bien blanches comme je m’y attendais et assez larges, apparaissent. Elles ont encore un beau galbe, c’est un beau fessier de soumise, elle doit faire un 44.Je me mets à bander comme un âne. Elle est à poil, enfin, devant moi, offerte.
Du pied je fais glisser la carpette qui se trouve sur le côté du lit et la place ainsi au bout du lit. La chambre est grande, il y aura de la place. Elle ne s’imagine quand même pas que je vais la baiser sur un lit.
« - Fous-toi à quatre pattes ici. J’ai quand même pitié pour tes genoux, ne te plains pas. »
Elle soupire, s’exécute en semblant hésiter, mais mon regard dur qu’elle aperçoit en tournant la tête vers moi lui fait comprendre que ça n’est vraiment plus le moment de discuter. Lentement, elle s’agenouille, puis se penche et fait reposer ses avant-bras sur la carpette.D’emblée elle a tourné son cul vers moi. C’est parfait. Même pas besoin de rectifier la direction.Je lui dis juste :
« - Ecarte un peu les cuisses. Et creuse tes reins, cambre-toi bien, c’est ça, offre bien ton cul. »
Elle s’exécute et j’ai l’impression de voir la lune en plein jour. Elle est belle, blanche, pleine, bien déployée.Je dois me pencher un peu pour apercevoir sa jolie tirelire rose, une belle fleur, une véritable orchidée ornée de jolis pétales bien émouvants.
Je pose mes deux mains à plat sur ses fesses, elle frissonne. Je caresse cette somptueuse croupe à la forme parfaite. J’écarte légèrement les deux hémisphères (peu suffit puisque dans cette position, son petit cratère légèrement cuivré est déjà bien exposé), le sillon fessier est tout à fait dépourvu de poil, c’est parfait (et ça n’est pas vraiment étonnant : elle a une peau de blonde.)
J’ai envie de le lui claquer à toute volée, mais je me retiens, parce que je suis sûr que si je le fais, elle va s’enfuir. Pourtant j’ai envie de marquer sa croupe, je rêve de voir l’empreinte de mes mains et de mes doigts se dessiner en rose vif sur sa peau si blanche.
J’ai terriblement envie de l’enculer directement, ça lui ferait les pieds. Mais j’hésite. Et ce qui me fait hésiter c’est que j’ai vraiment envie de sa chatte, j’ai envie de l’enfiler, de la fourrer comme un salaud, de la besogner, de la baiser de toutes mes forces.
Je passe mes doigts dans son sillon, les fais descendre en effleurant sa peau, m’arrêtant à peine sur son petit œillet plus sombre ; je remarque qu’il se met à palpiter involontairement.
Sa jolie fente aux bords bien ourlés me tente aussi grandement. Je ne résiste pas bien longtemps à l’envie de la toucher. Mes doigts caressent l’intérieur de ces jolies lèvres intimes toutes roses. Elles sont plutôt sèches. L’émotion corrélée à son âge et au manque chronique d’estrogènes qui va avec.
J’ai déjà préparé mon coup, tout prémédité. J’avais placé un tube de gel et une boîte de préservatifs sous le lit, à portée de main. Je tends la main, attrape le tube de gel, j’en prends une bonne dose et enduis la rosette.Elle a un petit mouvement de répulsion, creuse ses reins, avance un peu et proteste :
« - Oh non, pas là.— Désolé, mais tu n’es pas en mesure de négocier quoi que ce soit. Tu vas me payer avec ton corps et ça sera TOUT ou rien. Maintenant que tu es à poil, tu ne vas quand même pas te tirer !?De toute façon, si tu le veux vraiment, tu te barres mais je garde ta culotte et tes collants en otage : tu iras je ne sais où, mais le cul à l’air sous ta jupe.Et tranquillise-toi un peu" ajouté-je d’un ton un peu moins dur, "je ne suis pas une brute. Je vais prendre mon dû mais en aucune façon je te ferai mal ni ne te blesserai. Détends-toi, et laisse-toi faire comme la bonne femelle soumise que tu es. »
Elle ne bronche plus et me laisse lui étaler le gel brillant dans toute la raie des fesses, je caresse son anus déprimé en insistant longtemps, du bout de mes doigts. Je reprends une bonne quantité de gel et en mets sur le bout de mes doigts de la main gauche, et j’en enduis sa jolie fente qui se met à devenir toute douce et toute glissante. Je la caresse, elle a l’air d’apprécier.
