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Réconfort & vieilles dentelles II. La voisine d’en face

Chapitre 2

Erotique
Le soir, vers 18 heures, je rentrai ma voiture dans mon garage, puis, encore en tenue de travail (costume-cravate), je sonnai chez elle.
Elle m’ouvrit avec un petit sourire gêné – regardant à droite et à gauche comme pour voir si quelqu’un du voisinage pouvait nous voir – puis me fit entrer.Elle s’était changée dans la journée pour une robe d’été, légère, d’un très joli bleu à motifs fleuris, et qui lui tombait aux chevilles et portait des jolies chaussures en toile à semelle compensée.
« - Alors, ça a été aujourd’hui ? Ça n’a pas disjoncté ?— Non, non » dit-elle, « j’ai fait comme vous m’avez dit, j’ai laissé comme vous l’aviez mis, je n’ai touché à rien et il ne s’est rien passé.— Bon, et bien c’est parfait. Vous n’aurez qu’à faire venir votre électricien… Vous verrez avec votre mari quand il rentrera.— Oui. Il ne rentre que demain après-midi. »
La coquine. Elle avait vraiment besoin de me le redire, comme pour me repréciser qu’il n’y avait rien à craindre aujourd’hui.
« Voulez-vous boire quelque chose de frais ? Il a encore fait tellement chaud aujourd’hui…— Oui, merci, c’est pas de refus. C’est vrai que c’est pénible cette chaleur, c’est pesant… même au bureau » mentis-je (car au bureau j’avais la clim.)Quand on est la maison comme vous, au moins on peut se rafraîchir, passer sous la douche autant de fois qu’on veut… et même profiter au besoin de la fraîcheur du sous-sol. Mais au boulot il faut subir…— C’est sûr qu’aujourd’hui je peux vous dire que je suis passée plusieurs fois sous la douche, je me suis bien rafraîchie.— Oui, vous avez l’air bien fraîche » dis-je en ayant bien conscience de l’ambiguïté du mot.
C’est vrai qu’elle avait attaché élégamment ses cheveux et je percevais son parfum frais et fleuri. Si avec ça elle ne cherchait pas à me séduire…Aussi, ne pus-je m’empêcher :
« - Vous sentez bon… »
Elle eut comme un gloussement et un sourire charmant de jeune fille à qui on vient faire un compliment.Je poussai immédiatement mon avantage :

« - Vous permettez… ? …que je vous sente de plus près ? » dis-je en ouvrant les bras, lui indiquant mon intention, et sans attendre sa réponse je me serrai contre elle, enfouis mon visage dans son cou et inspirai profondément.Sa peau était tiède et parfumée. Mes mains avaient entouré sa taille.Elle avait posé ses mains sur le haut de mon dos, et loin de me repousser, elle se pressa davantage contre moi.
J’eus immédiatement la gaule, et je fis en sorte, en collant mon bas-ventre contre le sien, qu’elle en prenne la mesure.
Mes mains descendirent vers son fessier - qui m’était déjà presque familier – que je me mis caresser doucement à travers la fine étoffe. Et j’eus la conviction, ne sentant aucun élastique, qu’elle n’avait pas mis de culotte (une habitude ou l’envie de m’exciter… ? Si c’était ça, c’était réussi.)
Je me mis à le presser dans mes mains, de plus en plus fort, malaxant ses hémisphères bien charnus, tandis que ma bouche ouverte, collée sur la peau de son cou montait et descendait en un ballet sensuel.Ses bras me serrèrent plus fort, me caressèrent le dos avec passion, et nos bouches fusionnèrent en un baiser profond et passionné.
J’avais une terrible envie d’elle et je peux dire sans trop de risque que c’était réciproque.Quand je lâchai enfin sa bouche je le lui dis. Elle me regarda dans les yeux avec un regard trouble, et toute retournée elle me prit la main et me dit :
« - Venez. »
Maintenir le vouvoiement entre nous, avec une femme dont j’avais bouffé la chatte et le petit trou, et que j’allais enfiler sans vergogne, était quelque chose qui me plaisait énormément et contribuait à mon excitation.
