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Réconfort & vieilles dentelles II. La voisine d’en face

Chapitre 1

Erotique
C’est fou comme quand on se retrouve veuf, on attire toutes les femelles. C’est la découverte que je faisais depuis quelques mois.
Ainsi il n’y avait pas que Marcia que j’avais attirée comme la confiture attire les abeilles.Je trouvais, au début, que les femmes « qui savaient » me regardaient d’un drôle d’air. Du moins celles de mon âge ou un peu plus vieilles.Evidemment je ne me mettais pas à attirer les jeunes filles de 20 ans, ou alors certaines, mais je ne le savais pas (je ne m’en apercevrais pas de toute façon.)
Mon quartier était un quartier très calme, constitué uniquement de maisons individuelles, et je ne connaissais – à peine – que les voisins des deux maisons jouxtant la mienne.
Au bout de quelques mois on commence en tout cas à reconnaître les voitures, ainsi que les personnes qui en sortent, comme celles qui habitent la petite maison au volet marron ou bien la maison accolée à l’autre, couleur béton, là-bas.Quand on tombe sur eux dans la rue on se dit bonjour et ça s’arrête là.
On commence à connaître les habitudes des gens du voisinage plus ou moins proche, ne serait-ce que parce que, tiens, celui-là part bosser à la même heure que moi, celui-ci, tiens, part en moto toujours quand je sors de la salle de bain. Celle-là passe devant chez moi à 7H30 tapantes, sans doute pour aller prendre son bus dont l’arrêt est au bout de la rue.
Le voisin d’en face, qui semble avoir dépassé l’âge de la retraite, part une demi-heure avant moi ; sa femme ne travaille pas ou plus, je la vois ouvrir les fenêtres et les volets le matin, commencer son ménage sans doute, en robe confortable, aérer la literie.
Il y a des jours où je suis pressé, un rendez-vous, une réunion, et je me hâte parce que la circulation est dense en général le jeudi, et d’autres où je traîne un peu, me sachant sans contrainte horaire importante.
Comme ce matin-là. Il faisait chaud, j’aérais en grand la maison, faisant rentrer la fraîcheur pour la journée. J’avais vu le voisin partir.
Au moment où j’ouvrais mon portail pour sortir ma voiture, je vis la voisine sur le pas de sa porte. Je la saluai mais elle m’interpella :
« - Bonjour. Dîtes, s’il-vous-plait…— Oui ? »
Je traversai la rue, allant à sa rencontre. Je ne l’avais jamais vu de près. Elle devait avoir dans les 60 – 62 ans (moins de 65, pensais-je), assez quelconque, châtain clair, le visage peu marqué par les ans.
Un air d’inquiétude très marqué déformait ses traits.
« - Mon mari vient de partir. Il est parti en déplacement deux jours, et je ne veux pas le rappeler car je sais qu’il serait en retard… mais j’ai un problème, je n’ai plus de courant, je crois que quelque chose vient de disjoncter— Vous voulez que je vienne voir ? Je ne suis pas un spécialiste mais je peux déjà essayer de voir d’où vient le problème et vous aider...— Oh oui s’il vous plait ! Vous seriez gentil… »
Je la suivis donc dans sa maison. Elle portait une robe descendant aux chevilles, ample, mais me laissant deviner qu’elle avait de bonnes formes.
Nous descendîmes dans son sous-sol jusqu’au tableau électrique que j’inspectai. J’examinai les disjoncteurs séparés. L’un deux avait sauté en même temps que le général. Le secteur était donc isolé, il fallait juste essayer de trouver ce qui avait fait disjoncter.