« - Il y a combien de temps qu’on ne t’a pas caressé la chatte, Patricia ?— Oh, tu sais, je ne compte plus... Ça fait des années.— Tu aimes ?— Je ne vais pas te mentir, c’est doux, tu fais ça bien. — Et tu ne te caresses jamais...?— Ça, ça ne te regarde pas... » ricane-t-elle.« - Petite vicieuse... » lui dis-je d’un air entendu, en me mettant à lui branler sa vulve qui s’ouvre comme une fleur sous ma caresse.« - Mais non, » soupire-t-elle, « je ne me caresse plus depuis des années... Je préfère qu’on me le fasse » glousse-t-elle.« - C’est sûr, tu as bien raison, c’est autre chose. »
Je me mets à la faire reluire plus vite, tout en laissant mes doigts à l’extérieur de sa chatte, tandis que mon majeur gauche commence à déprimer puis à forcer son œillet ; elle pousse un petit « OHH », ma phalange passe son petit anneau : mais c’est qu’elle est serrée, la salope !
« - Dis-donc, » lui dis-je avec contentement, « tu es encore drôlement serrée de ce côté-là... »
Mon majeur s’engouffre dans la brèche, et commence à faire des va-et-vient sans s’y enfoncer totalement.Elle se met à haleter : je ne sais pas lesquels de mes doigts lui font plus d’effet : ceux qui lui branlent la vulve ou ceux qui ont investi son fondement et commencent à le lui fouiller à un rythme lent mais implacable.
J’insiste : « On dirait que tu n’as pas beaucoup été pratiquée de ce côté-là, ma chère Patricia...— Oh non... je n’aimais pas ça...— Et bah avec moi tu vas aimer... Et puis si tu n’aimes pas, tant pis pour toi, ça sera le même prix... Je vais prendre beaucoup de plaisir à t’enculer, je le sens...— OH... mais alors juste une fois...— Tu rigoles ou quoi ? Tu repars vendredi, c’est bien ça ? Ça nous donne quatre jours, quatre jours où tu vas être enculée matin et soir, je t’en fais le serment.— OH...— Eh oui, la pension est chère chez moi ! Je ne suis pas un pauvre pigeon. Tu vas être logée et nourrie, alors il va falloir m’en donner, crois-moi. Tu vas apprendre qu’on n’a pas rien pour rien dans la vie. »
Elle se met à gémir, mais je ne sais pas si c’est sous ma caresse ou si c’est une plainte à cause de ce qui l’attend ces prochains jours.
« - Tu vas voir » insisté-je non sans malice, « quand tu repartiras vendredi tu auras été tellement bien travaillée du cul que tu pourras être sodomisée par un cheval !Et tu auras peut-être du mal à t’asseoir... Enfin, si ton cul n’en peut plus, rien ne t’empêche de chercher une autre pension avant la fin de la semaine... » dis-je
Sa croupe d’un blanc de nacre me fait un effet bœuf. Mon majeur arrive maintenant bien au fond de son cul, son canal s’est bien assoupli (les muscles sont moins toniques à cet âge...), et je commence à y introduire l’index en plus, juste une phalange. Elle pousse un petit râle mais ne proteste pas. Les caresses que je prodigue à sa chatte doivent compenser en plaisir les petits efforts que je lui fais faire.
N’en pouvant plus, je finis par sortir ma queue, droite comme un I et raide comme la justice, et je me place à genoux derrière elle.J’ai désormais mon pouce dans son cul, et de l’autre main je positionne mon chibre et lui enfile lentement mais sûrement la chatte.Elle est chaude, brûlante, bien humide.
« - Hummm... elle est bonne ta petite chatte, Patricia. Tu as bien fait de venir chez moi. Je vais bien te baiser. »
Et là-dessus, je commence à la besogner lentement, ma main gauche entre ses fesses tandis que ma main droite lui maintient les hanches. J’accélère, je lui balance des coups de boutoir, je bute à chaque coup de rein tout au fond de son ventre, lui ébranle tous ses organes à cette belle salope.Ça a l’air de lui faire de l’effet, mine de rien. Elle gémit d’abord, puis elle râle, puis elle accueille chaque coup de pine d’un « HAA » bref et désespéré comme si elle ne pouvait endiguer le plaisir qui semble monter très vite en elle.