Je la suivis, elle me conduisit dans sa chambre à coucher. Le lit était savamment ouvert, les draps impeccablement pliés avec un rebord près du pied du lit. Ah la cochonne, si j’avais encore des doutes, ils venaient de s’envoler :je me rendais bien compte qu’elle avait prémédité cette imminente séance de baise, et qu’elle avait même dû y penser toute la journée ; elle devait être bien excitée !
Elle se retourna une fois arrivée devant son lit, je la repris dans mes bras pour lui rouler une pelle monumentale ; je n’étais pas pressée de la culbuter sur son plumard. Je ne suis pas un soudard mais un galant homme, délicat s’il en est, et j’aime prendre mon temps.Et du temps nous en avions puisque nous avions toute la soirée, et même la nuit si nous voulions, puisque son mari ne reviendrait pas avant une douzaine d’heures.J’espérais juste qu’elle n’aurait pas une visite impromptue, ne connaissant rien de sa famille ni de ses proches.Mais elle, devait bien le savoir, et je lui faisais confiance. Une occasion pareille ne se reproduirait peut-être pas.Il faut toujours profiter du moment présent.
Mes mains descendirent, cette fois pour saisir sa robe et la remonter lentement, puis passèrent en dessous et trouvèrent ses fesses qu’elles pelotèrent sans ménagement.Elle ondulait du bassin, elle avait l’air d’apprécier.
Je repris sa robe mais cette fois la lui remontai lentement, mais jusqu’en haut, et je la mis nue !Elle était entièrement à poil tout contre moi, mais cette fois dans la clarté totale de la lumière du jour, au beau milieu de sa chambre à coucher, et son corps m’apparaissait dans la plénitude de sa soixantaine, et ma foi, il était plus qu’appétissant !
Je réalisais que les fenêtres de sa chambre donnaient sur ma maison et que ça me ferait tout drôle quand je serai tout seul dans ma chambre à moi, de regarder ses fenêtres et de me rappeler ce que j’avais fait avec elle derrière celles-ci, là-bas, à quelques mètres, de l’autre côté de la rue !
Ses seins étaient bien lourds, et bien qu’un peu étalés vers le bas, ils attiraient mes mains comme des aimants.Ses fesses débordaient de ses hanches, sur les côtés, et ses cuisses un peu grasses étaient un appel au crime ! Ses bras étaient pleins, encore beaux, et appelaient les caresses. Son ventre arrondi en demi-cercle était une enseigne charnelle.
Je la voyais ainsi pour la première fois exposée en pleine lumière et je m’en mettais plein les yeux. Je la matais du haut en bas, sur toutes les coutures, et elle souriait un peu gênée.Mais quand elle mit sa main entre mes jambes elle comprit, satisfaite, quel effet elle me faisait.Elle me mit à me masser cette bosse, doucement, sensuellement, en me souriant, toute émoustillée.
Je me collai à nouveau à elle et lui murmurai vicieusement :
« - Tu la veux, hein ? Tu vas l’avoir ! »
Je me reculai un peu, et tout en la fixant dans les yeux, je me mis à poil en un instant.Je me retrouvai à nouveau devant elle, debout, bien droit, le sexe dressé, que cette petite cochonne ne put s’empêcher de prendre dans sa main qu’elle fit coulisser lentement, pendant que je me mis à lui bouffer les seins tout en lui pelotant le cul.
Je la poussai doucement en arrière vers le lit, l’invitant à basculer :
« - Venez » lui dis-je, « je vais vous prendre ! J’en ai trop envie… »
Elle ne se fit pas prier et s’assit puis s’allongea dans une suite de mouvements on ne peut plus sensuels.
C’était une véritable transformation : la sexagénaire, à la vie bien sage (trop sage sans doute), bien rangée, avec ses journées occupées entre ménage, mari et famille, découvrait qu’elle pouvait encore séduire, et du coup, s’offrait à un amant, un voisin.Comment en étions-nous arrivés là, je crois qu’à ce moment-là elle ne se posait pas la question, et dans l’excitation magique qui nous transportait tous les deux, elle n’avait pas envie de le savoir.
