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La Rédaction

Chapitre 1

Travesti / Trans
Voilà, cette fois, tout va changer, je n’arriverai pas à m’en sortir. Sans m’en rendre compte j’ai tout fait pour provoquer cette situation. Et maintenant, sur ma chaise mes jambes se balancent comme pour rechercher le sol qui se dérobe sous mes pieds. Mes mains moites aimeraient s’agripper à quelque chose, un soutient. Mais rien, cette fois je ne peux compter sur personne, pas d’excuse, plus d’excuse.Des excuses, ça fait plus de trois ans que j’en sors, pour tout et à tous. Un retard en classe ? Réveil cassé. Ne pas suivre les cours ? épuisement nerveux. Problème de discipline ? discrimination parce que je suis petit – ce qui était vrai, un léger retard de croissance. Mauvaises notes ? je n’ai pas révisé, je me sens mal. Celle-ci c’était mon excuse préférée, le coup du mal être je l’avais bien peaufiné depuis une année, dépression, isolement, non-intégration… Un bon profil d’asocial qui me convenait bien, on me laissait tranquille, on m’avait laissé tranquillement redoubler l’année. Mais maintenant j’avais poussé le bouchon trop loin. Arrivé au mois de mai mes notes restaient toujours aussi lamentables. « Comment se fait-il que vos résultats soient aussi bas, même ayant déjà vu le programme ? Sylvain, ce n’est pas sérieux ! Vous venez d’avoir 18 ans et je me demande si vous atteindrez une fois la Terminal, et le bac me semble impossible ! » Le principal a dit ceci tel un couperet. Ce discours, je l’avais entendu maintes et maintes fois. Mais aujourd’hui c’est peut-être la dernière fois. Le lycée ne me laissera pas refaire encore une fois l’année. Exclusion. La hantise de mon père, il m’a bien prévenu, tout mais pas ça. Réussis ton année ! Et cette réunion sonne comme une sentence de mort, j’ai échoué, je l’ai déçu. Je sens bien que le verdict va sonner. D’ailleurs cette fois c’est la réunion de crise : parents, principal, prof de Français, prof d’Arts et psychologue. Celle-ci c’est pas la première fois que la vois. Qu’est-ce qu’elle est bonne ! Toujours habillée classe avec jupe serrée et bas. Si je n’avais pas si honte je relèverais bien la tête pour mater ses seins. Je peux même apercevoir la dentelle de son soutien-gorge entre les boutons de son chemisier, tendu à bloque par cette poitrine opulente. Je ressens une attirance pour cette paire de seins, comme s’ils avaient le pouvoir de tout réconforter, et cette dentelle…— Sylvain, vous m’écoutez ! m’assène le principal— Heu Monsieur, c’est que… Lamentable, je suis lamentable sur ma chaise.Mon père me fusille du regard et ma mère me voit comme une pauvre bête blessée. Autant m’achever, je suis foutu.
— Il y a peut-être une explication.
Tiens, la prof de Français qui viendrait à mon secours ? C’est vrai que les seules deux branches où j’ai de la facilité sont le Français et les Arts, ma fibre sentimentale dirait ma mère. Il faut dire qu’avec mon physique maigrichon le sport c’est pas ça et que j’ai jamais rien compris aux math et aux sciences.— Il y a peut-être une explication dans sa dernière rédaction. Sylvain y exprime certaines choses qui pourraient nous permettre de comprendre.Mais qu’est-ce qu’elle raconte ? Quoi la dernière rédaction …. Celle sur le fantastique où à court d’idée j’ai vaguement griffonné une histoire à la con d’un pauvre garçon qui se retrouve transformé en fille ! — Dans son texte, on retrouve une identification de l’auteur face au personnage. C’est très parlant il me semble.— Sylvain a une sensibilité très prononcée. Dans cette classe de garçons il ne peut s’exprimer et être lui-même. Rajoute la prof d’art pour soutenir sa collègue.— C’est tout à fait possible, termine la psychologue. Après discussions avec les enseignants et, au vue de son parcours, je pense sincèrement que Sylvain présente un trouble de l’identité. Cette rédaction est un cri du cœur, de l’âme. Et pourrait bien être la clef de son échec scolaire.