« - Alors », lui dis-je, « ça faisait longtemps qu’on ne t’avait pas baisée comme ça...?— Oh oui, ça faisait... ...longtemps » répond-t-elle avec une voix brisée, hachée, saccadée. « - Et ça a l’air de te faire de l’effet on dirait...! »
Elle ne répond pas et continue ses plaintes qui rythment mes coups de queue.
« - Tu n’aimes pas. Ça ne te plait pas ? Tu le dis tout de suite, parce que dans ce cas je vais baiser ta bouche...— Non » dit-elle d’une voix geignarde que je lui connais bien, « continue. »
Je sors mon pouce de son trou de balle, lui saisis ses hanches à deux mains et me mets à l’empaler, à l’embrocher sur moi vigoureusement et de façon accélérée.Elle se met à crier. Putain, elle me fait de l’effet !
Je dois ralentir sinon je sens que je vais lui partir tout de suite dans son délicieux fourreau, et que je ne pourrai pas continuer et goûter au reste de son corps.Je donne des ondulations toutes sensuelles, et me penche, j’attrape ses deux beaux nichons (elle doit faire un bon C) que je mets à peloter sans vergogne.
Elle se redresse, se colle à moi, et je l’enlace des deux bras tout en la gratifiant de ma houle que je ne stoppe pas. Elle se love contre moi, je la sens terriblement excitée ; d’ailleurs sa main enlace mon cou par derrière. Je l’ai vaincue, je l’ai conquise, elle est à moi.Elle me tend sa bouche, et j’ai la faiblesse de ne pas résister devant son beau visage, ses lèvres purpurines : je l’embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent.Mais mains naviguent de son cou à sa vulve, lui astiquant le bourgeon, en passant par ses seins doux et moelleux.
Je lâche un instant sa bouche, me mets à lui lécher sensuellement son cou ; il a un goût amer et sucré tout à la fois, qui rappelle son parfum capiteux.
« - Alors », lui dis-je, « tu as envie de te trouver une autre piaule pour le reste de la semaine, tu n’as pas envie de rester là ?— Si tu me baises comme ça jusqu’à vendredi, je reste là » dit-elle, les yeux mi-clos, ses beaux yeux verts qui ont alors une expression que je ne lui connaissais pas.« - Content de te l’entendre dire. Et ne t’inquiète pas, j’ai de la ressource. »
Et lui prenant le cou dans ma main gauche qui se met à le serrer fermement, et son nichon gauche dans mon autre main qui le presse fortement, je lui murmure vicieusement :
« - Ça n’empêche que tu vas devoir m’obéir et te laisser baiser comme j’en ai envie, et quand j’en ai envie. Ne joue pas au petit jeu de la grande dame avec moi, ni ne me fais le coup de la migraine, je ne te conseille pas. »
Et pour bien lui montrer ce que je veux dire, je me retire de sa chatte, me relève et lui ordonne :
«  - Remets-toi à quatre pattes, salope. »
Un peu surprise, elle s’exécute. Il ne faudrait pas qu’elle croit qu’elle va me séduire et que c’est elle qui va faire ce qu’elle va vouloir et que je vais finir par lui manger dans la main. C’est moi qui mène le jeu, je reste vigilant, et elle va s’en apercevoir.
Je me place à genoux devant sa tête. J’empoigne sa tignasse rousse bien fermement et lui présente ma queue raide devant sa bouche :
« - Allez, tu vas me sucer, salope. Et ne te plains pas, elle ne sort pas de ton cul. Allez, applique-toi. Prends-la bien dans ta gueule. »
Elle ouvre la bouche chichement, elle n’a pas l’air enthousiaste. Je vois tout de suite qu’elle n’a pas l’habitude. Elle prend le gland entre ses lèvres, lève ses yeux vers moi, d’un air interrogateur.Je ne lui laisse pas le choix, je saisis sa tête à deux mains.
« - Allez, vas-y, on dirait une pucelle ! Ne me dis pas que t’as jamais sucé un homme, à soixante balais. »
Elle freine. On voit bien que ça la gêne, la dégoûte, même. J’essaie de forcer ses mâchoires, elle a comme un mouvement de recul, mais mes deux mains tiennent bien sa tête. Elle a un haut-le-cœur. Elle essaie de me repousser avec ses mains. Ni une ni deux, je donne une claque sur ses mains.
« - Allez, suce ! Et fais pas chier sinon je t’attache. J’ai tout ce qui faut pour ça. Et j’adore le shibari. Ne me tente pas, j’adorerais de te voir sur le ventre, les chevilles écartées et liées à une barre, les poignets menottés dans le dos. D’autant que ça me donnera une folle envie de prendre ma ceinture et de te marquer le cul avec de grandes zébrures rouges. Ça n’est pas ça que tu veux ? »
Sa tête a un geste de dénégation, mais il signifie plus qu’elle refuse la fellation qu’une réponse négative à ma question.