Je réfléchissais, appliqué à chercher. La dame me regardait.Soudain elle demanda :
« - Dîtes, je peux vous poser une question… indiscrète ? »
Je souris :
« - Faites toujours. — Je ne vois plus votre dame depuis un moment… Elle n’est pas malade ?— Elle est décédée.— Oh pardonnez-moi, je suis désolée.— Vous n’y êtes pour rien. Vous ne pouviez pas savoir. …C’est comme ça.— Oh mon pauvre monsieur… je vous plains…— Il faut continuer à vivre. Chaque jour après l’autre. Il n’y a rien d’autre à faire…— C’est terrible. C’est ce qu’on redoute tous…— Et ça finit par arriver. C’est comme ça. On n’y peut rien. Et puis il y a pire – presque pire – que la mort, il y a la maladie.— Elle… elle a souffert ? »
Je lui répondis avec un triste sourire, qui se voulait rassurant :
« - Non, rassurez-vous. Ça a été brutal. Heureusement. Enfin heureusement pour elle. Pour celui qui reste il faut encaisser le coup…— Oh je comprends. Ça doit être dur… Mais vous… Vous… Ça va un peu mieux… ? » demanda-t-elle en me regardant en face avec un sourire misérable. Elle avait posé sa main sur mon avant-bras.« - Ça, ça va. Ça va mieux maintenant. J’ai passé le cap…— Ah c’est dur, c’est trop dur la vie parfois…— C’est pour ça qu’il faut en profiter, profiter de chaque jour qui passe, sans attendre » lui dis-je droit dans les yeux, très donneur de leçon, un peu philosophe de bistrot. A ce moment précis je l’avais dit sans arrière-pensée.
Bien entendu j’avais bien maté son cul et essayé d’en deviner la forme quand elle m’avait précédé, mais c’était un réflexe chez moi – comme chez beaucoup de mecs – d’autant que pour moi, par principe, quels que soient son apparence et la première impression qu’elle laisse, il n’y a aucune femme qui ne soit pas baisable (si ce ne sont celles de moins de 35 – 40 ans qui ne m’intéressent pas, mais je crois l’avoir déjà dit…) ; mais je n’imaginais pas cette femme - que j’apercevais parfois le dimanche dire au-revoir à ses enfants et petits-enfants en compagnie de son mari – faire des galipettes adultères.Je sais que je suis encore parfois un grand naïf, et j’ai tendance à oublier, dès que je ne réfléchis plus, que les femmes de plus de 60 ans ont été plus jeunes, et que certaines ont eu une libido débordante et une vie sexuelle plus que bien remplie !
« - Bon », lui dis-je, « je vais vous montrer ce qu’il faudra faire si ça se reproduit… »
Je commençai à lui expliquer comment isoler un secteur électrique mais je me rendis vite compte qu’elle ne m’écoutait pas. Elle semblait troublée, son esprit était ailleurs, et son regard dans le vague.Elle resta quelques secondes ainsi avant de se rendre compte que j’attendais son attention.
« - Oui, oui, excusez-moi. Oh tout ça est très compliqué, je ne sais pas si je saurais si ça recommence… »
J’insistai, légèrement agacé. Je lui pris le bras et l’emmenai devant le tableau électrique. L’endroit était exigu. Je dus la pousser un peu, j’étais juste derrière elle, et elle n’avançait pas assez, me laissant vraiment peu de place pour pouvoir tendre le bras et lui montrer les disjoncteurs.Je me retrouvai presque tout contre elle et je sentis à un moment même son fessier me frôler. C’est à ce moment-là que je me rendis compte qu’il devait être d’un bon volume.
Sans même le faire exprès, essayant de garder l’équilibre dans la posture instable qui était la mienne - parce que j’avais peu de place pour mes pieds - je perdis un peu mon équilibre et posai ma main gauche sur sa taille ; je sentis sous ma paume un flanc généreux et moelleux.La dame n’eut aucun mouvement de répulsion. Puis elle posa sa main droite sur cette main que je gardais en place et je crus qu’elle allait la retirer, chose que je me serais empressé de faire, pensant qu’elle allait être gênée ou qu’elle allait s’imaginer que j’en profitais.
Mais à ma grande surprise, elle laissa d’abord sa main posée sur la mienne, puis la fit monter lentement, m’obligeant à caresser son corps.
C’en était trop pour moi, et je mis immédiatement à avoir la gaule !Je me retrouvais pressé contre une inconnue, une voisine, au corps que je commençais à deviner pulpeux, dans la faible lumière d’un sous-sol.