Je décroche. La psy a commencé à parler et elle part sur son charabia d’identité, de mal être, de découvrir sa personnalité… Je ne suis plus. Mes yeux vont du sol à ses seins en passant par ses jambes gainées. Quelle féminité se dégage de cette femme, comme je suis attiré, fasciné. Et cette bouche…
— Tu es d’accord Sylvain ?— Humm ? Mince j’ai pas suivi. Elle a dit quoi ? Panique total, je sens que c’est un moment crucial, si je merde mon père va être furax et ma mère blessée. Que dire que dire ?— Sylvain, ce que tu exprimes dans ta rédaction, c’est toi ? Ton échec, c’est ton mal être ?Une excuse, superbe, splendide et fournit par la psy ! J’achète ! Alors sans réfléchir je dis :— Oui c’est ça. Comme je l’ai dit dans ma rédaction. Un problème d’identité.

Soulagement général. C’est gagné, je suis pas passé loin. Enfin c’est ce que je crois. Le principal enchaîne alors que je vais changer de classe pour être en contact avec des filles, que je peux refaire mon année, que le lycée est ouvert et tolérant avec les gens comme moi. Quoi les gens comme moi ? Pas le temps de me poser de questions, la psy enchaîne, séances quotidiennes, visite médicale, passer plus de temps avec ma mère pour faire des activités de fille. Je ne comprends pas grand chose, mais mon esprit est ailleurs. Je m’en suis sortis et visiblement avec brio car tout le monde prend soin de moi et même ma mère me regarde avec des yeux attendis et presque satisfaite.
Je finis la journée comme toutes les autres, rien faire. Le lendemain matin je dois commencer par une séance chez la psy.
— Bonjour, assieds-toi. Accueillant charmant de la psy, toujours aussi bonne.— Merci madame.— Tu peux m’appeler Michelle. J’aimerais qu’on commence par ta rédaction, ce que tu dis est révélateur non ?
Faire gaffe. J’ai bien compris que cette rédac a été l’élément déclencheur, le truc qui m’a sauvé. Faut pas merder.
— Oui, c’est peu moi là-dedans, ce que je sens, ce que je suis.
Belle réponse je suis content de moi, je joue le rôle, je blinde l’excuse. Objectif : qu’on me foute la paix.
— Sylvain, j’ai tout de suite senti cette sensibilité chez toi. Tu ne te sens pas à ta place, tu aimerais être une autre personne. C’est ton identité qui…
Revoilà le discours technique psy truc machin et j’en profite pour mater la psy. Mes yeux descendent sur sa jupe serrée qui laisse deviner des attaches de porte-jartelle. Je devine presque la couture de ses bas juste sous le rebord de sa jupe courte. Puis je remonte sur son bustier qui laisse paraître cette dentelle qui m’excite tant.
— Sylvain ? tu m’écoutes ?
Aie ! J’ai un peu trop matté là…
— Sylvain, que regardes-tu ?— Heu, vous…— Ton regard est resté sur ma jupe, sur mes seins. Mais je ne t’en veux pas, c’est normal dans ton cas. Dis-moi que ressens-tu ?
Ne pas merder, ne pas passer pour un gros pervers au risque de tout faire foirer.— Je vous trouve très belle Madame, dis-je d’un ton hésitant.— Michelle, pas Madame. Et merci. Mais que ressens-tu, quelle émotion ?— Heu, vous (ne pas dire qu’elle me fait bander) vous êtes tel un modèle de perfection féminine.— Merci. (petit sourire de la psy). C’est tout à fait normal. Tu manques de repères féminins et tu t’identifies à la femme la plus proche de toi. Comme tu as encore peu de contact avec ta mère, tu me prends en modèle. Toutes les adolescentes ont une femme en modèle.
Quoi une adolescente ? mais qu’est-ce qu’elle raconte. Je ne me pose pas plus de question car il se passe alors un truc incroyable, la psy se lève, enlève sa jupe et déboutonne son chemisier. Elle est là, devant moi en sous-vêtements avec sa culotte en dentelle, sont soutien gorge, sont porte jartelle… que de dentelles. Je suis tétanisé et je commence à bander.
— Sylvain, me dit-elle de sa voix douce, entre fille on se compare, on se juge, on s’évalue. Les jeunes filles se voient souvent entre elles dans les vestiaires, entre copine, entre mère et fille. Je suis fière que je sois un modèle pour toi. Tu peux ainsi t’en inspirer et laisser enfin t’exprimer.— Mais je …— Ne dis rien, je vais t’aider dans ta transformation et laisser sortir la fille qui est en toi.— Mais je ne suis pas une fille, je suis un mec ! — Tu l’as dit, tu es plus fasciné qu’attiré.— Heu oui mais..