Elle arrive à retirer sa bouche, me dit d’une voix plaintive :
« - C’est pas que je veux pas, mais ça me donne des nausées...— C’est parce que t’as pas l’habitude. Allez, on va y aller en douceur, tu vas t’y habituer. »
J’ai employé un ton plus doux, elle me fait pitié. Elle se montre pleine de bonne volonté finalement, elle se montre une bonne élève. Je vais la mater, je vais l’amener où je veux. Il ne faut pas que je la brusque trop.
« - Allez, vas-y progressivement. Commence par me sucer le gland, puis tu iras plus loin petit à petit. »
Elle me reprend en bouche. Je veux l’encourager, je lui prends ses nichons à pleines mains, les pelote doucement, lui titille les pointes. Elle augmente lentement et progressivement l’amplitude de son mouvement, elle s’arrête à mi longueur. C’est déjà pas si mal.
« - C’est bien, vas-y, continue. Tu vas voir, tu vas vite faire des progrès. A la fin de la semaine tu seras une bonne suceuse. »
Je prends quand même doucement sa tête, et redonne des petits coups de reins en avant, pas trop loin. Elle a pris ma queue dans sa main, ça lui donne une sécurité. Elle s’applique, elle fait tout ce qu’elle peut. Je reconnais ses efforts même si ça n’est pas terrible. Elle est trop crispée, pas assez détendue, pas dans l’envie de donner du plaisir.
J’arrête :
« - C’est bon pour le moment, la pipe. On reprendra ta leçon de fellation plus tard. »
Mine de rien elle m’excite quand même avec son beau corps. Et ça m’excite encore plus d’initier une femme de son âge qu’une jeune fille. J’ai l’impression de la dépuceler. Et j’ai envie de sa chair mûre.
Elle est sur le point de se relever, je la rappelle à l’ordre :
« - Reste à quatre pattes ! J’ai pas dit que j’en avais fini avec toi. Reste comme une chienne, c’est comme ça que tu me plais, c’est la position qui te va le mieux. De toute façon, je vais faire de toi une vraie chienne (si tu ne l’es pas déjà... » ajouté-je d’un ton plus bas.)
Je retourne à son cul. Sa croupe blanche bien épanouie me plait. Je ne peux m’empêcher de la caresser encore, je la masse, la presse, la pelote, je descends mes mains jusqu’en haut des cuisses.
Je ne perds pas le nord pour autant. Je prends le tube de gel et en remets une dose entre ses fesses. Le froid du gel (et la prémonition de mes intentions aussi, sans doute) la fait frissonner. Mais elle ne proteste pas, elle a compris la leçon, cette fois. Je vais finir par en faire quelque chose.
Je lui masse son petit œillet, puis y rentre rapidement un doigt, puis deux. Elle râle, je sens qu’elle se tend.
« - Ne te crispe pas. Laisse-toi aller. Tu vas voir, tu vas aimer. De toute façon, il va falloir que ça passe... »
Là-dessus, je me mets en position : je m’accroupis au-dessus de son fessier épanoui, à la forme si émouvante. Je prends mon vit bien raide que j’ai pris le soin de coiffer d’une capote, je positionne le gland tout gonflé sur son petit trou, je pousse... le petit œillet cède.Comme suffoquée, elle pousse des râles brefs. Je force, ma queue s’enfonce dans le petit anneau qui se spasme, tout affolé. Elle est brûlante, j’ai l’impression de la dépuceler du cul (ce qui ne doit pas totalement faux...)Je prends ses hanches à deux mains et, la maintenant bien, je commence à aller et venir et lui travailler les entrailles.
« - Hum, c’est bon de t’enculer ma chérie ! Il est bon ton cul.— AH ! AH ! Doucement, tu me déchires... tu vas m’ouvrir en deux !— Je ne vais pas fendre ton cul, il l’est déjà.— AHH, doucement, doucement...— T’inquiète pas. Je vais prendre mon temps, tu vas t’ouvrir, mais tu vas te la prendre dans le cul jusqu’au fond ! Je vais bien te défoncer, tu vas voir. »
Je ressors totalement ma queue, je remets du gel, copieusement, puis je retourne à l’assaut de la forteresse. Hardi, petit Louis ! Je serai bientôt dans la place, elle va être conquise !Son canal finit par se relâcher, me laisser passer, et je finis par enfoncer ma pine jusqu’à la garde. Elle pousse un râle affolé.