Je ne voulus pas l’obliger à me faire poursuivre cette caresse sensuelle, pas question de lui faire croire que je me sentais contraint : ma main monta donc jusqu’à sa poitrine et trouva à travers l’étoffe des seins étalés mais d’une bonne forme, me faisant comprendre qu’ils étaient libres, sans soutien-gorge.La dame s’était levé il y a peu, avait juste revêtu cette robe pour faire son ménage, et je la trouvais comme au sortir du lit.
Mes deux mains s’y mirent et se chargèrent chacune de presser et de masser un sein, les faisant rouler de haut en bas.Je sentis à travers le tissu mince les tétons dresser et pointer, je me mis à les saisir entre pouce et index, sentant des mamelons durcis d’une bonne taille.Ce faisant, bien entendu, j’en avais profité pour l’attirer sur moi, plaquant son corps contre le mien, et elle devait bien sentir ma queue raide sur ses fesses – d’autant que la robe était légère et que j’étais convaincu qu’elle n’avait pas plus de culotte que de soutien.
Je commençais donc à me presser contre son cul, montant et descendant en ondulant des reins, et je commençais vraiment à avoir faim !
Elle ne me fit pas languir plus longtemps, et pour me prouver qu’elle n’avait pas l’intention de se contenter de m’exciter, d’un seul coup elle prit elle-même sa robe, la fit monter et passer par-dessus sa tête.J’étais éberlué : elle était nue – seulement vêtue de ses chaussons, et offrait son corps à un quasi-inconnu, fut-il son voisin !
Je pris à pleines mains ses fesses, des fesses larges et souples, bien généreuses comme j’aime, un vrai cul de femme ! Je n‘étais pas volé !Je tombai littéralement à genoux et tout en le massant avec fougue, je me mis à prendre leur chair dans ma bouche par pincées entières, les mordillant, léchant leur peau, la suçotant.
Elle gémissait, gloussait, comme si elle était surprise telle une vierge qui ne s’attendait pas à ce qu’on allait lui faire, mais mon audace et mes manières l’excitaient plutôt qu’autre chose.
Ma bouche descendit jusqu’au bas des fesses, je léchai les sillons les séparant des cuisses tout en pelotant ces dernières et les lui faisant ouvrir ; elle avait une odeur forte de femme, une femme qui sort du lit, une odeur épicée et piquante.Je voyais les grandes lèvres de son sexe qui semblaient bien charnues, et parsemées de quelques poils fins : je collai ma bouche sur sa chatte entrouverte et goûtai à ses muqueuses baveuses.Elle poussa un « OHH » de surprise feinte – comme si elle ne s’attendait pas à ce que je mette ma bouche sur une chatte aussi exposée et offerte, livrée comme du tout cuit, mais son petit cri se changea vite en une plainte d’acquiescement et de satisfaction, comme si elle accueillait une caresse qu’elle n’avait pas connue depuis longtemps.
Elle se laissait aller, ondulait en pliant les genoux tandis que ma bouche ventousait littéralement sa fleur bien ouverte, ma langue la parcourant, du bourgeon à l’orée du sexe.Je suçai, mordillai les petites lèvres que je happai au passage, ma langue entra dans sa chatte, essayant de la baiser le plus profond possible ; puis elle remonta entre ses fesses, trouva le petit cratère, le flécha : il avait un goût corsé et amer.
Elle avait l’air d’apprécier particulièrement cette caresse car elle s’était penchée en avant pour se cambrer et mieux offrir son cul et se tenait au mur, les paumes bien à plat sur celui-ci.J’entrai mon majeur dans sa chatte, me mit à faire des allers-retours, la fouillai bien tandis que ma langue essayait de pénétrer son petit œillet.Elle se mit à pousser des cris étouffés, retenus certainement par pudeur, même si sa position et l’offrande qu’elle me faisait auraient semblé à un spectateur le comble de l’impudeur.