Je panique, je crois que je suis coincé. Si je suis pas la psy je crois que tout va foirer. Et en même tant c’est vrai qu’elle est belle et que je…. Mais non ?! je ne sais plus que penser.
— Je vois ton trouble Sylvain. Je vais t’aider à t’extérioriser. Il te faut juste un petit choc. Déshabille toi.
Elle est là devant moi en tenue sexy et elle me demande de me déshabiller ! Je n’hésite pas et me fout à poil. Bien entendu je bande et son regard se pose sur ma bite. Enfin ma bite…— Sylvain, je vois ton excitation et ton sexe confirme bien ce que je pensais. Tu dévores des yeux mes dessous. Mais ce n’est pas de l’attrait sexuel, c’est de l’attrait identitaire.— Hein ?— Tu te sens femme et tu aimerais être comme moi. Je vais te le prouver. Ouvre le sac posé sur le siège derrière toi.
Toujours à poil je me retourne et vois dans un sac des bas, porte-jarretelles, culotte et soutien gorge en dentelle. Les mêmes-modèles, à ma taille, que la psy. Je lui demande :— Que dois-je faire, je ne comprends pas.— Si, tu comprends très bien, réponds-elle. Mets-les, je vais t’aider.
Elle se penche vers moi et m’aide à passer les sous-vêtements. C’est un peu un rêve, elle super sexy et moi qui passe des dentelles. Je ne comprends plus rien.
— Te voilà un peu plus au naturel, n’est-ce pas. Je te trouve très belle, me dit la psy. Tu vas devenir une jeune fille.— Mais je ne suis pas… je tente de répliquer.— Tu ne le sais pas encore, mais ton corps et ton âme le ressentent.
Et là elle pose une main sur ma bite qui a trouvé sa place dans la culotte en dentelle. Je suis toute excitée, c’est une sensation merveilleuse, quelle douceur sur mes jambes, sur mon sexe, sur mes seins… Hein je n’ai pas de seins, j’ai un torse. Je commence dérailler moi, je suis pas un fille, ou bien….
— Tu sens, ton sexe a trouvé sa place naturelle dans la culotte de dentelle, lance la psy. Tu n’ose quand même dire que c’est une bite d’homme que tu as ?
C’est vrai que j’ai l’impression que ma bite a rétrécit. Je ne bande plus, mais ce n’est pas une grande différence, je n’ai jamais dépassé les sept centimètres en érection. Là, habillée de sous-vêtements hyper féminins et sexy, ma queue dans la culotte de dentelle s’est toute rentrée, comme si je n’avais qu’un minuscule gland. La psy pose d’ailleurs la main juste dessus et la douceur du tissu m’envoie un décharge électrique, je frisonne, toute excitée… Putain ! Mais qu’est-ce qui m’arrive ? pourquoi je réagis et pense comme ça ?— C’est tout à fait ce que je pensais. Ta sensibilité est très marquée et ton sexe réagit plus comme un clitoris qu’un pénis, c’est normal vu la taille. Essayons autre chose.
Et elle pose ses mains sur mes seins - hein ! mon torse, j’ai pas de seins, je suis … je ne sais plus ce que je suis…. nouvelle décharge. Le contact du tissu sur mes tetons.
— Tu es très sensible des seins. C’est normal pour toutes les adolescentes. Tu as beau avoir 18 ans, ton retard de croissance te fait te comporter comme la jeune fille que tu es.
Michelle se rhabille et retourne à son bureau et prend quelques notes. Je reste là, debout perdu(e) en bas, culotte soutien-gorge. Mais pourquoi elle me parle comme si j’étais… si j’étais… car je suis… et je n’arrive pas à terminer mes pensées.
— C’est assez pour aujourd’hui. Remets tes habits et vas dans ta nouvelle classe, la 2C2. Je vais appeler ta mère pour la suite de ton suivi à la maison. Nous nous revoyons demain matin. Bonne journée Sylvain. Même si je crois que je ne vais plus t’appeler comme ça.

Comme un automate j’enfile mes habits, après avoir enlevé les sous-vêtements féminins, par réflexe, parce qu’ils sont à la psy. Le principal vient me chercher et m’emmène dans la nouvelle classe, une seconde commerciale, je crois.— Tu sera bien ici, avec plein d’autres filles, me dit le principal. La psychologue a dit que c’était important pour toi. J’espère que ce nouveau programme portera ses fruits et te permettra de réussir, non ?— Heu… Répondre un truc bien, c’est lui le boss, c’est lui qui peut me virer à tout moment… Heu oui monsieur, c’est tout à fait ça.