Elle était sur le dos, encore appuyée sur les coudes pour continuer à me regarder, dans une posture qui tenait autant de la curiosité voyeuse (de celle qui ne veut pas perdre une miette du spectacle dont elle est l’une des deux protagonistes) qu’une invite, une façon de m’attirer, de continuer à m’exciter, m’enjoignant à poursuivre, à LA poursuivre.
Je ne me faisais évidemment pas prier, et adoptant le même rythme lent qu’elle dans mes mouvements, d’un niveau juste au-dessus du ralenti, d’une façon rappelant la reptation du serpent, je montai sur le lit, caressant ses deux cuisses ouvertes en même temps, lui faisant ouvrir davantage, et les relevant légèrement.
Elle dut alors se laisser aller sur le dos, me livrer sa fleur entrouverte sur laquelle je collai ma bouche avide, histoire de bien lubrifier cette petite dame que j’allais bientôt, et sans attendre longtemps, chevaucher et travailler au corps comme la charrue laboure la terre fertile.
Ma langue parcourut sa petite tirelire, sa fente aux rebords déjà gonflés par le désir, je la léchai bien, avec application, tandis que mes deux mains de part et d’autre d’elle la caressaient avec passion, des cuisses jusqu’aux seins, en passant par ses hanches pleines, ses flancs généreux.
Elle commençait à se pâmer, les yeux mi-clos, ondulait du bassin, tendait son ventre en avant en arquant son corps pendant que je dévorais ses muqueuses intimes.Elle coulait la tante, gémissait, caressait mes cheveux, tout en appuyant ma tête sur son bas-ventre, pour la retenir, au cas où j’aurais voulu enlever ma bouche de son petit sanctuaire.
Mes doigts s’étaient saisi de ses mamelons durcis, et les faisaient rouler, les pinçaient en dosant bien la pression, la force montant et refluant comme une vague, et faisaient augmenter spasmodiquement ses petits couinements de plaisir.
Puis je me mis à remonter lentement, quittant son petit bourgeon, embrassant son pubis, puis son ventre souple, arrivant à ses seins, ma bouche s’emparant de ses aréoles, les gobant toutes entières, les aspirant, les suçant, suçotant les tétons tandis qu’elle soupirait, emportée par une houle, une respiration sexuelle.
Elle sentit enfin que je me posai, léger, sur elle, comme un oiseau de proie qui atterrit, ma queue commença à se frotter sur sa vulve bien humide ; elle ouvrit ses yeux bruns-verts, son regard était trouble, sa bouche s’entrouvrit, m’appelant silencieusement, presque implorante, comme une gorgone.
Je ne la fis donc pas languir plus longtemps : je la pénétrai doucement et elle me reçut avec une grâce infinie, ses beaux bras écartés et pleins comme celle d’une poupée « qui ferme les yeux quand on la couche. »Mais elle n’avait pas fermé les yeux et me regardait bien droit, assumant tout à fait cet accouplement, celle de la femme mûre qui se fait prendre vicieusement sur son lit conjugal par son voisin pendant que son conjoint est en déplacement.
Je la baisai lentement, en prenant mon temps, lui faisant bien sentir ma queue en elle, ressortant presque complètement puis repartant à l’assaut de son fourreau de soie, m’arrêtant en butée tout au fond de sa chatte douce.
Elle se laissait baiser comme une jeune fille, plutôt passive ; mes mains la maintenaient aux épaules pour bien m’ancrer en elle, tantôt jouaient avec ses seins larges.
Puis j’accélérai, de plus en plus excité, et je lui fourrai ma langue dans la bouche, la galochant, baiser qu’elle me rendit langoureusement, plutôt lentement, profondément.Son plaisir montait lentement – de ce côté, du moins, elle montrait que sa physiologie n’était plus celle d’une jeune fille, comme si elle contrôlait la marée de son plaisir pour faire durer ce moment exceptionnel, cette occasion de se faire prendre par son voisin, cet homme encore dans la force de l’âge, occasion qui, nous le savions, ne se reproduirait peut-être jamais.