Elle se mettait à jouir, la tante, elle prenait son pied, tressaillait sur ses jambes, secouée par un orgasme continu qui la prenait en saccades, elle collait spasmodiquement sa chatte grande ouverte sur ma bouche tandis que mon doigt lui pressait sa zone G en va-et-vient rapides.
J’avais vraiment envie d’elle, j’avais envie de la saillir là, tout de suite, n’importe comment, mais je me demandais comment j’allais faire ça dans ce sous-sol mal commode (je sais, je suis un peu maniaque mais j’aime bien mon confort !)Et puis l’heure tournait, et je me rendais compte que je finirais par être vraiment en retard au boulot.
Elle dut entendre ma pensée ou bien eut envie de me rendre l’appareil ; ou bien, maintenant qu’elle avait joui et était peut-être prise par de remords, souhaitait en finir au plus vite : elle se retourna, et tandis que je me relevai, elle se laissa aller à genoux et prit dans sa main mon vit qui reprit davantage de vigueur et l’emboucha sans autre forme de procès.
Sa bouche était douce et experte. Nom de Dieu qu’est-ce qu’elle suçait bien ! Elle me fit une pipe magistrale et absolument divine : sa bouche coulissait d’avant en arrière, sans jamais faire ressortir le gland qu’elle suçait goulûment, puis faisant rentrer ma queue jusqu’au tréfonds de sa gorge. Sa langue était du velours, ses muqueuses un délicieux fourreau.
J’imaginai alors quel fourreau devait être sa chatte charnue et quel bonheur ce devait être que de la pistonner lentement, ce qui fit monter mon plaisir irrémédiablement.
Je n’eus même pas la courtoisie de la prévenir, même si mes gémissements retenus et mes pressions sur sa tête ne pouvaient que l’avertir : je me mis à me répandre à longs traits tout au fond de sa bouche et elle n’arrêta jamais de sucer !Je compris qu’elle m’avalait avec gourmandise, se repaissant au petit déjeuner de la substance de l’homme, un homme quasiment inconnu, mais tout de même son voisin d’en face, qu’elle devait imaginer respectable d’après ma tenue toujours tirée à quatre épingles, et qui sait, peut-être ma réputation.
Moi j’avoue que je lui avais bouffé sa chatte et son cul sans savoir qui elle était vraiment ; je ne connaissais – vaguement - que son habitat, et sa petite famille pour l’avoir aperçue le dimanche. Curieux animaux que les humains, tout de même… !Certains animaux se reniflent l’arrière train et les parties génitales pour se connaître ; nous, nous nous étions littéralement bouffé cet endroit, et léché, lapé et avalé nos fluides sexuels… Il allait falloir que je médite ça dans la journée.
Toujours est-il que je l’aidai à se relever, ce qu’elle fit lentement (elle avait beau avoir l’air souple, à cet âge on a souvent des problèmes articulaires et de genoux en particulier), et nous nous trouvâmes un peu gênés ainsi, elle nue avec ses seuls chaussons, moi encore vêtu mais la pine à l’air, quoique bien nettoyée.
Je nous sortis de cette situation un peu embarrassante en lui demandant où était la salle d’eau (car je voulais rapidement me laver les bains, me poncer un peu le Pilate et me rincer la bouche, car j’allais partir au boulot, et là-bas enchaîner directement par des entretiens… je voulais avoir l’haleine un peu plus fraîche… Mais je ne lui donnai aucun détail, étant un galant homme !)
Je dus prendre congé rapidement, lui disant à raison que j’allais être en retard au taf, mais qu’étant un homme dévoué à son prochain et qui ne fait rien à moitié, je repasserais le soir dès mon retour pour vérifier que son disjoncteur n’avait pas sauté dans la journée, car je ne voulais à aucun prix risquer qu’elle ne passe la nuit sans courant.
Je me montrai ainsi en homme serviable, qui n’abandonne jamais une femme esseulée dans la panade, et quelqu’un qui allait au fond des choses (j’avais bien l’intention d’aller au fond, bien au fond, goûter à la douceur et à la moiteur de sa petite cave intime !)

(A suivre...)
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