Mais pourquoi a-t-il dit avec d’autres filles ? On arrive près d’une porte, il frappe et rentre tout suite, plein d’assurance. Je l’admire un peu ce principal, quelle force, quel homme, je suis un peu émoustillée… Merde ! C’est quoi ces pensées ! Cette psy m’a détraqué l’esprit !
Le principal adresse deux mots au prof et il me dit d’aller m’assoir au fond. Je m’exécute. Tous les regards braqués sur moi. L’heure se déroule au ralentit. Je n’écoute rien, à chaque instant au moins deux ou trois élèves se retournent pour me regarder. Quoi ? je suis un extra-terrestre ? J’en profite aussi pour examiner mon nouvel environnement. Cool ! je suis entouré de filles. D’ailleurs il y a une écrasante majorité de fille dans cette classe, une quinzaine de bombasses assez sexy, la filière commerciale… Et cinq gars plutôt grands, trois intellos et deux baraques qui ont l’air de s’être trompés de filière. A côté de moi une certaine Tania est assise. Plutôt jolie, jeans taille basse, top moulant qui cintre bien. Bon point ce changement de classe. Le temps passe et je matte les autres filles, toutes habillée pour bien mettre en valeur leur cul ou leur seins. Pas mal leur fringues…hein ? je remarque que je regarde plus les habits des filles que elles-mêmes ?!
Sonnerie, pause entre deux cours. Tania se tourne vers moi :— C’est toi alors qui vient dans notre classe ?— Heu oui, c’est moi. Syl…— On a été prévenu, me coupe-t-elle. On doit être gentille avec toi, la psy est passée hier en fin de journée pour nous dire tout un programme. On doit, surtout les filles a-t-elle précisé, t’inclure dans nos activités.— Ah ? heu cool oui.
Putain je sais pas quoi dire. J’ai aucune expérience avec les filles. Je leur cause pas, elles me causent pas. C’est pas que je suis pas attiré par elles, mais je sais pas trop comment faire, je les connais pas.— T’inquiète pas, on sait être sympa et c’est toujours top d’avoir une de plus dans la bande.— Une de ?Sonnerie, fin de la discussion. Je crois que je suis encore plus paumé qu’avant.
Fin de la journée et roue libre total, je suis vaguement les cours, matte un peu les filles, regarde les gars… bizarre cette journée.
Soirée avec ma mère. Etrange d’habitue elle est jamais là. — Ce soir les garçons sont sortis voir un match de foot. On sera toutes les deux.
Je comprends rien, quoi les garçons. Face à mon air interloquée, ma mère précise :— Oui ton père et ton grand-frère sont aller faire un truc de mec, voir un match de foot. Comme ça nous on reste toutes les deux. Ce sera bien pour toi.— Mais je suis aussi un garçon, je veux aussi…— Non ! me coupe ma mère. J’ai compris qui tu étais et tu ne l’acceptes peut-être pas encore. Mais la psy m’a conseillée d’être présente pour toi, pour t’accompagner dans la voie de la féminisation qui va te libérer, faire de toi ce que tu es vraiment.— Mais… j’essaye de résister.— Allons, viens. Les filles passent du temps à regarder des journaux et parler habits.
Ma mère me prends par la main et nous nous asseyons sur le divan. Elle sort des catalogues féminins d’habits et me montre pleins de photos. Je regarde sans voir, l’air perdu. Une partie de moi est satisfaite de cette situation pendant que l’autre partie hurle que je ne suis pas à ma place.— Comme trouves-tu ces jupes ma puce ? Tu m’écoutes ?— Hein ? heu oui jolies, elles sont jolies maman.
C’est vrai que des jolies jupes courtes plissées à carreaux sont présentées. Et instinctivement je m’imagine dedans.— On ira en acheter ce week-end, me dit-elle. Et regarde les sous-vêtements, tu aimes cette dentelle noire je crois.C’est vrai que j’aime bien les soutien-gorge et culottes noires en dentelles.
— Ca tombe bien je crois en avoir pour toi.Ma mère me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Elle ouvre son tiroir à sous-vêtements. Que de trésors ! Mes yeux s’émerveillent et un intense désir d’enfiler ces douces choses me prend. Ma mère enlève ses habits et reste en culottes, bas, soutien-gorge. Je la regarde avec des grands yeux.