Elle avait fini par nouer ses bras sur le haut de mon dos, puis ses cuisses autour de mes reins, les serrant en étau et de plus en plus fort ; son bassin ondulait et venait au-devant de mes coups de boutoir.J’ébranlais sa porte, la porte de son plaisir, et je sentis que peu à peu elle prenait doucement son pied, poussant des petits cris discrets, en un orgasme lentement ascendant.
Je sentais ma jouissance venir, trop vite. Je ralentis, et comme elle faisait toujours la poupée, je me retirai et de mes mains sur sa taille, lui faisant comprendre ce que je voulais, je la fis se retourner :
« - A quatre pattes ! » lui ordonnai-je.
Lascivement, elle s’installa, me présenta son cul, son large cul : comme il me faisait envie !Ses nichons pendaient vicieusement, comme une invite : je les pelotai l’un après l’autre, jouant avec en descendant jusqu’aux pointes.Sa chatte bien lippue baillait, obscène.
Je ne laissai pas tout ça refroidir et je me plaçai à genoux derrière l’autel à honorer : je rentrai mon vit dans la fente ouverte et saisis la dame par les hanches, mes mains bien plaquées de chaque côté de cette délicieuse amphore.Je me mis donc à la besogner, la gratifiant d’une tonifiante levrette.Je secouais tout son corps, lui claquant de temps en temps ses fesses ou ses poignées d’amour. Je voyais son dos s’arquer, ses reins se creuser, elle prenait bien !
Mon excitation monta à nouveau. Emportée par celle-ci, je ne pus m’empêcher de lui lâcher :
« - C’est bon, hein ?!— Hmmm…— Comment ? J’ai pas entendu ?— Oui. Oh oui c’est bon !— Je te bourre bien… ?— Oh oui tu me prends bien, tu me baises bien…— Tu aimes ?!— Oh oui j’aime ça… »
Encouragé par ses mots, je me mis à la travailler à un rythme effréné, la gratifiant de grands coups de reins qui lui arrachèrent immédiatement des cris, cris de surprise, de joie et de plaisir mêlés.
Je me retirai un moment et m’amusai à faire glisser ma queue raide de bas en haut, de haut en bas dans son sillon fessier.Joignant la parole au geste, et tout en continuant à me branler ainsi, je lui murmurai avec volupté :
« - Hum, vous avez vraiment un beau cul… — Merci » répondit-elle d’un voix un peu étouffée, et de façon un peu ridicule.
J’enchaînai :
« - Vous vous faites prendre par le cul… ?— Oh non !— Et pourquoi… ?— Parce que… C’est…— Sale ?— Un peu… Mais, non…— Mais quoi ?— A mon âge…— Y a pas d’âge pour se prendre une pine dans le cul ! Et avec un cul comme ça, je ne comprends pas qu’on ne vous encule pas…— Oh ! Salaud !— Quoi ? Dites-moi que vous n’en avez pas envie… ?— Euh… si… Mais… Ça fait mal…— Mais non. Il faut y aller doucement, progressivement. Vous allez voir…— Oooh… » gémit-elle, « ne me faites pas mal…— Mais non, voyons. Faites-moi confiance. Détendez-vous. Je vais apprivoiser votre cul. Et après, je vous garantis que vous allez aimer…— D’accord… Mais… doucement. — Bien entendu. »
Posant mes deux mains sur ses belles fesses déployées que je maintins bien ouvertes, je me lis à lui lécher sa petite rosette, me rappelant combien elle avait apprécié la caresse le matin même ; en effet elle soupira, se mit à gémir : ma belle voisine avait décidément une sensibilité anale exacerbée et son petit œillet semblait particulièrement érogène.