« - Voilà, ça y est. Je t’encule bien à fond. Tu peux être fière. Ah, que c’est bon...! Tu es serrée comme une jeune fille mais tu t’ouvres bien.— AAH ! AAH ! »
Je la tiens bien par les hanches et je commence à la besogner bien profond, elle se prend ma queue à chaque coup de reins jusqu’au tréfonds de ses entrailles. Elle commence à geindre en rythme. Elle ne se plaint plus, ça a l’air de lui faire de l’effet.
« - Alors, tu aimes ? Ça te fait quoi de te faire enculer ?— Oui... c’est... c’est dur, mais c’est bon.— Avoue que tu ne l’as pas volé ! Depuis le temps que tu profites des gens, le temps était venu que tu paies...! En attendant, c’est moi qui profite de toi, de ton corps, et je prends mon pied, crois-moi !— Vicieux. J’aurais pas cru ça de toi.— Oh, allez, arrête ton char. Ne me dis pas que tu te plains alors que t’arrêtais pas de m’allumer il y a quelques années...— Oh... moi ?— Oui toi. Tu l’as voulu, tu l’as eue... et tu te la prends dans le cul !— AHH ! HA ! HA !— T’en prends plein ton cul, hein ?!— Oui, tu me défonces... AH ! AH !— ...et tu prends ton pied, ma salope. »
Soudain elle s’écroule à plat ventre, et je continue de lui pilonner le fondement. Je passe une main sous son ventre et tandis que je la sodomise à grands coups de reins, mes doigts trouvent sa vulve et l’astiquent en cadence.Arrive ce qui - je l’espérais bien - devait arriver : elle se met à jouir bruyamment, avec des cris suraigus de souris affolée.
Mon plaisir à moi monte soudain : je me retire de son cul, et tandis que son orgasme l’a laissée affalée comme une loque dans la même posture, je vais à sa tête, je retire ma capote et je l’empoigne par les cheveux et lui relève le visage. Je me branle à un rythme accéléré. Elle fait la grimace, mais rien n’y fait, je lui annonce, surexcité :
« - Attends, ma chérie, je vais te remettre une couche de fond de teint »
Finalement je sens la sève monter violemment, je vise bien et elle se prend le premier jet de foutre en pleine gueule. Elle essaie de s’y soustraire, mais je la maintiens fermement, et les autres jets nacrés lui atterrissent sur le front et un peu sur les cheveux, et même la bouche. Je suis content de moi, content du tableau, je l’ai souillée, je suis heureux du résultat.
Elle prend un air écœuré, elle se met à pleurnicher comme d’habitude, j’ai l’impression qu’elle va pleurer ou me faire une scène. Mais elle se lève péniblement et se dirige vers la salle de bain, ou du moins là où elle croit qu’elle est.
« - C’est pas par là, ma chérie, c’est à l’étage en dessous.— Salaud. T’es vraiment dégueulasse. Et vicieux. Si ta femme nous voit, je suis sûr qu’elle a honte pour toi.— Premièrement, je ne pense pas qu’elle nous voit. Deuxièmement elle m’a toujours dit que si elle devait disparaître il faudrait que je refasse ma vie (ce qui n’est pas fait et que je n’ai pas envie de faire), alors un coup de queue, tu penses ! Troisièmement si elle pouvait nous voir elle rigolerait bien, elle me dirait que j’ai raison, raison d’en profiter, de profiter de toi qui ne fait que profiter des autres, et se dirait que tu as eu ce que tu mérites ! ...et puis » ajouté-je avant qu’elle disparaisse dans les escaliers, « si tu restes jusqu’à la fin de la semaine, tu dois t’attendre à y avoir droit tous les jours : c’est le prix pour chaque jour de ton séjour chez moi ! » lui crié-je.

Elle rentre dans la douche, j’entends l’eau couler sous laquelle elle reste pendant vingt bonnes minutes.
Quand elle en ressort, enveloppée dans le peignoir que j’y ai laissé, elle a néanmoins le sourire, et semble plutôt radieuse. Je reconnais bien là la Patricia hystérique que je connais si bien.  Elle ne me dit pas qu’elle veut partir avant la date prévue. Mais elle me demande :
« - Qu’est-ce qu’on mange ? ».
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