— Les filles font souvent des essayages entre elles. Je suis contente que nous puissions passer ce moment de complicité toutes les deux. Enlève tes habits et passe ceci.Ma mère me tend une culotte toute douce et un soutif noir. Je m’exécute, comme si une autre partie de moi commandait mon corps. J’enfile les sous-vêtements et le contact doux de la culotte sur mes fesses est délicieux. Je me sens en sécurité, serrée dans le soutif, comme si mon corps réclamait cette présence rassurante.
— Tu es parfaite comme ça, ou presque, me dit ma mère. Je vois que tu aimes mettre ça. Tu as envie, tu as besoin de te féminiser. Puis ma mère passe une main sur mes fesses recouvertes de la culotte. Je sens immédiatement une décharge. Sa main remonte sur mes seins et mes têtons durcissent. Je me sens toute excitée.— Je vois que tu réagis comme une fille, car tu deviens une fille. N’est-ce pas ? réponds moi ma puce !— Oui maman, halète-je. Je suis toute excitée.
Ma mère glisse alors une main sur mon entrejambe et le contact de la soie est délicieux. Ma bite, ou enfin ce qui était ma bite car elle me semble s’être rétractée est tout électrisée. Je n’ai plus qu’un petit gland sensible.— Regarde un peu ton sexe, tu as un vrai clito de fille ! Et tu mouilles !
Ma mère a raison une tache s’est formée sur le devant de la culotte, mon gland coule un peu. Ma mère baisse la culotte et je vois une bosse, un petit gland, une sorte de gros bouton à la place de ma bite qui coule. Je mouille, putain c’est trop bon. Je suis hyper excitée. Puis ma mère passe sa main sur mes fesses. Immédiatement je me cambre pour lui offrir mon cul. Et je sens ses doigts caresser mon trou. Mais, mon anus est humide…— Oh ton trou s’humidifie, tu mouilles comme une fille. Tu as une chatte Sylvain ! Enfin je pense qu’il faut te rebaptiser. Tu t’appelles désormais Sylvia. Qu’en penses-tu ?Je ne réponds rien. Alors ma mère ordonne :— Qui es-tu ? comment est ton sexe et ton trou ? Parle !— Mon sexe est un clito, mon trou une chatte, je suis Sylvia. J’hurle ceci comme si les mots sortaient de mon ventre, comme si ils avaient toujours été prisonniers.
Ma mère enfonce deux doigts dans mon trou et me caresse le bout du gland. Putain c’est trop bon, je fais des vas et vient avec mon bassin pour amplifier les mouvements. Je commence à gémir et à haleter comme les putes dans les films X.— C’est bien ma fille. Tu te comportes comme une jeune chienne qui veut son premier orgasme. Je vais te transformer ce que tu as toujours été une petite salope !— Oui maman, oui…C’est trop bon dans mon cul…— Dans ta chatte ma fille, tu as une chatte maintenant !
Puis ma mère se lève et ouvre sa table de nuit pour en sortir un petit gode. Elle se place derrière moi et je sens cette fausse bite s’enfoncer en moi, me défoncer le cul, me déflorer. Je ne peux m’empêcher de hurler :— Prends moi, je veux être baisée !— Mais oui ma fille. Dis moi qui es-tu ?— Je suis Sylvia.— Tu n’est plus Sylvain, un garçon ?— Non mère, je suis Sylvia, je veux être prise !
Ma mère enfonce le gode et de son autre main me caresse le gland, ou devrais-je dire le clito. Je mouille de plus en plus et une chaleur intense se diffuse de mon clito et de ma chatte. Puis un éclair de plaisir traverse mon corps, je frémis, tremble, me cambre et gémis ! Un mince filet de jus coule de mon sexe.— Oh ma fille tu as eu un orgasme ! Un orgasme de fille— Ahhhh oui, réponds-je dans un gémissement.C’est incroyable ! Mieux qu’une branlette, mieux que tout. Je baisse le regard. Un peu de liquide a coulé de mon gland et de mon cul, mais je crois que désormais ce sera mon clito et ma chatte.
Je me couche sur le lit de ma mère. Elle vient à côté de moi et passe sa main dans mes cheveux, su mes seins et sur mes jambes.— C’est bien. Désormais nous allons faire de toi Sylvia, une vraie fille.
Je m’endore, satisfaite.
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