Mettant deux doigts dans sa chatte je les ressortis bien gluants, tout luisants de nos sécrétions sexuelles, et j’en enduisis tout son petit œil borgne.Puis j’y fis glisser lentement une phalange de mon majeur, qui y fit des va-et-vient : elle était serrée mais sous l’effet de cette masturbation qu’elle appréciait manifestement son petit anneau culier se détendit et il accepta un second doigt qui se livra à la même tâche, de concert avec le majeur.
Je les ressortis puis caressai le petit cratère avec la pulpe du pouce, le déprimant progressivement avec des pressions croissantes, jusqu’à ce qu’il se livre et l’accepte : il l’engloutit sans effort et je me mis à branler son petit canal en y enfonçant et ressortant mon pouce sur toute la longueur.
Mon autre pouce caressait doucement sa vulve, massant son clitoris, glissant sur ses lèvres roses, puis dans sa chatte : ses deux orifices m’étaient acquis, ouverts, offerts, disponibles.
« - Allez » lui dis-je et me saisissant de ma tige, « on va passer aux choses sérieuses », et m’accroupissant au-dessus d’elle, je présentai mon gland sur l’orifice tout rond pour remplacer mon pouce gauche.Le gland rentra en elle en glissant lentement. Elle poussa un « OOOOH ».Son petit trou s’affolait, en proie à des petits des spasmes, j’attendis qu’il se détende. Quand ce fut fait j’enfonçai lentement mon vit en elle ; elle émit une longue plainte, mais son cul se rendit sans résistance.
J’arrivai en butée contre ses fesses : elle s’était pris toute ma queue.
« - Alors ma petite dame, ma gentille voisine, c’est douloureux de se faire enculer ?— Non, ça va…— Ça vous fait quoi ?— Oh… bizarre… mais…— …Vous aimez ça ?— Oui c’est bon.— J’ai tout de suite remarqué que vous étiez sensible du cul.— Oui c’est vrai. Mais… je n’osais pas.— Vous en aviez envie, hein… ?— Oui j’avoue. J’en ai longtemps rêvé…— Vous vous rendez compte ? Alors que vous aviez juste en face de chez vous un voisin prêt à vous enculer ! Il ne faut jamais hésiter à demander quoi que ce soit à son voisin… Surtout quand il est prêt à vous rendre service… »
Ce disant j’avais commencé à aller et venir dans son petit trou qui s’était considérablement assoupli.J’allais et venait dans son cul aussi facilement que si j’étais dans sa chatte, et la dame avait l’air vraiment d’apprécier : elle commençait à gémir de plaisir à chaque coup de bite, à chaque fois que j’arrivais bien au fond de ses entrailles.J’avais saisi ses deux nichons à pleines mains, et je les pelotais, les malaxais sans relâche.
Son visage de femme mûre était tourné, sa joue appuyée contre le lit, et j’y voyais l’égarement, le plaisir montant auquel elle était en train de s’abandonner, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte ; elle avait passé une main entre ses cuisses et se caressait la vulve et le clitoris, elle se branlait comme une gamine, elle était aux anges !
Je me mis à la besogner de plus en plus fort, lui pilonnant son cul, ébranlant son rectum, sa zone G, tout son bas-ventre, et le résultat ne se fit pas attendre :elle poussa des cris aigus au rythme de mes coups de bite, trembla de tout son corps, s’affala à plat ventre.Moi, vautré sur ses fesses, je lui assénai les derniers coups de pine ; son petit anneau dans cette position me serrait encore plus et n’ayant pas le temps de sortir d’elle je lui balançai tout mon foutre au fond de son cul, lui offrant un lavement gratuit.
Après que nous ayons recouvré nos esprits et récupéré un peu nos forces, je l’aidai tendrement à se relever du lit.
Elle fut catastrophée en découvrant les tâches de nos fluides sexuels sur les draps tout propres :
« - Halala » fit-elle, « zut j’ai plus qu’à changer les draps…— Attendez un peu, attendez demain matin » lui dis-je avec un petit clin d’œil, « je suis juste en face et si vous avez encore des envies cette nuit je pourrais peut-être vous rendre une petite visite. »
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